lundi 28 novembre 2016

« Connaitre et utiliser ses émotions plutôt que de les subir »





Comme à chaque fois que je vois ma sœur, je suis chamboulée à l’intérieur. De vieilles émotions remontent à la surface, les mécanismes de survie, les comportements impulsifs se manifestent mais cette fois-ci, j’ai pu calmer le mental, accueillir l'émotion et m’adresser à l’enfant intérieur, communiquer, communier avec cet aspect de moi-même qui réagit au contact de ma famille. 
Tant que je ne savais pas comment fonctionne le mental, tant que je ne connaissais pas le système de survie, les jeux de rôle…, je réagissais de façon automatique et souvent je projetais les émotions vers ma sœur, ma mère, vers tous ceux qui éveillaient les blessures internes. Puis quand j’ai compris comment l’enfant refoule l’émotion dans l’inconscient, j’ai dû apprendre à lâcher les étiquettes, à me défaire de la notion de bien et de mal, en revenant au centre, à la neutralité mentale pour que ces émotions refoulées puisse s’exprimer sans que je m’y identifie. Et comprendre surtout que la compréhension mentale des mécanismes de survie ne libère pas en profondeur, ne libère pas la mémoire émotionnelle, seule la libre expression de l’émotion, dans le détachement, permet cela graduellement.
Selon chaque membre de la famille, des scénarii spécifiques se rejouent continuellement et cela correspond au rôle de victime la plupart du temps. 
Alors le meilleur moyen de libérer ces comportements instinctifs, c’est déjà de rassurer l’enfant en moi, de lui parler, de lui témoigner du soutien sans conditions de l’adulte que je suis aujourd’hui. 
Un soutien qui se manifeste concrètement par le fait de ne pas s'identifier aux pensées ni aux émotions qui émergent automatiquement. J'ai dû la rassurer mentalement, lui dire qu’elle ne court aucun danger en posant les circonstances actuelles, de façon objective.

dimanche 27 novembre 2016

« Nous sommes Lumière et Amour » Kara Schallock





Nous avons de plus en plus de Lumière. Lorsque cela se produit, les anciens problèmes / schémas / croyances refont surface pour partir afin que plus de Lumière et d’Amour puissent prendre la place. 
Chaque entrave intérieure à votre Véritable Soi et à votre Pouvoir – comme la peur, l’anxiété et tout ce qui n’appartient pas à ce que vous êtes – est mise en Lumière. 

Les relations qui font partie de l’ancien et qui n’ont pas encore été libérées vous montrent comment ces relations sont nocives. Cela s’est produit au sein de la relation que j’ai avec ma mère en particulier (bien que cela se soit produit avec d’autres relations à un degré moindre). 
La relation la plus forte que vous avez est celle où vous êtes le plus attaché à ce qu’elle reste la même. Ma mère disait que tout devait avoir des règles. Cela a touché une corde sensible en moi car je sais que le Nouveau n’a pas de place pour les règles. 

Les règles sont basées sur les anciens modèles de contrôle. Ce qui a été un autre grand moment de surprise pour moi alors que toutes les relations avec ma famille de naissance sont en train de changer peu à peu.

Nous évoluons par petites vagues et cela peut sembler lent. 
J’avais remarqué qu’aucune personne de ma famille n’entrait en résonance avec moi. L’avaient-elles jamais fait ?

« Votre lumière s’intensifie » les guides de l’unité via Daniel Desjardins





« Très chers amis humains,
C'est avec grand Amour et grande Joie que nous nous adressons à vous aujourd'hui. Depuis notre dernier message, ce nuage, cette noirceur dont nous vous parlions s'est déjà grandement dissipée. Le choc initial a amené de plus en plus d'êtres humains à s'enflammer, à s'allumer et, même si, pour une majorité ce n'est encore qu'un balbutiement, c'est déjà tellement merveilleux à observer; toutes ces lumières qui s'allument, tous ces cœurs qui s'ouvrent, cela amène beaucoup, beaucoup de lumière dans votre collectif humain. 

De notre perspective, nous observons ce qui était une grande noirceur devenir de plus en plus spectaculaire avec tous ces jeux d'ombre et de lumière. Nous ne vous disons pas que la lumière va faire fuir tous les ténèbres instantanément, mais ce que nous pouvons vous confirmer c'est que cette lumière est en chemin et cela est une grande source de Joie pour tous les êtres non incarnés, mais aussi tous les êtres incarnés, car lorsque vous sombrez dans le sommeil, vous aussi avez la même perspective que nous. Certains en ont un bref souvenir à leur éveil. 

Notre message aujourd'hui est donc un message encourageant et rassurant, car vous êtes sur le chemin d'éveil, vous êtes sur votre chemin, car cet éveil vous mène, tout un chacun individuellement, à l'expression de votre brillance.

samedi 26 novembre 2016

« Les mondes subtils de la pensée, de l’émotion, de la vibration » & « 4ème reconnexion âmique » avec Magali Magdara






25 11 Ce matin, j’ai la pêche et avec le recul je constate une fois de plus que les turbulences mènent toujours à plus de stabilité intérieure, une plus grande clarté ou une conscience plus ouverte, attentive, une foi amplifiée et plus ancrée dans la réalité. 

C’est clair que toutes les infos auxquelles nous avons désormais accès, toutes les fréquences lumineuses que nous recevons tant de la source que des mondes subtils, viennent balayer les anciennes croyances et bien évidemment cela créé des turbulences en tous nos corps. La lumière éclaire ce qui est caché en profondeur, elle révèle nos blessures et les stratégies habituelles qui ne marchent plus lorsqu’on commence à comprendre les mécanismes de survie.
Tant qu’on reste identifié à la surface de l’être, on ne peut pas avoir suffisamment de recul pour voir que tout est parfait. Et cette perfection n’est pas un concept humain, elle ne concerne pas l’individu mais l’être véritable, la source, la conscience Une et l’âme qui animent toute vie. Cette clef de sagesse, un peu plus bas, piochée à l’instant, me confirme la puissance de la vibration, de l’intention, lorsqu’elle s’aligne au mouvement spontané porté par la joie. Je comprends de mieux en mieux comment nous sommes constitués et comment nous fonctionnons à mesure que j’intègre ces nouvelles données qui sont à l’opposé de ce qu’on nous enseigne ordinairement. 
Et c’est cela qui rend difficile le chemin parce que ça demande de se dépouiller de toutes ces fausses croyances qui ont été inculquées depuis des millénaires par ceux qui prétendaient détenir la vérité, l’autorité. 

jeudi 24 novembre 2016

« Le mental ne sait pas gérer l’émotion de façon appropriée, seule l’âme en a le pouvoir »





23 11 Il y a bien longtemps que je n’avais pas eu cette sensation de régresser, de tourner en rond. Mais en regardant en arrière et en constatant que c’est à chaque fois la même chose, le même processus, puis en me positionnant dans le cœur, la neutralité, malgré l’apparente confusion, je trouve la paix et une confiance aveugle en l’avenir.

Quand on s’autorise à vivre les émotions sans les bloquer ni les retenir, on se trouve dans une phase déroutante parce qu’on ne peut plus s’accrocher aux croyances passées, on entre dans un monde inconnu, on perd nos repères habituels. On ne peut plus s’identifier au personnage de surface et à ces certitudes, aux croyances qu’ils l’ont formé et qui le nourrissent alors on a la sensation d’être perdu, seul, impuissant.
On ne sait plus comment être ni quoi faire et plus on essaie de contrôler les choses plus elles nous échappent. 

On est tellement habitué à agir de façon automatique que le fait de suivre l’élan du moment, de vivre au jour le jour, en accueillant ce qui émerge dans l’instant, peut effrayer.
Et plus on résiste à ce qui arrive plus on se sent perdu. La panne de voiture et le mécano qui promet de venir la réparer, c’est un scénario déjà vécu et la seule différence avec le passé, c’est ma façon de réagir à cela.

Je vois que l’énergie de la victime s’active, que les pensées de dévalorisation s’enchaînent et que les émotions sont bloquées dès qu’elles se manifestent. Je ne change rien à ma façon d’agir mais je ne me laisse pas berner par les pensées automatiques.

mardi 22 novembre 2016

« Pleurer est bon pour la santé ! »...





Saviez-vous que pleurer est bon pour la santé ?
Durant longtemps, les larmes ont été perçues comme le principal signe de faiblesse d'une personne. Le seul fait de pleurer était considéré comme la démonstration d'une personnalité immature. Les personnes qui pleuraient étaient accusées de ne pas assumer leurs erreurs et de vouloir seulement attirer de la compassion. 

Pleurer est bon !
Lorsque nous sommes tristes, et que nous l'exprimons par des pleurs, le corps libère des substances qui jouent le rôle de calmant naturel, qui nous aident à ce que notre douleur s'apaise petit à petit.
Les pleurs permettent de libérer deux classes d'hormones distinctes, les opiacées et l'ocytocine.
Ces deux substances ont la capacité d'apaiser nos souffrances.
Elles fonctionnent comme deux véritables anesthésiants naturels, qui nous apportent de la tranquillité et, d'une certaine manière, un peu de "détente".
Pour résumer, pleurer est un bon exercice qui nous aide à maintenir le bon fonctionnement de notre organisme.
C'est un comportement essentiel lorsque nous nous sentons angoissé, lorsque nous sommes déprimés ou préoccupés par une situation particulière. 

« Le Pouvoir de l’Accueil » Nassrine Reza





Ce matin (mardi), la pluie remet en question l’idée d’aller faire des courses puisque la voiture est en panne et je n’ai pas de parapluie. Je n’ai jamais pensé à acheter cet engin qui dans la région n’a pas de raison d’être tant les pluies sont rares. J’ai pris l’habitude d’adapter mon emploi du temps à la météo comme je n’ai pas d’obligations sociales, de contraintes horaires.
Je mesure combien j’ai été attachée à la lutte, la résistance, à l’intensité des sensations. 
En relisant ce que j’ai écris hier et que je n’ai pas publié de suite parce que j’ai préféré agir plutôt que de rester dans le mental, j’ai pris conscience que j’ai tellement été habituée à vivre la peur au ventre étant enfant, que j’y ai pris goût. Pas à la peur mais à son intensité. Puis comme c’était douloureux et handicapant, j’ai cherché l’inverse, les plaisirs intenses, la joie provoquée par des substances sans jamais me demander si cette quête n’était pas la cause de mon mal-être.

Malgré tout, il fallait passer par là pour connaitre la palette des émotions et décider enfin de vivre dans la paix. Cette paix qui devient vitale au point que le désir de l’obtenir amène à s’attacher à toutes sortes de croyances qui même si elles ne permettent pas de trouver la quiétude, aident à sortir la tête de l’eau. 
Mais cet équilibre est précaire puisqu’il demande une attention soutenue à ces pensées, un contrôle permanent qui finit par créer encore plus de trouble, d’anxiété. 
Je viens encore de vérifier la puissance libératrice de l’abandon de la lutte.

On est tellement habitué à résister à ce qui se manifeste en soi qu’on vit dans un stress permanent qui génère des crises, des explosions émotionnelles, de la confusion mentale et un sentiment de dévalorisation croissant.
Plus on s’accroche aux raisonnements du mental, plus on tente de contrôler et plus l’énergie peine à circuler.