mercredi 29 juin 2016

« L’autoguérison confirmée par des preuves scientifiques » selon Dr Lissa Rankin





Que vous soyez aux prises avec une maladie mortelle, une maladie « chronique » que la médecine occidentale n’a pas été en mesure de guérir, ou à lutter contre des symptômes exaspérants qui nuisent à votre qualité de vie, ou tout simplement à espérer optimiser votre énergie, votre vitalité, votre apparence physique, et votre longévité, il y a des preuves scientifiques que vous pouvez vous guérir vous-même.

Elle-même très sceptique, le Docteur Lissa Rankin en fait un cas irréfutable, et a documenté les faits avec des méthodes de science pure et dure, à partir de ce que les institutions médicales ont prouvé depuis plus de 50 ans, que l’esprit peut guérir le corps

Beaucoup de données prouvent que l’esprit peut se savoir en bonne santé. 
Dans les essais cliniques, nous l’appelons « l’effet placébo ». Les patients traités avec des placebos ne se sentent pas seulement mieux. Ce n’est pas juste « dans leur tête ». 
Ils voient réellement de grosses verrues disparaître, leurs bronches se dilater, leur côlon devenir moins inflammé, des cheveux qui poussent sur la tête d’hommes chauves,  des ulcères se guérir, ainsi que d’autres phénomènes physiologiques mesurables. 

Nous savons également que le contraire est vrai, et l’esprit peut se croire malade, ce que les chercheurs appellent « l’effet nocebo ». Lorsque les patients reçoivent des injections avec une solution saline et qu’on leur dit que c’est une chimiothérapie, ils vomissent et perdent leurs cheveux.
Comment de telles choses se produisent-elles physiologiquement ?

« C’est juste un mécanisme de pensées automatiques: une illusion »





Ce matin, le réveil  été difficile parce que des pensées de stress se sont manifestées, celles qui dressent le tableau de tout ce qui cloche dans ma vie. Et comme je peux voir en cela un réflexe conditionné du mental, je me suis contentée d’observer ces pensées et de laisser couler les quelques larmes qui accompagnent ce "constat d’échec". 
D’un certain côté, ces pensées sont légitimes puisque le mental voit les choses assez lucidement et il est vrai que ma vie pourrait être plus épanouie ou productive mais ce point de vue est celui de la personnalité conditionnée. 
Le point de vue de l’âme est tout autre et comme je le "connais", je n’ai pas nourrit les critiques et jugements, à la place, j’ai demandé à la source "d’équilibrer et d’harmoniser les énergies en moi". 
C’est le mantra express que j’utilise en cas de stress et ça m’aide à prendre un peu de recul sur la situation puis ainsi, je peux voir objectivement ce qui se cache derrière ces peurs et surtout ne pas m’identifier au mental qui ne fait que dresser un bilan négatif de la situation et qui ressortira les mêmes solutions inefficaces. 
Ce constat révèle aussi mes aspirations profondes puis bien évidemment le caractère masochiste de cette façon de considérer les choses qui ne laisse aucun doute quand à l’origine de ces pensées. 
Ce sont des pensées mécaniques qui révèlent un manque d’amour de soi, de patience, de confiance en la vie, mais en les offrant à la source, la confiance en ce que je suis au-delà de ces pensées automates qui émergent de façon spontanée, cette confiance grandit parce que dès que je vois cela, je m’en détache. 
Ça se fait naturellement, sans rejeter quoi que ce soit ni le mental, ni les stratégies, sans chercher à changer les choses intellectuellement mais juste en laissant la vie circuler librement en soi. Les pensées parasites, celles qui nourrissent la peur ou la critique disparaissent dans l'harmonisation des énergies, la désidentification au mental.  

mardi 28 juin 2016

« Apprendre à s’écouter et à se faire confiance »






Quand le mental prend conscience de la valeur de l’amour inconditionnel, de l’unité des corps, de leurs fonctions et de leur mode de communication, on va nourrir cette unité intérieure et se fier à l’intelligence du cœur. 
On confond très souvent les stratégies de survie et le mental. Les stratégies sont des automatismes réflexe gérés de façon inconsciente mais quand on est conscient de cela, on peut faire confiance au mental puisqu’on se rend compte qu’il a toujours été au service de la vie en soi. Il reconnait la source intérieure, la valeur de cette vibration et cherche la paix intérieure en apprenant à se fier au cœur, à l’intuition.
Il devient un partenaire, un associé lorsqu’on reconnait l’unité en soi et le fait que tous les corps soient toujours dans cette harmonie, cette cohérence. Nous ne pourrions pas être en vie si ça n’était pas le cas. 
Quand on sent une émotion qui témoigne d’un blocage intérieur, une peur ou une stratégie à laquelle on s’identifie, ça créé une disharmonie, un déséquilibre. Et cela nous invite simplement à lâcher prise afin que l’harmonie revienne. 

J’ai vécu quelque chose d’étonnant hier en écoutant une conférence de Nassrine Reza. 
Je me suis prêtée au jeu de l’accueil qu’elle propose dans cette vidéo et je sentais des émotions de tristesse, de trahison, enfin quelque chose de pas très clair sur le moment que j’ai compris par la suite. Cette compréhension vient par des images symboles spontanées, au fil du temps et jusqu’à maintenant. Et c'est le retour à la paix, l'état actuel de bien-être intérieur qui le confirme.

lundi 27 juin 2016

« 15 façons de lâcher-prise pour vivre heureux » & « Comment ne plus être l’esclave de ses émotions ? » Jonathan Rigottier





Il n’y aura jamais de moment parfait dans lequel la vie serait parfaite, en tout point conforme à nos désirs et à nos idées qui viennent du mental. 
Par contre, il y a aura toujours des opportunités pour apprendre à lâcher-prise et à vivre heureux indépendamment des circonstances extérieures. 

Chaque instant est une chance pour laisser couler et ressentir la paix qui vient de l’intérieur. 
Voici une liste de clés pour démarrer, vous pouvez choisir celle qui vous semble la plus adaptée à vous.

5 clés pour lâcher-prise avec une frustration par rapport à vous-même et votre vie :
1. Changez votre perception pour voir la racine de cette frustration comme une bénédiction cachée pour apprendre et évoluer.
2. Canalisez votre mécontentement par une action positive. Par exemple, appelez quelqu’un que vous appréciez pour le lui dire.
3. Utilisez la méditation ou le yoga pour vous ramener dans le moment présent (au lieu d’être perdu dans le passé ou de s’inquiéter à propos du futur).
4. Faites une activité physique. L’exercice permet de réduire l’hormone de stress et de se mettre en mouvement pour se détacher plus facilement de ses pensées.
5. Focalisez toutes votre énergie sur quelque chose que vous pouvez contrôler plutôt que de vous inquiéter et de vous perdre dans des choses que vous ne pouvez pas contrôler.

dimanche 26 juin 2016

« Le Pouvoir de l'Accueil » vidéo de Nassrine Reza





Ce matin, le ciel est couvert alors je peux me laisser aller librement à écrire. C'est d'autant plus appréciable quand ça n'est pas une routine. J'aime vivre mes journées en m'adaptant à la météo parce que je me sens connectée à ce qui est vrai (même si l'humain intervient avec les chemtrails), à la vraie vie, à la nature et mon propre rythme biologique est à son "meilleur" lorsque je m'aligne au rythme du soleil, au cycle naturel du vivant. 
De la même façon que lorsque je m'aligne à la fréquence du soleil intérieur, la paix, l'harmonie et la joie se manifestent.

Chaque fois que je me tourne à l’intérieur lorsque l’extérieur stimule des pensées émotions, des réactions en surface, le même processus se déroule. 
La première chose qui revient en mémoire, c’est que la solution est à l’intérieur, dans ce retour à soi et déjà ça, c’est une façon de calmer le mental et d'être conscient. 

Derrière ce rappel, il y a la conscience que l’extérieur me renvoie ce que je porte et surtout la connaissance que le mental est un allié, un ami, un outil de perception, d’expression, qui bien qu’il ne me définisse pas totalement, est une part importante de l’être, respectable et nécessaire dans cette incarnation. 
Tant que je pense le contraire et c’est très souvent ce qui arrive quand on s’engage sur une voir dite spirituelle, je vais lutter contre moi-même et souffrir de cette division interne en entretenant le conflit et l’illusion.

« C’est au cœur de la fleur que se trouve la graine : l’éternité »





24 06 Quand on fait la paix avec soi, la vision change et on prend conscience de la formidable opportunité de vivre ici et maintenant. Oui l’époque est troublée mais pour tout chercheur de vérité, c’est une chance. La vie nous enseigne ce que sont l’amour et la sagesse et la conscience Une s’est éclatée en milliards d’étincelles, d’expressions, de formes, afin que chacun puisse savoir par lui-même. 

Dans ce vaste jeu de miroir, on peut se perdre aisément mais si on se branche sur la fréquence du cœur, on va pouvoir avancer en s’émerveillant de cette intelligence suprême qu’est la conscience divine. C’est toujours délicat d’utiliser l’adjectif divin parce qu’il a un sens différent pour chacun et pour la majorité, ça veut souvent dire autorité extérieure qu’il faut craindre. 
Je l’emploie dans le sens de conscience omnisciente, omnipotente et omniprésente créatrice des mondes, des univers et avant tout, de ce que je suis, de tout humain, de toute vie. 
Ce qui est troublant c’est qu’à la fois elle a créé notre être, nos corps et en même temps, elle nous anime, nous traverse continuellement, de toutes parts, elle est autant à l’extérieur puisqu’elle est tout et à la fois à l’intérieur. 
Tout est projection de conscience mais il y a différents degré si on peut dire selon le positionnement intérieur. Selon qu’on observe en s’identifiant à la personnalité ou depuis le cœur, c'est-à-dire dans la compréhension de ce qu’est l’amour divin et de ce que nous sommes en vérité, la réalité sera totalement différente. Comme la majorité l’exprime selon son degré d’ouverture, sa vision unique du fait de voir depuis le mental et d’être identifié à la peur, le monde se manifeste en résonance.

samedi 25 juin 2016

« Revenir à la Vie, sans forcer, sans lutter, en étant juste à l’écoute »





Toute sensation de manque tire son origine de la croyance en la séparation légitimement relative au fait d’être un individu. Ça, c’est le point de vue de la personnalité qui s’identifie à son corps physique, qui aborde et interprète le monde selon ses croyances, qui gère sa vie à partir de la croyance d’être un  individu séparé de tout. 

Ensuite, si on observe le monde avec nos sens, notre corps physique, en occultant les croyances, on va sentir que nous sommes plus qu’un corps de chair puisque chaque sens a sa propre façon de percevoir le monde. Notre rythme cardiaque, notre respiration, le flux sanguin, le formidable phénomène de régénération, de cicatrisation, nous révèlent l’intelligence du corps humain et son caractère autonome.

Ça déjà, c’est énorme parce que ça veut dire que la communication est possible. Que ce corps de chair est bien plus qu’un appareil mécanique, qu’il est parfaitement constitué et son autonomie nous démontre son intelligence extraordinaire. 
Il est capable de gérer tous les systèmes, toutes les fonctions vitales, tous les corps subtils dans une parfaite harmonie. Le potentiel de paix et d'harmonie est donc réel. 

La communication avec ce corps commence par l’observation, l’ouverture, l’écoute. 
Mais cela demande de se libérer de toutes les croyances de ce monde, de tous les dogmes, d’admettre que nous ne connaissons pas ou très mal ce temple de l’esprit. 
De reconnaitre que les croyances sont des interprétations faussées de la réalité puisqu’elles ne sont que de vagues hypothèses stratégiques visant à calmer les peurs, à les nier et à les refouler.