samedi 25 juin 2016

« Revenir à la Vie, sans forcer, sans lutter, en étant juste à l’écoute »





Toute sensation de manque tire son origine de la croyance en la séparation légitimement relative au fait d’être un individu. Ça, c’est le point de vue de la personnalité qui s’identifie à son corps physique, qui aborde et interprète le monde selon ses croyances, qui gère sa vie à partir de la croyance d’être un  individu séparé de tout. 

Ensuite, si on observe le monde avec nos sens, notre corps physique, en occultant les croyances, on va sentir que nous sommes plus qu’un corps de chair puisque chaque sens a sa propre façon de percevoir le monde. Notre rythme cardiaque, notre respiration, le flux sanguin, le formidable phénomène de régénération, de cicatrisation, nous révèlent l’intelligence du corps humain et son caractère autonome.

Ça déjà, c’est énorme parce que ça veut dire que la communication est possible. Que ce corps de chair est bien plus qu’un appareil mécanique, qu’il est parfaitement constitué et son autonomie nous démontre son intelligence extraordinaire. 
Il est capable de gérer tous les systèmes, toutes les fonctions vitales, tous les corps subtils dans une parfaite harmonie. Le potentiel de paix et d'harmonie est donc réel. 

La communication avec ce corps commence par l’observation, l’ouverture, l’écoute. 
Mais cela demande de se libérer de toutes les croyances de ce monde, de tous les dogmes, d’admettre que nous ne connaissons pas ou très mal ce temple de l’esprit. 
De reconnaitre que les croyances sont des interprétations faussées de la réalité puisqu’elles ne sont que de vagues hypothèses stratégiques visant à calmer les peurs, à les nier et à les refouler.


Le plus difficile étant de lâcher les croyances, c’est d’abord au niveau mental qu’il nous faut ‘agir’. Remettre en question nos croyances avec la méthode de Byron Katie, est déjà une révolution en soi parce qu’on découvre que notre mental, est un allié, qu’il est intelligent, que sa fonction de protecteur est naturelle et qu’elle peut se mettre au service du cœur. 
Quand on comprend qu’il est un partenaire qui a géré la personnalité selon le mode de survie et qu’il ne pouvait pas faire autrement puisqu’il a été formaté en ce sens, on peut le remercier d’être un serviteur fidèle de notre corps physique et de notre cœur.

Sa fonction principale étant de protéger l’individu qui ne sait pas ce qu’il est en vérité ou qui se croit seul, isolé, il a toujours été au service de la vie, à sa façon. 
Comme il est capable de raisonner, de communiquer, on peut aussi lui parler et déjà avoir de la gratitude envers lui. Il est le gardien de notre cœur, de l’enfant intérieur dans un monde où La conscience Une n’a pas encore été reconnue.

L’hypothèse selon laquelle chacun est un individu coupé de la source et des autres nous permet de nous reconnaitre, de nous individualiser, de savoir qui on est en vérité. 
C’est une formidable aventure qui nous permet de découvrir l’intelligence du vivant, de ce que nous sommes en totalité et en particulier. 
Comme pour toute exploration, il est indispensable de connaitre notre véhicule, les outils de navigation, le terrain sur lequel nous embarquons et bien évidemment notre destination.

Durant cette aventure, on va découvrir, au travers de nos outils de perception, lorsqu’on se tourne vers l’intérieur avec un regard neuf, on va apprendre à connaitre via ces corps subtils nos mondes intérieurs jusqu’alors inconnus, celui de l’inconscient, de l’émotion, de l’âme, des sensations. 
Et en les nettoyant de toutes les croyances basés sur la peur et sensés offrir une réponse à chacune d’elles, on va affiner ses sens et comme on se tourne vers l’intérieur, on va percevoir ce que nous existons au-delà des mécanismes habituels de refoulement.

Tant qu’on ne sait pas qui nous sommes ni qui dirige notre vie on a la sensation d’être le jouet de forces indomptables et de devoir lutter pour exister.
L’ignorance de notre nature essentielle et l’identification à notre mental nous donne une vision incomplète et limitée de la réalité mais quand on remet en question les croyances auxquelles on s’est attachés, l’amour lumière intérieurs va nous aider à savoir qui nous sommes en vérité. 
On va donc se rendre compte que la croyance est une réponse à la peur qui non seulement ne résout pas la peur mais qui en plus la nourrit. 
On verra que lorsqu’on ose regarder une peur en face, elle apparait comme une information, on constatera ce phénomène d’évitement et l’illusion des croyances qu’on a nourrit depuis l’enfance et celles qu’on a adoptées en tant qu’adulte toujours dans le but de ne pas souffrir. 




Mais la souffrance est une énergie à laquelle on s’attache parce que dans le contexte de la dualité, lorsqu’on est triste et qu’on finit par lâcher prise, on sent un soulagement. 
On devient accroc à nos émotions sans s’en rendre compte. 
J’ai eu cette sensation plus d’une fois lorsque je faisais quelque chose que mon mental qualifiait de mal et quand je finissais par me pardonner, le réconfort de l’amour en moi, la sensation de ne pas être rejetée par la source, me faisait beaucoup de bien. 
Un peu comme l’enfant qui teste ses parents, qui veut savoir s’il les aime de façon inconditionnelle et fait des bêtises pour voir quelles seront leurs réactions. 

Dans ce mécanisme on peut voir que la personnalité va chercher l’amour de la source, de ses parents, de ce qui lui apparait comme étant l’origine de cet amour, la personne, l’être qui est à même de le nourrir. 
Le mental fait tout pour que l’individu se sente aimé et parfois il agresse pour tester les limites de l’autre juste pour avoir la confirmation qu’il est aimé. Les relations sadomasochistes, l’adultère, la rébellion de l’enfant, la trahison, tous ces comportements sont des moyens d’obtenir l’attention, l’amour de l’autre. 
Même si ça peut sembler insensé, ce sont des mécanismes inconscients induits pas l’ignorance de qui on est en vérité. 

Celui qui ne sait pas ce qu’est l’amour va associer ce sentiment aux sensations intenses, à tout ce qui lui procure des sensations, des émotions fortes. Pour cette raison aussi on s’attache aux drames parce que lorsque l’émotion est forte, on se sent exister puis quand on lâche prise, le soulagement produisant un déversement d’endorphines, on ressent fortement l’émotion inverse, la paix. La culpabilité lâchée amène la sensation de l’amour, la peur surmontée donne un sentiment de puissance, la tristesse profonde nous fait côtoyer l’amour intérieur, la consolation de l’âme.  

La déconstruction des croyances passe par l’observation des pensées et la reconnaissance des stratégies de survie mais le mental n’est pas l’observateur, il est le témoin et celui qui va capter l’info que l’intelligence du cœur lui communique. Mais pour qu'il puisse le faire, il faut déjà être en paix, distinguer la voix de la peur de celle du cœur. Et savoir que l'intuition vient toujours de façon spontanée, évidente, une fois que le mental est apaisé.

Le mental ne peut pas se déconditionner lui-même, mais pourtant, on tente de le faire lorsqu’on commence à comprendre de quoi nous sommes faits. Quand on reconnait qu’en nous deux systèmes sont en place, celui de la survie et celui de la croissance, on va essayer de maitriser nos pensées en les sélectionnant.
On va s’interdire de critiquer ouvertement, on va refouler les émotions négatives pour paraitre en paix et encore plus si on se dit spirituel. 
On se créé un nouveau personnage avec des nouvelles règles, des nouveaux rituels, des nouvelles croyances mais ce sont des mécanismes stratégiques qui sont en partie inconscients. 
On pourrait dire que nous avons deux façons de fonctionner soit par la lutte et le contrôle, soit dans la confiance totale en la vie et l’abandon à l’amour lumière en soi. 
Mais on ne passe pas de l'un à l'autre sans prendre conscience de cela.

Tant qu’on ne prends pas conscience de la façon dont notre mental fonctionne et surtout qu’il agit de façon à nous protéger, qu’il fait de son mieux selon sa fonction de protecteur associé à l’instinct de survie, on ne pourra pas changer nos croyances inconscientes, celles qui nous maintiennent dans la peur et l’ignorance.

On peut agir sur les croyances conscientes mais c’est un processus souvent long parce que c’est toujours la peur qui les génère. La peur est un mécanisme régit par l’instinct de survie et en ce sens la seule façon de ne plus en être l’objet, c’est de l’accueillir, de l’observer, de l’offrir à la source en soi. 
Autant de termes qui veulent juste dire de s’en dissocier, de savoir ou de voir, de ressentir, que c’est juste un mécanisme de survie. Et donc que nous ne sommes ni nos pensées, ni nos émotions. 
On s’identifie à la sensation, la pensée alors que ce ne sont que des messages. 
Des réactions physiques que le mental interprète à sa façon et que l’instinct de survie bloque, refoule. 
Le mental a enregistré des situations douloureuses qu’il a qualifié de drame et auxquelles il a apporté des solutions par le refoulement de l’émotion, l’anesthésie de la douleur et la fuite ou l’effacement, la perte de la conscience. 
C’est alors le système de survie qui a pris le contrôle, l’inconscient qui a bloqué l’émotion, l’énergie, associant la douleur au danger. 
Tout ce système de réactions en chaine est inscrit dans la mémoire et sera utilisé dans des situations similaires ou reconnues comme telles. 

La sensation, l’émotion, la pensée et le refoulement dans l’inconscient qui va associer l’ensemble créé une mémoire et le mental en fait une croyance. 
Pour casser le processus, il faut devenir conscient de cette association douleur/pensée/émotion et observer cela avec neutralité. Mais tant qu’on n’autorise pas l’émotion à s’exprimer, sans intervenir mentalement, ce réflexe de survie qui consiste à refouler va perdurer et il enclenchera le même type de comportement, la même stratégie. 




Pour que la mémoire instinctive ne soit plus activée, il faut qu’il y ait une dissociation de la douleur, l’émotion et la pensée. Et pour ce faire, il faut devenir conscient de cela, de la pensée et de l’émotion associée.

Peu à peu on va considérer les corps mental, émotionnel et l’inconscient comme des systèmes, des corps subtils qui étant gérés en mode automatique, inconscient, agissent de leur mieux. Que ce sont de simples outils de perception. On va comprendre que les pensées et les émotions forment les croyances et que pour les lâcher il nous faut les observer, s’en dissocier.

Pour pouvoir entendre la voix de la sagesse intérieure, il faut commencer par faire la paix en soi et laisser les pensées défiler sans s’y attarder. Ce qui veut dire de ne pas croire ces pensées qui émergent de façon automatique sans qu’on ne les ait suscitées consciemment. Ce seul constat prouve bien que c’est un mécanisme inconscient et automatique sur lequel on n’a aucune prise, aucun moyen de contrôle par la seule volonté. 
Par contre en observant cela, on va naturellement s’en dissocier peu à peu, simplement parce qu’on ne s’y identifie plus. 
On va sentir qu’on est soutenu en ce sens par la source ou la part intérieure qui est au-delà de ses mécanismes de la psyché. La paix va s’installer et la tendresse envers les corps subtils aussi parce qu’on va savoir qu’ils ne sont pas des ennemis, ou les responsables de nos souffrances. 
Seule l’ignorance de qui nous sommes en vérité et l’attachement aux croyances, aux pensées émotions qu’on pensait être soi, sont la cause de la division, de la lutte interne.

Faire la paix en soi, ça veut dire d’arrêter de se juger, de se dévaloriser, de résister à ce qui se manifeste à l’intérieur. 
Lâcher prise, veut dire d’arrêter de s’attacher à ses croyances passées, celles qu’on nous a inculquées dans l’enfance. 
Écouter son cœur c’est être ouvert à ce qui émerge et ne pas bloquer les pensées les émotions mais juste les observer. 
Le mental est non seulement un fin stratège dans l’élaboration de théorise visant à répondre aux questions/angoisses existentielles mais en plus il déborde d’imagination pour satisfaire nos besoins, pour nous éviter de souffrir quand on ne vit pas selon nos aspirations profondes.
Il créé des croyances, donne un sens à ce qui est et interprète les faits selon ses références internes qui tentent de répondre aux besoins non assouvis comme celui de rêver. 
Lorsqu’il trouve des infos qui viennent nourrir cela, qui confirment ses croyances, il va s’en nourrir et ainsi soulager temporairement l’individu de ses peurs fondamentales telles que celle de la mort. 

Notre intuition nous souffle qu’elle n’existe pas et le mental va tenter d’interpréter cela selon ses références et c’est là que ça peut être dangereux parce qu’on va s’attacher à de nouvelles croyances qui nous coupent de l’être véritable, nous maintiennent dans le même mode de fonctionnement, l’identification au mental, et nous éloignent de la vérité de l’être. 
Les définitions mentales, de ce qu’est le divin, l’amour, la sagesse et la paix, sont loin de la vérité mais on s’en accommode parce que ça nous évite de sonder nos profondeurs, de voir nos peurs, de faire face à nos émotions dites négatives.

Pour savoir qui nous sommes en vérité, il faut nous tourner à l’intérieur et par le phénomène de contraste, on en aura le goût, la sensation et une compréhension suffisante qui est plus basée sur la confiance que la définition. La dualité apparait alors comme un outil de connaissance de soi et plus comme la réalité.

Peu à peu on a moins besoin de s’accrocher aux croyances, aux définitions, parce qu’on laisse le cœur nous montrer la voie de la libération. On laisse l’intuition nous guider et la compréhension des mécanismes nous aidera à ne pas se laisser embarquer par la peur. 
Une fois que la paix est reconnue en soi et qu’on sait que cet état est accessible en cessant de juger, de critiquer et de refouler ce qui se manifeste en soi, on prends confiance en la source, en la vie et on se laisse conduire.

J’ai écris cela il y a quelques jours et j’ai appliqué ce dont je parle à savoir l’observation des pensées émotions, le retour au cœur et l’écoute du corps physique et j’en ai déduit que je ne savais pas prendre vraiment soi de moi, de mon corps, puisque je nourris sans arrêt les pulsions de mort mais ce constat n’a pas été douloureux parce qu’il était neutre. 
J’ai écouté l’enfant en moi, les pensées émotions qui émergeaient au moment de faire du ménage, de faire à manger, d’être dans l’action plutôt que dans ma tête à écrire, à lire, à cogiter. 
J’ai reconnu en cela le fait que depuis l’enfance, je me suis enfermée dans ma tête à laquelle je me suis totalement identifiée parce que c’est aussi par la pensée que l’esprit s’exprime et j’y trouvais un refuge sûr. Je n’ai pas jugé cela mais j’ai plutôt eu de la compassion et surtout j’ai laissé les émotions s’exprimer sans les contraindre ou les juger. 

La guidance intérieure ou le fait d’agir depuis cet espace de paix et de confiance m’a amenée sur un article de Nassrine Reza qui a eu un fort impact sur moi et c’est venu comme une réponse à la question que j’avais posé à l’âme le jour même ou la veille je ne sais plus.


 

Depuis, je bois à nouveau de l’eau plate en connaissance de cause et pour des raisons essentielles. Non pas que je tienne outre mesure à ce corps physique mais plutôt parce que je veux réaliser ce rêve de l’enfant en moi de vivre dans la paix, la vérité, l’amour inconditionnel et le respect de tous mes corps. Et c'est en me réconciliant avec le corps émotionnel que j'ai pu capter cette info puisque l'eau et l'émotion sont fortement reliées.
L’eau c’est la vie et le fait de refuser d’en boire ou de l’avoir remplacée par du thé, du café, des boissons sucrées, constitue déjà une forme de suicide à petit feu. Un comportement qui obéit à l’idée que la vie est un calvaire et qu’il faut tuer le temps faute de vouloir s’incarner véritablement. 
Puis elle explique tellement bien l’effet de l’eau que ça m’a convaincue de changer mon mode de fonctionnement, sans forcer ou lutter juste parce que c'est évident. 
Tous mes symptômes physiques s’expliquent dans cette carence et plutôt que de lutter contre la dépendance, commencer par nourrir la Vie en moi après avoir trouvé la paix du mental, du cœur, est une étape décisive qui témoigne de mon amour tant pour mon corps physique que pour la vie. Un témoignage concret par un acte hautement symbolique.
J’avais déjà pris conscience de l’importance de l’eau au travers des vidéos de Masaru Emoto, puis de celle de Luc Montagnier qui explique comment guérir du sida simplement en ayant une bonne hygiène de vie. Outre le fait que l’eau soit conductrice de message et source de vie, ce que j’ai retenu aussi c’est la simplicité des solutions. 
Tout est toujours là, sous nos yeux mais tan qu'on ne porte pas un regard conscient et bienveillant sur tout ce que nous sommes, nous interprétons la vie à travers l'intellect.

Notre mental qui s’accroche aux croyances communes complique toujours les choses alors que la vie est d’une simplicité enfantine. Cela se constate lorsqu’on se laisse guider par l’intuition et quand on réfléchit aux fois où nous avons évolué. C’est très souvent lorsqu’on agit dans la fluidité et la confiance que tout se déroule pour le mieux que les éclairs de lucidité ou prise de conscience émergent. 

Lorsqu’on est enfant, tout apparait de façon très simple parce qu’on n’intellectualise rien, on vit simplement sa vie comme elle vient. Retrouver cette insouciance par la connexion à la source intérieure et surtout par le fait de faire confiance à la vie nous ramène dans la simplicité et l’évidence. On l’est tout autant par nature que par le fait d’être conscient que nous ne sommes pas seulement nos corps physique et subtils mais que nous sommes la conscience qui vient s’exprimer au travers de ces corps qui sont des outils de navigation, d’exploration.
Lorsqu’on retrouve cette mémoire, cette conscience, les croyances n’ont plus la prédominance, elles s’effacent peu à peu et on Est, tout simplement conscient d’être un tout, une équipe qui lorsqu’elle se laisse guider par la paix du cœur et l’amour peur réaliser ses plus belles aspirations. Et quand je parle de belles aspirations, c’est de vivre en conscience et dans la paix, l’unité intérieure, le reste coule de source et vient naturellement, sans forcer.  
Cela fait seulement 48 heures que je bois à nouveau de l'eau plate et déjà, mon corps émotionnel est nettement plus en paix. L'envie de prendre des cachets diminue, ça n'est plus un besoin vital, une obligation. Mon corps physique est plus léger, je suis plus dynamique, le mental est calme et je passe plus facilement à l'action. Je me sens revivre! 

C'est marrant parce que lorsque je faisais la route, je suivais mon cœur et l liberté d'être me portait, je me nourrissait uniquement de sirop à base de codéine mais je buvais au moins trois litres d'eau par jour et marchais beaucoup. J'avais beaucoup d'énergie que j'attribuais à la codéine et au fait d'être jeune mais en fait la marche et le fait de boire beaucoup d'eau créaient cette sensation de bien-être et de pouvoir physique, d'élan de vie! 
Là encore le fait que j'ai cru que le produit était le moteur m'a induit en erreur parce qu'il ne faisait qu’anesthésier les émotions et la paix qui en découlait naturellement a aussi été attribuée au produit.
J'ai construit ma vie sur des croyances erronées, des associations d'idées totalement fausses mais d'un autre côté, ça m'a permis de tenir le coup jusqu'à pouvoir capter les bonnes infos qui à l'époque n'étaient pas accessibles. Mais je ne regrette rien parce qu'en chemin, j'ai beaucoup appris de mes expériences. 

Avec le recul et en choisissant les photos pour illustrer cet article, dans la série de celle que j'ai faites ces derniers jours, je constate une fois de plus que la nature m'enseignait l'importance de l'eau, sa valeur inestimable et comme toujours, la beauté qui resplendit dans l'union de la lumière et de l'eau...

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr