mardi 31 mai 2016

« Se libérer de ses émotions » Sandrine Gousset






La nature des émotions, leur fonctionnement et leur surgissement
L’émotionnel ne provient pas des sensations mentales de base de l’être humain, ni de sa culture, mais est issu de nos schémas individuels 
C’est pour cela que l’émotionnel est propre à chacun. 
Deux personnes placées devant une situation similaire auront des ressentis très différents. Ce n’est pas la situation extérieure qui est en cause mais la structure individuelle propre à chacun.

Cette structure s’élabore sur plusieurs niveaux. 
Quelle que soit la culture ou l’époque, les humains ont un corps physique particulier qui leur permet d’expérimenter la réalité à travers leurs organes sensoriels. D’un autre côté, nous avons une façon fondamentale de structurer mentalement cette réalité sensorielle avec le langage :
– D’abord on voit, on entend…
– Puis on met des mots appris culturellement sur ce qui est perçu,
– Enfin on structure cette réalité avec notre esprit.

Nous n’avons pas conscience, le plus souvent, de ces trois différents niveaux que nous mélangeons et nous pensons saisir une seule et même réalité en laquelle nous croyons.

lundi 30 mai 2016

« Lâcher la culpabilité pour déterminer les besoins réels »






J’ai fini de fumer la dernière tête d’herbe hier soir et le bilan de cette expérience est plutôt positif. J’ai voulu suivre l’élan du désir, celui qui vient spontanément, parce que je sais que c’est de cette façon que je suis authentique et que je peux libérer ce qui est encore enfoui dans l’inconscient et s’active en mode automatique. 
Je sais que tout a sa raison d’être et qu’au-delà du geste compulsif, il y a un besoin non  nourris ou qui n’est pas pris en compte. 
Je connais l’effet du produit et sachant qu’il amènerait de la culpabilité, je me suis dit que ce serait l’occasion de libérer cette charge énergétique bien plus toxique que n’importe quelle drogue. Non seulement ça fausse la vision mais en plus on ne devient jamais responsable en se sentant coupable. 

Le système éducatif est basé sur la notion de punition et de récompense puis sur l’idée que la culpabilité peut rendre une personne respectueuse des lois, des autres. On pense qu’en accusant et en punissant un enfant il ne fera pas de bêtise, qu’il deviendra sage, responsable, en craignant la punition mais ça ne fait que nourrir l’injustice, l’idée d’impuissance et de soumission qui peuvent mener à la rébellion, la destruction. 
Tout comme la peine de mort n’empêche pas les gens de tuer. 

On ne change pas quelque chose en luttant contre la manifestation finale, dans la matière, en l’occurrence le geste. 
Tout commence dans la psyché et les aspects internes qui poussent au geste compulsif ont des messages important à délivrer.

dimanche 29 mai 2016

« Faire tomber nos murs » selon Jean Vanier





 
Toute guerre commence à l’intérieur de nos cœurs. 
Et toute paix commence aussi à l’intérieur de nos cœurs.
Quels sont ces murs que nous devons faire tomber ? 
Tous les murs extérieurs que nous construisons, et qui nous séparent, nous divisent, ne sont que la projection de nos murs intérieurs. 
Il s’agit des murs de défense, des murs de peur, d’antipathie, de préjugés, de violence, et même de haine.
Extirper de son âme les éléments de destruction, les défenses, les murs.
Chercher en nous-mêmes et pas ailleurs.
C’est dans notre cœur que la paix commence.

1. Les antipathies
 
Nous faisons tous l’expérience d’être attirés par certaines personnes, d’avoir une sympathie pour elles. Et inversement, d’avoir une antipathie pour d’autres, et même de les fuir, d’éprouver en leur présence un sentiment de peur, de dévalorisation, oppression, angoisse ou agressivité. Certaines personnes nous sont sympathiques, d’autres antipathiques.
« Nos sympathies et antipathies sont dictées par nos besoins et nos peurs. » 
« D’un point de vue purement psychologique, nous avons fondamentalement besoin d’avoir une image positive de nous-mêmes, c’est pourquoi nous recherchons l’appréciation et l’approbation de ceux qui nous entourent » 

« Prenez le temps qu’il faudra pour recommencer à zéro » Cindy





Croire que nous avons l’avenir entre les mains est une arme à double tranchant. 
D’un côté, cela nous apporte de la sécurité et de la vitalité. 
De l’autre, cela peut susciter chez nous un énorme vide.

Recommencer à zéro implique de mettre fin à des choses qui se sont mal passées et de les laisser partir car cela peut même vous faire du mal.

Recommencer à zéro, c’est prendre conscience que quelque chose doit changer dans sa vie et qu’il faut guérir ses blessures pour regarder à nouveau vers l’avenir.
“Rien n’est perdu si on a enfin le courage de proclamer que tout est perdu et qu’il faut repartir à zéro.”
-Julio Cortázar-

Comme tout le monde à un moment donné, il est probable que vous ressentiez le besoin d’arrêter net votre vie pour vous donner une autre chance d’être heureux.

Vous croyez tourner en rond sans but, en suivant la même succession d’événements et vous ne savez pas comment sortir de là, mais vous êtes conscient que vous devez le faire.
Le commencement est de savoir que cela va vous prendre du temps et dépendra de nombreux facteurs.

samedi 28 mai 2016

« Les 5 chakras supplémentaires de l'Humain » Miriadan via Magali





L'être humain incarné dispose de 7 chakras/portails multi-dimensionnels (voir l'article en lien ) activés selon la programmation de son cheminement. Lorsqu'il parvient à s'unir à lui-même, qu'il se pose dans l'Unité magnifiée par la Multiplicité, il s'accorde sur le rayonnement de son Êtreté (voir l'article en lien). 

Ainsi, sa Fleur de Vie s'épanouit et s'expanse jusqu'à transformer la monade par l'éveil des 5 chakras supplémentaires qui complètent la naissance de l'Humain, l'être aux 12 chakras.
 
Ces 5 chakras ont toujours été placés dans le corps humain. En sommeil, ils ne se révèlent que lorsque l'ouverture des 7 primaires est réalisée. Tous sont reliés aux clés métatroniques, ces reconnexions à ces parties de nous nécessairement désactivées pendant l'expérience de la dualité. 
Lorsque nous passons le seuil de l'apprentissage de l'Humain, les roues se transforment progressivement en losanges qui s'interpénètrent pour ne former qu'un magnifique miroir de notre fleur géométrique. Chacun épouse l'intérieur de l'autre et l'ensemble tourne en dansant sur la note harmonieuse de l'Être. Ainsi, notre corps reflète la multi-dimensionnalité de Qui Nous Sommes.

vendredi 27 mai 2016

« Voici comment guérir vos blessures psychologiques » Sandrine Allenic




Les blessures psychologiques se mettent en place durant notre enfance, entre notre conception et nos dix ans, à travers des expériences anodines ou douloureuses. 
Nous sommes tous blessés à des niveaux différents ; un même événement peut être vécu avec une charge émotionnelle différente selon la nature et le caractère de l’enfant. 
Nos parents ou d’autres figures parentales (grand-parents, oncles ou tantes, frères ou sœurs aînés, maîtres, professeurs, entraîneurs …) nous ont blessés sans le vouloir lorsqu’eux-mêmes ont été blessés enfants, ils répètent une chaîne de souffrance que nous pouvons décider de rompre.

Ces blessures conditionnent notre personnalité à travers ce que certains psychologues appellent le faux-self (construction de la personnalité basée sur des mécanismes de défense qui nous coupent de notre nature profonde). Si vous avez vécu étant enfant des événements émotionnellement marquants, sachez que ces blessures psychologiques conditionnent votre vie dans la mesure où elles orientent vos choix, votre comportement et votre schéma affectif.

Les blessures psychologiques sont logées dans l’inconscient et nous poussent à vivre des situations qui nous mettent en souffrance dans notre vie d’adulte afin que nous nous libérions de cette charge émotionnelle. 

La guérison commence par l’identification de nos blessures en fonction de leur origine chronologique, de la fausse croyance que nous avons développée en faux-self, de l’émotion associée ainsi que de l’aspect positif compensatoire.

jeudi 26 mai 2016

« Les sources de douleur qui sont chacune liées à des états émotionnels spécifiques » Philippe Huraux





Des études révèlent que la douleur du corps est liée à la douleur spirituelle et émotionnelle
Lorsque la vie devient difficile, au bout d’un certain temps on a l’impression d’être sur des montagnes russes émotionnelles. Mais saviez-vous que ces émotions peuvent dégrader votre santé physique? 
Le Dr. Susan Babel, psychologue spécialisée dans la dépression causée par des traumatismes, a déclaré dans le magazine Psychology Today, « Des études ont démontré que la douleur chronique peut être causée par une blessure physique, mais aussi par le stress et les problèmes émotionnels ».

Nous savons tous que le stress émotionnel peut conduire à des maux d’estomac, au syndrome du côlon irritable, à des maux de tête, et même entraîner d’autres plaintes physiques ainsi qu’une douleur chronique. 
Une raison logique à cela: des études ont montré que plus les gens sont anxieux et stressés, plus leurs muscles sont tendus et contractés, entraînant ainsi au fil du temps une fragilisation et une inefficacité des muscles dans leur ensemble.

Plus subtilement, on peut développer des symptômes psychosomatiques ou des symptômes liés au stress à cause de problèmes émotionnels non résolus.
Souvent, la douleur physique avertit une personne qu’il y a encore du travail à faire sur le plan émotionnel, et qu’il peut aussi s’agir d’un signe de traumatisme non résolu dans le système nerveux.