jeudi 21 avril 2016

« Embrasser tout ce que nous sommes et initier la réunification intérieure » & vidéo Magali Magdara





Ce matin je suis tombée du lit à 4h30 et malgré la pluie et le ciel gris, mon soleil intérieur resplendit ! J’ai toujours cru en l’amour et en sa puissance infinie mais les blessures et stratégies qui visent à les éloigner, à les nier, m’ont coupé de mon cœur. Comme je suis une femme et donc connectée à mon intuition, malgré ces murs épais placés autour du cœur, la foi en l’amour n’a pas été affectée.

Depuis quelques temps, après avoir abandonné la notion de jugement bien/mal, l’habitude réflexe à tout ranger dans des cases, à classer et étiqueter les pensées, émotions et les choses extérieures, au profit de ma foi en l’amour inconditionnel, ma vision a changé et s’est élargie.

J’ai intégré l’idée que tout ce que je suis est sacré, divin, parfait, et que ce qui me traverse à juste besoin d’être harmonisé en l’amour lumière, conscientisé, observé avec neutralité et sans jugement, pour délivrer son message et restaurer l’ordre à l’intérieur.

L’ego est un allié, une expression de l’énergie masculine de la source qui a juste besoin d’être aimé, reconnu, amené au cœur, inondé d’amour et de conscience pour se mettre au diapason de l'âme, au service de l’être, de la réalisation et de l’accomplissement.

mercredi 20 avril 2016

« Les relations HommeFemme » Jean Philippe Ruette, Kara Schallock & I





C’est un vaste sujet qui trouve quelques réponses dans les écrits de Jean-Philippe Ruette, entre autres, et comme c’est un point de vue masculin, c’est intéressant à lire quand on est une femme. 
Et d’ailleurs je rejoins sa pensée à bien des niveaux puisqu’il est clair que nous sommes tous constitués tout autant d’énergie masculine que féminine. En tant que femme seule, j'ai développé l'énergie masculine d'une façon extrême et je me rends compte que j'ai souvent eu un comportement dominant. Pour cette raison le premier post m'a particulièrement touchée parce qu'on parle de la façon dont l'homme agit avec violence pour assouvir son plaisir mais on oublie que la femme le presse aussi de combler ses besoins. Le besoin d'être aimé qui lorsqu'on ignore que l'amour est en soi, se transforme en besoin d'être validée, constamment rassurée dans les sentiments que l'autre a pour soi. Elle aura besoin de preuves, sera dans l'attente d'un "je t'aime" et ne sera jamais comblée parce que l'amour est à l'intérieur...
Je ne lisais plus ce qu’il publie mais comme ce thème revient avec intensité par les circonstances de la vie, la guidance de l’élan spontané m’a ramenée vers sa page Facebook. 
C’est un témoignage authentique comme j’aime en lire. Et ce qui résonne aussi, c’est le fait que l’authenticité envers soi-même soit indispensable pour aller vers l’autre dans l’amour et le respect de soi et de l’autre. La tombée des masques, la mise à nue est donc un passage obligatoire et il décrit cela en quelques posts que voici : 

« Doucement avec le cœur de l'homme »
Vous l'avez sûrement remarqué vous aussi, la plupart des humains sont cuirassés, revêtus de leur personnalité (plus ou moins rigide) qui bien sûr les protège, mais aussi les emprisonne. 
Ce qui fait qu'aujourd'hui, il semble assez difficile de vraiment entrer en relation et de communier avec ces parties authentiques que nous cachons en nous. 
Avec pour résultat que la plupart des gens ne peuvent pas vraiment donner ce qu'ils ont à donner et être reçus pleinement par leur partenaire...

« Laisser l’énergie de Vie consumer l’énergie des conditionnements »





Ce que je vis en ce moment et d’ailleurs je ne suis pas la seule puisque tout le monde est affecté par les puissantes vagues d’amour et de lumière qui inondent la planète et restaurent l'ordre, l'équilibre et l'harmonie intérieure. 

Je précise de suite ce que j’entends par ce terme « amour lumière » que j’ai longtemps idéalisé, auréolé de concepts, croyances et illusions liés aux conditionnements ancestraux. Je vois maintenant la Source de vie, masculine et féminine ou l’amour lumière, comme la conscience c'est-à-dire la capacité à voir ce qui est avec les yeux de l’amour, tout simplement sans jugement. 
A voir avec les yeux de l’innocence, non pas de façon naïve mais en ayant conscience des croyances, des conditionnements et des blessures puis à redécouvrir ce qui est, ce que nous sommes, au-delà de ces voiles. 
Ce qui implique aussi de ne plus étiqueter mais de se fier au ressenti, puis en confiant à la puissance d’amour/conscience, de notre cœur sacré, toutes les pensées émotions des croyances et conditionnements, afin que la source de vie puisse nettoyer nos corps subtils, équilibrer les énergies et aligner tout notre être à la volonté de l’amour "divin".

« Expansion de Conscience » Kara Schallock





Lorsque nous pensons être bloqués, c’est simplement une illusion de la 3D et de l’ancien patriarcat. Il n’y a pas de blocage. 
Lorsque nous décidons que notre non-mouvement est dû à un blocage ou lorsque nous percevons que les choses ne sont pas telles que l’ego séparé voudrait qu’elles soient, nous stoppons notre évolution. 

La plupart du temps lorsqu’une personne est dans une période de Calme, c’est qu’elle est en train d’intégrer de Nouvelles énergies. 
L‘ancienne matrice du patriarcat vous a pris dans ses filets lorsque vous l’avez l’impression que vous devez agir à chaque instant et que si vous n’êtes pas productif / si vous ne faites rien / si vous ne bougez pas, c’est que vous devez être bloqué et que vous devez vous forcez à aller de l’avant.

Dans le Nouveau, nous honorons les périodes de calme en acceptant Ce Qui Est plutôt que de décider que quelque chose ne va pas ou que nous n‘en faisons pas assez ou que nous ne sommes pas assez. 
C’est l’ancien conditionnement qui nous dit que si nous n’agissons pas, c’est que quelque chose ne va pas chez nous. 
Lorsque notre Féminin / Masculin Divins sont équilibrés, nous sommes certains que toute action est inspirée et guidée et qu’il y a un Ordre Divin et l’Acceptation de ce qui est.

mardi 19 avril 2016

« Prendre le temps de contempler, de ressentir ce qui se vit en soi »



 


En ce moment je réfléchis beaucoup à propos des relations homme/femme et les synchronicités mais surtout les rencontres m’enseignent et me guident en ce sens. L’âme est toujours aux commandes et le cœur coordonne l’ensemble.

La base des guerres et conflits, les jeux de rôles, de pouvoir, de séduction, la dominance, les manipulations commencent dans l’intimité des foyers.
Et avant tout, ça se passe à l’intérieur puisque nous sommes tous faits de la même manière ; il y a en nous, un homme, une femme et un enfant, des personnages multiples qui expriment nos blessures, et derrière eux, nos besoins essentiels. 

Nous sommes autant énergie féminine qu’énergie masculine et l’union des deux, ce qu’ils créent à chaque instant, pensées, émotions, intentions, gestes...
Nous somme une famille complète intérieurement au niveau spirituel aussi ; le Père, l’esprit saint (la Mère) et le fils (la personnalité humaine), La conscience/esprit, l’âme et le corps ; la triple flamme volonté/amour/sagesse…en ce sens nous sommes donc complets et potentiellement souverain, autonomes.  

C’est plus complexe et grandiose que cela mais le plus important à conscientiser à mon sens, c’est de savoir que nous avons tout en nous pour vivre libre et heureux ; donc pour pouvoir aimer et être aimé, librement et en conscience et ainsi s’épanouir dans l’échange, le partage, expanser le rayonnement d’amour inconditionnel et de conscience éclairée.

lundi 18 avril 2016

« L’Océan d’Amour que Nous Sommes »





Plus que de la gratitude, ce matin, je flotte dans un océan d’amour, de paix, d’extase, tellement cette période de l’humanité est extraordinaire. Tout ce que je pressens depuis l’enfance est en train de se réaliser et ça touche toutes les sphères de l’être !

Ces derniers jours ont été très intenses émotionnellement, je passais du rire aux larmes en quelques secondes et bien évidemment, la foi, la certitude que c’était un ajustement de fréquence, de vibration, tout à fait naturel, m’a aidé à laisser faire cette harmonisation.

Nous n’imaginons pas à quel point nous sommes puissants mais cette puissance n’a rien à voir avec le pouvoir dominateur, c’est la puissance, le pouvoir de l’amour divin, l’amour inconditionnel qui nous anime et que nous sommes éternellement. 
C'est une puissance de tendresse, de douceur, une force sereine mais indestructible.

Cela demande du courage de sonder ses profondeurs mais lorsqu’on le fait déjà on y est préparé puis, si on fait confiance, si on offre à la Source les pensées émotions issues et générées par les programmes ancestraux et instinctifs de prédation, de domination, c’est l’être divin que nous sommes qui s’éveille et se déploie.

dimanche 17 avril 2016

« Assister à la transformation intérieure »





Je suis dans un état qui s’approche de l’extase parfois tellement les choses avancent à grands pas. Difficile de suivre et quelque part c’est très bien parce que ça me place dans un contexte idéal puisque ça demande de l’attention, de la présence, de la spontanéité et de l’authenticité. Les ingrédients qui permettent de suivre l’élan du moment, d’écouter son intuition, en conscience et d’agir selon sa propre guidance et personnalité. 

Le clash avec ma mère m’a rendue ma liberté d’être et de faire. Ça peut sembler bizarre de dire ça surtout à plus de cinquante ans mais c’est un fait, jusqu’à maintenant, je n’arrivais pas à sortir de la relation mère/fille simplement parce que je n’étais pas suffisamment consciente de jouer le jeu de la victime. 

Certainement que d’autres y arrivent mieux quand elles deviennent mère à leur tour mais ça n’est pas non plus un gage de réussite. L’enfance traumatique a amplifié les jeux de rôles à un tel point que je ne pouvais pas suivre le modèle parental. 
Mais quand on est impliqué émotionnellement il est difficile de faire la part des choses. Malgré tout, mon sens de la justice ou peut-être que je devrais plutôt dire mon horreur pour l’injustice m’a poussé à réagir. 
Et comme j’ai pu offrir à la source les pensées émotions réactionnaires, petit à petit, je suis sortie de la vision de la victime qui accuse même si c’était nécessaire de l’exprimer.