Plus
que de la gratitude, ce matin, je flotte dans un océan d’amour, de paix, d’extase,
tellement cette période de l’humanité est extraordinaire. Tout ce que je
pressens depuis l’enfance est en train de se réaliser et ça touche toutes les
sphères de l’être !
Ces
derniers jours ont été très intenses émotionnellement, je passais du rire aux
larmes en quelques secondes et bien évidemment, la foi, la certitude que c’était
un ajustement de fréquence, de vibration, tout à fait naturel, m’a aidé à
laisser faire cette harmonisation.
Nous
n’imaginons pas à quel point nous sommes puissants mais cette puissance n’a
rien à voir avec le pouvoir dominateur, c’est la puissance, le pouvoir de l’amour
divin, l’amour inconditionnel qui nous anime et que nous sommes éternellement.
C'est une puissance de tendresse, de douceur, une force sereine mais indestructible.
Cela
demande du courage de sonder ses profondeurs mais lorsqu’on le fait déjà on y
est préparé puis, si on fait confiance, si on offre à la Source les pensées émotions issues
et générées par les programmes ancestraux et instinctifs de prédation, de
domination, c’est l’être divin que nous sommes qui s’éveille et se déploie.
L’amour
pur est une force, c’est la vibration qui maintient le vivant en place, en
forme, et qui l’anime. Cet amour s’exprime énergétiquement en l’énergie sexuelle
qui matérialise la forme par les deux forces complémentaires que sont le
masculin et le féminin.
Les énergies de la source père mère qui sur le plan
terrestre, celui de la dualité, de la densité, se sont affrontées depuis des
éons.
Il fallait passer par là pour reconnaitre leurs valeurs intrinsèques et
avoir le puissant désir de les pacifier, de les unifier, de les associer.
Cette
vidéo illustre parfaitement ce que nous vivons en ce moment, enfin ce que nous
pouvons réaliser si nous souhaitons du plus profond de notre être, pacifier,
harmoniser et unifier tout ce que nous sommes :
« Artistes
de rue et impro magique ! »
On
pourrait déplorer que les "véritables artistes" ne soient pas reconnus ou qu’ils
exercent leur art dans l’ombre; le métro, la rue, mais je ne vois pas les choses de cette
façon parce que j’ai goûté la joie immense de l’offrande, du don et de la
réception, lorsqu’on partage ce que l’on aime, lorsqu’on vit selon sa vision,
ses valeurs, en étant d’égal à égal face aux humains.
Ce qui motive l’artiste de
rue, ça n’est pas tant la reconnaissance médiatique mais bien plus l’échange de
cœur à cœur, la reconnaissance de ce qu’il émane et le respect que lui montre les gens d'oser vivre de son art, selon sa propre vision du monde, la joie qui est partagée. Et je peux vous dire que
lorsque vous touchez le cœur des gens de cette façon, au détour d’une rue où
tout le monde courre, c’est son âme que vous pénétrez.
Son âme d’enfant qui s’éveille l'espace d'une fraction de seconde
et s’exprime tout autant dans un sourire, des yeux pétillants, que dans les
quelques pièces qu’il vous tend.
L’amour et la passion de vivre, la joie d’être,
sont les plus beaux cadeaux qu’on puisse faire à l’humanité parce que lorsqu’on
vibre sur cette fréquence c’est qu’on est dans la paix du cœur, la communion
avec l’âme, l’unité et l’harmonie intérieures.
Ce
que j’ai longtemps pris pour une malédiction (l’enfance traumatique) justement
parce que je refoulais/redoutais mes émotions, s’avère être le contexte révélateur de l’être,
des conditionnements de l’humain et c’est ce qui a suscité, éveillé en moi, la
certitude que l’amour pouvait tout révolutionner, restaurer l’ordre "divin" et permettre
la réalisation de l’être. Et que si je pouvais le vivre en moi, ce serait mon
offrande au monde.
Bien sûr comme ça demande de parcourir le chemin vers l’enfant
intérieur afin de retrouver la pureté originelle, la raison d’être de l’âme, ça
n’est pas toujours facile puisque le monde va dans l’autre sens. On se retrouve
parfois seul, incompris mais lorsqu’on se confie à son âme, la consolation qui
vient révèle non seulement la présence du divin en soi mais aussi l’assurance
de sa constante présence, de son soutien indéfectible et de sa guidance permanente. Et cette vision, c'est celle de l'enfant intérieur.
Il
est clair que toutes les croyances et conditionnements nous voilent la face
mais nous ne sommes pas seuls pour réaliser ce retour aux sources, nous sommes
accompagnés par notre âme qui nous aide à retrouver la mémoire, à devenir
conscient, à utiliser notre capacité de discerner. Puis nous sommes soutenus par les énergies, les êtres, qui portent les vibrations de paix, d'harmonie et d'unité. La nature en ce sens est aussi un guide.
Nous
avons tout pour y arriver mais c’est dans nos profondeurs qu’il nous faut
plonger afin de libérer tous ces programmes de prédation, de conflit, de séduction/manipulation et de
défense.
Ce
sont des stratégies guerrières qui nous viennent de nos ancêtres qui eux-même
déconnectés de leur cœur, agissaient de façon impulsive, instinctive.
Le côté
animal primaire était activé et régissait l’humain selon la loi du plus fort.
La
sensation d’isolement, de séparation d’avec la source a permis de développer
des stratégies pour pouvoir survivre mais en même temps la dualité/division a été vécue
de façon conflictuelle. Alimentée et présentée comme une vérité immuable, une
condition inhérente à l’humain, cet esprit de lutte et de division a nourrit
les pouvoirs occultes des églises, des gens qui se croyaient plus forts et
surtout plus intelligents que la masse.
Et le monde continue de fonctionne de
cette façon mais comme il va vers son autodestruction, des êtres s’éveillent,
prennent conscience des valeurs du cœur, de l’unité, de la force qui réside
dans la paix, l'union, la fraternité.
Nous
savons tous que l’amour est la plus belle chose, la plus puissante que puisse
sentir un humain mais nous sommes tellement aveuglés par la peur, ignorants de
qui nous sommes en vérité et conditionnés par les comportements inconscients,
impressionnés par l’énergie de vie, l’énergie sexuelle, que nous n’arrivons pas
à vivre de la façon dont notre cœur voit les choses.
Chacun emploie des
stratégies afin de se nourrir d’amour mais comme c’est le mental qui dirige et
tente de contrôler les choses, il n’y a jamais d’épanouissement véritable.
Le
nombre croissant de divorces, l’éclatement des familles peuvent sembler être une
forme de régression sociétale mais en fait, tout comme la
mondialisation, c’est une chance et le signe incontestable du changement qui s’opère
en chacun et au niveau collectif.
Et
même le fait que les humains soient de plus en plus individualistes, du moins
le fait qu’il y ait eu ce passage nécessaire à l'isolement qui permet le retour à soi, a préparé la
guérison et l’émergence de l’être nouveau, pacifié, entier, comblé et complet.
Nous n’en sommes
pas encore là mais on y vient et en cela nous sommes soutenus par l’âme, la
source, par les vibrations de paix, d’unité, qui augment de jour en jour et nourrissent
le collectif, la conscience une ou l’âme de l’humanité.
Les
égrégores de l’ombre et de la lumière participent aussi à cela mais lorsqu’on
cherche la paix et l’unité intérieures, on est soutenu par la source Une, les
énergies « positives » et « négatives » ne sont plus
perçues de cette façon mais plutôt comme de simples énergies qui se complètent
à merveille.
Les égrégores sont nos créations, l’émanation des pensées des
humains en quête de sens et qui projettent leur vision du monde et d’eux même
depuis leur mental divisé et il suffit de voir les films hollywoodiens pour
savoir à quoi ils ressemblent.
C’est la projection de la dualité, des bons et
des méchants jugés ainsi en fonction de critères inconscients, primaires.
L’énergie
de vie, la pulsion sexuelle fait peur aux hommes tout comme aux femmes, et
chacun pour diverses raisons, mais l’un comme l’autre considèrent la sexualité
sous l’angle de la culpabilité, du pouvoir et de la domination.
L’homme veut la
contrôler parce qu’elle le dépasse, il sait qu’il ne la commande pas et ça l’effraie.
La femme quand à elle en joue parce qu’elle a été reléguée aux rôles de mère ou
de prostituée.
L’humain s’inspire de la nature pour comprendre la sexualité
mais s’il apprenait à contacter ses émotions, à les pacifier, à ne plus
diaboliser l’énergie sexuelle, il se rendrait compte qu’elle est le pouvoir
créateur, qu’elle est le désir et la mise en mouvement de ce désir, la
manifestation concrète de celui-ci.
Tout
ce que nous faisons est mu par le désir et les tragédies viennent lorsque ce
désir est contraint, réfréné, interdit ou fantasmé.
Quand on apprend à le
ressentir de l’intérieur, à juste l’observer, on en perçoit l’ampleur, la
beauté, la pureté.
Mon
enfance et ma famille m’ont offerts un contexte qui m’a permis de voir que les
choses étaient complexes mais cependant compréhensibles, que l’homme et la
femme sont constitués autant d’énergie masculine que féminine et que la voie du
milieu était la solution.
Ma
mère a développé son énergie masculine et mon père l’énergie féminine et c’est
ce qui m’a permis de savoir que nous étions complets, puis de voir les dangers
de l’excès et la nécessité d’unir ses forces plutôt que de les opposer.
En
lisant un post sur facebook, j’ai été frappée de voir que les mots « archanges »
et « archontes » ont la même racine, ils sont effectivement issus de
la source père mère, ce sont les énergies complémentaires que le mental humain
voit comme des opposés, des ennemis. Ce sont des représentations mentales, conscientes et inconscientes de la source Une qui est composée de forces complémentaires.
Et c’est exactement la façon dont il se
perçoit à l’intérieur, c’est l’exacte réplique du combat qu’il se livre en
lui-même quand il refoule ses émotions, ses sentiments, ses sensations, quand
il hiérarchise ses corps et tente de gérer sa vie de façon intellectuelle
seulement, par le contrôle et la force.
Les
rapports homme/femme ont été vécus dans l’ignorance et les jeux de pouvoir. L’homme
a agit dans la domination physique et la femme dans la domination psychique,
psychologique.
Chacun d’eux a développé des stratégies selon la nature faussée
de son genre et selon des croyances basées sur la peur, l’ignorance et la
séparation.
L’homme a dirigé le monde en se proclamant patriarche et en excluant
la femme parce qu’elle lui fait peur. Il a peur de ses capacités psychiques, de
sa capacité à voir au-delà de la forme, simplement à ressentir les choses.
Mais ça change, les hommes et les femmes apprennent à se voir autrement, à se respecter mutuellement, à vouloir vivre en paix et à fraterniser, à vouloir être des amis.
Maintenant,
les hommes comme les femmes ne sont plus divisés en deux catégories définies
par leur sexe mais selon leur choix de privilégier une énergie plutôt qu’une
autre ou de rechercher la force dans l’unité.
L’énergie
qui nous permet d’avoir accès au divin en nous, c’est le féminin, la capacité à
accueillir les émotions, puis à ressentir et exprimer les sentiments.
La femme
est plus naturellement connecté à son âme simplement parce que la société lui
autorise à vivre ses émotions et comme elle peut donner la vie, comme son ventre est vivant et comme elle le ressent, elle est plus intuitive.
L’homme a toujours été manipulé par une autorité
simplement parce qu’il se coupe de son cœur, parce qu’il se coupe de ses
sentiments et de ses émotions qui lui font peur. La femme s'est laissée dominer parce qu'elle est trop identifiée à son ressenti, ses émotions et sentiments, elle se lisse immergée et se noie.
C’est
compréhensible que l'homme ait peur de la femme et des sentiments puisque l’émotion par nature est une vague qui submerge l’individu,
et comme il ne peut pas la contrôler, il la redoute, la refoule tout comme l’énergie
sexuelle dont il ne sait que faire.
Il voit en plus à quel point la femme est fragilisée par sa sensibilité et il sait aussi qu'elle le domine dans l'intimité, qu'au niveau sexuel, il est comme un enfant parce qu'il pénètre un monde que la femme connait mieux que lui.
Cette énergie sexuelle participe à l’alchimie interne dans le désir d’unité et de paix.
Il est essentiel de commencer par faire la paix en soi pour percevoir l’énergie
sexuelle dans toute sa beauté. Cette énergie qui stimule le désir qui fait
monter la sève dans les arbres qui a le pouvoir de donner la vie, de
matérialiser, a besoin de la force du masculin et du féminin mais comme les
hommes et les femmes entretiennent des relations basés sur la dominance, les jeux
de pouvoir, ce pouvoir créé des enfants en souffrance et en déséquilibre.
Ces
enfant sensés souder le couple vont être les réceptacles des rêves, des
fantasmes et frustrations de leurs parents qui vont tenter de les formater. Ils
vont éduquer leurs enfants selon leur propre vécu, leurs frustrations, leurs
traumas, leurs incompréhensions et leur révolte. Reproduire inlassablement le
cycle de la vengeance par personnes interposées.
Au lieu de regarder en
eux-même, leurs propres blessures, leur enfant intérieur, ils vont tenter de
réparer les choses à travers leurs enfants.
C’est instinctif et c’est ce qui
fait que les humains sont malheureux, incomplets et ne se réalisent pas.
Lorsqu’on
se tourne vers l’enfant en soi, lorsqu’on le laisse extérioriser les pensées
émotions formant les croyances elles-mêmes générées par l’incompréhension, lorsqu’on
offre à la source père mère, tout ce matériel énergétique, la guérison
survient.
Les conditionnements sont perçus, offerts au divin, au feu de l’amour
intérieur, de l'esprit, à l’intelligence du cœur, au féminin et au masculin sacrés, simplement par le fait de ne pas y
résister, de ne pas lutter, d’en être conscient et de ne pas s’y identifier,
ils sont peu à peu désactivés.
Et c’est ainsi que l’ordre et restauré à l’intérieur ;
le masculin et le féminin sont pacifiés, libérés de l’excès, des croyances, la
source père mère les sacralise, leur redonne leur pureté originelle.
L’enfant
qui peu à peu se libère du poids de la souffrance, des blessures, exprime l’énergie,
la vibration de l’âme, la pureté, l’innocence, la simplicité, l’authenticité et
la spontanéité. Cette spontanéité qui permet de libérer les pensées émotions
bloquées, refoulées et qui révèle sous ses couches innombrables, la source de
vie, l’énergie de Vie qui peut alors s’exprimer dans sa forme originelle et
pure ; la joie d’être, tout simplement.
Lorsqu’on
est enfant, on vit pleinement le moment présent et quand on guérit l’enfant en
soi, on retrouve cet état d’innocence dans le sens où étant dépouillé des
croyances, on voit les choses telles qu’elles sont en vérité, avec les yeux du cœur,
sans y coller une étiquette bien ou mal, mais en jouissant pleinement de ce qui se
manifeste dans l’instant.
Ce
qui nous fait souffrir, ce sont les croyances et les conditionnements, les
idées qu’on se fait à propos de soi-même et du monde. Lorsqu’on se dépouille de
tout cela, lorsqu’on regarde en son cœur, lorsqu’on se laisse porter par l’amour,
la vie devient exquise.
L’enfant et l’adulte s’associent, le masculin et le
féminin aussi, tout en soi se réunit pour donner le meilleur.
Et ça n’est pas
calculé, ça s’exprime naturellement parce que nous sommes l’amour et la
conscience Une.
On retrouve les dons et les talents de tout humain, ceux qui
nous reviennent lorsqu’on aime tout ce que nous sommes, lorsqu’on fait confiance
à son intuition, lorsqu’on se positionne en son cœur, délibérément, lorsqu’on
choisit l’amour plutôt que la guerre ou
la peur.
Ces émotions sont de l’énergie qui nous apparaissent comme négatives
simplement parce qu’on les appréhende de façon intellectuelle, selon nos
croyances mais si on les laisse nous traverser on va pouvoir sentir comment
elles s’harmonisent et ce qu’elles ont à nous offrir.
Je
suis émerveillée par les rencontres que je fais en ce moment, par la qualité des relations et parce que ce sont des
personnes vraies, sincères et dont le cœur déborde. Et aussi par le fait qu’elles
me reflètent enfin l’enfant intérieur guérit.
Je remercie la vie et mon
âme chaque jour, à chaque instant même, de pouvoir vivre cette renaissance, ces
guérisons multiples et de vivre dans la paix, l’amour, la liberté.
Il
est clair que l’âme est aux manettes, que ce qui se passe est au-delà de ma
compréhension mais je ressens à quel point tout est parfait et que ça ne fait
que commencer.
Nous
sommes en train de vivre une guérison et un dépouillement extrêmement puissant
et magnifique. Des siècles de domination, de contrôle, de manipulations sont
dissous dans l’amour et la lumière ou la conscience aimante, et chacun peut le vivre, le sentir en
lui-même.
C’est une révolution sans précédents enfin selon les connaissances
limitées de l’histoire de l’humanité. Un temps de révélations, de miracles, de
guérison, dont chacun peut faire l’expérience en s’abandonnant en confiance à l’amour
lumière intérieurs, en recontactant l’enfant en soi.
Il est l’expression de l’âme,
du vivant, le fruit délicieux de la source père mère que nous pouvons embrasser
de tout notre être, de tout notre amour et ainsi renaitre en conscience,
entier, unifiés, divinement guidés.
Là est notre pouvoir, notre joie et notre
potentiel.
Je
nous encourage à persévérer en ce sens, à reconnaitre cet enfant que nous
étions et que nous sommes, à l’entourer de toute notre affection afin qu’il puisse s’épanouir en
toute sécurité afin qu’il puisse exprimer les rêves et aspirations de l’âme
pour notre bien-être présent et notre réalisation.
Il est ce que nous avons de
plus précieux et ça va bien au-delà de notre entendement parce qu’il est la
reliance entre le masculin et le féminin intérieur, la raison d’être, l’inspiration
et la manifestation dans la matière de ce que nous sommes en vérité.
Bien
sûr il ne s’agit plus de projeter à l’extérieur nos blessures et nos fantasmes
mais de vivre à l’intérieur, dans l’intimité, l’union de cette famille, la
réunification des forces, des personnages, des corps subtils guidés et soutenus
par l’amour de la source.
Je n’ai pas les mots pour décrire ce que je vis à l’intérieur
et d’une certaine façon c’est très bien comme ça puisque c’est un processus,
une renaissance intime et interne qui est à vivre.
Nous sommes ici pour cela,
pour aimer en conscience et inconditionnellement tout ce que nous sommes et c’est
en le faisant qu’on découvre avec émerveillement ce que nous sommes
véritablement. Nous sommes l'amour conscient, Vivant, infini et éternel
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr