mardi 29 mars 2016

« Renaitre entièrement unifié, comblé, conscient et bienveillant »





28 mars 
Bien que je sois encore affaiblie par le rhum, ma vision s’éclaircit et j’en arrive à me dire que la quête spirituelle qui attire de plus en plus de monde est une forme de fuite, de déni, qui peut éloigner de l'être Véritable, divin en soi ou potentiellement souverain. 

Les fêtes pascales ont mis en évidence le besoin général et ancestral de trouver un sauveur et bien que les églises aient moins d’influence qu’avant, ce besoin se reporte maintenant sur les êtres de lumière, les extra-terrestres, on continue d’espérer qu’une intelligence supérieure viendra nous sauver du chaos.

On a élaboré toutes sortes de stratégies pour éviter le mal-être intérieur, répondre aux angoisses existentielles, masquer les blessures d’enfance, au point qu’on ne sait plus qui on est vraiment et quel est le sens de notre vie. 
On se sent perdu, divisé, simplement parce qu’on ne se connait pas intimement. 

Ce qui était sensé nous protéger nous a finalement éloigné de l’être véritable, de l’être authentique, spontané et les relations humaines fondées sur le mensonge, la manipulation ont toujours été vécues dans la méfiance instinctive et réciproque.

lundi 28 mars 2016

« Accueillir sa vulnérabilité » & vidéos: Sylvain Didelot et Diane Baran





27 mars Ces deux jours consécutifs de fièvre, de toux, de douleurs physiques parfois intenses, me donnent la sensation d’être dans un monde parallèle, celui de l’adolescence, des rêves désillusionnés, cette période où on prend conscience de l’état du monde, de sa folie, des injustices, celle où on se sent perdu entre le monde de l’enfance et celui des adultes. 
La période pascale où on sacrifie un agneau est très symbolique et elle maintient en place l’idée qu’il faille trahir l’innocence, sacrifier l’enfant en soi pour devenir adulte. 
Même si l’idée du sauveur est évoquée dans ce rituel, les églises ont personnifiés ce "sauveur" à l'extérieur de soi et la notion de sacrifice a perverti le monde, créé toutes sortes d’injustices, de devoirs, d'obligations qui ne peuvent être perçus de façon juste sans la notion de responsabilité. 

Tant qu'on s'imagine qu'on a besoin de trouver en l'autre un sauveur, on ne se prendra pas en charge et on ne pourra donc pas se connaitre, reconnaitre son potentiel, savoir que nous sommes notre propre sauveur dans le sens où nous pouvons agir sur nos mondes intérieurs, cocréer notre état d'être. 

Plus le monde évolue dans le chaos et moins je trouve de sens à tout ça. J’ai l’impression d’être en pleine crise d’adolescence à écouter de la musique à fond pour ne pas penser à cette folie meurtrière. Même si ça peut sembler être une fuite, j'ai besoin de ne plus penser et de me laisser porter par l'élan qui nourrit la joie. Puis j’appelle la source père mère à consoler l’ado intérieure, à donner du sens à tout ce cirque. Il est clair que nous sommes face aux pires manifestations de l’humain et sans la foi en l’amour, il y aurait de quoi vouloir passer le portail de l’autre monde.

dimanche 27 mars 2016

« La carapace qui nous rend lents comme une tortue » les guides de l’unité via Daniel Desjardins





Très chers humains,
Aujourd'hui nous voulons vous parler de votre carapace. Cette carapace que vous portez trop souvent, car vos avez peur, vous croyez que vous devez vous défendre des autres, de la vie elle-même. Nous voulons aujourd’hui vous ouvrir les yeux et le cœur pour percevoir la réalité qui est toute autre. Vous n'avez besoin de ces carapaces que parce que vous croyez en avoir besoin. 
Nous voulons vous rappeler que vous créez votre réalité, TOUTE votre réalité. 
Tous les aspects de votre vie et votre réalité sont créés en co-création avec le reste de l’humanité et de la Vie, mais toujours selon vos croyances profondes. 

Si vous n’aviez réellement plus de croyances qui vous gardent dans une position de victime, mais qu'au contraire vous étiez conscient de votre divinité, alors vous sauriez que tout ce qui vous arrive, vous pouvez le changer. 
Tout ce qui se retrouve dans votre vie est tout d'abord en vous. 
Et lorsque vous le choisirez, les choses que vous n'aimez pas réellement, vous les changerez en changeant leur réflexion, ou plutôt leur source, en vous.

samedi 26 mars 2016

« Le corps physique, outil de connexion, de libération, de guérison, par l’acceptation de ce qui est » & vidéo Grégory Mutombo





Il y a bien longtemps que je n’avais pas été aussi chamboulée physiquement. La fièvre, les éternuements, la sensation de flotter, une nuit réveillée toutes les deux heures et malgré tout, je le vis comme une délivrance. J’ai l’intime conviction que tout ceci est la conséquence d’un changement de vibration, un nettoyage très profond, un ajustement à des fréquences élevées. 
Ça reste de l’ordre de l’impression mais comme je ne suis ni angoissée, ni triste, comme je ne me sens pas malade, comme je ne vois pas cela comme un genre d’échec puisque nos vibrations créent, ça m’apparait comme une chose bénéfique. 
Déjà rien que le fait de ne pas reculer devant des états d’être qu’avant je qualifiais de désagréables ou négatifs, c’est une immense progression qui témoigne que je sors des conditionnements humains. 
L’humain qui associe la santé à la performance, la valeur, qui ne supporte pas de se sentir inférieur, de ne pas contrôler sa vie, ses émotions, ses pensées, surtout s’il se dit spirituel. Tout ça est en train de se dissoudre et c’est très bien. 

Nous sommes l’amour et la lumière, la perfection divine, la création de la source, de l’intelligence vivante, la vie éternelle et ça n’est pas une quête à chercher dans le ciel, encore moins dans les églises mais en nous même. 
Une sensation/évidence à retrouver à l’intérieur, au-delà justement de tous les conditionnements, par la reconnaissance des blessures qui voilent cet amour lumière intérieur, qui nous font croire que nous sommes une victime impuissante.

« Le tourisme spirituel » Simon Leclerc





Bonjour à tous,
Je suis actuellement en transition entre deux projets de coopération internationale et pendant cette « pause », j’ai eu envie de vous partager un magnifique enseignement reçu de la vie au cours des derniers mois. 
Je reviens donc vers vous avec ce partage intime, dans l’intention de stimuler votre propre chemin vers votre maîtrise.
Mon aventure en Asie m’a apporté beaucoup du côté humain et spirituel, mais le plus grand enseignement reçu demeure au niveau de la compréhension du rôle que j’ai à jouer en tant que cocréateur de ma propre vie. Je connaissais ce rôle d’un point de vue intellectuel, mais jamais je ne l’avais expérimenté aussi concrètement et avec autant de puissance.
Quand je suis arrivé au Vietnam, on m’a d’abord installé dans un hôtel, tout en m’indiquant que j’avais deux semaines pour me trouver un lieu de vie. Je vivais dans une grande ville de 9 millions d’habitants (Ho Chi Minh City) et si je voulais conserver mon équilibre dans ce tumulte important, je savais qu’il me fallait trouver un lieu « juste » pour moi. Le chao urbain est très présent dans les grandes villes d’Asie et il faut être attentif si l’on ne veut pas être envahi par toute cette agitation autour de nous. Uniquement traverser une rue à Ho Chi Minh City est une aventure en soi, alors imaginez ce que c’est que d’y vivre pendant 7 mois.

vendredi 25 mars 2016

« Aujourd’hui, je choisis…de m’aimer » Mirena & vidéos « comment faire concrètement ?* ».





Comment puis-je être aimé et aimer à mon tour, si je ne m’aime pas ?
Je prends conscience de cela et je m’ouvre à l’amour de mon être, à l’amour de mon corps, à l’amour de qui je suis.
Aujourd’hui je m’aime et je m’entoure de mon amour. 
Je porte un regard apaisant sur ma personne. 
Je le reçois avec plaisir, avec gratitude. Je le ressens et il me fait du bien. 
L’amour est un baume qui guérit mes blessures. 
Il comble en moi le vide intérieur, il guérit ma tristesse. 
Je reçois enfin l’amour qui me manque et je suis en joie. 
Je suis enfin en paix avec moi-même ainsi qu’avec les autres.

Aujourd’hui j’accepte de m’aimer. 
J’enveloppe mon être de la vibration de l’amour et de sa douceur. 
J’accepte de le recevoir et je m’accorde ses bienfaits apaisants et nourrissants.

jeudi 24 mars 2016

« En quelques respirations profondes l’ordre divin est rétablit »






On peut dire que ça décape en ce moment. L’effet de la lumière montre tout ce que nous portons intérieurement, par transparence et par effet miroir, par les évènements qui catalysent la somme des pensées émotions énergies liées à l’instinct de survie. 

Notre mental, notre inconscient et notre âme travaillent de concert afin que nous puissions détecter les mécanismes réflexes intérieurs pour pouvoir y porter un regard neutre et rempli de compassion vis à vis de ces aspects instinctifs, réflexes. Et ça se réalise de jour comme de nuit dans les rêves.

La puissance de l’amour est immense et on en a tous fait l’expérience, on voit à quel point la vie peut nous paraitre belle, remplie de promesse quand on est amoureux. 
La constitution de l’humain est formidable et notre potentiel est immense mais pour qu’on puisse l’utiliser pour notre accomplissement, il faut le connaitre. 

Les rêves sont des créations de l’association, des corps subtils, inconscient, subconscient qui permettent de vider le corps émotionnel lorsqu’avec le mental ils reçoivent des infos choquantes ou traumatisantes. Ils gèrent la charge émotionnelle de nos peurs, de nos fantasmes, en projetant sur l’écran du mental, des scènes qui en permettent l’évacuation au niveau énergétique afin d’éviter une explosion due à la surcharge. 

Le mental est un récepteur et un projecteur d’information capable d’analyser, de projeter, de visualiser, d’anticiper, à partir des sensations, des émotions qu’il va décoder selon  les croyances, les préférences et les conditionnements de l’individu.