C’est
le printemps et comme la nature, je suis en pleine ébullition !
Les
inspirations de l’âme à me tourner vers des messages qui parlent de la réunification
des différents aspects de l’être ont entrainé des situations où je suis face à
mes mondes intérieurs et le fait de savoir enfin être l’observatrice neutre et
bienveillante de ce qui se vit en moi, m’ouvre sur ces mondes subtils internes
d’une façon très excitante parce que lorsque le mental l’émotionnel sont
épurés, la créativité se déploie.
Heureusement la pratique du retour au cœur, à
la paix, me permet de calmer les ardeurs, de trouver l’équilibre et donc de
pouvoir contempler ce qui se manifeste à l’intérieur avec recul et détachement.
Tout
commence toujours par une intention qu’on pose ; un désir émerge, en l’occurrence
celui de vivre dans l’harmonie et l’unité intérieure et cela entraine des
réactions en chaine. On est guidé vers des êtres qui vont éveiller les
blessures d’enfance, celles de l’adolescence, celle d’expérience amoureuse, qui
pour la plupart ont été vécu dans la dualité, l’illusion de la séparation, le
manque et le besoin.
Les
synchronicités sont devenues naturelles, évidentes et c’est grâce au fait de
revenir au cœur, à la paix, à l’écoute bienveillante de l’enfant intérieur, que
les perceptions s’affinent parce qu’on n’est plus emporté par les mécanismes
internes qui s’enclenchent automatiquement et on peut sentir la présence de l’âme,
la vibration de la source qu’on reconnait avec plus de clarté.