La
journée d’hier a commencé dans la grisaille, le réveil a été difficile, j’avais
du mal à m’ancrer, à me connecter mais peu à peu, en offrant à la source tout
ce qui me dérangeait, ou tout ce qui n’est pas la joie, l’enthousiasme à agir
est venu.
Je me suis un peu bousculée pour aller au jardin au lieu de rester
scotchée sur l’écran parce que je peux y passer des heures puis m’en
vouloir à la fin de la journée de n’avoir pas fait grand-chose, d’être restée
enfermée dans le mental au lieu d’agir.
Je suis donc allée au jardin pour
essayer de faire quelque chose malgré la terre encore imbibée des six jours de
pluie consécutifs. D’ailleurs c’est souvent lorsque je me retrouve enfermée à
cause du temps, lorsque je constate les effets des situations extrêmes que je
prends conscience du manque d’équilibre dans ma vie.
Il faut que j’arrive à
saturation pour voir les inconvénients d’une situation et les avantages du
centrage, de l’équilibre, pour changer ma façon d’organiser mon temps.
Je m’ouvre
vers l’extérieur et comme je suis convaincue de l’effet miroir, de la résonance
et de ma capacité de choisir, de rectifier, enfin de me centrer, de confier à
la source le soin d’équilibrer les énergies intérieures et de m’inspirer, j’ai
passé quelques jours dans l’observation de mes stratégies internes.
J’ai la sensation d’être dans une phase de
rééquilibrage du féminin et du masculin intérieurs et je constate avec un peu
de recul, que les choses se déroulent toujours plus ou moins de la même façon.
La
source nous invite à réfléchir sur ce que nous sommes, à voir comment nous
fonctionnons, à voir nos déséquilibres internes, nos blessures afin de pouvoir
les guérir, à faire la lumière sur ce qui en nous n’est pas aligné à notre
nature essentielle.
Quand on ne connait pas le processus de la lumière, quand
on ignore qu’elle nous révèle nos profondeurs afin de les voir en conscience et
avec compassion ou de les inonder de son amour lumière, on reste empêtré dans
nos vieux modes de fonctionnement, nos stratégies de défense sensées nous
protéger des autres.
En fait, elles nous coupent de nous-même, de notre cœur/conscience,
de son énergie et ne font que nourrir la douleur, les blessures, le sentiment d’impuissance,
de subir sa vie et d’être une victime.
Ce postulat créé des frustrations, des
distorsions, des attentes, des schémas relationnels douloureux qui seront
poussés au maximum afin d’être reconnus et abandonnés.
Mais ça n’est pas notre
intellect qui peut réaliser ce changement puisqu’il fonctionne en mode
automatique, en binôme avec l’inconscient qu’il a chargé de gérer tout ce qui
pouvait nous faire souffrir, toucher notre intégrité, selon les croyances
auxquelles il a adhéré.
Et
pour que la blessure de rejet se créé, par exemple, il ne faut pas
nécessairement que l’enfant vive un trauma. Selon la sensibilité de chacun, et
le besoin d’amour plus ou moins comblé par les parents, selon la vie intra-utérine,
les vibrations de la mère et de l’entourage, selon leurs croyances et stratégies,
l’enfant va plus ou moins bien vivre un refus.
Un simple « non »
prononcé dans une situation qui sera perçue comme injuste par l’enfant, qu’elle
le soit ou non, va créer une douleur que la conscience va gérer selon ses
capacités ; en mode automatique.
Le mental va associer le « non »
à un danger, une douleur et il va déployer une stratégie de défense en
conséquence. Ça va s’inscrire dans l’inconscient et à chaque « non »,
la même stratégie sera employée.
La blessure de rejet et celle d’injustice et
peut-être même celle de honte et de trahison vont alors s’inscrire au niveau
de, la psyché.
On peut même supposer que ces programmes de défenses soient
inscrits dans les gènes en héritage de traumas vécus par les ancêtres de l’enfant.
Si on regarde comment était la vie en France il y a 150 ans, on peut comprendre
l’exode rural (l'homme qui se coupe de ses racines, de la terre mère), la fait qu’on est associé l’industrialisation au progrès, qu’on ait rejeté les travaux de la terre, et surtout les nombreux traumas vécus par
les ancêtres à cause des guerres.
Il y en avait tous les trente ans et en cela,
l’idée qu’on porte les blessures de génération en génération et qu’on
reproduise les mêmes schémas, apparait comme une évidence.
La réponse a toujours
été la vengeance dans les stratégies guerrières et c’est aussi ce qui est vécu
au niveau individuel parce que l’humain manque de conscience, de clarté, de
connaissance.
Et je ne parle pas de grandes connaissances livresques,
scientifiques mais simplement de la connaissance de ce qu’il est en vérité, de
la capacité à se relier à ses mondes intérieurs, à ses émotions, ses
sentiments.
L’effet miroir et la résonance enfermaient l’humain dans les mêmes
douleurs qui entrainaient les mêmes réponses réactionnelles qui elles mêmes
nourrissaient les croyances limitantes parce qu'on pensait que notre mal-être venait de l'extérieur, des autres.
Pas étonnant que chacun se croit
impuissant, qu’on se perçoive comme une victime et qu’on pense que l’autre, l’étranger,
l’inconnu soient des ennemis potentiels.
Pas étonnant qu’il y ait une masse et
quelques élites qui les dominent, pas étonnant non plus que les relations
soient basés sur des rapports de force, de compétition, de dominant, dominé.
Mais ce qui est magnifique, c’est qu’aujourd’hui nous pouvons sortir de ces
cycles douloureux et récurrents parce que d’un autre côté, ils ont amené l’humain
à vouloir la paix, l’harmonie, l’égalité.
Nous pouvons maintenant prendre la responsabilité de nos mondes intérieurs, contacter nos
émotions sans être submergés puisque nous savons qui nous sommes
originellement. Nous pouvons guérir notre enfant intérieur par la conscience
divine, l’amour de la source, la foi en la bienveillance de la vie, l'abandon du jugement arbitraire.
La
connexion simultanée à la terre pour y capter l’énergie de vie, de l’action, du
désir d’agir, puis en la faisant remonter afin qu’elle aille rencontrer celle
du ciel et qu’ensembles elles puissent s’harmoniser à la vibration du cœur, pose
l’intention d’être dans l’équilibre, la paix et l’harmonie.
Puis cette
intention émise va révéler tout ce qui est distorsionné en soi, ce qui manque
de clarté, ce qui n’est pas conscient, ce qui est de l’ordre du réflexe
conditionnée, ce qui a besoin d’être vu avec le recul qu’offre la foi en l’amour
de la source.
En ce sens le positionnement dans le cœur, le fait de ne pas
rejeter, les émotions, les pensées qui leur sont associées, va permettre de
détecter les stratégies de défense de l’enfant en soi.
L’ego qui agit en mode
réflexe va tenter de refouler les émotions, puis il va accuser l’autre de créer
le trouble, de vouloir nuire à l’enfant qu’il défend.
Je schématise et personnalise
quelque chose qui se passe de façon inconsciente, automatique et qui peut être
détecté quand on accueille l’émotion qui surgit dans l’instant plutôt que de
réagir aux stimulii extérieur par le jugement, l’accusation qui sont des façons
de fuir sa propre douleur.
Le jugement de soi ou de l’autre est une projection
de ce qui se vit en soi.
Le fait de rejeter l’émotion et une façon de juger le
corps émotionnel, de juger ce qu’on croit être une faiblesse, une émotion qui
ne devrait pas exister puisqu’elle risque de nous faire vivre du rejet de la part
des autres.
Ainsi, on contient des colères, on ne s’autorise pas à vivre cela
parce qu’on a peur d’être jugé.
Et chose extraordinaire, mais somme toute
logique, c’est que lorsqu’on cesse de Se juger, lorsqu’on ne rejette pas l’émotion,
lorsqu’on la laisse s’exprimer librement en ayant du recul, en sachant que c’est
une énergie qui passe, qui délivre un message, bref qu’elle n’est pas mauvaise ou
qu’elle ne fait pas de nous une mauvaise personne, les autres ne nous jugent
plus, ne nous rejettent plus non plus !
J’ai
donc continué d’offrir à l’amour lumière tout ce qui me troublait et j’ai suivi
l’élan d’aller au jardin afin d’être dans l’action, de changer ma routine et d’être
relié aux énergies de la Terre Mère.
Ce contact nous place sur les fréquences
de l’harmonie que la nature exprime tout le temps et facilite l’écoute, l’expression
de ce qui en nous a besoin de sortir, d’être lâché énergétiquement,
émotionnellement et mentalement.
J’ai donc exprimé tout ce qui me venait dans l’instant
sans juger, sans envoyer les humeurs en direction des autres, juste dans le
vide histoire d’être dans la transparence, la spontanéité, l’authenticité.
C’est
comme une gymnastique qui vient habituer à ne pas refouler, contenir ce qui
monte. Rien que cela, suffit à changer le mode réflexe.
Et quand on prend le
temps de revenir au cœur, au calme, on va comprendre nos stratégies, on va voir
comment on se comporte selon ce que l’on vit, selon les rencontres, les
échanges.
Ce recul casse en soi le réflexe et apporte plus de lucidité d’amour
vrai de soi parce que lorsqu’on ne juge pas, l’amour en nous fait son œuvre.
J’ai
parlé à l’enfant intérieur enfin je lui ai juste dit que j’étais là, que je l’aimais
l’écoutais, qu’il n’avait rien à craindre, quand je sentais le trouble monté.
Puis comme l’activité me dynamise, j’étais moins dans le mental et je me suis
laissée portée par l’élan de l’instant ce qui ne créé aucune frustration et
permet d’être spontané, donc dans la joie.
Il
n’est pas facile de se dissocier de ce qu’on ressent, de pouvoir avoir du recul
sur les pensées négatives qu’on a toujours nourri et auxquelles on a cru
pendant toute sa vie.
On a vite fait de s’identifier au rôle de la victime
impuissante parce qu’on a une idée du pouvoir encore très distorsionnée.
On
sait que la pensée est puissante mais on sait aussi que nous ne sommes très peu
conscients, présent. Nous agissons la plupart du temps en mode automatique et
quand on apprend à s’observer, on va constater que ce regard est très souvent
critique, dur et contrôlant.
Être capable de ne pas rejeter les pensées émotions
dites négatives, de les laisser s’exprimer puis de les offrir à la source,
c'est-à-dire de ne pas les croire, c’est déjà beaucoup.
Accepter
d’en être là, accepter le décalage entre les connaissances et leur application,
les projections et la réalité qui n’est pas conforme à nos souhaits, c’est déjà
se détendre mentalement et physiquement, c’est s’offrir la douceur et la
tendresse tout en reconnaissant le paradoxe entre le divin en soi illimité et
l’humain qui vit justement dans un corps
fini, soumis aux lois de la gravité, de l’attraction, de la densité.
C’est
la difficulté quand on perçoit que nous ne sommes pas seulement un corps
physique et que nous sommes aussi dotés d’une conscience capable de se projeter.
Quand on sait la complexité de la psyché et qu’on distingue toutes ses
subdivisions, on va se perdre dans des raisonnements alors que dans un esprit
d’unité, par la volonté d’unifier tout ce que nous sommes, les choses vont s’harmoniser
dans l’amour, par le seul fait de ne plus nourrir le conflit intérieur.
Le
rejet et le jugement des nos émotions sont une forme de violence et en plus elle
nous empêche de ressentir effectivement la vibration de la source.
On s’y
oppose soi-même, on ne s’autorise pas à sentir, à vivre cet amour simplement en
refoulant des aspects de soi. Et ce qui est le plus douloureux, c’est quand on s’est renié au point de ne plus être en
contact avec l’enfant en soi, avec l’innocence la pureté et la joie véritables.
En
général à ce stade, on peut être cynique, pessimiste, on est totalement identifié
aux jeux de rôles et surtout très malheureux. Et pour cause, on refait vivre à
l’enfant en soi le même schéma douloureux de rejet, d’abandon, de trahison, d’injustice,
de honte.
Chaque fois qu’on nie ou qu’on rejette violemment une émotion, on
rejette cette part spontanée en nous, cet aspect qui est la vie même, la joie
pure, le désir de vivre, de communier.
J’ai
pioché ces clefs de sagesse hier, en revenant du jardin mais je n’ai pas eu
envie d’écrire ou de lire quoi que ce soit de spirituel.
Un des nombreux
avantages de porter un regard bienveillant sur soi, sur l’enfant en soi, c’est
qu’on n’a plus besoin de se tourner vers les autres, on fait l’expérience de l’amour
lumière en soi et dans la spontanéité retrouvée, la connexion à tout ce que
nous sommes, divin et humain, on apprend à se faire confiance, à reconnaitre la
guidance interne et à s’y fier.
De
plus quand on constate que l’autre nous renseigne sur nous-même, par effet
miroir, par résonance, simplement en revenant en soi lorsqu’on sent un malaise, un blocage, on est plus authentique
parce qu’on n’est pas dans les jeux de rôle.
L’autre nous renvoie à nous-même,
il nous permet de voir comment nous fonctionnons dans la relation et comme nous
nous centrons en notre cœur afin d’être dans l’équilibre, nous ne projetons
plus nos peurs, nos attentes et nous osons dire ce que nous pensons,
ressentons, sans être obligé de se justifier, d'accuser, de vouloir convaincre, sans se cacher et sans trop en
dire non plus.
Je communique avec plusieurs personnes en ce moment et ça me
fait beaucoup travailler intérieurement. Déjà le fait de prendre conscience des
schémas, stratégies internes permet de s’en détacher et comme on ne se juge
pas, l’amour de soi grandit et le comportement, les pensées changent.
On n’est
pas obligé de trouver de nouvelles stratégies parce que si on se fie à l’intelligence
du cœur, et comme on se fait confiance, comme on s’autorise à ne pas être
parfait, on est soi-même, dans la vérité de l’instant et dans l’équilibre qui
nait de la paix du cœur.
Mon point de vue au sujet de l’amour s’affine parce
que si on enlève les stratégies, si on purifie l’émotionnel, on entre alors
dans une forme d’amour universel, fraternel ou l’autre est libre d’être
lui-même.
Clef
376
« Il
y a une différence entre courir après l’Amour et vivre simplement l’Amour,
donner ce que l’on peut se donner et ce que l’on peut donner aux autres.
Un tout petit peu d’Amour sincère vaut beaucoup plus que l’illusion de l’Amour que vous pouvez donner à vous-mêmes et aux autres. Beaucoup d’entre vous parlent d’Amour avec de grands mots, de grandes effusions, de grands gestes et parfois sont dans l’illusion de l’Amour !
Un tout petit peu d’Amour sincère vaut beaucoup plus que l’illusion de l’Amour que vous pouvez donner à vous-mêmes et aux autres. Beaucoup d’entre vous parlent d’Amour avec de grands mots, de grandes effusions, de grands gestes et parfois sont dans l’illusion de l’Amour !
Aimez
d’abord petit peu par petit peu et vous verrez que ce petit peu fera boule de
neige ; sans vous en rendre compte, vous rayonnerez dans votre corps physique,
dans vos attitudes, vos paroles, vos yeux, votre sourire, vous rayonnerez cet
Amour, vous inonderez votre entourage, cet Amour grandira sans que vous ne vous
en rendiez compte. »
Accepter
de se voir en face sans se juger, se rejeter, se critiquer change réellement l’énergie
et l’apparence. Plus j’accepte ce que je suis, reconnait les croyances que j’aie
nourries et les offre à la source et plus mon regard est brillant, clair,
joyeux. Ça change complètement la forme, les traits ! Et je commence à
pouvoir me voir en photo sans me trouver laide ! J’avais fait quelques
clichés il y a un mois et je suis retombée dessus hier. J’ai été même surprise
de me trouver jolie sur certaines photos.
Clef
706
« Ce
qui vous freine parfois pour exprimer l’Amour, c’est soit votre timidité, soit
votre manque de confiance, soit votre difficulté à l’exprimer. Alors chaque
fois que vous pouvez le faire, manifestez l’Amour, cette vibration tellement
importante. Que cette vibration passe dans votre regard, dans vos gestes, dans
vos paroles si vous le pouvez, dans ce qui émane de vous. L’Amour se cultive,
l’Amour grandit.
Plus vous l’appellerez à vous, plus il se manifestera et plus
votre Je Suis prendra possession de tout votre être, de toute votre vie, et se
manifestera en permanence. »
C’est
vrai qu’hier, j’expliquais comment je voyais le fonctionnement des rayons et il
est clair pour moi que lorsqu’on appelle l’amour, on ne va pas le sentir très
fortement en soi immédiatement sauf parfois quand on est très tendu ou au fond
du gouffre mais en général, ça va induire des situations ou nous aurons l’occasion
de choisir de réagir ou d’être dans l’accueil.
Mais je parle surtout de ce qui
se passe en nous.
Si on ne sait pas que nous sommes cet amour lumière, on va
continuer de croire que les autres ont du pouvoir sur nous, qu’ils nous
blessent alors qu’ils ne font qu’éveiller ce qu’on porte.
Et le pouvoir, une
fois de plus, ça n’est pas la domination mais au contraire l’acceptation de
ce qu’on ressent dans l’instant. Les choses ne vont pas empirer ou rester en l’état
parce que l’ouverture de cœur et l’accueil, créent une détente intérieure qui
va favoriser une vision nouvelle des choses.
Clef
147
« Si
vous désirez vivre la transition de façon plus aisée, la seule clé est de vous
persuader totalement que vous êtes un Être Divin, que vous avez tous les
pouvoirs, que vous êtes une énergie divine merveilleuse incarnée dans la
matière. La matière qui vous habille n’est en fait qu’un habit merveilleux mais
seulement un habit ; le plus important est invisible à vos yeux !
Essayez
de percevoir ce que vous êtes avec les yeux de votre âme. Tout sera beaucoup
plus facile pour vous et pour votre transition si vous arrivez à vous
connecter totalement à votre vraie réalité. »
Là aussi, ça demande de se centrer, d’être à l’écoute
de son coeur et de vouloir faire la paix avec tout ce qu’on est parce
que si on aborde cela uniquement au niveau de l’intellect, on va projeter un
modèle divin selon nos croyances et sans l’authenticité, sans la sincérité du cœur,
on ne fait que nourrir l’illusion, le déni, le jugement et le rejet de ce qu’on
pense être inférieur. L'être véritable, c'est l'unité, l'authenticité, la transparence, la lucidité et la douceur.
Ce matin, après une longue nuit calme de 7 heures, je me suis réveillée avec un soleil éclatant et avec du recul, je peux constater que les libérations émotionnelles, les prises de conscience ont favorisé ce sommeil réparateur.
La source nous inspire dans l'élan, à agir puis à s'intéresser à certaines paroles, vidéos qui vont poser une intention spécifique que la vie nous donnera l'occasion d'intégrer par l'expérience et c'est de cette façon que fonctionnent aussi les rayons sacrés.
Cette canalisation qui m'a été suggérée par une amie sur face de book a créé une ouverture et par la résonance, a induit toute une série de mises en situations me permettant de clarifier les choses et de maintenir le désir d'unité intérieure.
Ce genre de message éveille des codes en nous, qui vont créer des opportunités permettant de voir ce qui nous empêche de vivre cette harmonie, cette unité, cette paix intérieures.
Et si on se centre en étant conscient de la puissance de l'amour lumière, de l'intelligence du cœur, les énergies qui nourrissent les blessures et les croyances limitantes, vont être libérées. Le comportement va changer naturellement en conséquences.
Il n'est pas nécessaire de comprendre intellectuellement mais juste de sentir si ça vibre puis de se laisser imprégner par la vibration que l'écoute va faire émerger en soi.
Moins on intellectualise et plus on sollicite l'action de l'âme, plus on lui témoigne notre confiance. Ensuite, notre "job", c'est d'accueillir donc d'être réceptif aux mouvements internes et d'offrir à la source ce qui est conflictuel.
« La réunification des Flammes » La voie
de l’UN
Clefs
de sagesse trouvées sur le site de Monique Mathieu : http://ducielalaterre.org
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr