dimanche 7 février 2016

"La douleur de la naissance cosmique" Jeshua via Pamela Kribbe




Le 23 mai 2004 une canalisation avec Jeshua s’est tenue lors d’une session personnelle à Tilburg.
Ci-dessous, vous pouvez lire le texte, aussi bien que les réponses de Jeshua aux questions de l’auditoire.
Le texte parlé a été quelque peu révisé pour en améliorer la lisibilité.


Chers amis, je suis si heureux de vous voir. Et certains d'entre vous viennent de si loin ! 
Je sais qui vous êtes et vous m'êtes si chers. Mon voyage est le vôtre et je connais vos chagrins et votre douleur de l'intérieur. C'est pourquoi j'aimerais partager avec vous quelques éléments de compréhension de ce long voyage dans lequel vous êtes embarqués, en tant qu'âmes.

J'aimerais vous ramener au tout début de ce voyage, quand vous êtes nés âmes dans une réalité nouvelle et inconnue pour vous. J'aimerais vous ramener à cet instant où a commencé votre voyage à travers le temps et l'espace, à travers la réalité matérielle. 

Cet événement a eu lieu il y a très longtemps, mais les émotions qui l'accompagnent, la douleur d'être séparés du Foyer, sont encore très présentes en chacun de vous. 
Cette douleur de la naissance cosmique, comme je l'appelle, se tient derrière nombre de vos sentiments et comportements quotidiens.

Beaucoup d'entre vous sont continuellement confrontés à un sentiment d'inquiétude ou de malaise intérieur, à la notion harcelante d'être « en quête de quelque chose ». 
Il y a une tension interne qui provient du fait que vous n'êtes pas entièrement à l'aise avec vous-mêmes. 
Vous ne vous sentez pas tranquilles ou à l'aise avec votre être, votre essence personnelle.

samedi 6 février 2016

« La vie est simple même si elle est grandiose » & « Incarner sa divinité » vidéo de Daniel Desjardins






Le vent a rafraichi l'atmosphère et il fait frisquet ce matin dans l'appart puisque je n'ai pas allumé le poêle. « Tapez des pieds, tapez des mains, c’est demain la saint Martin » 
Voilà ce qu’on chantait enfant quand le froid nous gelait les doigts, les pieds. 
Ce souvenir ne vient pas par hasard puisque je retrouve la mémoire, la sagesse des enfants qui savent Vivre. Elle me rappelle le pouvoir de la joie de vivre, d'être.
Ça peut sembler simpliste comme chansonnette mais déjà, je n’ai jamais reçu d’éducation religieuse et cette chanson qui fait partie de la sagesse populaire est très inspirée. 
Les enfants savent utiliser ce qui les élèvent, spontanément.
Il y a plusieurs choses à voir dans cette simple phrase tout comme dans le fait de la chanter.
Le contexte ; "j’ai froid" et plutôt que de me lamenter sur mon sort, je fais appel à la sagesse innée pour reconnaitre en cette chansonnette, des vérités que la médecine vérifie : le sang qui circule sans entrave, diffuse la chaleur, l’énergie dans tous le corps. 
Le froid est donc un stimulateur, un appel à faire circuler l’énergie et cette libre circulation c'est la santé. 
Chanter, c’est être dans la joie, c’est utiliser son pouvoir créateur, son imagination pour agir plutôt que de subir, pour s’adapter aux circonstances. C'est reconnaitre son potentiel créatif et se placer sur la bonne fréquence. 
Et si on va plus loin dans l’analyse de cette comptine, c’est accepter les conditions de l’incarnation, le moment présent tel qu'il est, c'est aimer son corps, la vie.

« Vous vous mettez beaucoup de pression lorsque vous dites ''il faut'' » Lise Bourbeau & commentaires personnels





Êtes-vous conscient du nombre de fois par jour où vous pensez ou dites ces deux petits mots, ou que vous agissez en étant influencé par vos « il faut » qui concernent autant le avoir que le faire et l’être ? 
Vous reconnaissez-vous dans ce qui suit ? 
       Il faut que j’aie plus de patience avec les enfants.
       Il faut que je trouve plus de temps pour mes loisirs.
       Il faut que je sois plus gentil avec les autres.
       Il faut que je perde du poids.
       Il faut que j’aie plus d’argent si je veux arriver à changer mon mobilier.
       Il faut que je reçoive ma belle-famille.
       Il faut que j’aille travailler.
       Il faut que je nettoie ma maison.
       Il faut que je me prenne en mains.
       Il faut que je sois plus tolérant envers mon conjoint.
       Il faut que je fasse plus d’exercice physique. 

vendredi 5 février 2016

« Votre karma, votre parcours initiatique… » Aurélie Pech d’Arcadie





Les effets du karma doivent être rectifiés dans le moment présent et non dans le passé. C’est un des buts de votre incarnation de vivre les effets de ce karma, tout en étant dans votre présence, entre autre.

Si votre âme s’est incarnée ici et maintenant dans cette vie, ce n’est pas pour replonger sans cesse dans les vies antérieures mais bien pour que vous rectifiez les effets de ce karma à notre époque… 
Dans votre conscience de la réalité que vous vivez aujourd’hui…
Car vous possédez des aptitudes propres, au cours de cette expérience de vie, vous permettant de dépasser ce qui a été créé des siècles plus tôt.

Votre karma est votre initiation personnelle. Il crée un parcours énergétique et initiatique que vous empruntez depuis votre naissance.
Votre acceptation des effets de ce karma vous permettra, sans avoir besoin de regarder en arrière, de le découvrir en temps et en heure, lorsque les mémoires se feront connaître d’elles-mêmes.

« Ça déménage! »





Ce matin je baigne dans un sentiment de gratitude, de joie et pourtant hier, malgré que la paix ne me quitte plus, j’étais dans une profonde tristesse. 
J’ai encore beaucoup de mal à accepter mon image parce qu’elle est trafiquée par la prise de cachets. Derrière ça, il y a encore de la colère et des regrets vis-à-vis de l’addiction puisque ce sont les médicaments qui déforment mes traits. 
Je ne suis pas non plus un monstre mais quand je me prends en photo, les défauts ou stigmates de la dépendance apparaissent décuplés. 
Il est clair que c’est le reflet de mon rejet vis-à-vis de cette addiction qui forme la chair de cette façon puis le fait de fumer n’arrange rien à l’affaire. 
Mais ça ne sont pas les produits qui créent cet effet, ce sont les croyances et surtout le manque d’amour qui ont déclenché ces gestes.

Le corps physique n’est pas conçu pour nous permettre de vivre éternellement sur terre, mais il nous offre une expérience, l’incarnation, afin que nous apprenions à maitriser les énergies et les lois universelles, celle de l’amour étant la première, celle qui génère et gère les autres.

Cette intelligence divine autonome est capable de se régénérer, de manifester la santé parfaite, la jeunesse éternelle mais comme nous sommes avant tout des êtres de lumière venu vivre cette expérience de reconnaissance de l’étincelle de la source que nous sommes et de connaissance des lois spirituelles, dans l’interaction avec le vivant qui nous permet de revenir à l’état d’être unifié, il se prête au jeu de miroir, de la communication et des révélations.

jeudi 4 février 2016

« Combien de rires, combien de larmes...faut-il pour que mon cœur s’enflamme pour enfin ne plus avoir peur ?... » Lilian Renaud





3 février 2016 
Ce matin, un sentiment de liberté m'envahit, me remplit comme jamais ! 
Je vous parle à longueur de temps, d’amour et de lumière, de libération, d’alchimie émotionnelle parce que ce sont les richesses de l’humain.
Des trésors à portée de main, pour tous et en quantité inépuisable, pour chacun.
La véritable justice en ce monde, elle est là, juste dans notre corps, notre être et on y accède par le portail du cœur.
Alors évidemment comme les mots ‘amour’, ‘cœur’, sont galvaudés, confinés et limités aux histoires romantiques, ça n’est pas facile de se faire entendre, comprendre. Il faut déjà redéfinir ces notions ‘essencielles’.

L’Amour est avant toutes choses, une combinaison d’énergie, une vibration constituée de multiples vertus, fréquences, rayons, qui sont l’essence même de la Vie, du divin, de la source.
On peut dire qu’il est tout ce qui est mais en restant au niveau humain, on peut le définir comme la reliance entre tout ce qui existe, l’énergie de la communion, de la fusion.
L’amour et la lumière sont associés, ils se complètent et ensembles forment tout ce qui existe, dans une ronde perpétuelle.
La lumière, c’est la conscience d’être et de ne pas être, l’intelligence et l’amour lui donne le mouvement, le goût d’aller vers l’autre, de se déployer, se connaitre, se reconnaitre et ainsi de s’épanouir, se réjouir.
En parlant de mouvement, je dois aller en ville…

« Je suis née entière je n’ai pas besoin de trouver ma moitié » Camille Legrand & « Reconnaissance, Renaissance » Lydia Féliz






J’ai tout ce dont j’ai besoin pour me sentir entière et vivre pleinement. 
Mon bonheur dépend de moi, et de personne d’autre.
Je ne crois pas aux contes de fées, ni même aux princes charmants ou aux princesses ; je crois en ma capacité à me rendre moi-même heureuse.

« Peu m’importe que tu m’aimes « beaucoup », ce que je veux, c’est que tu m’aimes bien, et toujours mieux. L’amour, ce n’est pas une question de quantité ».
-Walter Riso-

Le mythe de l’âme sœur
Idéaliser quelqu’un et se dire « nous sommes faits l’un pour l’autre », voilà qui peut faire beaucoup de mal au fil du temps dans un couple, car dès que les difficultés surgissent, on se rend compte qu’une telle affirmation n’est pas si vraie, et qu’elle génère en nous insatisfaction et frustration.

Tout ne peut être parfait dans un couple, et à un moment ou à un autre, des problèmes finiront par se poser, lesquels peuvent venir de la différence d’âge, de l’éducation, de la culture, voire même de la religion.