vendredi 5 février 2016

« Ça déménage! »





Ce matin je baigne dans un sentiment de gratitude, de joie et pourtant hier, malgré que la paix ne me quitte plus, j’étais dans une profonde tristesse. 
J’ai encore beaucoup de mal à accepter mon image parce qu’elle est trafiquée par la prise de cachets. Derrière ça, il y a encore de la colère et des regrets vis-à-vis de l’addiction puisque ce sont les médicaments qui déforment mes traits. 
Je ne suis pas non plus un monstre mais quand je me prends en photo, les défauts ou stigmates de la dépendance apparaissent décuplés. 
Il est clair que c’est le reflet de mon rejet vis-à-vis de cette addiction qui forme la chair de cette façon puis le fait de fumer n’arrange rien à l’affaire. 
Mais ça ne sont pas les produits qui créent cet effet, ce sont les croyances et surtout le manque d’amour qui ont déclenché ces gestes.

Le corps physique n’est pas conçu pour nous permettre de vivre éternellement sur terre, mais il nous offre une expérience, l’incarnation, afin que nous apprenions à maitriser les énergies et les lois universelles, celle de l’amour étant la première, celle qui génère et gère les autres.

Cette intelligence divine autonome est capable de se régénérer, de manifester la santé parfaite, la jeunesse éternelle mais comme nous sommes avant tout des êtres de lumière venu vivre cette expérience de reconnaissance de l’étincelle de la source que nous sommes et de connaissance des lois spirituelles, dans l’interaction avec le vivant qui nous permet de revenir à l’état d’être unifié, il se prête au jeu de miroir, de la communication et des révélations.


Ce discours peut sembler perché mais c’est le constat de toute une vie, des connaissances intuitives qui sont validées par l’expérience à mesure que j’intègre en conscience ces énergies d’amour, de lumière et d’harmonie.
Je ne suis d’ailleurs pas la seule à retrouver ces connaissances inscrites en chaque cellule, un nombre croissant de personnes en témoignent sur la toile, créant une masse, un égrégore, qui aide chacun à aller plus loin dans ses recherches et constatations. 

La science aussi participe à cette reconnaissance par l’étude de plus en plus pointue des phénomènes qui régissent la vie, le corps physique.
Nous découvrons, chacun à sa manière, la perfection de nos véhicules de chair dont la constitution est la preuve de l’existence de La conscience divine, de l’intelligence suprême qui régit le cosmos, les univers, les galaxies, les mondes et toute vie.

Ce corps magnifique n’est pas seulement un amas de chair et d’os, il est un univers à lui tout seul et son intelligence réside dans sa capacité d’adaptation, d’harmonisation tout autant que dans son processus de régénération.

La psyché, les systèmes et organes vitaux, les cellules, les énergies des pensées, des émotions, des intentions, les éléments qui le constituent, les forces qui l’animent et le traversent, sont une des merveilles de la création.
En permanence, il traite des milliards d’infos afin de maintenir la vie et l’équilibre intérieur. Il sait communiquer, répondre aux stimuli, à son environnement tout autant qu’entre chaque cellule, organe et système vital. Les protéines, les hormones, le sang qui véhicule l’énergie de vie, de la source, le souffle, les cerveaux du cœur, de la tête et du ventre, tout est interelié et orchestré par le cœur. La pulsation cardiaque tout comme la respiration, régulent le rythme interne qui détermine l’état d’être de l’individu. 

Et cette communication se passe dans tous les sens, les pensées émotions génèrent des sécrétions hormonales qui vont créer un état d’être en conséquence et le rythme cardiaque va réguler l’ensemble de son mieux en association avec les autres cerveaux. 

En gros, il peut très bien fonctionner sans notre mental, notre conscience et on le constate tant par le phénomène des rêves que par les gens qui sont dans le coma.

Nos pensées émotions ont une forte influence sur l’état de santé. 
Les croyances inconscientes vont déterminer des comportements, définir des traits physiques spécifiques que Lise Bourbeau à listé dans ses livres sous la forme des cinq blessures et du corps qui parle.  




Les croyances communes largement nourries par l’industrie pharmaceutique qui finance les recherches, les universités, les scientifiques, les médecins, nous poussent à considérer notre corps comme un monde hostile potentiellement dangereux et tout est fait pour lutter contre la mort, le vieillissement, la maladie, on cherche à contrôler le vivant. 
Les religions avant elle ont aussi donné une image négative du corps humain, de la chair et de ses appétits. 
On a tout inversé, déformé pour maintenir les individus éloignés de la connaissance intérieure, du divin, du sacré qui habite chaque cellule.
Mais comme nous sommes avant tout des êtres de lumière et d’amour, des êtres dotés d’intelligence et connectés à tout ce qui est, cette étincelle divine s’exprime à plusieurs niveaux, dans chacun de nos corps et l’harmonie qui les soutient en est la démonstration vivante.

La conscience éternelle dont chacun est issu, par son amour immense pour sa création, pour elle-même, manifeste sa présence de mille et une façons. 
Elle nous parle à travers notre intuition, intimement et personnellement au travers de tout ce que nous sommes mais pour cela il faut être à l’écoute et savoir qui nous sommes en vérité. Savoir que tout en nous est divin, sacré ou tout au moins que notre esprit est connecté à la source.

On peut voir avec du recul, que nous avons et que nous sommes toujours guidés, inspirés, que tout est le reflet de ce que nous sommes et portons, dans l’instant. 
Que notre corps physique nous aime et agit comme un père, une mère, préservant le vivant en nous. 
Quand on a conscience que c’est une intelligence extraordinaire, que c’est un partenaire, notre ami fidèle, intime, de la naissance à la mort, on commence alors à le voir d'une toute nouvelle façon et à être à l’écoute. 
On va se souvenir de notre raison d’être ici, peu à peu dans un dialogue avec notre âme, l’écoute de notre intuition, de notre cœur. Puis on va parler à ce corps et apprendre à entendre, à reconnaitre ses messages, sa voix.

Son but, c’est de porter la vie et de manifester l’harmonie. 
Comme nous pouvons agir en ce sens, nous allons commencer par faire la paix en nos pensées, nos émotions, dans le retour au cœur à qui on peut confier tout ce qui est en conflit puisque sa fonction première est celle d’harmoniser.

On comprend que les pensées émotions qui s’opposent à l’amour créent des déséquilibres qui peuvent aller jusqu’à former des maladies, des symptômes. 
Mais on sait aussi que c’est une forme de langage qui nous demande de nous centrer, de focaliser l’attention sur le cœur, l’amour, afin qu’il amplifie et restaure l’équilibre.

Quand on est conscient de cette intelligence qui régit la vie en notre corps, on devient plus humble et on cesse de vouloir contrôler ce qui se manifeste en soi parce qu’on saisit que cette résistance est le fruit de notre ignorance et qu’elle engendre le mal-être, la souffrance, la maladie. On va alors apprendre à lui faire confiance.

Je me sens poussée depuis quelques jours à diminuer à nouveau les doses de cachets. Maintenant que je n’entre plus en réaction vis-à-vis de la peur, comme elle ne me déstabilise plus puisque je l’amène immédiatement au centre, en mon cœur, dès qu’elle se manifeste, je me sens le courage de lâcher ce masque.
Quand j’ai exprimé ma tristesse pour l’image que l’appareil photo me renvoie, une douce voix m’a consolée et des idées sont venues pour sortir de ce schéma récurent de rejet de soi.
Le fait d’être à l’écoute de son monde intérieur, de lâcher les croyances communes basées sur la peur, de suivre l’élan de l’instant sans juger, a augmenté la confiance en ce corps partenaire et la compréhension de son mode de fonctionnement, de communication. 
Il m’indique par les envies, ce dont il a besoin pour fonctionner au mieux, au niveau de l’alimentation, du sommeil, du rythme, du mouvement. 
Ça prend en considération tous les corps subtils, aussi bien le mental émotionnel que les besoins physiques. 
Le fait de juger ce que l’on est, c’est une négation de l’intelligence du cœur, du corps physique, de tous les corps et ça ne fait que nourrir la division alors que tout est en interaction. Par le fait, on créé une disharmonie obligeant le corps physique à lutter pour ramener l’équilibre interne.

En revenant au cœur, en laissant l’amour lumière agir par l’abandon du jugement qui n’est que l’expression de notre aveuglement, de nos croyances illusoires, l’harmonie est maintenue dans la paix intérieure, l’acceptation de ce qui se manifeste en l’instant. 
Vous pouvez en faire l’expérience à chaque seconde.
Simplement en vous posant, en n’étant plus dans la réaction, le rejet, le conflit, en prenant le recul nécessaire, en se positionnant en observateur neutre, vous allez sentir une détente intérieure, une régulation de l'humeur. C’est la manifestation de la vibration du cœur, de la paix, de l’acceptation/amour, qui est à l’œuvre. 




Quand on pense à l’amour, on l’associe aux histoires de couple et aux émotions que ça génère et si on les observe de plus près, objectivement, honnêtement, on va constater que la peur est à l’origine de bon nombre d’entre elles.  
Le mental entretient des croyances au sujet de l’amour, de l’idéal masculin ou féminin qui limitent la vision et faussent la réalité tout en nourrissant l’illusion.

Quand on croit aimer quelqu’un parce que ça nous remue à l’intérieur, on va voir que beaucoup de nos corps subtils sont sollicités, que l’inconscient est aux commandes et que les hormones participent activement à nourrir la croyance en l’amour, on croit que la personne en est l'objet alors qu'elle ne fait que nous refléter ce que l'on est essentiellement. 
D’ailleurs ça n’est pas par hasard qu’on parle de coup de foudre parce qu’il s’agit aussi d’un phénomène électro magnétique d’attraction. 
C’est une ensemble de paramètres qui vont donner l’illusion de L’amour. 
Oui il y a de l'amour mais il est conditionné et correspond à des critères de sélections.
Puis l’âme est aussi de la fête puisque très souvent elle nous place en situation, selon des contrats d’âmes préétablis qui seront l’occasion de voir nos blessures enfouies afin de les guérir.
En ce sens une histoire d’amour est plus une opportunité de révélation, de guérison, que de conte de fées. 
Il est clair que la relation intime et sexuelle amène à faire face à ses plus grandes peurs, à ses blessures profondes justement par le fait qu’on touche à l’intimité de l’être. 
On ne peut tricher éternellement dans une relation de couple à moins que chacun se satisfasse de la situation mais l’âme veille à ce que chacun puisse vivre sa raison d’être ici-bas et comme la période est celle des révélations-potentiel de libération, tout sera fait pour que la vérité surgisse.

Les blessures profondes matérialisent notre forme physique, notre état d’être et nos comportements, elles nourrissent les croyances illusoires mais elles sont aussi des portes vers notre être, notre essence originelle.

Quand on cesse de juger ce qui est, de s’accrocher à ces croyances qui nous rendent malheureux et nous maintiennent dans les illusions, d’impuissance, de petitesse, de victime, de sauveur ou de bourreau, on commence à voir vraiment.

On admet qu’on a tout compris à l’envers et qu’en fait on est dans l’illusion depuis le début et que notre cœur dit la vérité. La vérité de ce que nous ressentons dans l'instant.
A partir de là, on va pouvoir commencer à écouter, entendre et comprendre au-delà de la forme, des apparences.

Quand un symptôme se manifeste, j’accueille déjà la peur de la maladie, de la souffrance, la peur de la mort et je passe à autre chose. Je me contente de sentir la paix intérieure et de continuer de revenir au cœur en cas de trouble, de pensée de peur. 

Je ne vais donc pas "prier"ou commander mon corps (lol) pour retrouver la santé parce que j’ai compris que le corps est en train de me parler, de m’inviter à m’intérioriser, à être attentive juste à maintenir la paix et la joie de vivre, à l’intérieur.

Pour être en paix, c’est toujours la même chose, je lâche prise et je ne juge rien. 
Puis pour la joie, je la suscite, je vais la chercher à l’intérieur, je parle à mes corps, je me connecte à la terre et au ciel afin que l’énergie de désir, de vie, puisse circuler de façon harmonieuse, qu’elle aille de l’intention au geste, sans blocages, sans peur, sans complexe, sans plus avoir à y penser. 
Il me suffit de revenir au cœur, à la paix puis à suivre l’élan qui surgit en étant en confiance, en sachant que c’est un acte qui me conduit vers le meilleur et surtout qui nourrit la joie de vivre parce qu’il est dépourvu de peur, de jugement, parce qu’il est naturel et spontané.

De temps en temps, une idée va surgir et je vais comprendre le message du symptôme qui parfois est juste là pour me ramener au cœur, à la paix et la confiance, juste à être présente à mon corps physique. 

Ce changement de la peur à l’amour, de l’idée de division à la réalité de l’unité entraine des ajustements conséquents à l’intérieur des corps qui s’alignent sur de nouvelles fréquences. L'ego comprend qu'il n'est pas seul, que nous sommes "une équipe" en interaction tant à l'intérieur qu'avec l'extérieur. Et que le meilleur guide, c'est l'unité, l'harmonie, l'Un.

Il s’agit d’une véritable révolution intérieure que la confiance en l’intelligence du corps physique, du cœur qui harmonise tout naturellement, favorise et facilite grandement. J’apprends de cette façon à faire encore plus confiance à tout ce que je suis. 
Pas à mes croyances mais à ce que je ressens et à l’intelligence supérieure qui gère tout ce que je suis.
Dans ce contexte, lâcher la dépendance apparait beaucoup plus abordable. 
Déjà parce que ça n’est pas mon mental qui décide dans le sens où la motivation ne nait pas d’une peur ou d’une croyance en la nécessité de changer.

La motivation principale, c’est d’être ce que je suis en vérité, fondamentalement, un être d’amour et de lumière, multidimensionnel, unifié et de le manifester jusque dans la forme, l’apparence. 
Pas selon les critères de la mode, de la beauté définie par des lobbies dont le seul intérêt est de gagner de l’argent sur l’ignorance des gens, leur manque d’amour de soi. 




On créé des modèles afin que les gens s’éparpillent se comparent, se divisent et nécessairement se dévalorisent. On focalise l’attention des gens sur l’extérieur en les maintenant dans l’illusion, la peur, la culpabilité, le déni et le rejet de soi. 
Ce sont des armes de destruction massives parce que ça éloigne les gens de leur vérité, de la vérité de l’être, ça les "coupe" de leur essence. 
En les maintenant dans la peur du jugement, du regard extérieur, ils les conditionnent à se méfier de l’autre et surtout d’eux-mêmes, à nourrir la jalousie, l’envie, la division, puisque tout leur jugement, leur capacité de discernement se place en mode comparatif, en mode réactionnel d’attraction et de répulsion. 
Cela nourrit le manque d’estime et de confiance en soi qui maintient dans l’incapacité d’être soi, d’être vrai et d’être dans son pouvoir: l’autonomie et la souveraineté.  

Ce que je vis en ce moment dans la relation à mon image est en train de m’apprendre beaucoup de choses. Il est clair que ce dictat de la mode est aussi le reflet de ce que l’on vit en soi et là encore, seule l’acceptation inconditionnelle de soi peut en venir à bout.

Les ‘milieux spirituels’ n’échappent pas à la règle où on associe la beauté, la réussite à une conscience éveillée. On suppose que celui qui comprend qui il est, qui maitrise la loi d’attraction est forcément beau, vêtue de blanc, blond aux yeux bleus, riche et entouré de belles choses, qu’il se nourrit de lumière, qu’il est végétarien, qu’il ne consomme aucune substance malsaine, qu’il fait du sport...c'est une grosse caricature mais ça marche.

On continue de faire croire aux gens que la perfection se situe dans la forme alors que cette forme est la manifestation de ce qui se vit à l’intérieur et c’est au cœur des cellules, dans la constitution même de l’humain divin multidimensionnel qu’est la beauté véritable qui résulte de l’harmonie. 
Celui ou celle qui a une image positive de lui-même parce qu'elle correspond aux critères admis de beauté, vibre sur une fréquence qui attire les regards mêlés d'admiration et d'envie. L'attraction se situe au niveau du mental émotionnel et même si la reconnaissance extérieure nourrit l'amour de soi, cet individu est aussi dans le rejet et le contrôle. Il est obligé d'entretenir son image et son corps devient un objet dont il est prisonnier. L'humain n'est pas seulement une image, une forme et si l'harmonie règne entre ses corps, la chair sera magnifiée par cette vibration, peu importe la forme. 

De même la loi d’attraction n’est pas donnée pour que chacun satisfasse ses besoins égocentriques. Elle nous est révélée pour que nous comprenions qui nous sommes essentiellement et pour que nous puissions prendre conscience des mécanismes de la résonance, de l’attraction, de l’effet miroir et l’interconnexion entre toute vie, au niveau énergétique, vibratoire. Elle nous est donnée pour que nous puissions manifester notre essence jusque dans la matière, dans la relation à soi et aux autres.
Elle nous montre que tout commence en soi et que pour changer l’extérieur, il nous faut revisiter nos croyances, être attentif à nos pensées, nos émotions, laisser l’essence de l’être remettre tout dans l’ordre divin.

Quand on admet que la vie et notre corps multidimensionnel sont l’expression même de la source, de la conscience, de l’intelligence suprême, ça rend humble.
Humble mais en même temps puissant parce qu’on sait que notre mental ego est un enfant au regard de la source et qu’en tant qu’extension du divin, il est au service du vivant. 
Quand on voit l’harmonie que nous sommes, au-delà des jugements, des croyances, on comprend que nous avons juste à aimer tout ce qui nous constitue pour voir cet amour lumière se manifester jusque dans la chair.

Le désir d’unité révèle cette harmonie et le centrage au cœur révèle notre grandeur qui se situe dans la capacité d’aimer. Plus on cultive cela et plus on le vibre, plus il nous épanouit. Commencer par faire régner la paix, l’unité en nous-même, nous pousse à aller vers l’autre, sans complexe, sans attentes. 
C’est une véritable révolution, un retournement de la conscience qui en se focalisant à l’intérieur se déploie dans sa splendeur et son innocence. Les rêves en ce moment, sont aussi édifiants!
C’est étourdissant, concrètement et cette sensation en est le signe. 

Je sens qu’aujourd’hui, je ne vais pas trop sortir du moins éviter de conduire parce que ça déménage ! Une des idées qui me sont venues en même temps que celle de diminuer à nouveau les doses, c’est que cette vibration est si forte que l’addiction sert cette révolution. Elle me permet, en diminuant progressivement, de ne pas être submergée tant physiquement que mentalement.
C’est immense et cette fois-ci la crainte n’est plus relative aux émotions polarisées, à la peur d'être engloutie dans ces vagues mais à cet amour lumière gigantesque. 
Je m’en vais l’offrir à la source…
En fait, les émotions sont aussi l'expression de cet amour, elles sont juste polarisées et souvent conflictuelles mais c'est l'expression du vivant.

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr