Ce
matin je baigne dans un sentiment de gratitude, de joie et pourtant hier,
malgré que la paix ne me quitte plus, j’étais dans une profonde tristesse.
J’ai
encore beaucoup de mal à accepter mon image parce qu’elle est trafiquée par la
prise de cachets. Derrière ça, il y a encore de la colère et des regrets vis-à-vis
de l’addiction puisque ce sont les médicaments qui déforment mes traits.
Je ne
suis pas non plus un monstre mais quand je me prends en photo, les défauts ou
stigmates de la dépendance apparaissent décuplés.
Il est clair que c’est le
reflet de mon rejet vis-à-vis de cette addiction qui forme la chair de cette
façon puis le fait de fumer n’arrange rien à l’affaire.
Mais ça ne sont pas les
produits qui créent cet effet, ce sont les croyances et surtout le manque d’amour
qui ont déclenché ces gestes.
Le
corps physique n’est pas conçu pour nous permettre de vivre éternellement sur terre,
mais il nous offre une expérience, l’incarnation, afin que nous apprenions à
maitriser les énergies et les lois universelles, celle de l’amour étant la
première, celle qui génère et gère les autres.
Cette
intelligence divine autonome est capable de se régénérer, de manifester la
santé parfaite, la jeunesse éternelle mais comme nous sommes avant tout des
êtres de lumière venu vivre cette expérience de reconnaissance de l’étincelle
de la source que nous sommes et de connaissance des lois spirituelles, dans l’interaction
avec le vivant qui nous permet de revenir à l’état d’être unifié, il se prête
au jeu de miroir, de la communication et des révélations.
Ce
discours peut sembler perché mais c’est le constat de toute une vie, des
connaissances intuitives qui sont validées par l’expérience à mesure que j’intègre
en conscience ces énergies d’amour, de lumière et d’harmonie.
Je
ne suis d’ailleurs pas la seule à retrouver ces connaissances inscrites en
chaque cellule, un nombre croissant de personnes en témoignent sur la toile,
créant une masse, un égrégore, qui aide chacun à aller plus loin dans ses
recherches et constatations.
La science aussi participe à cette reconnaissance
par l’étude de plus en plus pointue des phénomènes qui régissent la vie, le
corps physique.
Nous
découvrons, chacun à sa manière, la perfection de nos véhicules de chair dont
la constitution est la preuve de l’existence de La conscience divine, de l’intelligence
suprême qui régit le cosmos, les univers, les galaxies, les mondes et toute vie.
Ce
corps magnifique n’est pas seulement un amas de chair et d’os, il est un
univers à lui tout seul et son intelligence réside dans sa capacité d’adaptation,
d’harmonisation tout autant que dans son processus de régénération.
La
psyché, les systèmes et organes vitaux, les cellules, les énergies des pensées,
des émotions, des intentions, les éléments qui le constituent, les forces qui l’animent
et le traversent, sont une des merveilles de la création.
En
permanence, il traite des milliards d’infos afin de maintenir la vie et l’équilibre
intérieur. Il sait communiquer, répondre aux stimuli, à son environnement tout
autant qu’entre chaque cellule, organe et système vital. Les protéines, les
hormones, le sang qui véhicule l’énergie de vie, de la source, le souffle, les
cerveaux du cœur, de la tête et du ventre, tout est interelié et orchestré par
le cœur. La pulsation cardiaque tout comme la respiration, régulent le rythme
interne qui détermine l’état d’être de l’individu.
Et cette communication se
passe dans tous les sens, les pensées émotions génèrent des sécrétions
hormonales qui vont créer un état d’être en conséquence et le rythme cardiaque
va réguler l’ensemble de son mieux en association avec les autres cerveaux.
En gros, il
peut très bien fonctionner sans notre mental, notre conscience et on le
constate tant par le phénomène des rêves que par les gens qui sont dans le
coma.
Nos
pensées émotions ont une forte influence sur l’état de santé.
Les croyances inconscientes
vont déterminer des comportements, définir des traits physiques spécifiques que
Lise Bourbeau à listé dans ses livres sous la forme des cinq blessures et du corps qui parle.
Les
croyances communes largement nourries par l’industrie pharmaceutique qui finance
les recherches, les universités, les scientifiques, les médecins, nous poussent
à considérer notre corps comme un monde hostile potentiellement dangereux et
tout est fait pour lutter contre la mort, le vieillissement, la maladie, on
cherche à contrôler le vivant.
Les religions avant elle ont aussi donné une
image négative du corps humain, de la chair et de ses appétits.
On a tout
inversé, déformé pour maintenir les individus éloignés de la connaissance
intérieure, du divin, du sacré qui habite chaque cellule.
Mais
comme nous sommes avant tout des êtres de lumière et d’amour, des êtres dotés d’intelligence
et connectés à tout ce qui est, cette étincelle divine s’exprime à plusieurs
niveaux, dans chacun de nos corps et l’harmonie qui les soutient en est la
démonstration vivante.
La
conscience éternelle dont chacun est issu, par son amour immense pour sa
création, pour elle-même, manifeste sa présence de mille et une façons.
Elle
nous parle à travers notre intuition, intimement et personnellement au travers
de tout ce que nous sommes mais pour cela il faut être à l’écoute et savoir qui
nous sommes en vérité. Savoir que tout en nous est divin, sacré ou tout au
moins que notre esprit est connecté à la source.
On
peut voir avec du recul, que nous avons et que nous sommes toujours guidés,
inspirés, que tout est le reflet de ce que nous sommes et portons, dans l’instant.
Que
notre corps physique nous aime et agit comme un père, une mère, préservant le
vivant en nous.
Quand on a conscience que c’est une intelligence
extraordinaire, que c’est un partenaire, notre ami fidèle, intime, de la naissance à la mort,
on commence alors à le voir d'une toute nouvelle façon et à être à l’écoute.
On va se souvenir de notre raison d’être
ici, peu à peu dans un dialogue avec notre âme, l’écoute de notre intuition, de
notre cœur. Puis on va parler à ce corps et apprendre à entendre, à reconnaitre ses messages, sa voix.
Son
but, c’est de porter la vie et de manifester l’harmonie.
Comme nous pouvons
agir en ce sens, nous allons commencer par faire la paix en nos pensées, nos
émotions, dans le retour au cœur à qui on peut confier tout ce qui est en
conflit puisque sa fonction première est celle d’harmoniser.
On
comprend que les pensées émotions qui s’opposent à l’amour créent des déséquilibres
qui peuvent aller jusqu’à former des maladies, des symptômes.
Mais on sait
aussi que c’est une forme de langage qui nous demande de nous centrer, de
focaliser l’attention sur le cœur, l’amour, afin qu’il amplifie et restaure l’équilibre.
Quand
on est conscient de cette intelligence qui régit la vie en notre corps, on
devient plus humble et on cesse de vouloir contrôler ce qui se manifeste en soi
parce qu’on saisit que cette résistance est le fruit de notre ignorance et qu’elle
engendre le mal-être, la souffrance, la maladie. On va alors apprendre à lui faire confiance.
Je
me sens poussée depuis quelques jours à diminuer à nouveau les doses de
cachets. Maintenant que je n’entre plus en réaction vis-à-vis de la peur, comme
elle ne me déstabilise plus puisque je l’amène immédiatement au centre, en mon cœur,
dès qu’elle se manifeste, je me sens le courage de lâcher ce masque.
Quand
j’ai exprimé ma tristesse pour l’image que l’appareil photo me renvoie, une
douce voix m’a consolée et des idées sont venues pour sortir de ce schéma
récurent de rejet de soi.
Le
fait d’être à l’écoute de son monde intérieur, de lâcher les croyances communes
basées sur la peur, de suivre l’élan de l’instant sans juger, a augmenté la
confiance en ce corps partenaire et la compréhension de son mode de
fonctionnement, de communication.
Il m’indique par les envies, ce dont il a
besoin pour fonctionner au mieux, au niveau de l’alimentation, du sommeil, du
rythme, du mouvement.
Ça prend en considération tous les corps subtils, aussi
bien le mental émotionnel que les besoins physiques.
Le fait de juger ce que l’on
est, c’est une négation de l’intelligence du cœur, du corps physique, de tous
les corps et ça ne fait que nourrir la division alors que tout est en
interaction. Par le fait, on créé une disharmonie obligeant le corps physique à
lutter pour ramener l’équilibre interne.
En
revenant au cœur, en laissant l’amour lumière agir par l’abandon du jugement
qui n’est que l’expression de notre aveuglement, de nos croyances illusoires, l’harmonie
est maintenue dans la paix intérieure, l’acceptation de ce qui se manifeste en
l’instant.
Vous pouvez en faire l’expérience à chaque seconde.
Simplement
en vous posant, en n’étant plus dans la réaction, le rejet, le conflit, en
prenant le recul nécessaire, en se positionnant en observateur neutre, vous
allez sentir une détente intérieure, une régulation de l'humeur. C’est la manifestation de la vibration du cœur,
de la paix, de l’acceptation/amour, qui est à l’œuvre.
Quand
on pense à l’amour, on l’associe aux histoires de couple et aux émotions que ça
génère et si on les observe de plus près, objectivement, honnêtement, on va constater
que la peur est à l’origine de bon nombre d’entre elles.
Le
mental entretient des croyances au sujet de l’amour, de l’idéal masculin ou
féminin qui limitent la vision et faussent la réalité tout en nourrissant l’illusion.
Quand
on croit aimer quelqu’un parce que ça nous remue à l’intérieur, on va voir que
beaucoup de nos corps subtils sont sollicités, que l’inconscient est aux
commandes et que les hormones participent activement à nourrir la croyance en l’amour, on croit que la personne en est l'objet alors qu'elle ne fait que nous refléter ce que l'on est essentiellement.
D’ailleurs ça n’est pas par hasard qu’on parle de coup de foudre parce qu’il s’agit
aussi d’un phénomène électro magnétique d’attraction.
C’est une ensemble de
paramètres qui vont donner l’illusion de L’amour.
Oui il y a de l'amour mais il est conditionné et correspond à des critères de sélections.
Puis l’âme est aussi de la
fête puisque très souvent elle nous place en situation, selon des contrats d’âmes
préétablis qui seront l’occasion de voir nos blessures enfouies afin de les
guérir.
En
ce sens une histoire d’amour est plus une opportunité de révélation, de guérison, que de conte de
fées.
Il est clair que la relation intime et sexuelle amène à faire face à ses
plus grandes peurs, à ses blessures profondes justement par le fait qu’on
touche à l’intimité de l’être.
On ne peut tricher éternellement dans une
relation de couple à moins que chacun se satisfasse de la situation mais l’âme
veille à ce que chacun puisse vivre sa raison d’être ici-bas et comme la
période est celle des révélations-potentiel de libération, tout sera fait pour
que la vérité surgisse.
Les
blessures profondes matérialisent notre forme physique, notre état d’être et
nos comportements, elles nourrissent les croyances illusoires mais elles sont
aussi des portes vers notre être, notre essence originelle.
Quand
on cesse de juger ce qui est, de s’accrocher à ces croyances qui nous rendent
malheureux et nous maintiennent dans les illusions, d’impuissance, de
petitesse, de victime, de sauveur ou de bourreau, on commence à voir vraiment.
On
admet qu’on a tout compris à l’envers et qu’en fait on est dans l’illusion
depuis le début et que notre cœur dit la vérité. La vérité de ce que nous ressentons dans l'instant.
A partir de là, on va pouvoir commencer à écouter, entendre et
comprendre au-delà de la forme, des apparences.
Quand
un symptôme se manifeste, j’accueille déjà la peur de la maladie, de la souffrance,
la peur de la mort et je passe à autre chose. Je me contente de sentir la paix
intérieure et de continuer de revenir au cœur en cas de trouble, de pensée de
peur.
Je ne vais donc pas "prier"ou commander mon corps (lol) pour retrouver la santé parce que j’ai compris
que le corps est en train de me parler, de m’inviter à m’intérioriser, à être
attentive juste à maintenir la paix et la joie de vivre, à l’intérieur.
Pour
être en paix, c’est toujours la même chose, je lâche prise et je ne juge rien.
Puis pour la joie, je la suscite, je vais la chercher à l’intérieur, je parle à
mes corps, je me connecte à la terre et au ciel afin que l’énergie de désir, de
vie, puisse circuler de façon harmonieuse, qu’elle aille de l’intention au
geste, sans blocages, sans peur, sans complexe, sans plus avoir à y penser.
Il me
suffit de revenir au cœur, à la paix puis à suivre l’élan qui surgit en étant en
confiance, en sachant que c’est un acte qui me conduit vers le meilleur et
surtout qui nourrit la joie de vivre parce qu’il est dépourvu de peur, de jugement,
parce qu’il est naturel et spontané.
De
temps en temps, une idée va surgir et je vais comprendre le message du symptôme
qui parfois est juste là pour me ramener au cœur, à la paix et la confiance, juste à être présente à mon corps physique.
Ce
changement de la peur à l’amour, de l’idée de division à la réalité de l’unité
entraine des ajustements conséquents à l’intérieur des corps qui s’alignent sur
de nouvelles fréquences. L'ego comprend qu'il n'est pas seul, que nous sommes "une équipe" en interaction tant à l'intérieur qu'avec l'extérieur. Et que le meilleur guide, c'est l'unité, l'harmonie, l'Un.
Il s’agit d’une véritable révolution intérieure que la
confiance en l’intelligence du corps physique, du cœur qui harmonise tout naturellement,
favorise et facilite grandement. J’apprends de cette façon à faire encore plus
confiance à tout ce que je suis.
Pas à mes croyances mais à ce que je ressens et à l’intelligence
supérieure qui gère tout ce que je suis.
Dans
ce contexte, lâcher la dépendance apparait beaucoup plus abordable.
Déjà parce
que ça n’est pas mon mental qui décide dans le sens où la motivation ne nait
pas d’une peur ou d’une croyance en la nécessité de changer.
La
motivation principale, c’est d’être ce que je suis en vérité, fondamentalement,
un être d’amour et de lumière, multidimensionnel, unifié et de le manifester jusque dans la forme, l’apparence.
Pas selon
les critères de la mode, de la beauté définie par des lobbies dont le seul
intérêt est de gagner de l’argent sur l’ignorance des gens, leur manque d’amour
de soi.
On créé des modèles afin que les gens s’éparpillent se comparent, se divisent et
nécessairement se dévalorisent. On focalise l’attention des gens sur l’extérieur
en les maintenant dans l’illusion, la peur, la culpabilité, le déni et le rejet
de soi.
Ce sont des armes de destruction massives parce que ça éloigne les gens
de leur vérité, de la vérité de l’être, ça les "coupe" de leur essence.
En les
maintenant dans la peur du jugement, du regard extérieur, ils les conditionnent
à se méfier de l’autre et surtout d’eux-mêmes, à nourrir la jalousie, l’envie,
la division, puisque tout leur jugement, leur capacité de discernement se place
en mode comparatif, en mode réactionnel d’attraction et de répulsion.
Cela
nourrit le manque d’estime et de confiance en soi qui maintient dans l’incapacité
d’être soi, d’être vrai et d’être dans son pouvoir: l’autonomie et la
souveraineté.
Ce
que je vis en ce moment dans la relation à mon image est en train de m’apprendre
beaucoup de choses. Il est clair que ce dictat de la mode est aussi le reflet
de ce que l’on vit en soi et là encore, seule l’acceptation inconditionnelle de
soi peut en venir à bout.
Les
‘milieux spirituels’ n’échappent pas à la règle où on associe la beauté, la
réussite à une conscience éveillée. On suppose que celui qui comprend qui il
est, qui maitrise la loi d’attraction
est forcément beau, vêtue de blanc, blond aux yeux bleus, riche et entouré de belles choses, qu’il se
nourrit de lumière, qu’il est végétarien, qu’il ne consomme aucune substance
malsaine, qu’il fait du sport...c'est une grosse caricature mais ça marche.
On
continue de faire croire aux gens que la perfection se situe dans la forme
alors que cette forme est la manifestation de ce qui se vit à l’intérieur et c’est au cœur
des cellules, dans la constitution même de l’humain divin multidimensionnel qu’est
la beauté véritable qui résulte de l’harmonie.
Celui ou celle qui a une image positive de lui-même parce qu'elle correspond aux critères admis de beauté, vibre sur une fréquence qui attire les regards mêlés d'admiration et d'envie. L'attraction se situe au niveau du mental émotionnel et même si la reconnaissance extérieure nourrit l'amour de soi, cet individu est aussi dans le rejet et le contrôle. Il est obligé d'entretenir son image et son corps devient un objet dont il est prisonnier. L'humain n'est pas seulement une image, une forme et si l'harmonie règne entre ses corps, la chair sera magnifiée par cette vibration, peu importe la forme.
De
même la loi d’attraction n’est pas donnée pour que chacun satisfasse ses
besoins égocentriques. Elle nous est révélée pour que nous comprenions qui nous
sommes essentiellement et pour que nous puissions prendre conscience des mécanismes de la résonance, de l’attraction, de l’effet
miroir et l’interconnexion entre toute vie, au niveau énergétique, vibratoire. Elle nous est donnée pour que nous puissions manifester notre essence jusque dans la matière, dans la relation à soi et aux autres.
Elle
nous montre que tout commence en soi et que pour changer l’extérieur, il nous
faut revisiter nos croyances, être attentif à nos pensées, nos émotions,
laisser l’essence de l’être remettre tout dans l’ordre divin.
Quand
on admet que la vie et notre corps multidimensionnel sont l’expression même de
la source, de la conscience, de l’intelligence suprême, ça rend humble.
Humble
mais en même temps puissant parce qu’on sait que notre mental ego est un enfant
au regard de la source et qu’en tant qu’extension du divin, il est au service
du vivant.
Quand on voit l’harmonie que nous sommes, au-delà des jugements, des
croyances, on comprend que nous avons juste à aimer tout ce qui nous constitue
pour voir cet amour lumière se manifester jusque dans la chair.
Le
désir d’unité révèle cette harmonie et le centrage au cœur révèle notre
grandeur qui se situe dans la capacité d’aimer. Plus on cultive cela et plus on
le vibre, plus il nous épanouit. Commencer par faire régner la paix, l’unité en
nous-même, nous pousse à aller vers l’autre, sans complexe, sans attentes.
C’est
une véritable révolution, un retournement de la conscience qui en se focalisant
à l’intérieur se déploie dans sa splendeur et son innocence. Les rêves en ce moment, sont aussi édifiants!
C’est étourdissant,
concrètement et cette sensation en est le signe.
Je sens qu’aujourd’hui, je ne
vais pas trop sortir du moins éviter de conduire parce que ça déménage !
Une des idées qui me sont venues en même temps que celle de diminuer à nouveau
les doses, c’est que cette vibration est si forte que l’addiction sert cette
révolution. Elle me permet, en diminuant progressivement, de ne pas être
submergée tant physiquement que mentalement.
C’est
immense et cette fois-ci la crainte n’est plus relative aux émotions polarisées, à la peur d'être engloutie dans ces vagues
mais à cet amour lumière gigantesque.
Je m’en vais l’offrir à la source…
En fait, les émotions sont aussi l'expression de cet amour, elles sont juste polarisées et souvent conflictuelles mais c'est l'expression du vivant.
Si
vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure
et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain
divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr