Je
soupçonne mon âme de m’enseigner la force du centrage dans le mouvement de la
vie parce que les moments de joie qui sont suivi de tristesse enfin les hauts
et les bas extrêmes que j’ai vécu ces derniers jours l’ont été dans la paix
malgré tout.
La journée d’hier a commencé dans la tristesse légitime et petit à
petit, en suivant la guidance de l’âme, en agissant selon l’élan de l’instant,
sans me forcer, sans rien retenir, la joie s’est manifestée.
Une joie simple
mais profonde qui résulte du fait de se sentir vivant et reconnaissant de
l’être. Certainement que les documentaires m'ont ouvert l’esprit, le cœur et
l’espace me permettant de sortir de ma bulle.
La veille c’est l’inverse qui
s’est produit, j’étais en joie le matin puis après la méditation je me suis
levée d’un bond tracassée par le fait de ne pas avoir vu Bilou pendant trois
jours. Il semble que je devais faire face, aller au-delà de la peur et de la
culpabilité de ne pas savoir quoi faire. La pensée du jour (mercredi) de Neale Donald Walsch: