Ce matin, je suis encore bouleversée par ce qui s’est passé hier. J’ai pu constater à quel point l’enfant en moi était encore en souffrance et j’ai passé la soirée à unifier ses énergies de l’enfant, de l’adulte même et celle de l’âme, à l’amour lumière intérieurs.
J’ai offert à la source, la peine immense, la
culpabilité, l’hypersensibilité et même si j’ai pleuré toute les larmes de mon
corps au point d’avoir les yeux gonflés ce matin, une paix infinie m’a soutenue
et continue de me remplir.
Je
redoutais d’avoir à emmener Bilou chez le véto parce que je sentais qu’il ne
saurait pas faire autre chose que de la piquer. Je m’en suis voulue de lui
faire vivre cette violence, de la laisser dans les mains de cet homme qui la manipulait
avec mépris.
Alors je l’ai ramenée à la maison en l’entourant de tout mon amour
puis je suis allée l’enterrer dans la forêt en lui demandant pardon.
Elle était
au jardin quand je suis allée voir si les gamelles de nourriture placées près
de ses cachettes avaient été touchées et quand je l’ai vue si affaiblie, je n’ai
pas hésité à l’emmener chez le véto malgré mes peurs, peur de la mort, peur du manque de moyens, tant financier que vis à vis des capacités de guérison du véto.
La culpabilité a été
minimisée par le fait qu’il n’ait pas su établir un diagnostic ni un
traitement. Il n’y aurait pas eu de solution même si je l’avais amenée avant et
c’est quelque chose qui m’a énormément soulagée.
Je n’ai jamais eu le courage d’affronter
la mort de si près, jamais été capable d’assister à un enterrement parce que je
ne supporte pas la moindre violence. Ni dans la réalité ni dans les films et même dans les dessins animés!
Quand on a vécu un trauma et quand on est une
éponge émotionnelle captant toutes les vibrations autour de soi, il est bien difficile de s’en protéger.
J’ai
pu reconnaitre la nécessité de prendre les cachets, d’avoir utilisé des drogues
pour me blinder mais hier, je n’ai pas voulu masquer toutes les pensées
émotions qui émergeaient.
J’ai
senti que je ne devais pas bloquer l’expression de ses souffrances contenues
depuis si longtemps et je me suis laissée porter par la guidance intérieure
pour trouver un soutien extérieur en plus de la connexion à la source en moi.
Un
aspect "positif" de tout ça, c’est qu’aucun souvenir d’enfance n’est apparu, c’était
beaucoup plus profond que cela et touchait directement l’âme.
La
douleur de la séparation d’avec la source et toute la rancœur liée à ce
souvenir ont pu s’exprimer et je me sens soulagée parce que malgré tout, bien
que des larmes coulent encore, je sens que c’est libérateur.
J’ai embrassé mon âmi le chêne et lui ai confié mes peines,
après avoir enterré Bilou et ce soutien m’a réconfortée. Quand on est dans la
peine, la seule chose dont on ait besoin, c’est d’un être qui nous écoute et même
si ça peut sembler étrange de parler à un arbre, c’est quelque chose que je ne
refrène pas.
Je suis tombée par le hasard des statistiques du blog, sur un article de Kreyon publié en 2013, en deux parties, qui m’a réconfortée quand aux capacités des animaux et leurs aptitudes à voir et travailler avec les énergies. C’est aussi ce qui a motivé mon choix de laisser partir Bilou parce que je me suis dit qu’elle avait assez donné dans le rééquilibrage énergétique, à mon contact. Là aussi, la culpabilité devait être relâchée...
Puis
j’ai relu une réponse donnée par le groupe Miriadan à une personne qui s’interrogeait
sur le devenir d’un chat qu’elle avait aussi dû faire piquer. Cette réponse m’a
touchée en plein cœur et peu à peu, j’ai pu sortir de l’extrême désespoir.
Outre la culpabilité, l’amour immense que je ressens pour cette petite chatte
sauvage a pu s’exprimer totalement dans le lâcher prise, l’acceptation.
J’avais
essayé de maintenir cet amour à l’écart, afin de moins souffrir copiant le
comportement de ma mère, jouant les « adultes » insensibles mais en
fait, en l’exprimant sans retenue, j’ai élevé mon taux vibratoire et j’ai pu
parler à Bilou en ayant la certitude qu’elle m’entendrait. La réponse de
Miriadan m’a donné la direction et j’ai senti un immense soulagement en le
lisant. Cette réponse donnée le 22 septembre à 20h45 est venue répondre à mes questions du 22 décembre à 20h45...
Je
copie colle la réponse :
« Cet être cher auquel vous étiez attachés tous deux vous aimait également énormément. Et cet amour reste près de vous à jamais.
Lorsqu'un élément de vie divin, tel qu'un animal, se libère de son incarnation, il est dirigé vers une sphère de détachement et d'apaisement. En lien avec son âme de groupe ou individuelle selon le cas, il évalue son parcours.
Vous avez beaucoup de croyances à cet égard. Vous êtes nombreux à penser que seuls les humains disposent d'une âme et de "privilèges" liés à cet état. Il en est autrement.
Tout élément de vie, quel qu'il soit, a droit à une évolution. Tout élément de vie dispose de son étincelle divine que vous appelez âme ou conscience. Et, tout comme vous, certains ont déjà cheminé là où vous en êtes et continuent, d'autres ignorent encore les vérités que vous découvrez.
Les animaux sont comme vous. Ils se transforment dans ce que vous craignez être la mort, et se reposent ou participent à nouveau activement dans des sphères dédiées.
Lorsque l'Amour lie les êtres, sans distinction de race ou de forme, alors vous conservez ce lien par votre cœur. Et votre signature énergétique en porte le cadeau. Le souvenir de votre chat perdure auprès de vous, le temps que la tristesse se mue en joie de le sentir épanoui.
Quand
vous serez emplis de la caresse de son regard, quand le sentiment de perte se
sera effacé, vous pourrez à tout moment l'appeler et lui parler. Et il sera là.
Car
l'Amour est partout, pont qui relie les éléments de vie, quels qu'ils soient.
Je ne me suis pas obligée à susciter la joie, à forcer les choses mais le fait de savoir cela m’a redonné l’espoir. C’est quelque chose que je pressentais mais quand on est plongé dans la douleur de la perte à laquelle s’ajoute la culpabilité, il est bien difficile d’y voir clair.
J’ai
continué à rassurer l’enfant intérieur en offrant à la source toute les pensées
émotions qui montaient et j’ai regardé cette vidéo (voir au bas de l'article) qui est en Anglais mais vous
pouvez activer les sous-titrtes en français en cliquant sur le logo "paramètres", un cercle cranté,
en bas, à droite du lecteur de vidéo.
Là, c’est la peur des mondes invisibles, ceux de l’astral qui s’est manifestée. Il est clair que je crains d’être pétrifié de peur à l’idée de voir des entités même si d’un autre côté j’ai envie de communiquer avec les êtres de ma famille qui ont passé le voile. Je sens leur présence mais le doute et la peur de ne plus être intéressée par cette incarnation, d’être incapable d’assumer le quotidien, le besoin d’être ancrée, m’empêche de franchir le pas.
J’ai
aussi offert ces pensées émotions à la source en gardant l’attention sur les
mots « amour infini, paix, liberté…évoqués par les personnes qui témoignaient
de leur expérience de mort imminente. Une réponse est venue intérieurement: "Contente toi de maintenir la paix, l'unité intérieures en continuant de libérer la peur, la culpabilité, les croyances et illusions"
Il
est clair que mon plus « gros problème » c’est d’accepter de vivre
cette incarnation, de vivre dans un
monde totalement opposé à ce qu’est la vraie Vie. Même si je sais que l’amour
est puissant et qu’il peut soutenir la vision, permettre de vivre selon ses
aspirations profondes, ses valeurs humanistes, les traumas successifs et la
dureté de ce monde l’emportent souvent sur mon désir d’être ici.
C’est
véritablement ma foi en l’amour, en l’humain divin, qui me maintiennent en vie
ici-bas et la conviction profonde que la guérison est possible par le lâcher
prise, l’intention de manifester la paix, l’harmonie, l’unité et la joie.
En
reconnaissant les blocages internes, les peurs, la tristesse, la colère, en
bref, les masques du "Triangle de Karpman", je sais par expérience qu’on guérit
ses blessures et que la paix, l’amour, émergent du cœur de l’être mais parfois,
la nostalgie du foyer ajoutée à l’intensité des pensées émotions à libérer me
donnent envie de quitter ce monde. Et le fait de savoir qu’il reflète ce que je
porte à l’intérieur a tendance à m’embrouiller parce que j’ai vite fait de m’identifier
à ces pensées émotions.
D’ailleurs,
hier soir, le fait de pleurer et de confier cela à la source, de changer de
perspective en l’espace de quelques secondes n’a pas été évident à gérer mais
comme je n’ai rien contrôlé, comme j’ai laissé faire, la douleur a été
minimisée.
J’ai
du tout de même prendre un petit bout de cachet pour pouvoir m’endormir parce
les images de la dureté du vétérinaire et la culpabilité qu’elle suscitait me
hantaient littéralement.
J’avais beau savoir que ce qui s’exprime sans retenue se libère, je n’arrivais pas à tourner la page. Alors j’ai confié à la source le soin de réparer les dégâts durant mon sommeil, d’effacer de ma mémoire ces images.
J’avais beau savoir que ce qui s’exprime sans retenue se libère, je n’arrivais pas à tourner la page. Alors j’ai confié à la source le soin de réparer les dégâts durant mon sommeil, d’effacer de ma mémoire ces images.
Ce matin, il reste de la tristesse mais je ne considère pas que c’est "mal" que c’est l’expression d’une personne qui manque de maturité, je me dis que c’est bien naturel de vivre le deuil, d’exprimer la douleur de la perte.
Et
je me rends compte que je n’avais pas fait le deuil de la mort de mon frère au
niveau émotionnel. Le mental et la foi avaient permis de continuer de vivre
malgré la douleur mais il restait des blocages, des peurs, des émotions qui
devaient être libérées.
Jusqu’au bout ce petit être d’amour m’aura accompagnée, guidée dans cette profonde guérison.Paix à son âme et gratitude infinie...
Jusqu’au bout ce petit être d’amour m’aura accompagnée, guidée dans cette profonde guérison.Paix à son âme et gratitude infinie...
La
pensée piochée dans la boite à idées de Lulumineuse a fini de me rassurer :
"N'ayez
pas peur de reconnaître vos intuitions, elles émanent de votre potentiel de
communication sur les plans supérieurs"
Lulumineuse
Lulumineuse
Il est clair que je reste encore très influencée par le regard de ma mère sur ma foi, mes différences qui suscitent de l'incompréhension de sa part et sont le reflet de ma difficulté à m'accepter telle que je suis, justement vis à vis de ces aspects que je ne comprends pas en moi, et très souvent, ça limite la réception de l’intuition, le dialogue avec les mondes invisibles mais d’un autre côté, ça me permet d’ancrer ma foi en continuant de suivre et de favoriser l’unité, l’harmonie et la paix intérieures.
Dans cette expérience, je constate l’importance du pardon à soi qui permet de cultiver la compassion à l’intérieur et de l’associer en conscience à la puissance de l’amour. L’empathie et l’hypersensibilité sont les portes du cœur qui ouvrent sur les autres dimensions de l'être et c’est en soi qu’il est nécessaire de réaliser l’unité, l’harmonie sinon, on absorbe les douleurs des autres de façon déstabilisantes nourrissant ainsi la sensation d’être une victime impuissante qui voudra sauver le monde au détriment de ses propres besoins.
Je
ne m’étais jamais autorisée à exprimer à ce point les peines de l’enfant en moi
et je sens que l’unité intérieure, la force qui en découle c’est quelque chose
de bénéfique, de guérisseur et de libérateur.
Voyons ce que je pioche ce matin sur le site de Monique Mathieu
Clef
404
« Aimez-vous
le plus possible, acceptez-vous tels que vous êtes, sans jugement, soyez clairs
et limpides les uns avec les autres dans vos relations, dans votre travail.
Rien ne doit plus être caché car plus vous apprendrez à vivre dans la clarté,
dans la limpidité, moins vous aurez de difficultés pour développer les facultés
de l’esprit, notamment la télépathie. N’oubliez pas que pour pratiquer la
télépathie, il faut que vous soyez purs et clairs et que vous ayez maitrisé
toutes pensées parasites, tous jugements. »
Je sens que la chienne entend mes pensées et son
calme depuis hier après midi, est d’un grand soutien. Les animaux, les chiens n’expriment
pas l’amour de la même façon que les humains, ils n’ont pas d’émotions et ne s’accrochent
pas à la douleur. Ils vivent dans l’instant et la voir sereine, pleine de vie
quand j’ai enterré Bilou, m’a réconfortée. Je sens par moments, la présence de Bilou
et de Maya partie l’année dernière. Je leur ai parlé à toutes les deux hier
soir quand la confiance était revenue et je ne doute pas qu’elles m’aient
entendue.
C’est vrai que ce genre de pensées est totalement
insensé pour la majorité des gens qui pensent qu’on se fait des films, que la
douleur de la perte amène à délirer mais la sensation de paix et de réconfort
ressentis ne laisse aucun doute même si pour le mental, c’est inconcevable.
Il n’a pas été oublié hier dans l’offrande à la source. J’ai accueilli son incompréhension dans mon cœur, demandé à l’amour lumière de l’envelopper de son manteau de grâce.
Il n’a pas été oublié hier dans l’offrande à la source. J’ai accueilli son incompréhension dans mon cœur, demandé à l’amour lumière de l’envelopper de son manteau de grâce.
Clef 1008
Dites souvent dans vos méditations : " Je suis
Amour, je suis Lumière". Si vous dites ces mots, vous intégrez
encore davantage la Vibration-Amour. Quand vous affirmez : "J’aime, je
m’aime et je suis aimé(e) de tous", vous déclenchez en permanence un
processus de grandissement dans la Vibration et une augmentation de votre
fréquence vibratoire.
N’oubliez pas que le mot a un impact sur ce que vous êtes. Si vous formulez en permanence des mots positifs, vous ressentirez du positif en vous. Si vous formulez des mots inférieurs, votre fréquence vibratoire baissera ».
N’oubliez pas que le mot a un impact sur ce que vous êtes. Si vous formulez en permanence des mots positifs, vous ressentirez du positif en vous. Si vous formulez des mots inférieurs, votre fréquence vibratoire baissera ».
C’est toute la difficulté en de pareilles circonstances, exprimer ce qu’on ressent dans l’instant, sans le nourrir mais en l’offrant à la source en soi. Ce qui m’a aidée à vivre le processus, c’est la paix intérieure qui est le signe que l’amour absorbe les douleurs, les basses fréquences.
Là encore, les médicaments sont utiles parce qu’ils
me permettent de ne pas rester bloquée sur les sentiments douloureux. Il y a tant
à lâcher que c’est une bonne chose de pouvoir le faire petit à petit. Tant pis
si pour le moment j’ai encore besoin de ça pour ne pas être affectée par mon
hypersensibilité. C’est déjà une bonne chose de l’avoir reconnue et laissée s‘exprimer.
C’est en le faisant que l’amour en soi grandit, que la confiance s’installe et
que l’équilibre intérieur se réalise.
Même si je suis loin d’avoir saisi le sens spirituel de cette épreuve, je sens que le fait d’avoir pu regarder la mort en face, avec les yeux du cœur, a équilibré mon hypersensibilité. Le danger quand on est hyper empathique, c’est de s’endurcir, de verser de l’autre côté afin de ne pas sentir la douleur et beaucoup de gens violents sont extrêmement sensibles paradoxalement.
Féliz, (il est bébé sur la photo et déjà très présent, conscient!) le dernier chat qui reste avec moi n’a pas voulu rentrer à la maison hier et j’ai senti que je devais vivre cette expérience seule, que j’en étais "capable".
Enfin seule, dans l’intimité de la source intérieure.
C’est sûr que l’autonomie affective s’acquiert de cette façon, dans l’accueil et l’harmonisation des pensées émotions en soi et quand on vit ce genre de situation, c’est qu’on est prêt.
La vie ne nous brutalise jamais, elle sait ce dont nous sommes capables et c’est sûr que je n’aurais pas pu vivre ça, il y a six mois par exemple.
Avec du recul je peux voir que ce dernier mois a été une préparation jusqu’à hier matin où j’ai été couverte de cadeaux de toutes parts.
Je ne suis pas tombée dans le piège de me dire que j’avais cocréé cet évènement douloureux de façon inconsciente, comme l’expression de mon refus de recevoir, la conséquence du manque d’amour de soi, le sentiment de ne pas le mériter.
Même si c’est le cas, ça ne sert à rien de s’attacher à ce genre de pensées.
Par contre quand la culpabilité se manifeste, il est nécessaire de l’offrir à l’amour en soi. Et quand on le fait, elle ne vient plus nous tarauder. C’est le signe que l’amour a agit.
J’ai dû aussi lâcher la culpabilité de ne pas avoir
été capable de maintenir la foi en la capacité de guérison par la vibration d’amour
mais je ne cherche pas à développer le sujet, je préfère cultiver la confiance
et l’ouverture.
C’est de cette façon qu’on peut recevoir les réponses au moment
où on est prêt à entendre.
Pour le moment, la priorité, c’est d’être ancrée, de
simplifier les choses au maximum dans la gestion du quotidien et d’user de bon sens pour prendre soin de mes
besoins physiques. Retrouver un sommeil équilibré et plus long me semble indispensable.
Le mode de survie consiste à vivre selon le système nerveux, à coup d’excitations
et de moments où la fatigue nous oblige à nous reposer. Alors oui, on peut
trouver de l’énergie dans cette dynamique mais c’est épuisant, stressant et les
rares moments de joie qui dépendent de l’extérieur, des circonstances, sont
fragiles et éphémères.
Apprendre à écouter son corps, à lui faire confiance, à
se nourrir en conséquence, selon ce qui fait envie, ce qui enclenche la
salivation, c’est la meilleure façon de l’honorer et d’avoir de l’énergie. En
ce moment, j’ai senti le besoin de m’allonger régulièrement et je sens que le
plus simple serait de rester plus longtemps au lit le matin. Parce que bien
souvent, l’enthousiasme qui me pousse à me lever, sans tenir compte des signes
envoyés par le corps physique, c’est une forme de violence, un manque d’amour
de soi, un désir motivé par la peur, le sentiment d’urgence.
Il est important que je me détende à ce niveau là
parce que même si je ne sais pas encore exactement comment mettre en forme mon
projet, ce qui me tient à cœur, ce dont je suis certaine c’est que j’ai quelque
chose de spécifique à réaliser, que mon âme n’est pas venue par hasard et que l’heure
de passer le voile n’est pas encore venue.
La ‘mission’ de chacun est de
rayonner l’amour de la source et ça commence en soi mais il est inutile d’essayer
de projeter mentalement, de chercher à savoir par l’intellect.
« Beyond Our Sight » Anthony Chene
Témoignage d’anglophones ayant vécu des
expériences de mort imminente ou NDE
J’ai enfin compris et accepté le fait
que c’est l’état de réceptivité, d’accueil qui permet d’être guidée, inspirée. Tout
vient toujours en son temps, au bon moment et la responsabilité de la
personnalité, c’est de faire confiance au cœur, à l’amour, à la source.
En recherchant le code d’intégration de la vidéo, je
suis tombée sur une nouvelle qui vient de sortir aujourd’hui même et je
voie cela comme une réponse aux questions de l’enfant intérieur.
Merci à la
vie, aux synchronicités, à mon âme et à celles de tous ceux qui m’aident à me
souvenir que la vie ici-bas n’est qu’un jeu, un jeu de miroir et que la Vraie Vie
est ailleurs, même si celle-ci est importante.
Les réponses arrivent toujours
quand on est ouvert, quand on a lâché les attentes, quand on accepte ce qui est,
quand on accepte de ne pas bloquer les pensées émotions qui émergent afin d’être
libérées.
C’est vrai que j’ai encore du mal avec la question de la
réincarnation et la culpabilité que je libère en ce moment semble être
étroitement liée à cela.
Je peux remercier aussi, une fois de plus, Bilou pour
ce cadeau, cette occasion de lâcher quelque chose qui bloque la réception de
dons sans lesquels je ne serais pas complète.
Je ne compte pas non plus
là-dessus pour m’orienter mais déjà, le fait de ne plus résister à ce que je
ressens est très libérateur.
Magali m’avait parlé de karma terrestre puis de
karma galactique mais je bloquais, je craignais de rester perchée, coincée dans la culpabilité, de ne pas
pouvoir faire le lien entre la réalité de ce monde et celle des mondes
invisibles. Je voulais aussi savoir par moi-même, de l'intérieur.
Cultiver l'amour en moi et développer mes perceptions en cohérence de façon à ce que le mental puisse suivre, intégrer les choses.
La plupart des fois où j’en ai parlé dernièrement était l’expression
de ma peur, de ma résistance, la peur de l'opinion de ma mère à ce sujet, son incompréhension. Et tout ce parcours a favorisé la prise de responsabilité, d'autonomie dans le face à face avec la mort.
La résistance, le jugement, l'auto-critique ou les attentes empêchent d’être
ouvert, réceptif. Et chaque fois que la conscience s’ouvre, c’est toujours dans
l’ouverture de cœur, c’est un phénomène simultané.
Le truc maintenant, c’est de maintenir cette paix et
cette ouverture du cœur et de l’esprit. C’est certainement aussi cette
résistance due à la peur qui me donne la sensation de ne plus entendre mon âme aussi clairement et simplement bien que des voix se fassent entendre. Mais c'est toujours la même chose, la peur enclenche des stratégies d'évitement, on minimise ce qui est reçu, on se dit qu'on affabule…
Et cette vidéo vient confirmer mon intuition, mon ressenti et ce désir d'union entre la conscience et le cœur...Je publie la vidéo sans l'avoir vue entièrement mais j'aurais certainement l'occasion d'en reparler...
Je copie colle la présentation de la vidéo :
Olivier Chambon, docteur psychiatre, explique
comment aborder les thèmes de la mort, de l'au-delà, et de la conscience avec
les enfants.
Il nous montre qu'ils sont généralement bien plus ouverts que les adultes sur ces sujets, et qu'il faut savoir les écouter et les accompagner.
Le site de Tistrya : http://www.tistryaprod.com
Il nous montre qu'ils sont généralement bien plus ouverts que les adultes sur ces sujets, et qu'il faut savoir les écouter et les accompagner.
Le site de Tistrya : http://www.tistryaprod.com
« La
mort expliquée aux enfants » Olivier Chambon
Clefs
de sagesse trouvées sur le site de Monique Mathieu : http://ducielalaterre.org
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr