dimanche 4 octobre 2015

« Agir à partir de soi-même, loyalement, en toute sincérité »





1 octobre ; Ce matin, ça n’est pas la super forme. J’ai eu du mal à m’endormir et me suis réveillée tard enfin à 8 heures passées. Le chat a dormi avec moi mais il m’a agacé à me réveiller en plein sommeil. J’ai encore du mal avec ça mais je ne culpabilise plus d’avoir des réactions un peu agressives. Dans mon rêve, je revenais sur des événements, pensées, de la veille, que j’échangeais avec je ne sais qui. 
Je suppose que c’est un ajustement des croyances passées, une réécriture, un alignement à mes valeurs actuelles. 
Elles varient au fil du temps, des expériences et prises de conscience mais le fond reste toujours le même, la nécessité de trouver le juste milieu, la paix et l’harmonie

Je lâche les croyances, l’attachement à l’ego pour me rapprocher de ma vraie nature, de l’être multidimensionnel, conscient de n’être pas seulement un corps physique. 
Et en même temps consciente de la valeur de ce dernier
Le soleil est enfin de retour mais comme le ciel est déjà bariolé ça risque d’amener soit du vent violent, soit des nuages plombés de produits chimiques. 
J’ai fait mon tour dans la nature et l’air est déjà vicié, amer. La température a brusquement chuté et l’humidité qui s’installe dans la maison a cause de la pluie m’a plombé le moral. 
Alors j’aère, profite des doux rayons du soleil d’automne pour qu’ils absorbent l’humidité. Je vais commencer à m’occuper sérieusement du poêle que je n’ai pas voulu allumer hier. Il fait encore doux et si la pluie avait continué, j’aurais allumé.

vendredi 2 octobre 2015

…Rêvolution…& méditations guidées de Mesnet





Je suis toute excitée ce matin ! Le rendez-vous avec la conseillère pro me ravit parce que cette fois-ci, non seulement, je ne l’appelle plus "assistante sociale" mais j’y vais motivée par la candidature au stage/formation de rénovation d’objets usagés. Comme par hasard, maintenant que je ne rejette plus rien de ce que je suis et que j’ai réintégrée l’ado intérieure dans le dialogue à la table ronde interne, j’ai pris conscience que cette femme est une conseillère pro et pas une assistante sociale et ça change tout ! 
Là encore, c’est la preuve indéniable qu’on voit le monde selon ses blessures, croyances ! On voit ce que l’on croit et en changeant ses pensées, on change carrément son monde, plus aucun doute à ce sujet !

Je la percevais comme une assistante sociale tant que je m’identifiais à la victime d’inceste que j’ai été. Je restais accrochée à cette vision de moi-même qui me protégeait tout simplement de la peur d’être, d’oser m’affirmer. 
Tant qu’on a une vision négative de soi, qu’on ne voit que "ses problèmes", "ses défauts", tout "ce qui cloche", on est confiné dans le rôle de perdant, de victime et l’univers, la vie se conforment à nos croyances, nos pensées. 
La puissance de la focalisation de la pensée est à l’œuvre ! Et la prise de conscience vis à vis de cette personne, de sa fonction réelle, que je vois depuis cinq ans maintenant, témoigne de ma guérison tout autant que l'enthousiasme qui me porte pour le rendez-vous, la préparation de la lettre de motivation et le CV actualisé.

Il est vrai que la phase d’introspection où on fait face à ses blessures, peut donner le sentiment qu’on n’avance pas puisque tout ce qu’on avait refoulé doit être vu afin que la mise à jour s’effectue à tous les niveaux, dans tous les corps.

« L’autoguérison est une autorisation que l’on se donne » Chantal Attia & commentaires





En matière de guérison beaucoup de gens ont fini par croire que l’autoguérison consistait soit à ne rien prendre, soit à ne prendre que des plantes par exemple, pour ne faire confiance uniquement qu’aux capacités de son corps.
Eh bien non ! L’autoguérison c’est avant tout une AUTORISATION QUE L’ON SE DONNE A GUÉRIR.

Il en est de même pour la guérison, qui est toujours une autoguérison, mais dans laquelle on ne se pose tout simplement pas la question de l’autorisation.

Combien de personnes essaient toutes les méthodes possibles et imaginables et qui n’obtiennent pas la guérison qu’elles désirent ? Qui passent d’une méthode à une autre, d’un praticien à un autre tandis que la situation empire au lieu de s’améliorer ?
Jusqu’à ce qu’elles se posent pour se poser la bonne question :
– « Mais pourquoi, moi, suis-je dans cette spirale qui me fait passer d’une méthode à une autre, d’un médecin à un autre ? »
Parce que la solution n’est pas à l’extérieur de soi, mais EN soi.
Cette solution qui consisterait à se dire :
– « Est-ce que je vais continuer à utiliser MON POUVOIR pour continuer à être malade ou est-ce que je vais enfin, MOI, utiliser MON POUVOIR pour prendre la décision de ME guérir ? »

mercredi 30 septembre 2015

« Vous mangez de la viande ? Pardonnez-vous ! »




Autre Titre : « Pardonnez les Bouffeurs de McDo ! »
Je lisais cet article vraiment sympa, faisant l’apologie du végétarisme.
lauramarietv.com/le-jour-ou-les-animaux-mont-demande-darreter-de-les-manger/
A une époque j’aurai pu l’écrire moi-même.
(voir l’émission: Émission: Connaitre et Équilibrer 6 aspects de notre vie pour un épanouissement véritable et complet)

Il y a quelques mois, j’étais entrée en « guerre » contre moi-même, pour aller dans le sens de mes convictions.
Celle qui viennent de la certitude :
·         Qu’on peut vivre sans manger de viande et qu’on n’est même pas fait pour ça.
·         Que ça peut être agréable.
·         Qu’on se sent terriblement mieux.
·         Et qu’on respecte, en faisant cela, des valeurs de préservation de notre environnement
·         Et de respect des êtres vivants.
Cette idée me convient parfaitement. Elle est en accord avec toutes mes valeurs.
Mais elle n’est pas encore en accord avec la totalité de mon être.
Je dis être entrée en guerre contre moi-même. Oui ! contre mes habitudes, mes envies, et ce que j’appellerais mes besoins.
Je suis aussi entrée en guerre contre ma famille, et mon fils de 4 ans qui me réclamait du sucre et du gluten.
Et j’ai perdu cette bataille.
Je me suis longtemps culpabilisée de cela. Mais j’ai décidé de dire STOP.

« L’âme fragmentée face à l’alimentation » Samuel et Xaltar





Enseignement reçu de Xaltar, esprit cristallin ancré dans un crâne de cristal en quartz fumé. Dans ses propriétés métaphysiques, le quartz fumé offre un bouclier psychique contre les vibrations négatives, nettoie l’aura et les corps subtils tout en étant un minéral d’ancrage qui aide à relier le corps physique avec son Soi Supérieur.

Xaltar : On a fait un bon bout de chemin ensemble depuis nos débuts. Ce chemin s’est fait majoritairement dans le silence, celui de nos cœurs et de nos âmes. Et oui ! Les êtres de cristal ont aussi une âme. Elle est un peu différente de la vôtre car elle n’est pas fragmentée mais décomposée.
Quelle est la différence entre âme décomposée et âme fragmentée ?

Xaltar : Je vais te l’expliquer.
Une âme fragmentée est une âme séparée de certains de ses corps vibratoires, notamment pour vous, de son corps d’incarnation. Cela explique les dysfonctionnements qui peuvent affubler un corps d’incarnation. Les cellules se répliquent de moins en moins bien car vous le savez, elles sont des copies de copies avec des erreurs à chaque renouvellement. Elles n’ont plus le modèle idéal et parfait, celui que l’âme a prévu au début de l’incarnation pour venir éprouver une expérience. Cela explique donc que les vrais êtres ascensionnés vont rajeunir lorsque l’alignement de l’âme avec TOUS ses corps vibratoires sera réalisé. Il peut y avoir reconnexion entre l’âme et la conscience d’un être incarné, comme pour toi, mais il n’y a pas encore alignement des corps. Tu continues donc de vieillir et de souffrir de maux physiques divers.
Quand il y a alignement des corps, nous nous trouvons dans la situation d’une âme décomposée.

« Susciter la joie par la créativité » & vidéos d'animation





Et bien ce matin, il va falloir faire preuve d’imagination pour remplir la journée de joie ! La pluie depuis hier soir, le réveil provoqué par une grosse et longue bouffée de chaleur, dans le noir à cause des plombs qui ont encore sauté pendant la nuit, cinq heures de sommeil en tout…voilà une belle offrande à faire à la source ! Mon plexus solaire est irrité ce qui montre que le corps a besoin de sa dose de médocs…
Céder, ne pas céder, parler au corps mental ? Je choisis cette dernière option, tant que la gêne est supportable. Après tout, il y a un message derrière cette sensation.  Je vais juste respirer et poser la question sans attendre de réponse immédiate. 
Puis effectuer mon rituel d’ancrage, de centrage, de connexion au « ciel » à la terre Mère, leur demander d’harmoniser les énergies en moi, appeler mes corps à rester unis, solidaires…J’en ai des frissons…

En cette période où la lune révèle les ombres en soi, et comme très souvent en ces moments, je suis poussée à faire du ménage. C’est quelque chose qui ne m’a jamais attirée et j’ai toujours fait en sorte d’en faire le minimum mais là, je fignole et j’y prends goût! 
Le plus difficile, c’est le premier pas, se décider à agir mais une fois qu’on est lancé, ça va tout seul. Puis je fais mon petit rituel précité et ça me donne l’élan d’agir portée par la joie. 
C’est vrai qu’en tant que femme, c’est un aspect qui a besoin d’être éclairé, pacifié, réintégré dans le cœur afin de dissoudre les pensées de soumission, de rôle mal distribué, les idées du genre « la femme qui répare les conneries des hommes, qui remet de l’ordre, qui doit jouer les mères, passer sont temps à servir, à se taire… » 
Tout ça, c’est du passé et même si la jeunesse est subjuguée par l’image, les lumières des vidéos de chanteuses qui font de la sexualité et de la séduction un business, quelques uns parmi eux sont conscients des illusions de ce monde.

mardi 29 septembre 2015

« Ça remue encore ; c’est l’occasion de trouver le centre, l’équilibre »





Ce matin, en voyant le peu d’intérêt des lecteurs pour le texte magnifique de Francesca qui parle de « La transmutation de nos ombres », je suis triste et j’avoue que l’espoir me manque. Remarque, espoir en quoi ? Voir le monde changer, les gens être plus heureux, plus authentiques, fraternels ? 
Toutes ces questions font écho à mes propres vœux alors comme tout commence en soi, je sais quoi faire de ça. Tout est tordu, tronqué, falsifié dans ce monde mais tant que je focaliserais sur ça, tant que je m’en plaindrais, je ne ferais qu’amplifier la situation, le malaise. Cette réflexion soulève mon besoin de transparence, de droiture, de sincérité, de « vérité » qui peut devenir un poids, une souffrance dans l'excès. Elle révèle aussi ma difficulté à accepter ma façon de gérer mon monde, d’utiliser des médicaments pour m’aider à être ici, à habiter mon corps physique.

Tout ce qui me dérange au dehors fait écho à ce que je n’aime pas en moi.
C’est un constat évident quand on ose se regarder en face, avec sincérité, neutralité.
Tout le monde peut connaitre cette vérité universelle mais ça demande le courage de devenir responsable de soi-même, de sortir du rôle de victime impuissante. 
Et ça n’est pas facile parce que tout à l’extérieur nous donne l’impression que nous sommes petit, soumis, insignifiant et impuissant.