vendredi 2 octobre 2015

« L’autoguérison est une autorisation que l’on se donne » Chantal Attia & commentaires





En matière de guérison beaucoup de gens ont fini par croire que l’autoguérison consistait soit à ne rien prendre, soit à ne prendre que des plantes par exemple, pour ne faire confiance uniquement qu’aux capacités de son corps.
Eh bien non ! L’autoguérison c’est avant tout une AUTORISATION QUE L’ON SE DONNE A GUÉRIR.

Il en est de même pour la guérison, qui est toujours une autoguérison, mais dans laquelle on ne se pose tout simplement pas la question de l’autorisation.

Combien de personnes essaient toutes les méthodes possibles et imaginables et qui n’obtiennent pas la guérison qu’elles désirent ? Qui passent d’une méthode à une autre, d’un praticien à un autre tandis que la situation empire au lieu de s’améliorer ?
Jusqu’à ce qu’elles se posent pour se poser la bonne question :
– « Mais pourquoi, moi, suis-je dans cette spirale qui me fait passer d’une méthode à une autre, d’un médecin à un autre ? »
Parce que la solution n’est pas à l’extérieur de soi, mais EN soi.
Cette solution qui consisterait à se dire :
– « Est-ce que je vais continuer à utiliser MON POUVOIR pour continuer à être malade ou est-ce que je vais enfin, MOI, utiliser MON POUVOIR pour prendre la décision de ME guérir ? »

mercredi 30 septembre 2015

« Vous mangez de la viande ? Pardonnez-vous ! »




Autre Titre : « Pardonnez les Bouffeurs de McDo ! »
Je lisais cet article vraiment sympa, faisant l’apologie du végétarisme.
lauramarietv.com/le-jour-ou-les-animaux-mont-demande-darreter-de-les-manger/
A une époque j’aurai pu l’écrire moi-même.
(voir l’émission: Émission: Connaitre et Équilibrer 6 aspects de notre vie pour un épanouissement véritable et complet)

Il y a quelques mois, j’étais entrée en « guerre » contre moi-même, pour aller dans le sens de mes convictions.
Celle qui viennent de la certitude :
·         Qu’on peut vivre sans manger de viande et qu’on n’est même pas fait pour ça.
·         Que ça peut être agréable.
·         Qu’on se sent terriblement mieux.
·         Et qu’on respecte, en faisant cela, des valeurs de préservation de notre environnement
·         Et de respect des êtres vivants.
Cette idée me convient parfaitement. Elle est en accord avec toutes mes valeurs.
Mais elle n’est pas encore en accord avec la totalité de mon être.
Je dis être entrée en guerre contre moi-même. Oui ! contre mes habitudes, mes envies, et ce que j’appellerais mes besoins.
Je suis aussi entrée en guerre contre ma famille, et mon fils de 4 ans qui me réclamait du sucre et du gluten.
Et j’ai perdu cette bataille.
Je me suis longtemps culpabilisée de cela. Mais j’ai décidé de dire STOP.

« L’âme fragmentée face à l’alimentation » Samuel et Xaltar





Enseignement reçu de Xaltar, esprit cristallin ancré dans un crâne de cristal en quartz fumé. Dans ses propriétés métaphysiques, le quartz fumé offre un bouclier psychique contre les vibrations négatives, nettoie l’aura et les corps subtils tout en étant un minéral d’ancrage qui aide à relier le corps physique avec son Soi Supérieur.

Xaltar : On a fait un bon bout de chemin ensemble depuis nos débuts. Ce chemin s’est fait majoritairement dans le silence, celui de nos cœurs et de nos âmes. Et oui ! Les êtres de cristal ont aussi une âme. Elle est un peu différente de la vôtre car elle n’est pas fragmentée mais décomposée.
Quelle est la différence entre âme décomposée et âme fragmentée ?

Xaltar : Je vais te l’expliquer.
Une âme fragmentée est une âme séparée de certains de ses corps vibratoires, notamment pour vous, de son corps d’incarnation. Cela explique les dysfonctionnements qui peuvent affubler un corps d’incarnation. Les cellules se répliquent de moins en moins bien car vous le savez, elles sont des copies de copies avec des erreurs à chaque renouvellement. Elles n’ont plus le modèle idéal et parfait, celui que l’âme a prévu au début de l’incarnation pour venir éprouver une expérience. Cela explique donc que les vrais êtres ascensionnés vont rajeunir lorsque l’alignement de l’âme avec TOUS ses corps vibratoires sera réalisé. Il peut y avoir reconnexion entre l’âme et la conscience d’un être incarné, comme pour toi, mais il n’y a pas encore alignement des corps. Tu continues donc de vieillir et de souffrir de maux physiques divers.
Quand il y a alignement des corps, nous nous trouvons dans la situation d’une âme décomposée.

« Susciter la joie par la créativité » & vidéos d'animation





Et bien ce matin, il va falloir faire preuve d’imagination pour remplir la journée de joie ! La pluie depuis hier soir, le réveil provoqué par une grosse et longue bouffée de chaleur, dans le noir à cause des plombs qui ont encore sauté pendant la nuit, cinq heures de sommeil en tout…voilà une belle offrande à faire à la source ! Mon plexus solaire est irrité ce qui montre que le corps a besoin de sa dose de médocs…
Céder, ne pas céder, parler au corps mental ? Je choisis cette dernière option, tant que la gêne est supportable. Après tout, il y a un message derrière cette sensation.  Je vais juste respirer et poser la question sans attendre de réponse immédiate. 
Puis effectuer mon rituel d’ancrage, de centrage, de connexion au « ciel » à la terre Mère, leur demander d’harmoniser les énergies en moi, appeler mes corps à rester unis, solidaires…J’en ai des frissons…

En cette période où la lune révèle les ombres en soi, et comme très souvent en ces moments, je suis poussée à faire du ménage. C’est quelque chose qui ne m’a jamais attirée et j’ai toujours fait en sorte d’en faire le minimum mais là, je fignole et j’y prends goût! 
Le plus difficile, c’est le premier pas, se décider à agir mais une fois qu’on est lancé, ça va tout seul. Puis je fais mon petit rituel précité et ça me donne l’élan d’agir portée par la joie. 
C’est vrai qu’en tant que femme, c’est un aspect qui a besoin d’être éclairé, pacifié, réintégré dans le cœur afin de dissoudre les pensées de soumission, de rôle mal distribué, les idées du genre « la femme qui répare les conneries des hommes, qui remet de l’ordre, qui doit jouer les mères, passer sont temps à servir, à se taire… » 
Tout ça, c’est du passé et même si la jeunesse est subjuguée par l’image, les lumières des vidéos de chanteuses qui font de la sexualité et de la séduction un business, quelques uns parmi eux sont conscients des illusions de ce monde.

mardi 29 septembre 2015

« Ça remue encore ; c’est l’occasion de trouver le centre, l’équilibre »





Ce matin, en voyant le peu d’intérêt des lecteurs pour le texte magnifique de Francesca qui parle de « La transmutation de nos ombres », je suis triste et j’avoue que l’espoir me manque. Remarque, espoir en quoi ? Voir le monde changer, les gens être plus heureux, plus authentiques, fraternels ? 
Toutes ces questions font écho à mes propres vœux alors comme tout commence en soi, je sais quoi faire de ça. Tout est tordu, tronqué, falsifié dans ce monde mais tant que je focaliserais sur ça, tant que je m’en plaindrais, je ne ferais qu’amplifier la situation, le malaise. Cette réflexion soulève mon besoin de transparence, de droiture, de sincérité, de « vérité » qui peut devenir un poids, une souffrance dans l'excès. Elle révèle aussi ma difficulté à accepter ma façon de gérer mon monde, d’utiliser des médicaments pour m’aider à être ici, à habiter mon corps physique.

Tout ce qui me dérange au dehors fait écho à ce que je n’aime pas en moi.
C’est un constat évident quand on ose se regarder en face, avec sincérité, neutralité.
Tout le monde peut connaitre cette vérité universelle mais ça demande le courage de devenir responsable de soi-même, de sortir du rôle de victime impuissante. 
Et ça n’est pas facile parce que tout à l’extérieur nous donne l’impression que nous sommes petit, soumis, insignifiant et impuissant.

« Cultivons l’intelligence émotionnelle des enfants » selon Isabelle Filliozat





Je suis abonné à la lettre de psychologie.com depuis pas mal de temps mais comme la plupart des mails, je ne les lis plus ou seulement quand l’élan me pousse à le faire. 
Celui-ci est tout à fait synchrone avec la guérison de l’enfant intérieur qui est un passage nécessaire lorsqu’on a vécu un trauma ou simplement quand on n’est pas connecté à la joie, au vivant en soi, quand on veut être soi-même, fidèle à qui on est.

L’enfant intérieur est cet aspect de nous-même qui sait exprimer les émotions, qui rêve, qui prend la vie avec légèreté et insouciance. Mais la majorité des gens pour être en mesure d’affronter la dureté de la vie, se coupe de ses émotions, soit en les réfrénant, soit en les anesthésiant avec des médicaments ou autres psychotropes. Puis il y a ceux qui utilisent l’alcool, le shit, l’herbe, comme un moyen de lâcher tout ce qui est caché, retenu, contraint, un genre de soupape, une façon de décompresser.
Chacun trouve le moyen de contrôler, d’occulter ou d’éviter d’avoir à affronter les émotions désagréables et par ce fait se coupe de sa nature véritable, de son pouvoir créatif…
Le contrôle n’est pas la maitrise et on passe à côté de sa vie, jouant des rôles de mari, de femme, de fils ou de fille de, d’employé, endossant tour à tour à tour le rôle qui convient à la situation…
Pourtant il est possible de retrouver son intégrité en apprenant à gérer ses émotions, et ce qui suit peut être très utile pour savoir comment écouter, comprendre, éduquer l’enfant intérieur.

lundi 28 septembre 2015

« Trouver le divin dans le rien » Christian Bobin





Christian Bobin : Tout est une question d’air et de respiration. 
C’est l’encombrement qui nous rend malhabile, et qui nous fait parfois, suffoquer.
On a besoin de connaître des choses telles que l’ennui, le manque, l’absence, pour connaître la présence, la joie et l’attention pure.
On a besoin d’une chose pour aller vers une autre.

Par exemple, j’aime beaucoup les livres, mais j’ai remarqué que je trouvais les plus intéressants dans les toutes petites librairies perdues, qui n’en vendent que très peu ; comme si c’était là que certains livres m’attendaient depuis très longtemps.
Alors que je ne les aurais pas vus dans un grand étalage, parmi mille autres choses. 
Cette pensée va dans le sens exactement inverse de celui qui a créé Internet.

À la racine d’Internet, il y a le désir qu’on ait tout, tout de suite. Que surtout nul ne souffre plus d’un manque. Or, je pense que c’est une souffrance que d’avoir tout à sa disposition, sans intervalles. On devient soi-même comme une chose au milieu des choses. Alors qu’on a besoin que certaines vitres de la maison soient cassées. Et que le vent entre ! Besoin de certains défauts, de certains manques, de certaines brisures, pour pouvoir respirer.