En
survolant les infos relayées par des sites alternatifs dont je trouve la liste
sur le site suivant ; « le grand changement », je constate que
celles-ci n’ont plus aucun impact sur moi. Déjà, il faudrait pour cela, que je
m’y intéresse et que j’ignore mon pouvoir de cocréation.
Les images choc,
relayées sur les réseaux sociaux, ont pour but de nous maintenir dans la peur
et la culpabilité mais si on prend du recul, on peut y voir le reflet de la
façon dont chacun traite l’enfant en soi.
Jouer sur l’émotionnel est une
stratégie d’asservissement qui fonctionne depuis toujours.
La solution est
pourtant simple, il suffit de vouloir apprendre à gérer son monde intérieur. Guérir ses propres blessures, oser écouter la voix de l’enfant en soi
et le rassurer, rayonner l’amour et la lumière essentielle sur tout ce que nous
sommes.
Ça demande d’avoir la foi, la foi en soi, en l’amour, en l’humain divin,
créateur de son monde et cocréateur conscient ou inconscient de ce qui advient.
On ne peut pas d’un côté nourrir les besoins de l’ego, de pouvoir, de pouvoir d’achat,
le système où chacun est considéré comme un consommateur et en même temps
revendiquer la justice sur terre.
La société de consommation est fondamentalement injuste puisqu'elle tire son pouvoir de la spéculation, des inégalités sociales qu'elles créent et de l’ignorance, de la peur des masses.
La justice comme toute autre vertu, se
cultive d’abord en soi.
Comment réagissons-nous face à nos erreurs, à nos
peurs, nos faiblesses ?
Où plaçons-nous notre confiance ? À qui déléguons-nous
notre pouvoir ? Qu’est ce qui pour nous a de la valeur ? Quelles sont nos valeurs ?
Les vivons-nous au quotidien ?
La société de consommation, celle qui
déclare que la valeur d’une personne se mesure à son pouvoir d’achat, ses
biens, sa position sociale, la croyons-nous ?