« Comment vous aimer et de quelle manière
vous aimer ?
Sur
Terre, lorsque vous êtes amoureux, vous savez comment aimer l’autre !
Nous
vous dirons donc de vous aimer de la même façon : soyez
amoureux de vous-mêmes !
Au
début, cela peut paraître insensé car vous pensez que vous ne pouvez pas être
amoureux de vous-mêmes, que vous pouvez être amoureux de la vie, des
belles choses, d’une autre personne, mais de vous-mêmes, comment est-ce
possible ?
Nous
dirons ceci : essayez de concevoir qu’au-dedans de vous-mêmes brille le
merveilleux Être de Lumière que vous êtes et également votre Partie Divine, ce
pur diamant. Comment ne pas être amoureux de cette partie de vous-mêmes que
vous négligez ?
Les mystiques sont amoureux de Dieu ; certains Chrétiens le sont également.
Ce
n’est pas quelque chose d’insensé, ce n’est pas quelque chose que vous ne
pouvez pas atteindre ! Ils ont simplement trouvé une clé et ils s’en
servent.
Bien
sûr, vous pouvez être amoureux de Dieu, mais lorsque vous considérez que Dieu
est en vous, vous pouvez aimer Dieu en vous aimant !
Vous
ne pouvez pas savoir la joie profonde que procure le fait de s’aimer
soi-même !
Encore une fois, s’aimer soi-même veut dire être amoureux de ce
qu’il y a de plus beau en vous, être amoureux du merveilleux Être de Lumière
que vous êtes.
Lorsque
vous avez cette conscience, votre aspect extérieur n’a plus aucune importance,
parce que vous percevez l’essentiel de ce que vous êtes et non l’enveloppe,
l’habit !
A
partir du moment où vous pourrez réellement aborder ce rivage de vous-mêmes,
nous vous certifions que vous serez réellement en cinquième dimension et que
vous vous y maintiendrez.
Vous
pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :
·
qu'il
ne soit pas coupé
·
qu'il
n'y ait aucune modification de contenu
·
que
vous fassiez référence à notre site http://ducielalaterre.org
·
que
vous mentionniez le nom de Monique Mathieu
( Message
publié le 23 février 2013 )
Il est "facile", si on peut dire, d’aimer l’être parfait, divin, qui nous habite mais arriver à s’aimer avec nos faiblesses, nos défauts, nos imperfections, c’est autre chose.
Quand on s’accepte totalement, la perception de
soi change peu à peu, même si on ne peut voir le divin en soi.
Accepter d’être
vulnérable, imparfait, limité, autorise la source à œuvrer en soi, la tendresse à s’écouler, l'infini à se révéler, l'amour à se
manifester dans les pensées, les gestes, les paroles et envers les autres.
Même si je partage mon quotidien avec des animaux depuis toujours et que je les respecte, la relation se calque sur celle que j’aie vis-à-vis de moi-même. Elle devient plus douce et s’ajoute à la spontanéité caractéristique de ces êtres dont la proximité me permet d’être authentique. Les chats m'enseignent le détachement, le "prendre soin de soi", le lâcher prise, et la chienne, le goût de l'aventure, l'amour sans conditions, la capacité d'ouverture aux autres quels qu'ils soient.
Il ne s’agit pas d’aimer ses défauts ou ses faiblesses, de s’y attacher ou de s’y identifier comme lorsque je pensais être une personnalité humaine seulement.
Les traits de caractère
définissent les individus et forgent leur personnalité au fil du temps les
rendant incapables de se remettre en question et d’évoluer.
Lorsqu'on croit être uniquement le personnage qu'on s'est construit selon nos blessures, il est extrêmement difficile de s'en détacher. Il faut très souvent arriver à un point de souffrance maximum pour trouver la source en soi. Parce qu'on s'habitue à la dureté de la vie, au manque d'amour, aux relations difficiles, au rôle de victime, de bourreau ou de sauveur qui apportent au moins l'avantage d'être en territoire connu, même si les scenarii sont récurrents et douloureux. On s'accroche à cette identité par peur de l'inconnu et de souffrir encore plus. Et pour compenser, on s'évade de la réalité de mille et une façons, on nourrit les besoins qu'imposent le rôle et on adhère à une religion, un parti, une activité qui nous donnent l'impression d'être comblé et de pouvoir réparer l'injustice.
Lorsqu'on croit être uniquement le personnage qu'on s'est construit selon nos blessures, il est extrêmement difficile de s'en détacher. Il faut très souvent arriver à un point de souffrance maximum pour trouver la source en soi. Parce qu'on s'habitue à la dureté de la vie, au manque d'amour, aux relations difficiles, au rôle de victime, de bourreau ou de sauveur qui apportent au moins l'avantage d'être en territoire connu, même si les scenarii sont récurrents et douloureux. On s'accroche à cette identité par peur de l'inconnu et de souffrir encore plus. Et pour compenser, on s'évade de la réalité de mille et une façons, on nourrit les besoins qu'imposent le rôle et on adhère à une religion, un parti, une activité qui nous donnent l'impression d'être comblé et de pouvoir réparer l'injustice.
Contrairement à ce
que l’on pourrait croire, évoluer ne veut pas dire contrôler qui on est,
notre nature et nos spécificités afin de coller au modèle qu’on s’est
fixé. La fascination pour ceux qui "réussissent" dans leur vie, pour les stars, les idoles, les maitres...nous poussent à agir par mimétisme. Ce comportement tôt ou tard nous rend frustré et malheureux parce qu'on ne peut trouver le bonheur en trahissant son cœur, son âme.
Selon ma perception et mon vécu, il s’agit plutôt d’accepter ce que nous
sommes maintenant en étant confiant que la sagesse interne nous permettra de
devenir d’abord conscient de ce qui en nous, a été forgé par les aléas de la vie
et vécu comme des traumas, afin de laisser l’amour divin rayonner sa puissance
de "pardon", d’acceptation, de compréhension.
C’est un processus qui peut demander
toute une vie, c'est une remise en question permanente et une écoute intérieure
attentive.
Et c’est ce qui rend la vie belle, douce, agréable, épanouissante,
parce que chaque jour l’amour en soi, le sentiment de liberté, de puissance, grandissent de plus en plus.
La volonté ici
ne s’exerce que dans le profond et sincère désir de manifester le divin, l’amour
lumière qui constitue l’essence primordiale de l’être.
Et c’est en le faisant
que ces énergies se révèlent, en les appliquant, en laissant le cœur les
rayonner sur tout ce qui est.
Le seul fait que nous soyons plus enclins à aimer
quelqu’un d’autre que nous même en dit long sur le genre d’amour que nous nous
portons.
Pourtant, il est impossible d’aimer et d’être aimé si on ne porte pas
ces énergies en soi.
C’est sûr que lorsqu’on aime quelqu’un et que c’est
réciproque, comme l’énergie d’amour est en mouvement et amplifie par les
échanges, la sensation est intense parce qu’en plus, elle s’associe aux pensées
émotions qui la magnifient. Et quand la sexualité s’y ajoute, l’extase est permise.
Mais trop souvent, ça ne dure pas parce que les blessures de chacun, le manque
d’amour vrai de soi viennent interférer et couper le flux de l'énergie. Et ce qu'on prenait pour de l'amour devient de la haine. Puis les attentes, l’attachement
créent des frustrations, des besoins et du manque. On connait alors la jalousie, la possessivité, la peur de se retrouver seul, d'être abandonné...
Tant qu’on ne sait pas s’aimer
véritablement, les relations aux autres seront décevantes. Mais en s’aimant
chaque jour davantage, on peut constater une nette amélioration dans les
échanges avec les autres.
Aimer véritablement ce que nous sommes en totalité révèle l'âme avec laquelle nous sommes en intime connexion et
être en communion avec la source d’amour lumière en soi, libère du besoin d’être aimé.
Lorsque ça n’est plus un besoin, la peur du manque et l’attachement qui créent tant de souffrances n’ont plus de raison d’être. On peut alors offrir cet amour à tout le monde, sans exception ou préférence.
L'amour n'est plus exclusif, focalisé sur un seul être, il rayonne librement depuis le cœur de l'être unifié.
Lorsque ça n’est plus un besoin, la peur du manque et l’attachement qui créent tant de souffrances n’ont plus de raison d’être. On peut alors offrir cet amour à tout le monde, sans exception ou préférence.
L'amour n'est plus exclusif, focalisé sur un seul être, il rayonne librement depuis le cœur de l'être unifié.
Selon mon expérience et
les cinq histoires d’amour que j’aie vécues, je constate qu’elles avaient toutes un
caractère initiatique. Elles m’ont amenées à chercher cet amour en moi.
Elles ont
révélé les blessures profondes, les peurs, les croyances erronées à propos de l’amour, de la vie et de ce que je croyais être.
Parfois guérissantes elles m’ont permis de garder la foi en l’amour qui maintenant je le sais, ne peut qu’être universel.
Parfois guérissantes elles m’ont permis de garder la foi en l’amour qui maintenant je le sais, ne peut qu’être universel.
L’amour véritable pour soi ou pour
autrui, est inconditionnel et s’offre sans attentes, sans besoin, sans
attachement.
Faire l'expérience de ce genre d'amour avec les aspects internes de l'être mène au bien-être, à la joie, au bonheur, à la liberté d'être, à l'autonomie affective et à la paix infinie du cœur.
C'est une aventure palpitante et libératrice qui conduit à la souveraineté de l'être.
Faire l'expérience de ce genre d'amour avec les aspects internes de l'être mène au bien-être, à la joie, au bonheur, à la liberté d'être, à l'autonomie affective et à la paix infinie du cœur.
C'est une aventure palpitante et libératrice qui conduit à la souveraineté de l'être.
Merci
de laisser les références, les liens, si vous souhaitez diffuser cet article dans son intégralité et de mentionner
aussi ce blog (http://lydiouze.blogspot.fr )
afin de respecter le "travail", l'investissement de chacun.