jeudi 3 septembre 2015

« De quelle manière s’aimer ? » les êtres de lumière via Monique Mathieu, (message auquel j'ajoute ma propre vision)




 « Comment vous aimer et de quelle manière vous aimer ?
Sur Terre, lorsque vous êtes amoureux, vous savez comment aimer l’autre ! 
Nous vous dirons donc de vous aimer de la même façon : soyez  amoureux  de vous-mêmes !
Au début, cela peut paraître insensé car vous pensez que vous ne pouvez pas être amoureux de vous-mêmes, que vous pouvez être amoureux de la vie, des belles choses, d’une autre personne, mais de vous-mêmes, comment est-ce possible ?

Nous dirons ceci : essayez de concevoir qu’au-dedans de vous-mêmes brille le merveilleux Être de Lumière que vous êtes et également votre Partie Divine, ce pur diamant. Comment ne pas être amoureux de cette partie de vous-mêmes que vous négligez ?

Les mystiques sont amoureux de Dieu ; certains Chrétiens le sont également. 
Ce n’est pas quelque chose d’insensé, ce n’est pas quelque chose que vous ne pouvez pas atteindre ! Ils ont simplement trouvé une clé et ils s’en servent.

mercredi 2 septembre 2015

« Un amour véritable de soi qui révèle l’harmonie, la paix et la complétude intérieures »





Je me réveille avec les yeux rouges ce matin ! J’ai dormi dans mon lit, enfin ! L’infestation de puces a nécessité l’application de deux foggers dans la chambre. Ce sont des aérosols qui diffusent le pesticide en continu. Cette opération demande d’aérer la pièce traitée et comme je suis très sensible aux odeurs chimiques, j’ai dormi sur le canapé depuis mon retour. L’odeur m’agressait bien que j’aie lavé le sol, les surfaces et les tissus par deux fois et pour ne pas m’intoxiquer, j’ai préféré l’espace limité, du canapé. 
Féliz, le chat mâle, a passé la nuit avec moi, ça n’était pas arrivé depuis au moins deux mois ! Habituellement, je ne les traite pas ni lui, ni la femelle puisqu’ils ont tendance à être allergique à ce qui est chimique mais cette fois-ci, j’ai était obligée de le faire. Ils ont semblé reconnaissants puisque depuis, ils sont plus calmes et présents. Du coup, j’ai été rassurée de le voir sur le lit tant à cause de l’odeur des pesticides que par le sentiment de solitude que j’éprouve en ce moment. 

Il y a comme une lassitude et par le fait d’avoir passé ces derniers temps avec d’autres humains, même si ça n’a pas été de tout repos, j’ai vibré plus fort qu’habituellement. 
Je ne suis pas encore parfaitement à l’aise avec les autres mais il est clair que l’interaction élève, le fait de se situer ou de s’affirmer dans sa différence, sans pour autant se mettre en avant, renforce la confiance en soi et la connexion au divin intérieur. 

J’étais contente de ne pas avoir joué le rôle de la victime mais je me rends compte que j’ai tout de même porté un masque, du moins, je n’ai pas été totalement moi-même et j’ai pu donner l’impression d’être assez rigide.

« L'Instant Présent est le soulagement de l'âme et la reconnaissance de l'Être » le groupe Miriadan via Magali



Amis et frères/sœurs créateurs,

la Vie est Simplicité. La Vie est Merveille. L'Un, dans son infini bonté, nous apporte la Liberté d'Être dans sa musique d'Harmonie. Nous sommes des notes uniques, porteuses d'une vibration à chaque fois nouvelle, à chaque fois unique.

Tout ce que vous vivez est le résultat de votre décision. Et votre décision est celle de l'Un. Il ne se limite pas car il n'a pas de limites. Il ne se freine pas car il est Expansion éternelle. Tout ce que vous désirez est création. Uni à votre Soi, à votre Éternité, vous êtes. 
Il ne peut y avoir d'erreurs, il ne peut y avoir de doutes. 
Il n'y a que l'Inconnu magique et exponentiel.

L'Âge d'Or est une potentialité qui est en ce moment choisie par Vous et Nous. Nous participons à votre chemin car nous sommes tous frères et sœurs dans la mansuétude de l'Un. Nous partageons tous et tout l'Origine et la Continuité, l'Essence Première. Quelles que soient les dimensions, les degrés de Conscience et les géométries dessinées, nous sommes Une Famille.

mardi 1 septembre 2015

« Se donner le droit d’être ce que l’on est en dépit du regard extérieur, voilà la vraie liberté »





Ça y est, les vacances sont enfin terminées. Ce mois d'août a été intense et je suis soulagée de retrouver le calme! Pour la majorité des gens, c’est une période de liberté de faire, d’être et de ne rien faire. Comme si la liberté faisait peur au point de ne s’en accorder que quelques jours dans l’année. 
La vie m’a appris que cette liberté tant recherchée et crainte à la fois, se trouve en soi comme toutes choses. Ce n’est pas vraiment le contexte ou la marche de manœuvre qui rendent libre mais bien plus la façon d’être avec soi-même et avec les autres. 

Se donner le droit d’être ce que l’on est en dépit du regard extérieur, voilà la vraie liberté. Chacun est libre de penser, de croire ce qu’il veut et comme toute création commence dans le monde subtil de la pensée, les seules barrières qui existent sont celles qu’on érige soi-même; La peur de déplaire, d’être rejeté, incompris, la culpabilité, la peur de faire des erreurs...sont autant de chaines dont il est nécessaire de se libérer pour aller vers l’autonomie, la liberté d’être. Alors beaucoup jouent les fanfarons pour se donner l'illusion d'être libre, d'oser être soi. Mais ça reste un personnage qui ne fait que masquer les souffrances. Et plutôt que d'être à l'écoute des voix internes, on tente de les contrôler.

Les blessures de l’enfance ont poussé l’ego à créer des protections qui enserrent le cœur et nous coupe de notre vraie nature. En accueillant les pensées émotions qui nourrissent les rôles de victime, de bourreau et de sauveur, l’être véritable se révèle. La personnalité et l’âme associées à la conscience forment un trio au potentiel infini.
Je constate que tout est projection, que nous manifestons nos désirs et nos peurs sur le monde alors que c’est en soi que se trouvent les trésors recherchés.

lundi 31 août 2015

« La force de l’unité intérieure »






Je retrouve mon propre rythme et mon décor habituel avec une grande joie et l’envie de continuer de vivre selon le cœur associé à l’ego. Je ne doute plus du tout de la puissance de l’amour inconditionnel et je sens que j’ai passé un cap important. 
Revoir la famille m’a permis de me resituer en tant qu’individu, de voir les choses d’un œil nouveau, selon les lois universelles de cocréation et surtout la connaissance de ma vraie nature. 
La comparaison n’est pas mauvaise si elle ne mène pas au jugement, à la dévalorisation et en l’occurrence, j’ai pu voir mon potentiel au niveau de la personnalité, depuis l’espace du cœur et la conscience de qui je suis originellement, essentiellement et éternellement.
Déjà, le fait de savoir que nous ne sommes pas soumis aux gènes et que nous sommes inter-reliés, change totalement le point de vue.

Le pouvoir d’un individu réside dans sa capacité d’aimer et de voir ce qui est, au-delà des masques et des voiles que constituent la peur et le manque. L’attachement aux personnes, aux choses, aux comportements, provient de l’identification à la personnalité qui elle-même s’est construite selon les blessures. 

Lorsqu’on décide de suivre son cœur, son âme et sa conscience divine, on change de perception et de monde. Au début, la peur de l’inconnu voile la vision et on craint de faire fausse route mais si on persiste à vouloir lâcher la peur, le passé, les signes se succèdent et la foi amplifie.
Le changement s’effectue premièrement au niveau subtil, énergétique. Cette phase demande beaucoup de foi et de patience. Ce cheminement renforce la nouvelle personnalité qui se reconstruit sur la base essentielle de l’amour lumière. 

« Incarnation, culpabilité et jugement » Guilaine Lipski





Je lis une petite phrase dans un message : « Vous ne trouvez pas que la vie sur terre est déjà assez difficile ? »
C’est aussitôt un feu d’artifice en moi, le film commence : Mais bien sûr, la culpabilité n’a aucune raison d’être dans notre vie, aucune légitimité dans le temps sur le plan de l’âme !
La culpabilité nous immobilise dans un schéma de restriction sans horizon, un statu-quo nocif comme si l’erreur n’était point permise, ni acceptable.

La culpabilité consciente sert à PRENDRE CONSCIENCE, à un moment donné il faut avoir le courage de regarder ce que l’on a fait, ce que l’on a été sans le juger et affirmer ce que l’on veut faire, être et devenir mais ensuite elle n’a plus lieu d’être.

Elle est un tremplin, un moyen, un commencement, un ticket gagnant pour évoluer ou pour se libérer d’une mémoire de chagrin, un signe que nous avons une conscience (le comportement manipulateur pervers narcissique ne culpabilise pas) un barreau de l’échelle évolutive, elle peut être un karma mais sûrement pas une finalité, un arrêt sur image, un puits sans fond où l’on stagne ou bien l’errance à vie d’un cœur chahuté.

Toute fois elle peut nous apprendre l’humilité, elle a au moins cet avantage mais elle reste une expérience à dépasser car l’ignorer serait pire que le mal. La souffrance non reconnue en conscience et quelle que soit sa forme, son nom, devient tel un intrus, un abcès qui grandit et peut finir par prendre beaucoup de place en nous, aura besoin de se nourrir (nous volant notre énergie) et attirera à lui ce qu’il est c’est-à-dire des situations similaires sous des formes diverses et variées mais dont le fond sera toujours identique.

samedi 29 août 2015

« Des médiateurs appelés guides » le Groupe via Steve Rother





Votre rôle sur le Terrain de Jeux consistant à ancrer des formes éthérées dans les trois dimensions nous permet de travailler car c’est nous qui plaçons ces formes pour que vous procédiez ainsi. Nous allons maintenant vous expliquer notre rôle plus en détail.

Dans les vibrations inférieures de la Terre, il a été difficile d’interférer avec la forme humaine. Auparavant, si nous souhaitions intervenir dans votre monde tridimensionnel, il nous était nécessaire d’abaisser nos vibrations. Nous le faisions alors pendant de courtes périodes mais seulement lors de conjonctures importantes dans votre développement, en raison de la grande somme d’énergie impliquée. 

Les vibrations similaires s’attirent, c’est une constante universelle. Pourtant ne soyez pas surpris de découvrir que votre contact avec des êtres de vibrations supérieures supposait pour nous beaucoup de travail, d’efforts dans la mesure où nous devions nous ajuster à vos vibrations inférieures. 
C’est cet espace entre les mondes qui engendra la nécessité d’intermédiaires afin de vous aider dans vos aventures sur le Terrain de Jeux du Libre Arbitre et c’est là qu’entrent en scène les êtres que vous appelez des « guides ».