mardi 1 septembre 2015

« Se donner le droit d’être ce que l’on est en dépit du regard extérieur, voilà la vraie liberté »





Ça y est, les vacances sont enfin terminées. Ce mois d'août a été intense et je suis soulagée de retrouver le calme! Pour la majorité des gens, c’est une période de liberté de faire, d’être et de ne rien faire. Comme si la liberté faisait peur au point de ne s’en accorder que quelques jours dans l’année. 
La vie m’a appris que cette liberté tant recherchée et crainte à la fois, se trouve en soi comme toutes choses. Ce n’est pas vraiment le contexte ou la marche de manœuvre qui rendent libre mais bien plus la façon d’être avec soi-même et avec les autres. 

Se donner le droit d’être ce que l’on est en dépit du regard extérieur, voilà la vraie liberté. Chacun est libre de penser, de croire ce qu’il veut et comme toute création commence dans le monde subtil de la pensée, les seules barrières qui existent sont celles qu’on érige soi-même; La peur de déplaire, d’être rejeté, incompris, la culpabilité, la peur de faire des erreurs...sont autant de chaines dont il est nécessaire de se libérer pour aller vers l’autonomie, la liberté d’être. Alors beaucoup jouent les fanfarons pour se donner l'illusion d'être libre, d'oser être soi. Mais ça reste un personnage qui ne fait que masquer les souffrances. Et plutôt que d'être à l'écoute des voix internes, on tente de les contrôler.

Les blessures de l’enfance ont poussé l’ego à créer des protections qui enserrent le cœur et nous coupe de notre vraie nature. En accueillant les pensées émotions qui nourrissent les rôles de victime, de bourreau et de sauveur, l’être véritable se révèle. La personnalité et l’âme associées à la conscience forment un trio au potentiel infini.
Je constate que tout est projection, que nous manifestons nos désirs et nos peurs sur le monde alors que c’est en soi que se trouvent les trésors recherchés.

lundi 31 août 2015

« La force de l’unité intérieure »






Je retrouve mon propre rythme et mon décor habituel avec une grande joie et l’envie de continuer de vivre selon le cœur associé à l’ego. Je ne doute plus du tout de la puissance de l’amour inconditionnel et je sens que j’ai passé un cap important. 
Revoir la famille m’a permis de me resituer en tant qu’individu, de voir les choses d’un œil nouveau, selon les lois universelles de cocréation et surtout la connaissance de ma vraie nature. 
La comparaison n’est pas mauvaise si elle ne mène pas au jugement, à la dévalorisation et en l’occurrence, j’ai pu voir mon potentiel au niveau de la personnalité, depuis l’espace du cœur et la conscience de qui je suis originellement, essentiellement et éternellement.
Déjà, le fait de savoir que nous ne sommes pas soumis aux gènes et que nous sommes inter-reliés, change totalement le point de vue.

Le pouvoir d’un individu réside dans sa capacité d’aimer et de voir ce qui est, au-delà des masques et des voiles que constituent la peur et le manque. L’attachement aux personnes, aux choses, aux comportements, provient de l’identification à la personnalité qui elle-même s’est construite selon les blessures. 

Lorsqu’on décide de suivre son cœur, son âme et sa conscience divine, on change de perception et de monde. Au début, la peur de l’inconnu voile la vision et on craint de faire fausse route mais si on persiste à vouloir lâcher la peur, le passé, les signes se succèdent et la foi amplifie.
Le changement s’effectue premièrement au niveau subtil, énergétique. Cette phase demande beaucoup de foi et de patience. Ce cheminement renforce la nouvelle personnalité qui se reconstruit sur la base essentielle de l’amour lumière. 

« Incarnation, culpabilité et jugement » Guilaine Lipski





Je lis une petite phrase dans un message : « Vous ne trouvez pas que la vie sur terre est déjà assez difficile ? »
C’est aussitôt un feu d’artifice en moi, le film commence : Mais bien sûr, la culpabilité n’a aucune raison d’être dans notre vie, aucune légitimité dans le temps sur le plan de l’âme !
La culpabilité nous immobilise dans un schéma de restriction sans horizon, un statu-quo nocif comme si l’erreur n’était point permise, ni acceptable.

La culpabilité consciente sert à PRENDRE CONSCIENCE, à un moment donné il faut avoir le courage de regarder ce que l’on a fait, ce que l’on a été sans le juger et affirmer ce que l’on veut faire, être et devenir mais ensuite elle n’a plus lieu d’être.

Elle est un tremplin, un moyen, un commencement, un ticket gagnant pour évoluer ou pour se libérer d’une mémoire de chagrin, un signe que nous avons une conscience (le comportement manipulateur pervers narcissique ne culpabilise pas) un barreau de l’échelle évolutive, elle peut être un karma mais sûrement pas une finalité, un arrêt sur image, un puits sans fond où l’on stagne ou bien l’errance à vie d’un cœur chahuté.

Toute fois elle peut nous apprendre l’humilité, elle a au moins cet avantage mais elle reste une expérience à dépasser car l’ignorer serait pire que le mal. La souffrance non reconnue en conscience et quelle que soit sa forme, son nom, devient tel un intrus, un abcès qui grandit et peut finir par prendre beaucoup de place en nous, aura besoin de se nourrir (nous volant notre énergie) et attirera à lui ce qu’il est c’est-à-dire des situations similaires sous des formes diverses et variées mais dont le fond sera toujours identique.

samedi 29 août 2015

« Des médiateurs appelés guides » le Groupe via Steve Rother





Votre rôle sur le Terrain de Jeux consistant à ancrer des formes éthérées dans les trois dimensions nous permet de travailler car c’est nous qui plaçons ces formes pour que vous procédiez ainsi. Nous allons maintenant vous expliquer notre rôle plus en détail.

Dans les vibrations inférieures de la Terre, il a été difficile d’interférer avec la forme humaine. Auparavant, si nous souhaitions intervenir dans votre monde tridimensionnel, il nous était nécessaire d’abaisser nos vibrations. Nous le faisions alors pendant de courtes périodes mais seulement lors de conjonctures importantes dans votre développement, en raison de la grande somme d’énergie impliquée. 

Les vibrations similaires s’attirent, c’est une constante universelle. Pourtant ne soyez pas surpris de découvrir que votre contact avec des êtres de vibrations supérieures supposait pour nous beaucoup de travail, d’efforts dans la mesure où nous devions nous ajuster à vos vibrations inférieures. 
C’est cet espace entre les mondes qui engendra la nécessité d’intermédiaires afin de vous aider dans vos aventures sur le Terrain de Jeux du Libre Arbitre et c’est là qu’entrent en scène les êtres que vous appelez des « guides ».

vendredi 28 août 2015

« Armageddon » le groupe Miriadan via Magali (avec une large intro)





Dans la série des messages délivrés par le groupe Miriadan que canalise Magali, c’est dans l’ordre chronologique de leur réception que j’aie choisi de les lire et de les publier parce que je les perçois comme un parcours initiatique qui mène à la réalisation de l'être. 
J’étais restée sur celui-ci avant de partir voir ma mère, le 13 août dernier, simplement parce que le sens que je donnais au mot "Armageddon" était chargé de croyances basées sur la peur et la souffrance. Je n’avais pas osé le lire puisque j’étais trop influencée par l’interprétation négative qui en est faite communément. 

Ce message remet les pendules à l’heure et en le lisant aujourd’hui, je me dis qu’il résume parfaitement ce que j’ai vécu pendant ces derniers jours. La situation m’a obligée à faire un break avec le net, l’écriture et les repères du corps mental. 
Je suis partie dans l’idée de résilier les contrats karmiques avec ma famille et le fait de me retrouver face à mon passé, sans mon train train habituel, sans les repères matériels, sans mon décor et mes petits rituels ponctuels, m’a obligée à focaliser mon attention sur l’instant présent avec pour tout soutien, la connexion à l’âme et la conscience divine. 
Dans l’ensemble, je suis satisfaite de ne pas être entrée en réaction ni d’avoir joué les habituels personnages de victime, de bourreau ou de sauveur. J’ai enfin pu considérer ma famille en toute objectivité et par le lâcher prise, ne pas m’éterniser dans les comportements inconscients. 
L’application des lois universelles a été des plus efficaces et la paix intérieure, un soutien en toutes circonstances.  
Le fait de ne pas juger, de revenir au centre, de s’ancrer dans l'instant tout en sachant que tout se meut, et d’être connecté à la source en permanence, m’a permis de sortir des jeux de rôles, sans douleur et sans peur. 

« Résilier les contrats et commencer sa vie à partir d’aujourd’hui »





Cette expédition vers mon passé m’a permis de résilier les contrats de l’enfance, de l’adolescence et de pouvoir observer de façon objective, les acteurs de ce vécu. 
Rien de tel que de se trouver en situation pour vivre la résilience, guérir l’enfant intérieur, par l’application des principes universels que je vis au quotidien et dont je témoigne sur ce blog depuis plus de deux ans. 
L’heure est au bilan et l’offrande à la source de tout ce passé qui remontait selon les circonstances lorsque les jeux de rôles s’enclenchaient automatiquement, m’a permis de lâcher les masques et de tourner définitivement la page. 
Pouvoir s’observer sans réagir et écouter l’enfant en soi, sans s’identifier à lui et sans le rejeter, c’est exactement ce qui permet de se prendre en charge, de manifester l’amour vrai de soi et l‘unité intérieure.
Enfin, je sais pour quelles raisons je pouvais accepter la situation de victime lorsque j’étais enfant. Outre le fait qu’un enfant n’a pas d’autre choix que d’obéir à ses parents, je savais sans aucun doute que la résistance et l’esprit de vengeance n’étaient absolument pas une solution. J’acceptais la situation dramatique et trouvais des moyens de m’évader de ce quotidien douloureux, par la focalisation de la pensée et la sortie du corps physique. 
Je ne sais pas où j’allais mais j’étais absente et ne garde que très peu de souvenirs de mon enfance. Seules quelques photos dessinent ce parcours où la peur était omniprésente. Déjà, je pouvais constater la puissance de la pensée et de l’attention.

mercredi 26 août 2015

« Eckhart Tolle : 27 leçons de vie à retenir »





Un rappel tout à fait à propos ! L’heure est au bilan et ces quelques lignes sont un soutien pour celui ou celle qui souhaite tourner la page et vivre de façon authentique, selon l'être véritable, dans le présent, au-delà des jeux de rôles et des faux semblants. Au-delà de la mode New age, de tout dogme, de toute forme de spiritualité dictée par quelqu'un d'autre que Soi; depuis le cœur de l'être unifié, ancré, connecté et centré.
 
1. Le moment présent est le bien le plus précieux qui soit.
« Les gens ne réalisent pas que le moment présent est tout ce qui existe; il n’y a pas de passé ou de futur, sauf en tant que souvenir ou anticipation dans votre esprit. »
« … Le passé vous donne une identité et l’avenir la promesse du salut, de l’accomplissement sous toutes ses formes. Les deux sont des illusions. »
« Le temps n’est pas précieux du tout, parce que c’est une illusion. Ce que vous percevez comme précieux n’est pas le temps, mais le seul point qui est hors du temps: le moment présent. Effectivement il est très précieux. Plus vous êtes concentré sur le temps, passé et futur, plus vous manquez le moment présent, la chose la plus précieuse qui soit. »
« Ne laissez pas un monde fou vous dire que le succès est autre chose qu’un moment présent couronné de succès. »
« La plupart des humains ne sont jamais pleinement présents dans le moment présent, parce qu’inconsciemment ils croient que le moment suivant sera certainement plus important que celui-ci. Mais alors vous ratez votre vie entière, qui n’est plus jamais le moment présent. »
« Dès que vous honorez le moment présent, tout malheur et tout combat disparaissent, et la vie se met à couler dans la joie et la facilité. Lorsque vous agissez sur la prise de conscience du moment présent, tout ce que vous faites s’imprègne d’un sentiment de qualité, d’attention et d’amour, même l’action la plus simple. »