jeudi 1 janvier 2015

« Des voiles se lèvent » par Nadia Marty





Ces derniers jours depuis le solstice, je perçois que de nombreux voiles se lèvent pour chacun. Pour commencer, je perçois qu’un voile entre le monde des morts et des vivants c’est lever pour un temps, cependant de manière différentes pour chacun.
Pour le traduire à ma conscience, mon inconscient m’a fait parler des « vacances de la Toussaint », et j’avoue que cela m’a parut très naturel. Je vois de nombreuses fois par jour des morts qui me saluent et qui trouvent très naturel que je les voient, certains me parlent mais pour la plupart ils me saluent simplement. Comme s’ils me disaient que ce que je voie est tout à fait normal, même si cela m’arrive de temps en temps au cours de l’année cela ne dure jamais aussi longtemps et cela me fait vous dire que ce voile là c’est levé pour certains.
Et oui heureusement tout le monde ne les voient pas, imaginez tout ceux pour qui ce n’est pas naturel… je pense que beaucoup nieraient, nombre d’entre eux rentreraient dans la peur… et tout cela ne serviraient finalement pas grand monde. 
Évidemment si je me permet d’écrire cela aujourd’hui c’est parce que d’autres personnes m’ont fait part de ce phénomène et parfois pour eux ce ne sont pas des êtres qui les saluent mais des êtres décédés qui sont dans la colère et ce n’est pas forcément facile de vivre cela.
Mon conseil aujourd’hui si vous vivez quelque chose de similaire, partagez cela avec quelqu’un qui peut vous comprendre et vous aidez, parfois cela est suffisant pour apaiser les choses et nous donner les clés dont nous avons besoin.

« Premières clefs de sagesse de l’année » les êtres de lumière via Monique Mathieu





C’est toujours encourageant de savoir que dans l’invisible, des êtres d’amour et de lumière accompagnent notre parcours. Sans les messages de ces êtres, de Jeshua (via Pamela Kribbe), d’Ashtar (via Simon Leclerc), et tous ceux que canalisent Joéliah et Monique Mathieu, je n’en serais pas où j’en suis aujourd’hui. Alors merci à vous âmis! 
Ils ont amené des connaissances profondes et globales à propos de l’humain et du divin, qui nous révèlent à nous-même et demandent à être vécue, validées par l’expérience.

Ma vie n’a pas changé du jour au lendemain mais pas à pas, par prises de conscience successives qu’il a fallu ancrer jusque dans la matière. Et ça n’est pas fini, ça ne finira jamais parce que la vie est un mouvement perpétuel. 
On apprend juste à aligner notre volonté sur celle du cœur, à permettre à la vie de nous traverser et de nous épanouir. A oser être en confiance, en paix, se faire confiance et aimer véritablement.

Clef 170
Toutes vos expériences difficiles présentes ou futures vous préparent au grand passage parce qu’elles doivent vous permettre de vous libérer de toutes les peurs et de la masse d’énergies émotionnelles négatives que vous avez stockées. Si vous n’avez pas accompli ce nettoyage, ce que vous vivrez ne sera pas toujours agréable, mais quoi que vous viviez, sachez que vous recevrez l’aide nécessaire pour traverser les moments difficiles.

« Je nous souhaite l’amour, la paix, la liberté et la joie d’ÊTRE »





Après 24h d’immobilisation, je retrouve le bien-être intérieur et physique. La nuit a été longue, le sommeil profond et malgré la sensation d’être déconnectée du divin, j’ai invité ma présence divine a emmener mon corps astral (je crois, enfin celui qui se ballade durant la nuit), dans le temple où l’énergie de guérison est diffusée. Je n’en garde aucun souvenir mais l’amélioration de mon état de santé me confirme cette sensation tout comme la profondeur et la longueur de mon sommeil. Couchée à 22h30, levée à 6h30 avec un enthousiasme caractéristique du rétablissement. 
Moi qui voulais me couper de l’inconscient collectif, durant cette période d’excès, on peut dire que j’ai été servie ! Mon réveillon s’est composé d’une compote de pommes/abricots, deux marrons glacés et quelques bons chocolats ! Tout pour satisfaire l’enfant intérieur ! Il va sans dire que l’adulte a aussi été comblée puisque la douleur qui coupe la faim, ne donne pas envie de se coller à la cuisine.  
J’ai envie de commencer l’année par ce message de bon sens diffusé par Dieudonné M’Bala M’Bala. http://quenelplus.com/a-la-une/dieudonne-triomphe-a-nantes.html

J’aime beaucoup comment il a évolué, comment il est passé du pouvoir qui rend arrogant, au rôle de démolisseur, de révélateur pour finalement tenir un discours qui appelle à la paix.

mercredi 31 décembre 2014

« Développer son intelligence intuitive » par Flavia Mazelin-Salvi





Les neurosciences le confirment : ni magie ni don, l’intuition est une forme d’intelligence présente en chacun de nous. Elle se cultive, se travaille et s’aiguise au quotidien. Explications et exercices pour suivre en toute confiance notre « boussole  intérieure ».

Pour le philosophe allemand Schopenhauer, elle était la marque de fabrique de toutes les œuvres de génie. Einstein, lui, la définissait comme une « sensation au bout du doigt » (fingerspitzengefühl).  
Pour vous et moi, elle est une petite voix intérieure qui conseille, une certitude fulgurante qui s’impose, ou encore une réaction corporelle plus ou moins intense. 
Les plus réceptifs d’entre nous prennent en compte leur intuition, les autres la refoulent ou l’ignorent. 
Même si son origine demeure mystérieuse, les neurosciences reconnaissent aujourd’hui qu’elle peut être un allié non négligeable pour nous faciliter la vie. 
Ni sixième sens magique, ni don réservé à quelques élus, l’intuition est une faculté à la portée de tous.

« Détends-toi »





Les jours se suivent et ne se ressemblent pas ! Ce matin, je suis pliée en deux, pas de rire mais parce que je me suis fait un « tour de rein » ou lumbago, hier soir ! En allant sur face de bouc pour poster les articles d’hier, je suis tombée en premier sur ça :
« Les reins sont affectés par les jugements que l'on porte envers soi-même...
Les personnes exigeantes et perfectionnistes... qui sont dures envers elles-mêmes et les autres... ont toujours des problèmes aux reins... ». Il n’y a pas de nom d’auteur ni de renseignement au sujet de la source. J'ai cliqué sur une image sans savoir ce qui serait écrit, bonjour la surprise et merci la synchronicité!
Je vais voir ce qu’en dit Lise Bourbeau dans son livre ; « Ton corps dit : aime-toi » : « Réfère-toi à dos en y ajoutant de la colère et de la culpabilité parce que tu crois ne pas pouvoir faire face à toutes tes responsabilités matérielles. Ce message t’indique un état d’urgence car ton inflexibilité te cause des problèmes que tu pourrais t’éviter en lâchant prise davantage et en allant de l’avant, sans vouloir tout contrôler à ta façon. Il est temps de t’ouvrir à du nouveau et de te laisser supporter et aider par d’autres en acceptant leur façon de faire les choses. »

mardi 30 décembre 2014

« Notre pire ennemi c’est nous-même » par Isabelle Taubes





Les parents ne sont pas seuls en cause ! Manquer d’audace ou se dévaloriser, c’est aussi une histoire entre notre moi et notre surmoi…

Les petites phrases insidieuses, les comportements et les désirs étouffants des parents n’ont d’effet que lorsqu’une part de nous – que, naturellement, nous ne maîtrisons pas – leur donne son assentiment.

Trompeur, notre moi est loin d’être fiable
" Une patiente, se souvient Gérard Louvain, ne cessait d’évoquer son manque de confiance en elle. Alors j’ai clos la séance ainsi : “Vous avez parfaitement raison de douter de la fiabilité de votre moi.” Ma patiente est restée sans voix. Je voulais lui signifier que le moi n’est qu’une façade trompeuse, le siège de croyances qui mentent sur nos désirs réels et nous égarent. " En effet, le moi est une construction, fabriquée à partir des différents modèles – papa, maman, l’institutrice, le héros du feuilleton télé… – adoptés au cours de notre vie. Nous avons besoin d’eux pour bâtir notre personnalité, mais, simultanément, ils nous empêchent de savoir qui nous sommes et ce que nous voulons réellement. C’est notre moi qui, par exemple, nous incite à être, tel papa, un grand séducteur. D’où, comme par hasard, une forte inhibition au moment du passage à l’acte amoureux : l’imiter, n’est-ce pas en quelque sorte prendre sa place ? Pour protéger notre idole, une seule solution : échouer là où il réussit.

« Identités multiples unifiées »





Je n’ai pas envie de bouger aujourd’hui et pourtant, je dois m’occuper de la paperasse. Il n’y a pas vraiment urgence mais j’aime mieux régler les choses au plus vite de façon à être tranquille, à ne pas risquer d’oublier. J’ai beaucoup progressé à ce niveau là ! Je ne pouvais m’identifier à un numéro, un genre, à mon nom de famille, mon lieu de naissance et tout ce qui s’y attachait. C’était pour moi totalement réducteur et à côté de la réalité, celle de mon ressenti, et cela avant même que je m’intéresse à la spiritualité, du moins telle que vécue sur terre, que je ne m'y retrouvais pas.
Maintenant que j’ai fait la paix avec mon passé, ma famille, et que je sais sans aucun doute qui je suis réellement, même si je ne peux le définir précisément sans me heurter aux limites crées par le fait de nommer, d’étiqueter, ce volet administratif, la façon dont la société m’a rangé dans une case, ne me dérange plus puisque ça n’est qu’une facette de ce que je suis en réalité, en totalité. Ce ne sont plus l'extérieur ni mes choix de vie qui me définissent
A la question qui suis-je, se succèdent une série de réponses qui en s’ajoutant forment un ensemble qui me caractérise. S’identifier à un seul de ces aspects revient à s’amputer, à se renier, à limiter son potentiel et ça créé une sensation de petitesse, de manque/besoin, de confusion, d’impuissance et de division qui amène à croire que l’autre, l'inconnu, est un ennemi potentiel.