C’est vraiment agréable de se laisser porter par la vie !
C’est sûr qu’il n’a pas été facile de lâcher prise mais en ayant de l’amour
pour soi, pour le mental légitimement paniqué, pour le corps émotionnel qui travaille
à plein tube et le corps physique dont les ajustements à répétition le
fragilise, on en vient à comprendre la valeur de l’unité, de l’amour et surtout
à accepter de cesser de juger, de critiquer.
Comme on sait que toute question est l’expression d’une peur, d’une
incompréhension, on développe la patience et l’amour pour le mental, ce qui a
pour effet de le calmer, de le rassurer et de stopper les interrogations
inutiles. Comme la surcharge énergétique est libérée par l’accueil des
émotions, les corps s’alignent dans ce processus et s’allègent ensemble.
Cette nouvelle façon d’appréhender et de résoudre ce qui se
vit en soi ; tout ce qui vient perturber la paix, devient une occasion de
se center avec intensité et comme le mental, le cœur et l’émotionnel sont
associés dans le processus d’acceptation, aucun d’eux n’est méprisé ou privilégié,
l’état d’unité se vit de plus en plus souvent jusqu’à devenir stable.
La vie
est drôlement simplifiée quand on cesse de réagir par la critique ou le
jugement, qui par nature amplifient la sensation de séparation, de mal être.