mercredi 12 mars 2014

"Alléger"


Debra Wiseberg, Getty images


Depuis que j’ai publié le texte de ce matin, je tente de voir ce que ma réaction, mon positionnement, reflètent. Ce que l’autre me renvoie.  Il est vrai que le seul fait de réagir à une situation donnée, est le signe d’un décentrage, mais d’un autre côté, il est parfois bon d’exprimer ce que l’on ressent. Il ne s’agit pas de prendre parti mais de réfléchir à propos de cette tendance à mépriser ce qui est considéré comme inférieur. Selon l’effet miroir, je peux me dire qu’à l’intérieur, l’équilibre n’est pas encore réalisé, que je ne suis pas « tout amour ». Bien que je sache que c’est la seule voie qui permette de trouver la guérison, le bonheur, la paix en soi et avec l’extérieur, je suis aussi consciente de mes carences.

Nous vivons dans un monde où chaque instant nous devons maintenir l’équilibre, rester centré et ancré. J’aurais pu taire ce ressenti qui me dérange depuis l’été dernier. Mais comme j’ai choisi d’être sincère, même dans mes faiblesses,  et de témoigner de ce qui se passe lorsque l’on décide de vivre sans masques, je ne pouvais pas retenir ce que j’ai sur le cœur. Certainement que le miroir me renvoie une disharmonie intérieure, mais tant que je refrène ou retiens quoi que ce soit, ça me travaillera de l’intérieur. Puis comme je ne me situe pas comme une référence, un exemple, je ne risquais pas d’induire le lecteur en erreur. Alors autant vider son sac et tenter de faire le tri. 

mardi 11 mars 2014

Oser se confier à son âme, sa présence, comme un enfant se confie à ses parents





La soirée continue dans la confusion, entre la colère et le mépris de soi. Par rapport à ce que j’écris en ce moment et à cause de la connexion qui déconne. Comme je crois que je crée mon quotidien selon mes pensées, l’idée que j’ai fait quelques choses de "mal", hante sournoisement mon inconscient. Elle se révèle à mesure que je confie mes peines, mon trouble à la terre Mère. 
Déjà, le fait de lui dire ce que j’ai sur le cœur, me soulage et je ressens comme une douceur maternante, m’envelopper subtilement. Je culpabilise d’avoir écrit que cette vie est une illusion parce qu’il y a un sens péjoratif derrière ces mots alors que cette incarnation est précieuse. Je pensais plus au fait qu’il est bon de ne pas s’attacher à ce qui se passe, de pouvoir ainsi libérer la peur de la mort, de relativiser les événements douloureux de notre vie. Mais c’est vrai que le détachement n’est pas la fuite et que ma peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas arriver à m’assumer seule, malgré que je sache que le divin m’habite et qu’il est bienveillant, tout comme la terre Mère, est encore présente.

"Astral: projection mentale?" Peter Pan, film entier






J'ai écris ce qui suit ce matin est ne peux le publier que maintenant. Depuis le début de l'après midi, la colère envahit le quartier. J'ai commencé à la sentir pendant ma méditation mais c'était relativement calme. Puis c'est monté peu à peu, à mesure que je croisais des gens qui étaient dans le même état. Bien que j'aie accueilli la mienne, celle des autres a fait écho me montrant qu'elle restait en dedans. Puis la connexion a coupé! Là, je suis branchée sur le domino de secours et suis obligée de chercher le réseau en bougeant la chose! Je sais que ça passe quand ça craque dans les enceintes! Je crois que je vais gueuler un bon coup, histoire de libérer la charge énergétique! Je ne sais pas si c'est la colère ou le fait de trouver un peu débile ce que j'écris mais si j'arrive à le publier, ce sera déjà un mieux! Après tout, autant en rire!
Ce matin: On dirait que le sommeil redevient « normal », que je suis de plus en plus détendue. Comme je suis complètement mes élans, afin de connaitre qui je suis, il semble que ce soit l’enfant intérieur qui apparaît le plus souvent. C’est comme si je retrouvais l’innocence, la base de ce que je suis. L’inquiétude s’efface doucement et je me contente d’observer avec un certain recul, juste le temps de voir ce qui se manifeste en moi. Comme je ne porte plus de jugement et que je fais selon l’instant du moment, il n’y a plus de ‘je devrais’, ‘il faudrait’, de culpabilité…tout s’écoule facilement et je suis comme portée par une énergie douce et légère. Je lâche le personnage sérieux et me trouve totalement en dehors de la sombre réalité du monde.

lundi 10 mars 2014

"Trouver le juste milieu"





Ce matin, la connexion au divin est d’une évidence qui me fait sourire spontanément, une sensation qui remplit tout mon corps. Je vais être un peu ironique mais je ne veux pas scanner mon corps physique pour déterminer si ce contact est intérieur où si c’est une intrusion de quelque entité « mauvaise ». L’idée de séparation et la peur qu’elle entraine a tendance à envahir le mental et quand on n’a pas libéré certaines peurs, elles attirent des formes correspondantes, se cristallisent et les ombres deviennent des monstres. Comme la peur est un sentiment qui a toujours été exploité, comme elle est vendeuse, on va évidemment brandir des épouvantails. 
Ce qui est magnifique lorsqu’on laisse tomber la notion de division, de dualité, quand on ne la nourrit pas avec ses propres ombres, il n’y a plus rien qui pousse à l’extrême. Le fait d’amplifier l’amour en soi, l’amour inconditionnel, permet de voir qu’il n’y a pas d’ennemi, il y a deux forces complémentaires qui s’équilibrent naturellement quand on cesse de juger, de jauger, de comparer, de vouloir se situer d’un côté ou de l’autre.
 J’ai beaucoup parlé de l’amour de soi, du fait de s’aimer inconditionnellement mais il me semble qu’il s’agit plutôt de l’amour en soi. Cette nuance change pas mal de choses parce qu’elle permet de ne pas s’enfermer, de pouvoir aller vers l’extérieur, de pouvoir communier avec l’humanité de la même façon qu’on peut le faire avec les différents aspects qui nous constituent.

dimanche 9 mars 2014

"Pour en finir avec le combat noirceur/lumière" par Bianca Gaïa






Depuis hier, c'est comme si j'avais retrouvé mon enfant intérieur, tel qu'il était avant tout les drames de ma vie! Je vis selon qui je suis en réalité, libérée de toute obligation. J’avoue que je m'inquiète un peu concernant mon devenir au niveau du travail mais comme j'ai de plus en plus confiance en la vie, aux "signes", aux synchronicités et en la réalité que tout est déjà accompli, qu'il n'y a plus qu'à se laisser guider par le cœur, l'inquiétude s'envole, les questions cessent. 
Depuis janvier que je me dis que la légèreté, la facilité, sont les énergies de cette année, et bien je me laisse porter par elles. Tout ce qui me tombe sous la main, les yeux, m’invite à lâcher totalement prise. 
De toute façon ruminer, s’interroger, ne fais qu’amplifier le mal-être et n’apporte aucune solution. Après tout, je suis ici pour vivre et chercher à contrôler, c’est tout simplement s’emprisonner volontairement. 
Les peurs appartiennent au passé, aujourd’hui, j’appelle mon plein potentiel créateur à se manifester dans la joie, mon âme à déverser tous les acquis, la sagesse, les talents récoltés au fil de mes incarnations passées. Il est temps de vivre pleinement !

"L'illusion de la séparation"...*






Ce matin, j’ai apprécié de pouvoir me recoucher et profiter de deux heures de sommeil supplémentaires. Le travail énergétique effectué continue de libérer des émotions et les douleurs sont de plus en plus rares. Je n’ai aucun doute quant à l’efficacité du travail ni des compétences de la personne qui l’a réalisé mais plutôt vis-à-vis de la pertinence de demander des renseignements, que je devrais avoir la patience de recevoir moi-même. 
Je suis convaincue de canaliser mes guides, ou ange ou mon âme, et il n’est pas vraiment utile de connaitre leur nom, leur « distinction » puisque tout est Un et que mon désir, c’est de retrouver l’unité, de libérer les croyances basées sur la notion de séparation. 
Le fait d’étudier les corps séparément, c’est plus pour mieux comprendre comment je fonctionne et surtout pour apprendre à aimer chaque aspect de ce que je suis. Il ne s’agit pas de sélectionner un corps, de le placer au-dessus de tous les autres mais au contraire de les unifier dans le cœur. 
Même quand je parle du cœur, et que je cherche à m’y situer, c’est parce qu’il est au carrefour, au centre de tout ce que je suis, l'endroit où la communion avec le divin et aussi avec l’humain, s’effectue. Je ne doute pas qu'on contacte l’invisible par le troisième œil ou par les corps spirituels puisque tout est relié mais je ne veux pas connecter le divin au mépris de l'humain, il me semble que l'équilibre est au centre.

samedi 8 mars 2014

"Humains Divins"...Clefs de sagesse, au "hasard", via Monique Mathieu


Lisa Gant et Alex Pelling marié plus de 50 fois sur toute la planète



Hommage aux femmes, à travers le monde, qu’il serait bon d’honorer chaque jour, tout comme l’homme. Que chacun puisse redonner une place estimable à ces deux énergies en soi. Comme on a tendance à diaboliser et rejeter ce qu’on ne peut pas contrôler, la femme et l'énergie féminine ont longtemps été niées, abusées, méprisées. Elle est celle qui suscite le désir, éveille la puissance sexuelle en l’homme qui en devient dépendant. Celui-ci ayant besoin de cerner les choses pour les comprendre, les contrôler et finalement les aimer, il a naturellement considéré son énergie sexuelle ainsi que la femme, comme des objets dangereux dont il fallait se méfier. Pourtant l’énergie sexuelle est l’énergie de vie, la puissance de la source qu’il suffit d’apprendre à apprivoiser, à faire « monter » jusqu’au cœur pour qu’elle se pacifie, s’équilibre, et offre tout son potentiel créatif et vivant. Tout comme le flux d’un torrent canalisé peut produire de l’électricité au lieu de détruire tout sur son passage…

Quand la femme sera lassée du jeu de séduction, qu’elle retrouvera son pouvoir par l’ancrage à la terre, l’amour de soi, de tous ses corps, elle offrira alors toute sa puissance d’aimer et l’homme pourra s’abandonner en toute confiance à ses propres sentiments et ainsi à la femme. Mais avant cela, chacun doit retrouver son intégrité et comme le disait Jeshua, la femme a besoin de s’incarner vraiment et l’homme de se réconcilier avec son cœur. Chacun doit arriver à intégrer la part qu’il rejette et il semble bien que ce soit celle qu’on appelle « ombre » simplement parce qu’elle est refoulée, cachée, « dans l’ombre ». Ainsi, ce qu’on appelle ombre n’est que la face cachée de l’individu, celle qu’il juge inappropriée. Et plus elle est refoulée, plus elle se manifeste avec violence et créé un conflit intérieur.