lundi 3 mars 2014

Les corps de l'humain divin sont "pures merveilles"





Je n’en reviens pas de la façon dont tout s’éclaire avec facilité dès lors que chaque corps est écouté, qu’ils sont perçus comme un tout parfaitement harmonieux que seul le manque d’amour et de confiance en soi empêchent de reconnaitre. Petit à petit, je m’émerveille de chacun d’eux, de leur constitution, de leur fonction et de la perfection de leur interaction. 
Quand j’étais enfant, l’image que l’extérieur me renvoyait de mon propre corps physique m’avait fait détester cette enveloppe que je rendais responsable de tous mes malheurs ; Il y avait du vrai puisqu’on ne me respectait pas. Tant que je croyais en l’image que les autres me renvoyait de moi-même, (qui était le reflet des croyances inscrites tout au long de mes vies passées) ce que l’extérieur m’obligeait à vivre m’amenait à me couper du ressenti de mes émotions, et je restais enfermée dans le monde de la pensée. Heureusement, comme la création divine est parfaite en tous points, celui-ci me permettait de voyager, de sortir de la souffrance, de rêver, d’imaginer tout ce que je voulais, d’étudier, d’apprendre, de comprendre… 
Puis les premiers émois amoureux me renvoyant à mes souffrances émotionnelles passées et refoulées par instinct de survie, je tombais vite dans l’addiction pour diminuer la souffrance émotionnelle et l’équilibrer en ayant du plaisir, avec diverses drogues.  Puis la découverte de Jésus christ a éveillé mon propre corps christique, a ouvert mon cœur et l’accès à l’âme. J’ai donc continué de me focaliser sur les corps spirituels pour retrouver le sens de l’amour. 

dimanche 2 mars 2014

"Observer sa respiration"...Vidéos: chroniques de Nicole Ferroni



Mark Hersch



Comme très souvent, je suis réveillée à quatre heures et je me lève comme pressée d’agir, d’être. Quand je pense que j’ai passé les trois quarts de ma vie à me réveiller de mauvaise humeur, à tout faire pour être absente, pour ne pas me lever et même agresser celui qui se trouvait près de moi et avait le malheur de me sortir de mes rêves. C’était carrément un réflexe qui me gênait puisque ça semblait n’avoir aucun sens, du moins, je n’avais aucune raison d’en vouloir à mon partenaire. J’y ajoutais la culpabilité et le sentiment d’être manipulée par le passé, par ses "fantômes". Il est clair que j’avais compris que ce réflex était imprimé depuis l’enfance, que l’instinct de survie se déclenchait dès que la conscience était à peine éveillée, puisque je vivais dans la peur en permanence, mais comme je subissais ce comportement plus qu’autre chose, comme je m’en voulais de ne pas pouvoir tirer un trait sur cette enfance, les choses ne pouvaient pas changer. 
Je résistais à tout, à la vie présente, au passé, refusait cette injustice, je reproduisais sans cesse le schéma de la victime, de la proie potentielle et attirait des situations qui le reflétait. Il a fallu que je comprenne la loi d’attraction, le karma mais surtout le pardon à soi-même, l’amour inconditionnel de soi, pour sortir de ce schéma récurent.

samedi 1 mars 2014

Caminando, caminando...






Le bien-être qui découle du lâcher prise est à l’image de l’harmonie intérieure et reflète l’abandon à la guidance intérieure. Il n’est pas facile de suivre aveuglément son âme et très souvent on s’imagine qu’il nous faut adopter un comportement calqué sur notre façon de considérer les choses, à travers la notion de bien et de mal, de ce qui est correct et de ce qui ne l’est pas mais en fait ça n’est absolument pas le cas. Il s’agit plutôt d’être en accord avec son âme qui malgré son désir d’évolution, d’ascension, ne voit pas les choses de façon duelle.
Elle choisit en accord avec "son" partenaire ou flamme jumelle ou créateur, le nom en fait dépend de la vision que l’on a du divin et de la raison de vivre, le parcours qui lui permettra d’expérimenter sa nature divine au travers de la matière. Quand on parle de karma, on pense très souvent de façon dualiste, imaginant qu’il y a des punitions et des récompenses mais c’est un point de vue purement humain.
Je considère les choses tout à fait autrement. L’évolution de l’âme me semble plus une expérimentation, un ajustement de fréquence où la notion de contraste n’a pas été donnée afin de diviser les choses mais plutôt d’avoir un point de vue d’ensemble de l’énergie père mère et de toutes les probabilités selon le chemin suivi, soit l’amour, soit la peur ; soit la vie, soit la mort.

"L’amour n’est pas une valeur morale mais un état d’être"



Olivier Declercq


Depuis deux jours, je me laisse totalement aller, à tous les niveaux ! Je me laisse guider entièrement par mon feeling et c’est une belle façon de libérer des peurs, des croyances, non alignées sur l’amour. Et oui, encore ce mot ! On ne peut pas s’en passer de toute façon puisque cette énergie régit tous les univers. Et quand je dis univers, je parle aussi bien de l’espace infini que de nos cellules. La première fois que j’ai lu quelque chose à propos des rayons, ça remonte à 2006. J’ai tout de suite senti une forte résonance avec les rayon rose et violet, l’amour et la liberté. Mais la conception humaine de ces valeurs et si éloignée de la réalité, que je suis encore à en étudier le sens. 
Déjà, le fait de savoir qu’il s’agit avant tout d’énergie, change pas mal les choses. De ce point de vue, l’amour n’est donc pas une valeur morale mais un état d’être. On peut distinguer plusieurs "façons" d’aimer, selon "l’objet" qui en est la cause, le déclencheur mais j’ai toujours senti que l’amour se situe bien au-delà de toutes ces considérations. La vie elle-même m’a montrée que la vision humaine de ce sentiment est très réduite et varie totalement selon les individus. Il apparait finalement que celui-ci s’exprime au travers de "qualités" telles que la capacité à pardonner, à lâcher prise, à ressentir de la gratitude, à communier, à partager, à prendre soin…Mais aussi à être vrai, honnête, franc, respectueux, humble, simple, ouvert…

vendredi 28 février 2014

"Je respire profondément et les nuages en moi se dissipent, laissant apparaitre un soleil radieux !"






On ne peut pas dire que ce soit la clarté totale en moi, ce matin. Du moins, comme je me laisse porter par l’élan du moment, je ne contrôle absolument rien au niveau du mental et ça n’est pas quelque chose qui plait à mon ego. D’un côté j’agis selon des pulsions qui ne sont pas dictées par la peur, ce qui me le confirme, c’est le ressenti au moment où je suis dans l’action et le fait que ça glisse tout seul et de l’autre, des questions interfèrent, me faisant douter de la pertinence de mes actes, de mes choix. Il semble que ce soit le dilemme de ma vie, et de beaucoup d’entre nous. Dès lors que nous avons foi au monde invisible, cette question récurrente sera toujours présente ; est-ce le fruit de mon imagination ou est-ce bien réel ?
J’ai lu la newsletter de Pamela Kribbe hier et constaté que le doute existe même chez ceux qui sont habitués à connecter les êtres d’autres dimensions. D’un côté l’ego est nécessaire pour s’affirmer mais de l’autre il sème le doute. Ce qui me conforte tout de même quant à mes choix, c’est le fait de voir que les questions qui expriment le doute, cachent des peurs que je peux démasquer et les libérer, puisque la connaissance de soi, permet de déceler les ombres qui nous habitent.

jeudi 27 février 2014

"Nous portons Tout en nous-même"...vidéo d'éveil


Ricardo Marinez  


Jouer sur les peurs, manipuler par la force, la contrainte, faire avancer avec une carotte, l’être humain a testé toutes les formes de manipulations possibles et imaginables. On construit des modèles qui caractérisent le diable et le bon dieu et tout le monde va se loger dans la case qui lui correspond.
Plus l’humanité évolue et plus ces figures représentatives deviennent pernicieuses mais le principe reste le même. On a toujours dit aux enfants de se méfier du loup, de l’ogre qui allait le manger, la sorcière qui viendrait le changer en crapaud et la liste est longue, côté monstres, à l’image de toutes les ombres que nous refoulons. Nous diabolisons la sexualité parce que l’énergie qui la sous-tend est effrayante, incontrôlable. Plus nous la refoulons et plus elle se montre gigantesque amenant les plus dépassés à assouvir leurs instincts avec ce qui leur tombe sous la main. En général, les plus faibles, femmes et enfants en sont les objets mais peu à peu, on casse le tabou et on tente de minimiser le « problème », de le contrôler en commercialisant des objets qui évitent ainsi de se jeter sur des personnes mais ça ne résout pas du tout la question. On tente de banaliser l’acte sexuel par la vente de ses gadgets et de le vulgariser par les films pornos.

Animal, anima el alma... et des vidéos de tous poils!






Ce matin, je ne sais pas si c’est le fait de m’être endormie avec le message de la Terre en tête mais j’ai le ventre en ébullition. J’ai lu le message ou plutôt survolé les mots privilégiant la lecture par le cœur, l’intuition en sachant que les mots seraient traduits pendant la nuit, exprimés dans ma propre expérience. 
Je sens comme un feu intérieur et en même temps une passion de vivre, d’être dans le mouvement ! J’ai constaté, en sortant de mon lit, l’état de mes cuisses toutes ramollies par l’inertie de l’hiver et je me suis dit qu’il était temps de se glisser dans le mouvement de la vie, d’être dans l’action, de laisser ce feu s’exprimer, exploser tel un volcan. 
Je commence toujours la journée par aller aux toilettes et je m’y connecte à la terre mère. Le frisson qui me parcoure de la tête aux pieds me confirme que le contact est établi. Les poils qui se dressent comme des milliers d’antenne en mode réceptif, c’est comme si l’animal que je suis aussi, dressait ses oreilles pour entendre le message d’amour de la Terre, capter ses vibrations, s'en remplir et appeler mon âme, mon esprit à revenir dans cette dimension.
En parlant de poil, je suis tombée sur une vidéo hier, qui m’a remise sur mon chemin d’authenticité, de vérité, celle d’aimer tout ce que je suis, sans aucune condition, sans concession.