Voici le dernier message du livre de Pamela Kribbe ; « Vivre
selon le cœur », que vous pouvez aussi lire sur son site dont le lien est en fin de message. J’ai beaucoup de mal à faire la méditation guidée en
entier. J’arrive à visualiser le portail au bout du tunnel, à ressentir les
énergies dans ma main, mes bras mais dès que j’essaie d’aller plus loin, je m’endors !
Je ne force pas les choses et me fixe « l’objectif » de recommencer
chaque soir jusqu’à ce que je puisse le franchir naturellement. De toute façon,
je suis convaincue que ces messages éveillent ma propre source et agissent en
profondeur, au niveau de l’inconscient. Les situations vécues en ce moment et
les prises de conscience qu’elles suscitent ne sont pas le fruit du hasard! L’univers et nos présences divines déploient toute
leur énergie pour nous ouvrir les yeux et le cœur en créant des synchronicités de toutes sortes.
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
samedi 31 août 2013
Et si j’agissais à partir du cœur ?
"The sacred of geometry" |
Je viens
de prendre conscience d’une évidence que je n’ai jamais expérimentée avant, faute
de clarté, d’amour de soi et par peur d’être rabaissée. Plutôt que de foncer
tête baissée en réagissant aux stimuli émotionnels et mentaux, je vais essayer
d’appliquer ma foi en l’amour inconditionnel en chacun et la manifestation de
celui-ci à travers les gestes anodins du quotidien, qui cependant sont chargés
d’énergie spécifique. Par exemple, plutôt que de courir pour étaler le linge,
amplifiant ainsi la compétition autour de ce pauvre fil, qui semble être une
occasion pour la voisine, d’affirmer sa légitimité, sa dominance ; Elle
l’étale en plein milieu comme pour marquer son territoire et indiquer par la
fréquence des lessives, sa capacité à être une femme de ménage parfaite,
propre, impeccable. Elle passe ses journées à la fenêtre, au milieu du bâtiment, épiant les allées et venues, continue de claquer les porte pour exprimer son mécontentement...
Pour ne pas jouer
son jeu, je choisi de faire tourner la machine à neuf heures, même si je suis
levée depuis 5h, respectant ainsi le sommeil de chacun et exprimant une
nouvelle façon d’être qui pourra éventuellement inciter les autres à changer,
par mimétisme. J'ai étalé mon linge dans un coin, laissant la place pour deux autres machines. L’humain à tendance à copier les comportements extérieures et en
ayant une attitude issue du cœur, les façons de faire des autres, peuvent changer naturellement. Quand on suggère
quelque chose à quelqu’un, à travers un conseil, en général, l’ego réagit en se
braquant alors que si les choses sont faites dans un esprit d’élévation
mutuelle, sans rien dire, il se peut que ça incite l’autre à faire la même chose tout en ayant
l’impression qu’il en est l’initiateur. Je ne dois pas non plus le faire par
besoin de performance, de montrer « je suis la meilleure » mais dans
l’ardent désir de manifester la réalité de 5ème dimension, celle du
cœur et de la conscience.
S’accueillir pleinement...vidéo Isabelle Padovani; "L'amour inconditionnel et la relation amoureuse"
Chuck Hepner |
Je suis
remplie d’une belle énergie ce matin ! La nuit fût pourtant courte, à
cause ou grâce aux bruits des voisins, vers 5h. J’ai repensé à la scène de
l’hystérique, dans la semaine, en relatant les faits à une voisine qui est très ouverte
et dont le rire explosif et spontané, démontre un lâcher prise évident. Je n’ai pas raconté
cette histoire en me plaignant mais en expliquant les faits tels que je les ai
vécus. J’ai été assez stupéfaite par la réaction démesurée de la femme, à la vue
de mon affiche qui pourtant n’était pas du tout agressive. Si je m’étais
empressée de raconter cette histoire, juste après en cherchant l’approbation
extérieure, ça aurait démontré mon besoin de reconnaissance, renforcé le côté
victime et reflété mon manque d’assurance, mon incapacité de "défendre" ma
position...Je ne dis pas non plus que j’aurais pu réagir avec plus de
neutralité, j’ai fait au mieux de mes possibilités, dans le moment présent, de
façon spontanée. Je ne me suis pas non plus trop empêchée de parler de cette
histoire, sur le moment, j’ai juste constaté que je n’avais plus besoin de me
sentir soutenue même si la réaction du voisin de jardin, aux attaques
injustifiées de la furie, m’a interloquée. Un homme de soixante ans qui prends
une voix d’enfant pour dire « c’est pas moi, je n’ai rien
dit ! ». Sa compagne, une femme assez baraquée, est venue le
défendre, le réconforter. Ce tableau des diverses réaction de ces personnages m’a laissé songeuse et
sachant que tous me reflétaient des aspects de ma personnalité, j’ai compris
finalement qu’il me faudrait changer d’air, mais avant tout, acquérir encore plus de paix
intérieure par l’amour de soi, afin de ne plus être dans la réaction, mais l'observation. Tant que je vis des situations de ce genre, c’est que tout en moi,
n’est pas totalement libéré des schémas victime, bourreau, sauveur. L'étape actuelle, c'est de faire de l'observation, sans commentaires, un réflex premier.
"L'envie d'être parfait" par le Collectif Ashtar via Simon Leclerc
Je reste sur mon idée de partager ce message que j'ai déjà publié le 1er mars de cette année, qui me semble tout à fait approprié en ce moment. On reste sur le thème de la nécessité de plus en plus pressante de s'accepter en totalité afin d'intégrer l'amour inconditionnel de façon réelle, permanente et durable. La première fois que j'ai lu ce texte, j'ai tout de suite senti sa vérité, sa lumière et l'amour qui en émane. Beaucoup restent dubitatifs quant à l'origine de ce genre de message, la réalité de son mode de réception...Pour ma part, le ressenti et surtout le contenu sont des preuves irréfutables de sa véracité. Mon cœur tout comme mon mental ont approuvé ensemble ce qui est développé ici. Plus d'un an et demi après, je peux en attester la pertinence et la réalité, au travers de mes expériences vécues. Le parcours n'a pas toujours été facile mais ces vérités sont maintenant intégrées dans ma chair, ma conscience, mes corps denses et subtils. Même si dans un premier temps il est nécessaire d'accueillir des connaissances en "aveugle", par la foi en nos aspects divins invisibles, il n'y a que l'expérimentation qui puisse la rendre réelle. L'amour inconditionnel, l'acceptation totale de soi, est le chemin de l'éveil, de la réalisation et la libération de l'être.
vendredi 30 août 2013
La puissance de l’amour de soi...vidéo Isabelle Padovani "La tyrannie des idéaux"
Après
avoir pratiqué les séances d’EFT pendant un certain temps, je peux constater
que je suis enfin prête à accepter totalement l’idée que la raison d’être de
toute âme qui s’incarne sur cette terre, c’est de retrouver le véritable amour
de soi. Je précise que je continue l'EFT parce qu'il est bon d'aller au bout d'une pratique afin de ne pas s'éparpiller et d'en goûter les fruits. Il a fallu que j’imprègne mon corps physique, mental et émotionnel de l’acceptation
totale de soi par ses tapotements réguliers pour enfin me dire que je ne suis
pas égoïste et que la solution c’est d’accepter tout mes défauts. Cette
préparation m’a amenée à pouvoir entendre les conférences de Lise Bourbeau sans
être trop choquée consciemment et inconsciemment. Une des choses qui m’a le plus freinée dans cette
acceptation, c’est le besoin d’être parfait qui amène à culpabiliser. Cette croyance
qui fait qu’il arrive des situations pour lesquelles on ne sait plus du tout comment réagir.
Il nous faut avoir l’humilité de reconnaitre que c’est en accueillant chaque
émotion, chaque pensée, sans les juger, tel que c’est, dans le moment présent
que quelque chose en nous se libère et s’ouvre. Comme le dit Lise Bourbeau, c'est inconcevable pour le mental et ça n'est qu'en en faisant l’expérience qu'on peut le vérifier.
Pourquoi est-ce que ce que j'ai libéré continue-t-il à revenir ? de Nicky Hamid
Traduit et publié par Marinette Lépine, sur Facebook TransLight, le 29 août 2013
"Oneness through Rasha" |
Garder la foi, sans rien attendre*
Après
avoir été réveillée à 2h du matin, par les bruits du voisin, force est de constater que je n’ai pas
trouvé la solution ! Je devrais plutôt dire que je n’ai pas appliqué la
bonne « méthode » à savoir : Le Lâcher Prise ! Je me suis
réveillée en colère contre la terre entière, tout y est passé ! L’utilité
de cette explosion, c’est qu’elle me permet de constater que je ne suis pas
dans le pardon total vis-à-vis de mon père, de mon âme et de moi-même. Comme je
ne me laisse plus envahir par la culpabilité, même si elle se manifeste, je
peux faire le bilan, prendre conscience de mon état inconscient. Je choisis de
positiver tout ce qui arrive et de ne plus nourrir la victime en me critiquant
ou en me rabaissant. Oui, je suis en colère de me voir rejouer le même scénario
mais non, je ne m’en rajoute pas en constatant que j’agis toujours à partir de
la peur. Celle d’être manipulée, dominée et abusée qui correspond aux idées que je me fait du divin intérieur. Je focalise seulement sur
ce qui a été libéré et continue de vouloir être consciente de ma façon d’être.
Je continue aussi les séances d’EFT afin d’amplifier l’amour de soi.
« Même si je suis déçue de ne pas
avancer assez vite, je m’aime infiniment, je m’accepte comme je suis et je me
pardonne » ;
« Même si je n’arrive pas à lâcher prise, je m’aime
infiniment, je m’accepte comme je suis et je me pardonne » ;
« Même si j’ai encore de la colère... » ;
« Même si j’agis
à partir de la peur... »
Comme le
lâcher prise commence par soi-même, quand on peut voir où on en est, le mieux
reste encore de libérer ses attentes de perfections. Comme je sais que la
solution, c’est d’accepter ce qui est, je commence par me l’appliquer à moi-même afin de
garder libre la circulation énergétique intérieure. Et même si les mêmes
défauts reviennent se manifester, même si je fais sans arrêts les mêmes erreurs,
je n’abandonne pas mon chemin. Je sais que c’est le bon et je m’en remets à
l’univers pour pallier mes carences. Je reste sur la route mais je n’ai plus
envie de marcher, je me pose !
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