dimanche 4 août 2013

"La Clarté Intérieure" journée sacrée "18", Par Murielle Robert



Ce dimanche ainsi que la semaine, porte la vibration du 18, la clarté intérieure. Il me reste encore des vieux souvenirs, des déchirures et des peurs, à libérer énergétiquement et cette fin de semaine m’a montrée le thème à approfondir. Comme notre âme prends grand soin de nous donner l’occasion de guérir, elle créé des situations qui feront monter en surface ce qui a trop longtemps été mis de côté. Il est vrai que j’ai eu tendance à refouler les douleurs de l’adolescence, le premier amour déçu. Même si la raison a pu faire la part des choses et si j’ai compris que j’avais une vision distorsionnée de l’amour romantique, croyant que l’amour d’un homme me sauverait de mes souffrances, les émotions d’alors, bien enfouies, doivent être amenées à la lumière et libérées. Encore une fois, ce sont tous les corps qui doivent être purifiés. Les fausses croyances au niveau du mental et les émotions qu’elles ont créé forment des barrières énergétiques qui empêchent l’énergie de pur amour divin, de la source de vie, de s’écouler éternellement. Ainsi, aimer et être aimé fait ressurgir tant de peurs que c’est bien souvent la solitude qui est choisie. Le programme de la semaine promet d’être chargé mais comme je ne crains plus mes émotions, comme j’arrive à les accueillir, c’est de la guérison en perspective et peut-être un ressenti intérieur amoureux ! Là, le mental se fait déjà des films ! On va prendre les choses une par une, sans anticiper ; pas d’attente égal pas de déception !

samedi 3 août 2013

Ouvrir son coeur...






Depuis trois jours, je n’ai pas envie d’écrire, ça ne vient pas. Il faut dire que je vais directement au jardin pour arroser et que je savoure le bien-être qui résulte du fait de savoir comment laisser les émotions s’exprimer. Le bien-être est quelque chose de naturel qui devrait être continuel. Nous avons fabriqué tant de masques, de rôles que nous ne savons plus vraiment vivre. Nous analysons tout, dès qu’une envie, un désir arrive, nous le censurons, le jugeons, le rangeons dans des cases bien ou mal, correct, pas correct et du coup, nous nous contentons de vivre à moitié. Nous passons notre temps à nous frustrer et à nous censurer. Les enfants, les adolescents ne se posent pas tant de questions ! Ils vivent tout simplement, répondant à chaque appel de leurs corps.
Nous croyons qu’être adultes, c’est être raisonnable. Mais en fait, ça revient à faire uniquement ce que les autres nous autorisent à faire. Ce que la télévision nous dicte, ce que nos parents nous ont inculqués comme étant « moral ». Des règles soit disant de bienséance qui finalement nous formatent tous. Il faut être poli, ne pas dire ce que l’on pense, sourire et saluer tout le monde. A quoi bon si ça n’est pas sincère ? C’est comme si paraître bon et juste allait nous rendre meilleur. Ce n’est qu’en s’aimant d’abord sans jugement, sans rejeter des parts de soi que l’on peut avoir un regard neutre puis finalement aimant sur l’entourage.
En ce moment, comme j’ai découvert que le fait d’accueillir une émotion ne me bouleversait pas, je vais à la découverte de celles-ci privilégiant le ressenti. C’est un exercice qui demande de l‘attention et du silence. Ce n’est pas évident de pouvoir ressentir ce qui vibre en soi, sans commenter, chercher à interpréter, comprendre, mais c’est pourtant ce qui s’avère être efficace. C’est tellement intime que ça ne peut pas non plus être vraiment exprimé. Il faut le vivre.

vendredi 2 août 2013

"Le chakra du coeur" de Marie Lise Labonté; "La transcendance"






Voici la dernière partie extraite du livre de Marie Lise Labonté ; « Maître de ses chakras, maître de sa vie ». Il est clair que la maîtrise du mental et du corps émotionnel permet déjà un mieux être évident. Je préfère parler de corps plutôt que de chakra parce que c’est plus concret, bien que tout soit énergétique. Même si les émotions et les pensées sont invisibles, elles ont néanmoins un impact très important sur le comportement et sur ce que nous créons. Ce qui est encourageant, c’est que nous pouvons orienter nos pensées, les choisir. Sans pour autant renier les mauvaises pensées mais en ne les nourrissant pas, en ne s’identifiant pas à elles, ou en les considérant à partir du cœur, nous pouvons modifier les réactions chimiques dans notre corps physique. Le plus difficile, c’est de pouvoir prendre du recul, se détacher de ce qui se vit à l‘intérieur. On est tellement habitués à chercher la cause de notre mal être, en dehors de nous, qu’on se laisse vite embarquer dans la victimisation. Pourtant, notre pouvoir réside dans notre cœur, l’énergie d’amour inconditionnel restructure, restaure, régénère, illumine...

mercredi 31 juillet 2013

Le plus beau cadeau de la vie! canalisation reçue par Daniel Miron





Je viens de recevoir la newsletter de Daniel Miron qui canalise les êtres de lumière. C’est toujours appréciable de constater la résonance dans les propos. C’est une canalisation reçue pour une personne en particulier mais qui peut être utile à tout le monde, même des gens qui n’ont pas vécu le problème dont il est question. 

Nous avons tous à nous responsabiliser en libérant l’idée de victime, de bourreau et de sauveur. C’est vrai qu’il n’est pas évident de lâcher cette notion puisque tous nos systèmes de croyances reposent sur elle. Cependant, la délivrance, l’autonomie et la souveraineté passent obligatoirement par ce processus. 

Tant que nous jugeons, divisons les choses, les événements de la vie en bien ou mal et les gens en bons ou méchants, nous restons piégés dans des rôles et ressassons les mêmes dialogues intérieurs qui nous rendent la vie pénible. Ce système de croyance s’applique à nous-mêmes et nous condamne systématiquement, amenant la culpabilité, le devoir, le sacrifice...
En faisant appel à la guidance de son cœur, de son âme, on peut finalement voir les choses avec du recul et changer de perspective sans se sentir coupable et sans croire que l’on bascule dans le côté obscur. 
Notre véritable nature, c’est l’amour divin, inconditionnel, nous ne pouvons pas devenir des monstres en libérant la notion de bien et de mal, nous devenons alors comme le christ, capables d’aimer nos ennemis. Certes pas du même amour mais au moins nous pouvons nous libérer de l’emprise qu’ils ont sur nous, en ne les nourrissant pas par des pensées négatives qui ne feront que les fortifier dans leur rôles de persécuteur et nourrir la haine en nous-mêmes, amplifiant notre statut de victime. 

Vague d'amour






Il est rare que j’aie envie d’écrire le soir mais là, je ne peux m’empêcher de témoigner. Jusqu’à maintenant, ce qui était de l’ordre de l’émotionnel s’exprimait en réaction à des situations dérangeantes ou par le constat de petites victoires. Là, je suis envahie par une vague d’amour et de tendresse qui est venue crescendo à mesure que j’ouvrais les mails et lisais les commentaires. Je ne pense plus être en besoin de reconnaissance, bien que le fait de s’exposer en public puisse le laisser croire, mais je dois dire que ces témoignages affectueux me touchent particulièrement au point de ne pas pouvoir y répondre individuellement. Les journées que nous vivons en ce moment sont très intenses mais cette vague d’amour qui me remplit n’est pas vraiment émotionnelle, c’est plus de l’énergie qui se libère de mon cœur. Comme si le fait de m’autoriser à m’aimer, à aimer les autres, et à embrasser la vie avec tout mes corps, mon âme, avait ouvert une vanne. J’ai comme une envie de pleurer, comme si mon cœur s’attendrissait sans que ce soit un mot, une phrase, quelque chose issu du mental, qui l’ait suscité. L’envie de m’éclater dont j’ai parlé dans le précédent message, n’est pas vraiment la même chose que ce que je sentais par le passé. Cette expression signifiait plutôt l’envie de sortir de mon corps, de ma tête, de ma routine, ressentir des sensations fortes pour pallier l’impuissance à gérer et à aimer ma vie. Là, c’est simplement le désir de vivre pleinement en conscience à travers l’amour incarné en tous mes corps. Plus seulement au niveau mental, comme un idéal espéré mais comme quelque chose de réalisable au quotidien.

mardi 30 juillet 2013

Il est l’heure de vivre !




La fraicheur matinale me permet de récupérer de l’énergie. Pour une fois, j’ai eu l’impression de « travailler » cette nuit. Nous sommes bien trimballés en ce moment, dans les hauteurs et les profondeurs mais d’un autre côté, bien que ça puisse être épuisant, il y a comme un enthousiasme et une excitation à vivre ses mouvements qui ne laissent aucune place à l’ennui. Pas le temps de souffler que les énergies reçues amènent à s’ancrer afin de profiter de chaque opportunité de s’élever en accueillant les émotions suscitées par les rayonnements énergétiques. Se caler sur le cœur exige une souplesse d’esprit et la recouvrance de sa responsabilité qui seule peut amener la souveraineté de l’être réunifié. La stabilité émotionnelle est à trouver. Parfois, l’équilibre semble précaire mais en s’abandonnant en confiance à notre propre lumière, tout se stabilise et amène un large sourire né de la joie subtile mais profonde du cœur soulagé, guéri. Se souvenir à chaque creux de vague, que le mouvement perpétuel de la vie amènera naturellement à remonter à la surface, voire à s’élever au-delà du flot, permet de rester serein. Comme nous sommes amenés à épurer le corps émotionnel et que celui-ci porte la vie dans ses extrêmes violents, avoir purifié le mental de la notion de bien et de mal permet de surfer sur la vague parfois avec délice. Merci mon âme, merci la vie d’avoir libéré ces fausses croyances qui créent le jugement, l’auto-critique, d’avoir libéré l’idée que l’amour inconditionnel de soi est un mouvement égotique et de m’avoir permis de comprendre dans la chair, par expérience qu’au contraire, c’est la base de la souveraineté qui ouvre le cœur à un amour pur, à la capacité d’aimer l’autre sans retenue, sans attente, sans restriction, sans projection et sans peur.

lundi 29 juillet 2013

Libération, après le corps mental, le corps émotionnel...





Je voulais juste me relaxer mais je me suis endormie. Mon réveil a été assez désagréable parce que c’est la chaleur qui m’en a sorti. En essayant de m’attacher les cheveux pour ne pas les avoir collés dans le cou, j’ai senti de la colère monter. Je me suis dit que c’était bien fort pour un petit souci de coiffure. Puis, j’ai réalisé que je n’avais pas évacué la charge émotionnelle que je retenais depuis l’enfance. 
La plupart des aînés ont un rôle de persécuteur pour les cadets qui leurs volent la vedette. Avec ma sœur, c’était assez violent du fait de l’inceste et je ne répondais pas à ces agressions. Une part de moi savait que ça n’était pas une solution et je préférais m’éloigner, m’isoler, aller vers les animaux. 

La situation d’hier a réveillé l’enfant intérieur et en lui expliquant les choses, mon point de vue actuel sur la vie, en le rassurant, j’ai pu me calmer mentalement. Mais, toutes les émotions de frustration, de colère, de tristesse, n’ont pas été libérées. 

C’est une chose de pouvoir « raisonner » le mental, mais nier tous ce qui a été refoulé sous prétexte qu’il ne faut pas faire de vague, n’est pas bon du tout. 
Il est clair que le raisonnement est nécessaire pour ne pas être en conflit avec l’extérieur mais il faut pouvoir libérer la charge émotionnelle dans l’intimité pour ne pas se retrouver à amplifier un petit truc présent, par des fantômes du passé. 

Alors, j’ai laissé monter la colère. Une boule à l’estomac a grandi, s’est contractée. J’ai respiré profondément, détendu tous les points de crispation dans le corps et des larmes sont sorties d’une façon qui m’a fait vraiment ressentir un soulagement.