Ce matin, à nouveau, la sensation d’être laissée à moi-même m’a envahit.
Puis, en allumant l’ordi, je me suis rendue compte que ce week-end, c’était le 14 juillet ! Bien souvent, j’ai vécu cette date anniversaire d’une période spéciale de l’histoire, de façon chaotique et désagréable.
Un sentiment d’être partagée entre trouver sa souveraineté et accepter ce qui est. En fait, les deux doivent pouvoir être compatible.
Dans un premier temps, dans toute situation, éviter de réagir sous l’émotion et voir ce que la situation me montre puis me positionner hors du schéma victime/bourreau/sauveur, en ayant un comportement neutre qui aille dans le sens du respect de soi.
Pour le moment, ma tac-tic, c’est de revenir à ma foi d'humain divin créateur de ce que je vis et donc de me centrer sur le plus important, accepter ce que la situation me renvoie. Si je suis face à quelqu’un qui joue la victime, plutôt que d’amplifier son sentiment en jouant son jeu, une partie de moi est douce avec elle parce que je sais qu’elle se "croit" victime.
Je lui parle cependant de son pouvoir de choisir de sortir de ce rôle. En lui montrant qu’elle n’est pas obligée de subir ou qu’elle peut voir les choses du côté positif. En même temps, j’accueille la victime intérieure et la console. Quand je suis face à une victime qui devient bourreau, je l’évite physiquement, je ne culpabilise pas de m’écarter, de ne pas arriver à pardonner ou à voir en elle un miroir divin et console la victime intérieure.