vendredi 5 avril 2013

Fin de soirée calme, "Conversations avec Dieu" le film d'après le livre de Neale Donald Walsch



 
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Cette journée a vraiment été très spéciale. Elle a commencé avec beaucoup de tristesse que l’amour de soi, par le non jugement et l’acceptation de pensées et émotions négatives a rendu plus douce. Beaucoup de larmes ont coulé et plutôt que de chercher à comprendre, je me suis contentée de maintenir mon humeur égale en laissant aller la peine, la tristesse et en me disant de temps en temps, "je libère". Puis j’ai suivi mon envie, celle de ne rien faire de ce que j’avais prévu, dans un premier temps et en écoutant le moindre de mes désirs sans me tracasser. J’ai regardé un dessin animé après m’être allongée au calme sans même chercher à faire quoi que ce soit, pas de cohérence cardiaque, pas de focalisation, de visualisation, pas de questions...
Rien, juste manger, et ne pas nourrir les pensées négatives et le manque de joie que le temps gris et humide suscitaient. J’ai lu un peu puis j’ai somnolé devant l’écran. 
J’ai eu de drôles de sensation d’ouverture de conscience, d’infini, de quelque chose d’inconnu à peine identifiable et descriptible.

"Je t’aime Lydia", Marie Madeleine reçu par Paméla Kribbe: "Se sentir chez soi sur terre", vidéo Darpan et extrait "Angel-A" de Luc Besson



The return of the feminine

Pas facile à se dire en face, pourtant ces quelques mots ont un immense pouvoir guérisseur. Il m’a fallu deux heures pour "remonter la pente", pour arriver à lâcher prise et retrouver la joie d’être, tout simplement, sans justification, sans doute d’être à la bonne place, au bon endroit, au bon moment et dans Ma vérité, sur Mon chemin. La réception de cette vidéo par le site Epanews, (de la part de Laëtitia Ludivine), a fini de me convaincre d’effectuer ce lâcher prise en portant un regard amoureux sur moi-même, en sortant de l’auto-critique, du jugement. Sortez vos mouchoirs ! Si des larmes vous viennent, elles seront le signe d’un appel de votre âme, de votre enfant intérieur qui manque de reconnaissance pour exprimer pleinement la joie de vivre. Accueillez-vous à bras ouvert. La tendresse que l’on s’accorde c’est la porte grande ouverte à l’amour que nous sommes en vérité mais comme le dit l’ange dans cet extrait de film, il faut l’exprimer, il faut qu’il puisse circuler pour s’amplifier et revenir multiplié.

Extrait du film de Luc Besson :
« Angel-A »

Réaliser l’harmonie par l’acceptation de soi, "Être le pont vers la nouvelle Terre" message de Jeshua reçu par Paméla Kribbe


"The return of the divine feminine"



Ce matin, le réveil a été difficile. Des sentiments de doute, de colère. Un genre de rébellion envers mes guides. Une volonté de tout envoyer balader, de laisser tomber, d’arrêter d’écouter mon monde intérieur, de ne plus suivre les inspirations de mon cœur. J’étais écœurée de ne toujours pas pouvoir sentir l’amour, la chaleur en mon cœur, de sentir autant de résistance. J’ai appelé mes guides à se manifester. Il me semble que l’un d’eux soit Jeshua. Je me fie à mon cœur et au fait que je me sois toujours sentie portée élevée par ses messages et son énergie qui me semble si familière. Il a le don de m’attendrir, d’ouvrir mon cœur comme personne. Puis le "hasard" m’a guidé sur le site de Paméla Kribbe où j’ai eu la joie de trouver trois nouveaux messages que je me suis empressée de lire et même d’écouter. Puis les larmes ont coulé. 
J’étais en colère contre moi-même, reprochant à mon mental de m’embarquer dans des délires que je sais pourtant être ma vérité. Craignant les réactions extérieures face à mes affirmations. Redoutant d’être taxée d’opportuniste, d’être critiquée à parler d’argent de désir de servir et d’être rétribuée pour ça. Le doute revenu, a commencé à me pousser à en vouloir à mes guides de ne pas ressentir l’amour, à ne pas voir concrètement pour être certaine que je ne me laisse pas berner par mon mental ego...

jeudi 4 avril 2013

L’argent une énergie détournée de sa mission première exercice de "reconnexion à l’esprit de l’argent" d’Inelia Benz




Enfin quelques moments passés au jardin ! La terre est si imbibée qu’on ne peut pas faire grand-chose. La pluie est revenue et m'a coupée dans mon élan! C’est le moment d’appliquer le désir d’acceptation de ce qui est. J’ai bricolé pendant deux heures, à désherber centimètres par centimètres, essayant de reconnaître les plantes dites mauvaises en utilisant le bouquin que je me suis offert. Un petit guide qui classe quelques plantes qui sont habituellement arrachées et jetées. J’en ai mis quelques unes de côté. Je n’ai pas trop avancé mais comme mon but n’est pas de faire un truc carré, contrôlé, productif, tout est bien. Je considère la terre, l’élément comme sacré et la planète comme une mère. Pour ces raisons, cette année, j’ai décidé d’être encore plus consciente de ma connexion à la source à travers mon corps physique et à travers la matière, les éléments.
C’est quand même grâce à cette belle planète que nous pouvons jouir de cette expérience dans la chair qui est composée des mêmes matériaux que cette mère nourricière.
Si nous avions du respect pour chacun de nos organes, quels qu’ils soient, nous n’en serions pas arrivés à détruire la nature à force de vouloir la contrôler.

Oser s'écouter, suivre son coeur, ses guides



Pensée du jardin

Depuis que j’ai décidé de "servir" l’amour et la lumière et d’écouter mes propres pensées, en plus de mon ressenti, j’ai trouvé un équilibre intérieur et une énergie qui se ressent dans tous mes corps et dans ma vie de tous les jours. J’ai accepté de guider les âmes qui se présentent à moi, sans jugement, sans me dire que je délire puisque les résultats sont là. Bien que ça puisse paraître insensé pour la majorité des gens, j’y trouve un sens très profond et une logique évidente. Beaucoup de choses faites au feeling, dans mon passé, prennent tous leur sens dans cette activité totalement désintéressée.
Les six années passées à la permanence de la généalogie de l’église, toutes ces après midi à rechercher des ancêtres, à accueillir les visiteurs non "Mormons", à les renseigner et à ressentir des puissantes vibrations d’amour, trouvent leur légitimité dans cette activité. J’avais accepté spontanément de donner 4h hebdomadaires et j’en tirais un bien-être indescriptible. Je ne doutais pas de la possibilité de communiquer avec ces personnes puisque je suis persuadé de l’immortalité de l’âme. Le fait que l’opportunité d’être baptisé dans les temples de l’église, leur était offerte, ne me semblait pas injuste puisque chacun possède son libre arbitre. Je n’ai jamais effectuée ce genre de rituel puisque je n’ai jamais pu aller au temple dont l’accès est réservé aux personnes qui "obéissent aux commandements". Plusieurs choses m’empêchaient de le faire. Déjà, obéir, me semblait totalement contradictoire avec le principe du libre arbitre et de l’amour inconditionnel de la source. Je n’ai jamais autant ressenti cet amour que quand j’affirmais ma volonté. Les expériences les plus intenses vécues à l’église c’était de témoigner de l’amour de Dieu, au pupitre. D’exprimer ma certitude que cet amour divin est parfait, englobant, qu’il ne condamne pas, ne juge pas, ne puni pas.

mercredi 3 avril 2013

Finalement je choisi de suivre mon coeur, mon ressenti et la douce chaleur en mon ventre. Monique Mathieu, "Le hasard n'existe pas"




«  Les siècles passés portent encore le poids des souffrances dues au Mystère autour de l’au-delà. C’est comme si le mental aimait à se faire des films extraordinaires sur ce qu’il ne connaît pas au lieu d’accepter la simplicité que lui propose la vie, le quotidien. Nous savons que nous ne sommes pas uniquement constitués de chair et d’os et même si c’était le cas, il y aurait de quoi s’émerveiller devant la perfection du corps humain, devant celle d’une fleur, devant tout ce que nous percevons au travers de nos sens.
Nous sommes bercés par des films à sensation, époustouflés devant les effets spéciaux, poussés à croire qu’il nous faille atteindre des sommets pour exister, pour rencontrer Dieu. Et si la mission de chacun était tout simplement de savoir apprécier chaque instant de sa vie. Moi-même, si j’ai tant de mal à me défaire de ces médicaments qui déversent en mon sang les hormones du bonheur c’est parce que je crains la peur du manque, la peur de ne pas être capable de me satisfaire de l‘ordinaire. Mais ce quotidien, il est ce que j’en fais. Ce n’est pas dans ma tête, dans mes rêves ou mes projets que je peux m’épanouir, que je peux me trouver.
Ce soir, je m’abandonne à ma vraie nature et j’accueille l’amour pur. Je le reçois pour moi, je me l’envoi à moi-même. »

J’ai écris ça avant hier soir tant j’étais troublé par ce qui m’arrivait. J’ai voulu me persuader que ma vie, ma mission était tout simplement d’être ici et maintenant mais il semble que l’ouverture de cœur et de conscience amène à vivre des expériences spirituelles plutôt spéciales.

Je vis Ma vérité en toute liberté



Isha

Ce matin, après avoir fait la rebelle hier en refusant d’écrire, j’ai décidé de me faire confiance, de croire tout ce qui s’exprime en moi. J'ai été vexée d'être rappelée à l'ordre par You Tube pour avoir posté une vidéo soumise aux droits d'auteurs. j'ai été obligée de visionner une vidéo et de répondre à un questionnaire pour accéder à ma page! La honte, à 48ans, de se taper une vidéo où on vous tutoie et où on vous fait la morale! J'ai encore du mal avec la notion de propriété, que ce soit pour moi-même, quand je m'accroche à quelque chose que je dis m'appartenir ou quand se sont les autres. Je sens qu'il va nous falloir lâcher ça, mais bon, chaque chose en son temps. 
Il y a aussi l'idée qu'il me faille arrêter de croire que la spiritualité est synonyme de gravité, l'erreur est quelque chose qui nous enseigne, nous invite à avoir plus d'amour de soi, de tolérance et à lâcher prise sur nos attentes, nos objectifs.
Même si je ne comprends pas tout ce qui circule en moi, les énergies, l’origine des pensées, j’ai décidé de me prendre au sérieux, de cesser de me dire que je me fais des films ou bien que je délire.