Les
larmes de compassion coulent pour l’enfant que j’ai été qui a tant manqué de la
chaleur de l’amour. C’est comme si mon âme exprimait en même temps toute la
peine ressentie pendant la naissance cosmique, comme si je revivais cette
séparation, ce déchirement mais cette fois-ci, en simple spectateur. Cette sensation de vide, de manque, ce noir, cette
immensité, je me contente de les contempler. Ça fait déjà trois nuits que je suce mon pouce, comme si j’avais
besoin de retrouver le cercle, boucler la boucle, retrouver les gestes
instinctifs de l’enfance qui ont maintenu la circulation énergétique de l’amour
en mon corps. Comme si l’effet de la prise
de médicament me rappelait la maison et l’envie d’y retourner. Je suis fatiguée de ces conflits
intérieurs, de ces sautes d’humeur, de cette sensation de courir après un
mirage. De ce froid humide et pénétrant qui n’arrive même plus à me crisper.
Fatiguée de ne pas ressentir l’amour naturellement, facilement. D’avoir la
sensation qu’il faille le mériter, le susciter, l’appeler alors qu’il est en
moi et l’a toujours été. Je retourne me coucher.
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
mardi 5 mars 2013
lundi 4 mars 2013
Abandonner toute résistance et laisser le flot intérieur s’écouler librement.
Cet
après midi, plutôt que de continuer de réfléchir, je suis allée m’allonger. J’ai
ressenti le besoin de sentir la chaleur du lit douillet et la bouillotte
naturelle allongée à mes côtés. Ce chat, mon "amoureux", a le don de sentir quand j’ai le blues.
Le sommeil est venu me cueillir de temps en temps. Je n’ai résisté à rien de ce qui venait, j’ai
laissé faire. Je n’ai pas eu a laissé dire. Les voix du mental de l’ego, du
rabat joie...se sont tues.
J’ai accueilli le silence, le vide, le rien. Je n’ai
même pas cherché à méditer.
J’ai juste cherché le confort de mon corps physique,
la détente.
Les chansons du voisin du dessus m’ont maintenue dans un état semi
conscient.
C’était reposant, relaxant mais la pluie qui continue de tomber
depuis cet après midi a ajouté à ma tristesse latente.
J'appelle la lumière à me montrer mes ombres
Ce
matin, je suis remplie de reconnaissance pour tout ce que je suis. Ça commence
à s’exprimer avec douceur, mais de façon très claire. L’écoute des vidéos de
Lise Bourbeau, m’a ouverte sur une piste de compréhension pour mon problème au poignet. Concrètement,
physiquement, c’est un truc que je trimballe depuis la taille de la vigne, en hiver 2008.
Pour
le côté métaphysique, c’est lié, en gros à une colère refoulée.
Des voix féminines
intérieures se sont manifestées pour me dire que cette colère était liée à ma
mère qui tenait ça de sa mère...
Toutes deux ont endossé le rôle habituellement
confié aux hommes d’assumer les rentrées d’argent au foyer. Ma grand-mère parce
que mon grand père a été fait prisonnier pendant la guerre et ma mère par désir
d’émancipation, a choisi d’être indépendante. Cependant, ce choix l’a amené à
croire qu’elle pouvait assumer pour mon père et pour ses enfants. Le souci, c’est
que ça lui a collé une pression énorme, amplifié le sens du sacrifice et ce qui
au départ devait être une façon d’être indépendante s’est vite transformé en une
obligation pesante, un devoir.
Dans un couple, l’équilibre est nécessaire or ma
mère a porté seule la responsabilité de l'adulte, au foyer.
dimanche 3 mars 2013
Quand la lumière révèle l’ombre, "Abandon et contrôle"message de Jeshua reçu par Paméla Kribbe
![]() |
Nébuleuse Mz3 |
Il
semble qu’il y ait beaucoup de remous sur la toile. J’ai fait un petit tour sur
les sites que je visite habituellement et les messages changent peu à peu.
La
puissance de la lumière est telle que ce qu’elle révèle amène beaucoup d’humains,
à paniquer. Comme chacun est amené à voir ce qu’il est en réalité, un mélange d’ombre
et de lumière, tous ceux qui se croyaient pure lumière, se trouvent choqués et
les réactions vont du déni à l’agressivité, en passant par l’accusation et la
colère.
Quand on
refuse de voir nos ombres, on va accuser systématiquement les autres.
Quel
intérêt y a-t-il à se demander qui est lumineux et qui ne l’est pas ?
Evidemment
quand on veut être un phare, l’enjeu est immense, on veut garder sa
boutique florissante. En même temps, je peux comprendre la pression que ça crée puisque même si je me considère comme simple témoin de la rencontre avec sa lumière, j'arrive à être affectée par le nombre de visiteurs du blog.
Je me ressaisi en remerciant mon âme de me montrer que je risque de tomber dans le piège de l'interdépendance affective.
« Lise Bourbeau: une interview par Lilou Macé & extraits d'une conférence qui date un peu »
Voici
une approche de la maladie, du corps physique, qui me correspond puisqu'elle
permet de comprendre que celui-ci possède un langage et qu'en étant à son
écoute et en l'aimant, nous pouvons guérir de tout.
Lise
Bourbeau est une femme, pionnière du développement personnel qui a répertorié,
au fil de son expérience professionnelle, les causes métaphysiques des maladies
dans un de ces livres que je me suis offert et qui me guide dans
l'auto-guérison :
"Ton
corps dit: Aimes-toi"
Elle
anime des conférences dont voici quelques extraits:
Vérité ou confort? vidéo d'un extrait de la conférence de Darpan, diffusée sur le site "Le passeur"
La
journée d’hier a été très spéciale. Le soleil brillait fort à l’image de ma
lumière intérieure qui m’a montrée dans ma nudité, face à moi-même. Je suis restée sans
voix, incapable de publier quoi que ce soit. Remettant en question la certitude
de ne plus être dans le schéma de besoin de reconnaissance extérieure. Me
trouvant face à ma propre mort, mon propre vide, mes doutes, mes peurs.
Un peu
comme le soleil qui rayonnant partout dans la maison laisse apparaître la couche
de poussière rendue invisible par la semis clarté. Je n’ai pas sombré dans le
désespoir grâce à l’amour inconditionnel dont je me remplis régulièrement et la
connaissance de la conséquence d’un apport lumineux supplémentaire.
Comme je ne
vois plus mes ombres comme des monstres, que je juge moins les choses, en terme
de bien ou mal, la situation m’a plus amené à me questionner qu’à sentir l'inconfort.
Prêts à la transparence, à l'intégrité?
J'ai écris ce texte hier mais je n'ai pas réussi à le publier. Nombre de peurs sont apparues et j'ai dû faire un travail de remplissage d'amour inconditionnel pour moi-même, avant de retrouver une certaine confiance en soi.
Samedi 2 mars,
Ce matin, j’ai passé deux heures à lire un mail et à y répondre. Plus je m’aime sans conditions et plus la vie m’offre ce qui correspond à cette énergie que je laisse enfin circuler librement en moi. Le fait d’oser m’exprimer sur la toile, est une façon d’aller vers l’autre tout en étant soi-même, sans concessions ni besoin de reconnaissance extérieure. Ce positionnement m’amène à rencontrer des âmes sœurs et à établir des relations sincères, de cœur à cœur, à connaître enfin l’amitié telle que je l’ai toujours envisagée.
Samedi 2 mars,
Ce matin, j’ai passé deux heures à lire un mail et à y répondre. Plus je m’aime sans conditions et plus la vie m’offre ce qui correspond à cette énergie que je laisse enfin circuler librement en moi. Le fait d’oser m’exprimer sur la toile, est une façon d’aller vers l’autre tout en étant soi-même, sans concessions ni besoin de reconnaissance extérieure. Ce positionnement m’amène à rencontrer des âmes sœurs et à établir des relations sincères, de cœur à cœur, à connaître enfin l’amitié telle que je l’ai toujours envisagée.
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