vendredi 18 janvier 2013

Messages à vous qui lisez ces pages






Vendredi 18 Janvier 2013
Déjà, un grand merci aux "visiteurs" de cet espace sans lequel ce blog n'aurait pas vraiment de sens.

Comme je l'explique sur cette page, à droite, j'apprends "sur le tas" et je fais les choses au fur et à mesure, au feeling, suivant mon cœur, mes envies, mon âme.
C'est assez laborieux en ce moment puisque j'ai voulu mettre en ligne ce que j'ai écrit il y a un mois jusqu'à aujourd'hui, pour témoigner de ma foi et que je passe beaucoup de temps à relire et comme j'ai eu la "bonne" idée d'ajouter de la musique à chaque message du coup, c'est beaucoup plus long à poster.
Pour aller plus vite et arriver à être synchrone entre la date du jour et ce que j'écris, je cesse l'ajout de musique pour le moment.
Je tâtonne, je cherche la meilleure façon de faire les choses.

Ma motivation est plus de créer un réseau de personnes simples, naturelles, sincères qui partagent la foi en l'humain divin, que de m'exhiber pour flatter l'ego. D'autant que vu mon vécu, il n'y a pas de quoi se "vanter"!

Vendredi 21 décembre deuxième, David Bowie "Sorrow""







Journée réellement exceptionnelle ! Partagée entre la fatigue physique, résultats des nombreuses libérations en cours. Ce qui me fait dire ça, c’est le nombre de fois où j’ai dû aller pisser pendant la méditation, 4 fois ! J’ai associé les deux mais je ne me souviens plus ce qui m’en a fait prendre conscience. Je crois que c’est en lisant un des livres de Claire Heartsong. Bref, en plus je me suis rendue compte que juste avant l’envie, je voyais du rose, ou du violet, comme de l’énergie en mouvement...

VENDREDI 21 DECEMBRE 2012 "Le printemps de Vivaldi"






Le début de ce texte a été publié dans la presse galactique le 8 janvier sous le titre:
"Elle est pas belle la vie !"
Ce matin, j’ai une patate d’enfer ! Je n’ai pourtant dormi que six heures dont 1h30 la tête dans l’ordi ! Je viens d’écrire à un pote pour lui demander ses tarifs pour la création et la mise en ligne d’un site. Merde, il faut que je redémarre l’ordi pour la fixation d’une mise à jour Windows.
J’ai piqué du nez vers 22h, hier soir et me suis réveillée peu avant minuit. La curiosité m’a poussée à rester debout jusqu’à une heure pour voir ce qui se passait...

Comme je l’avais pressenti, rien de spécial à part les nombreux messages que je suis allée glaner sur mes sites favoris, Jeshua.net, psychologie de l’âme et le jardin de Joéliah. 
Je n’ai fait que les copier coller sauf un de Marie Madeleine, transmis par Pamela Kribbe, qui parle de la canalisation. 
Il est clair que toute personne qui écoute son cœur, ou même son corps, canalise à sa façon puisqu’il est question de recevoir des messages de ces aspects invisibles. 
Ce n’est pas pour rien si nous disposons d’un cœur et d’une couronne. 

Jeudi 20 décembre 2ème & Ange: « Hymne à la vie »






Jour relié au chakra du cœur, veille du dernier jour dans l’obscurité, dans la foi en la séparation. 
Jour d’union, où ce soir à minuit, je revêtirais ma robe de mariée, dans une maison chaleureuse, sans attente, simplement dans la reconnaissance d’être ici, maintenant, de vivre ce jour précieux, premier jour d’une nouvelle vie...
Pour être totalement honnête j’ai un genre d’attente, celle de la venue d’un prince charmant, d’un être de lumière intérieur qui se révélerait dans toute sa splendeur. 
Et même si ça peut sembler enfantin, c’est ma façon cachée, de voir cet évènement. 

Je sais tout de même, en me référant aux autres jours annoncés comme extraordinaires, qu’ils ont été des jours de mise à nu pas très agréables à vivre puisqu’ils me montraient tout ce qui n’était pas de l’amour en moi, au travers de situations, de pensées et d’émotions désagréables.
Alors la préparation, c’est l’acceptation de ce qui est à chaque instant. Ni plus, ni moins. Accueillir ce qui vient sans jugement, sans broncher. Facile à dire mais à réaliser… ? Toujours est-il qu’il est 12h30 et que je prends le dernier quart de cachet, seulement maintenant.

jeudi 17 janvier 2013

Jeudi 20 décembre 2012: "ETRE" & Victor Jara et John Lennon:"Manifesto"






Le début de ce message a été publié dans La presse galactique, le 30 décembre 2012, sous le titre:  "Que demander de plus que d'être"

Je ne sais pas ce que j’ai ce matin mais j’ai beaucoup de mal à me concentrer. J’ai pourtant assez dormi ! J’ai essayé d’écrire à mon pote Mac’ Gill’ mais rien ne sort, c’est brouillon. D’habitude, ça glisse tout seul et là, je rectifie, butte sur les mots…
Du côté de ma vue, ça n’est pas ça non plus, j’ai la vision embrumée. 
C’est peut-être les émanations du poêle et le fait d’être sur l’ordi. Je n’en sais rien. 
Même là, rien ne me vient. Je vais aller faire un petit tour dehors avec la chienne histoire qu’elle fasse ses affaires et que je m’oxygène les neurones. 
On dirait que les connexions ont du mal à se faire. Comme je ne suis pas du genre, ou du moins, plus du genre à dramatiser, je vais interroger ma présence divine enfin disons plutôt la lumière, si je trouve l’interrupteur !

Dehors, l’ambiance est bizarre, pas une étoile, ce qui promet une journée grise, comme hier. Le maque de luminosité continue de m’affecter. Beaucoup moins depuis que je suis convaincue d’avoir la lumière en dedans mais quand même encore. Ce qui me montre que je doive passer au niveau supérieur dans ma relation au divin en moi. 

C’est comme si je devais être encore plus proche d’elle. Je dis d’elle mais je devrais dire de moi-même. Toujours cette façon de voir à travers l’idée de séparation.

Mercredi 19 décembre 2012, 2ème & Playing for change: "One Love"






Il est 18h et j’ai glandé tout l’après midi oscillant entre calme et doute.
Le doute qui revient régulièrement concernant ma foi en l’humain divin.
Cette fois-ci, je ne me suis pas alarmée, énervée, je laisse couler, je m’en fous.

Je ne cherche même pas des arguments pour étayer ma foi. Je me dis que si j’ai « raison » de croire, c’est que l’approche du 21 doit créer des peurs alentours, des incertitudes liées aux nombreux scénarios catastrophiques prédits par plusieurs et comme je suis d’un naturel sensible, il est logique que ça vienne jusqu’à moi. 

Mais je m’en fous ! Je ne me suis même pas cuisiné les choux. Je m’en fous!
Je n’ai envie de rien, je profite juste du calme intérieur sans m’accrocher aux pensées négatives. Même le fait de me dire qu’il semble que j’atteigne une certaine neutralité, ne me fait pas plus d’effet que ça. Je suis plutôt lassée de vivre un jour dans la félicité puis après, dans le doute, puis à nouveau l’exaltation, puis la peur…

Quoi que la peur ne semble plus si présente, si récurrente. Je suppose que de m’être levée à 3h30 et de ne pas avoir fait de méditation doit y être pour quelque chose. Remarque je me suis allongée une heure ce matin en calmant ma respiration. 

Mercredi 19 décembre 2012, "Pureté" & Nina Hagen: "Naturträne"






Le début de ce message a été publié dans La presse galactique, le 26 décembre 2012, sous le titre: "Ton corps dit: aimes-toi"
Ce matin, tombée du lit à 3h30, je suis allée voir où en était le poêle et me suis mise à le raviver. Résultat, je suis debout. Remarque, hier soir, j’ai piqué du nez de 21h à 23h.
 J’ai rigolé de me réveiller deux ou trois fois, la tête à un centimètre de la table ! 
J’ai mon compte de sommeil. De toute façon, si mon corps me le demande, j’irais me recoucher.
C’est mon luxe personnel que de pouvoir disposer librement de mon temps. Bien que je culpabilise encore de temps en temps du fait de ne pas travailler, je reviens vite à la raison en me disant que je n’ai pas à juger le choix de mon âme mais plutôt à voir les bénédictions qu’il y a dans tout ça. 
Honnêtement, j’aime tellement la liberté que je préfère avoir un budget limité mais disposer pleinement de mon temps. Ainsi, je peux écouter mes corps et leur répondre sans contrainte. 
Il faut bien sortir des vieux schémas et ils sont nombreux. 
Le travail, dont l’origine latine est « tripallium » qui signifie engin de torture, montre bien le sens que l’humanité lui donne. Or, le travail devrait être une offrande, un don de soi. 
Il l’est pour certain, non pas selon le type d’emploi occupé mais dans la façon de le faire. On mets souvent en  avant les médecins, les infirmières, les pompiers…
Mais qu’en est-il du boulanger qui chaque jour se lève, je devrais dire chaque nuit, pour nourrir la population ? 
Celui qui se distingue et a le plus de succès, c’est certainement celui qui fait son travail avec amour. L’artisan, rien que le mot me plait, devrait être beaucoup mieux valorisé, lui qui fait son travail avec art. 
Autrefois, les artisans français étaient réputés pour leur savoir faire. J’ai toujours été admirative devant un cordonnier, un ébéniste, un luthier, un travailleur manuel qui par ses gestes précis, montre son amour pour la matière qu’il travaille. Même un boucher.