Le début de ce texte a
été publié dans la presse galactique le 8 janvier sous le titre:
"Elle est pas
belle la vie !"
Ce
matin, j’ai une patate d’enfer ! Je n’ai pourtant dormi que six heures
dont 1h30 la tête dans l’ordi ! Je viens d’écrire à un pote pour lui
demander ses tarifs pour la création et la mise en ligne d’un site. Merde, il
faut que je redémarre l’ordi pour la fixation d’une mise à jour Windows.
J’ai
piqué du nez vers 22h, hier soir et me suis réveillée peu avant minuit. La
curiosité m’a poussée à rester debout jusqu’à une heure pour voir ce qui se
passait...
Comme
je l’avais pressenti, rien de spécial à part les nombreux messages que je suis
allée glaner sur mes sites favoris, Jeshua.net, psychologie de l’âme et le
jardin de Joéliah.
Je n’ai fait que les copier coller sauf un de Marie
Madeleine, transmis par Pamela Kribbe, qui parle de la canalisation.
Il est
clair que toute personne qui écoute son cœur, ou même son corps, canalise à sa
façon puisqu’il est question de recevoir des messages de ces aspects
invisibles.
Ce n’est pas pour rien si nous disposons d’un cœur et d’une
couronne.
En sortant la chienne, je me suis adressée au ciel, et plus
particulièrement au collectif Ashtar, pour leur demander de dialoguer en tête à
tête. Ce n’est pas la première fois que j’en fais la demande mais en général,
je le fais avant de m’endormir.
Bien
que je sois assez trouillarde face à l’inconnu, je me sens prête à "voir" ces amis avec qui je vibre à fond. Les trois sites que j’ai
cité plus haut, sont dans mes favoris, depuis 2009 et celui de Joéliah, depuis 2006.
Dans ce temps là, son site s’appelait « amour de lumière » et je dois
dire que je regrette un peu la simplicité de sa forme. Bien que son nouveau
« le jardin de Joéliah » soit plus joli, il m’attire moins. Elle s’y
éclate certainement plus mais je préférais l’ancienne formule.
En
parlant d’ancien, aujourd’hui, commence le nouveau.
Évidemment, c’est au niveau
énergétique et spirituel que ça se passe pour la majorité des gens. Bien que
pour moi, et beaucoup d’autres, ça fait belle lurette que le changement est
là.
Je
renais chaque jour à moi-même. C’est de plus en plus fort depuis début
décembre, ce qui me confirme l’exactitude du contenu des messages inspirés que
je lis. Je pense que le fait que tout et n’importe quoi ait été dit à propos
d’aujourd’hui, va permettre de faire un grand pas en avant.
En
effet, un tri va se faire et ceux qui prédisaient la fin du monde et la
divulgation, vont perdre en crédibilité, ce qui va permettre aux "moutons" qui
suivaient ces bergers de chercher ailleurs, le leader dont il ont besoin.
Jusqu’à ce qu’ils tombent sur des sites qui appellent chacun à retrouver sa
souveraineté par la connexion au divin en lui.
Tous
ceux qui infantilisaient vont devoir réviser leur façon de faire. Rien que ça,
c’est une bonne chose. Et au niveau de la conscience collective, tous ces
réajustements vont faire monter la vibration d’un cran. Adamu avait raison de
dire que chaque annonce de divulgation avait quelque chose de bon, d’utile et
élevait les consciences.
Il est bon cet Adamu, je l’aime autant que Jeshua et
Ashtar que je considère comme des grands frères, des éclaireurs sur la voie de
la découverte de soi. Sans oublier Marie Madeleine, à travers Pamela Kribbe et
le livre « La voix des madeleines ».
Bref tous ceux qui aiment
réellement l’humain, qui guident amoureusement les hommes et les femmes, à
reconnaître le divin en eux et à comprendre la conscience unitaire.
Je
considère que la création de mon blog et surtout sa mise en ligne, est ma contribution
spécifique pour l’évolution des mentalités et l’élaboration de la nouvelle
terre.
Au
passage, tous ceux qui attendaient que des êtres de l’espace viennent les
libérer de leur enfer quotidien, vont pouvoir grandir aussi.
Comment
s’imaginer un tel scénario alors que c’est exactement l’inverse qui est à vivre
sur terre. Il est question d’amener la présence divine à
« descendre » dans la chair, en s’aimant inconditionnellement de tout
son cœur, de toutes ses tripes et de toute son âme.
Ce qui ouvre la conscience
et le cœur à l’absolue nécessité d’aimer son incarnation y compris ses galères
et surtout la terre et tout ce qui est né d’elle, notre chair.
Cette
même prise de conscience amène à reconnaître le lien étroit qui existe entre
humains. Que ça plaise ou non, nous sommes bel et bien la famille
humaine.
Au
niveau de ce qui est le plus élevé en chacun, nous sommes absolument UN.
Au
niveau de la terre, au niveau de la chair, c’est notre ADN commun qui nous lie indéfectiblement.
C’est pour cette raison qu’aimer sa chair, c’est aimer l’humain et l’humanité.
C’est sur cette base commune que nous devons construire.
Pas
en nous formatant tous par la chirurgie esthétique mais au contraire en aimant
et en honorant nos différences. En nous acceptant mutuellement avec
amour.
Quand
on comprends que nous sommes une famille, alors on peut aimer pus facilement le
petit frère turbulent qui fait les 400 coups. On comprend que la prostituée est
une bénédiction pour beaucoup et qu’elle est le fruit d’une sexualité tabouisé,
infantilisée.
Bref, c’est en changeant notre regard sur notre propre corps et
en considérant chaque humain comme un frère et une sœur et non comme un père et
une mère, qu’on arrivera à créer un monde juste, égalitaire, chaleureux…
Le
père et la mère étant littéralement, la planète et le soleil, cette prise de
conscience, changera les comportements envers Gaïa. Il n’y aura plus besoin de
faire culpabiliser l’humain à grand coup de mouvements écologiques dont les
actes concrets sont des choses comme le tri des poubelles ! Seuls l’amour
et la lumière créent l’ouverture de conscience et de cœur qui invite à changer
son regard sur toute vie.
Pour
cette raison, nous sommes tous bénis d’être ici, maintenant, alléluia !
Je
viens de vivre une expérience des plus étranges et des plus intenses. Celle de
contacter mes incarnations passées. Ces personnages que je fus, m’ont beaucoup
appris.
Des
choses que je garde intimement dans mon cœur et dont je parle uniquement pour témoigner
que c’est à la portée de tous et d’une grande expansion en même temps qu’une
profonde guérison. J’ai pu contacter six d’entre eux, dont une venue du
futur.
Ce
qui est hallucinant c’est qu’en guérissant une du passé, j’ai guéri non
seulement celle que je suis présentement mais aussi celle qui vit dans le
futur.
L’inspiration
m’est venue à la lecture du message de Marie Madeleine, canalisé par Pamela
Kribbe. "Éveillez votre faculté de canalisation"
Merci
« madame », ma sœur, merci pour cette expérience très enrichissante,
épanouissante de reconnexion au passé et au futur, de guérison intense, d’amour
échangé qui me fait aimer encore plus tout ce que je suis…
Voilà
donc ce que sont pour moi, les énergies de ce jour, la révélation personnelle
et intime des multiples vies de mon âme et la réunion de celles-ci qui ramenées en ce
jour, apportent clarté, guérison et une ouverture du cœur d’une immensité
exceptionnelle.
Merci
la source…(fin de la partie publiée dans la presse galactique)
Après
la rencontre avec ces autres parties de ce que je suis, je comprend mieux
jusqu’à mon aspect physique d’aujourd’hui. Je comprenais que cette vie était la
synthèse des vies passées et comportait, à travers les galères, autant d’opportunités
de guérir ce que mon âme n’avait pas intégré. Mais là, l’aspect physique ne
m’était pas encore venu à l’esprit. Quelque part c’est logique puisque tout est
compris dans l’ADN et au niveau des mémoires cellulaires.
Je
comprends mieux mon nez, sa grandeur et bien qu’il n’ait jamais été un handicap
mais au contraire une bénédiction, écartant d’office ceux dont l’attirance
n’est que basée sur l’apparence et m’offrant une capacité à
« sentir » avec puissance tant les odeurs que les énergies extérieures.
Sachant
en plus que l’attention et le fait d’être dans le moment présent, passe par les
sens, alors vraiment merci mon âme pour ce choix intelligent.
Même
à l’adolescence, sans connaissance de l’âme ni de l’esprit, j’avais accepté ce
physique que je vivais plus comme une différence qui me distinguait des autres,
m’élevait au dessus de la masse des invisibles et qui en plus ne m’avait pas
empêché de plaire, d’aimer et d’être aimée.
J’avais
une amie d’école qui avait un nez du même genre que le mien et qui le vivait
mal. Elle a fait la connerie de se le faire refaire ce qui lui a ôté tout
caractère, toute personnalité. D’autant qu’à cette époque, ça n’était pas au
point.
La
pauvre s’est retrouvée avec une mini trompette, un visage sans profil ni
profondeur.
Il
est important d'accepter son aspect physique. Si la chirurgie permet de s'aimer
mieux, pourquoi pas. De toute façon, chacun est libre de faire ce qu'il veut de
sa vie et c'est une très bonne chose.
Notre
image est une invitation à nous rapprocher de notre cœur.
Plus
elle nous déplait et plus elle exprime un besoin de notre âme, de nous aimer
inconditionnellement.
Je
dis à celles et ceux qui ont un physique ingrat que ça peut être une chance de
rencontrer un amour sincère, basé sur le cœur et mieux encore, de chercher en
soi, la source d’amour éternelle qui coule sans aucun doute.
Alors
essayez d'aimer cette imperfection qui est la porte ouverte à la perfection de
votre être divin intérieur. L’image est éphémère, seule la présence divine
demeure, resplendissante de lumière, éblouissante d’amour. Et c’est bien
suffisant.
En
tant qu’être humain, vous avez là l’occasion de trouver l’amour en vous-mêmes
dont l’étincelle peut être allumée par la tendresse d’un chien, d’un chat, d’un
frère, d’un ami, peu importe.
Ce
qui compte, tant qu'on n'arrive pas à s'aimer soi-même, c’est de trouver un
autre qui vous renvoie une image positive de vous-mêmes.
L’amour
que l’on s'accorde, une fois qu’il est "en mouvement", ne vous quitte
jamais et devient un aimant qui attire à vous ceux qui en valent la peine
puisqu’ils vous aiment pour ce que vous êtes vraiment et non pour votre apparence.
Il
existe des techniques simples pour apprendre à s’aimer. J’ai commencé par faire
la liste de mes qualités et bien qu’à chaque fois je trouvais le défaut qui
l’accompagnait, j’ai persisté.
Le
fait de se regarder dans la glace, dans les yeux et de se dire, "je t’aime" fini
par devenir sincère, à force de se le répéter. C’est Louise Hay qui explique bien
ça.
Rien
ne vaut l’amour qu’on a pour soi.
La
relation de couple n’est bien souvent qu’un jeu de miroirs.
On
aime l’autre parce qu’il reflète une image positive de soi, mais le piège,
c’est de dépendre de l’amour d’un autre.
Alors
qu’en commençant par s’aimer vraiment, inconditionnellement, on accède à son
âme et on devient libre.
Libre
d’aimer un autre, sans être poussé par le besoin de reconnaissance.
Là,
on est dans l’échange qui se situe en dehors du jeu dominant dominé.
On
est libre d’aimer et on ne craint pas de perdre l’autre, d’en être
séparé.
Si
ça doit arriver on se dit simplement qu’il est l’heure de vivre une nouvelle
aventure.
Je
commence à voir la défonce sous des aspects nouveaux que j’avais déjà plus ou
moins senti sans oser aller plus loin. Là, ça me semble évident.
La
recherche dans la prise de substance, est un besoin d’équilibre
plaisir/souffrance tout autant qu’une recherche de modification d’état de
conscience.
Ce
n’est pas par hasard qu’au début que j’aie pris de la codéine, j’ai ressenti de
l’amour pour moi et pour toute vie. Pas à la façon du cœur mais bien dans
l’élargissement de la conscience. Pour ces raisons, il n’y a pas à culpabiliser
d’avoir répondu à l’appel de mon âme qui savait très bien que je n’étais pas
encore capable d’accepter de croire en Dieu vu que celui-ci n’était évoqué que
dans les églises, à l’époque.
Il
n’y avait pas d’autres moyens de savoir que d’en être membre.
Et
mon amour pour ma liberté me l’aurait interdit.
J’avais pourtant été profondément
marquée par un certain Jésus de Nazareth que j’avais vu dans le film de Dino
Zafarelli, je crois que c’est son nom, qui m’avait scotchée devant une télé
alors qu’à cette période de ma vie, je picolais, prenais toute sorte de trucs
pour être ailleurs que dans ce monde que je jugeais pourri.
J’avais
été épargnée par une éducation religieuse castratrice et pour ça, je remercie
mes parents qui étaient plutôt anticonformistes et assez marginaux.
J’ai
hérité de ces qualités qui m’ont amenées à être qui je suis aujourd’hui et ne
pas me soucier de mettre mon cœur à nu dans ce journal. Et même si à ce jour,
il n’est pas publié, je sais maintenant, enfin, avec certitude que telle est la
mission de mon âme.
Il
est vrai que c’est ce que j’aime faire le plus et que tandis que j’écris, je me
promène dans toutes sortes de dimensions, tant celles de l’être, que dans le
temps et l’espace.
Parler de l’humain divin m’enchante tant à l’écrit qu’à
l’oral.
Même
si la vibration est plus forte au niveau du cœur quand j’en parle puisqu’il y a
interaction dans le moment présent et donc amplification énergétique, dans
l’échange de cœur à cœur.
En
fait, chaque prise de conscience est un saut quantique puisqu’il y a
élargissement de la conscience et du cœur. L’un ne va pas sans l’autre
puisqu’il n’y a aucune séparation, que tout à sa raison d’être et son utilité.
Nier ça, c’est nier le divin en soi.
Bon
ça y est, je radote ! Merci les cachets ! Je prends mon radotage pour
une forme d’intégration à la manière de la pratique quotidienne de l’élève
musicien.
Le
printemps de Vivaldi.
Je
n'ai pas pu charger la vidéo que je voulais. Il n'y a que le son.
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci