vendredi 18 janvier 2013

VENDREDI 21 DECEMBRE 2012 "Le printemps de Vivaldi"






Le début de ce texte a été publié dans la presse galactique le 8 janvier sous le titre:
"Elle est pas belle la vie !"
Ce matin, j’ai une patate d’enfer ! Je n’ai pourtant dormi que six heures dont 1h30 la tête dans l’ordi ! Je viens d’écrire à un pote pour lui demander ses tarifs pour la création et la mise en ligne d’un site. Merde, il faut que je redémarre l’ordi pour la fixation d’une mise à jour Windows.
J’ai piqué du nez vers 22h, hier soir et me suis réveillée peu avant minuit. La curiosité m’a poussée à rester debout jusqu’à une heure pour voir ce qui se passait...

Comme je l’avais pressenti, rien de spécial à part les nombreux messages que je suis allée glaner sur mes sites favoris, Jeshua.net, psychologie de l’âme et le jardin de Joéliah. 
Je n’ai fait que les copier coller sauf un de Marie Madeleine, transmis par Pamela Kribbe, qui parle de la canalisation. 
Il est clair que toute personne qui écoute son cœur, ou même son corps, canalise à sa façon puisqu’il est question de recevoir des messages de ces aspects invisibles. 
Ce n’est pas pour rien si nous disposons d’un cœur et d’une couronne. 


En sortant la chienne, je me suis adressée au ciel, et plus particulièrement au collectif Ashtar, pour leur demander de dialoguer en tête à tête. Ce n’est pas la première fois que j’en fais la demande mais en général, je le fais avant de m’endormir. 

Bien que je sois assez trouillarde face à l’inconnu, je me sens prête à "voir" ces amis avec qui je vibre à fond. Les trois sites que j’ai cité plus haut, sont dans mes favoris, depuis 2009 et celui de Joéliah, depuis 2006. 
Dans ce temps là, son site s’appelait « amour de lumière » et je dois dire que je regrette un peu la simplicité de sa forme. Bien que son nouveau « le jardin de Joéliah » soit plus joli, il m’attire moins. Elle s’y éclate certainement plus mais je préférais l’ancienne formule.
En parlant d’ancien, aujourd’hui, commence le nouveau. 
Évidemment, c’est au niveau énergétique et spirituel que ça se passe pour la majorité des gens. Bien que pour moi, et beaucoup d’autres, ça fait belle lurette que le changement est là. 

Je renais chaque jour à moi-même. C’est de plus en plus fort depuis début décembre, ce qui me confirme l’exactitude du contenu des messages inspirés que je lis. Je pense que le fait que tout et n’importe quoi ait été dit à propos d’aujourd’hui, va permettre de faire un grand pas en avant. 
En effet, un tri va se faire et ceux qui prédisaient la fin du monde et la divulgation, vont perdre en crédibilité, ce qui va permettre aux "moutons" qui suivaient ces bergers de chercher ailleurs, le leader dont il ont besoin. 
Jusqu’à ce qu’ils tombent sur des sites qui appellent chacun à retrouver sa souveraineté par la connexion au divin en lui.

Tous ceux qui infantilisaient vont devoir réviser leur façon de faire. Rien que ça, c’est une bonne chose. Et au niveau de la conscience collective, tous ces réajustements vont faire monter la vibration d’un cran. Adamu avait raison de dire que chaque annonce de divulgation avait quelque chose de bon, d’utile et élevait les consciences. 
Il est bon cet Adamu, je l’aime autant que Jeshua et Ashtar que je considère comme des grands frères, des éclaireurs sur la voie de la découverte de soi. Sans oublier Marie Madeleine, à travers Pamela Kribbe et le livre « La voix des madeleines ». 

Bref tous ceux qui aiment réellement l’humain, qui guident amoureusement les hommes et les femmes, à reconnaître le divin en eux et à comprendre la conscience unitaire.

Je considère que la création de mon blog et surtout sa mise en ligne, est ma contribution spécifique pour l’évolution des mentalités et l’élaboration de la nouvelle terre. 
Au passage, tous ceux qui attendaient que des êtres de l’espace viennent les libérer de leur enfer quotidien, vont pouvoir grandir aussi. 

Comment s’imaginer un tel scénario alors que c’est exactement l’inverse qui est à vivre sur terre. Il est question d’amener la présence divine à « descendre » dans la chair, en s’aimant inconditionnellement de tout son cœur, de toutes ses tripes et de toute son âme. 

Ce qui ouvre la conscience et le cœur à l’absolue nécessité d’aimer son incarnation y compris ses galères et surtout la terre et tout ce qui est né d’elle, notre chair. 

Cette même prise de conscience amène à reconnaître le lien étroit qui existe entre humains. Que ça plaise ou non, nous sommes bel et bien la famille humaine. 

Au niveau de ce qui est le plus élevé en chacun, nous sommes absolument UN. 
Au niveau de la terre, au niveau de la chair, c’est notre ADN commun qui nous lie indéfectiblement. C’est pour cette raison qu’aimer sa chair, c’est aimer l’humain et l’humanité. C’est sur cette base commune que nous devons construire. 

Pas en nous formatant tous par la chirurgie esthétique mais au contraire en aimant et en honorant nos différences. En nous acceptant mutuellement avec amour. 
Quand on comprends que nous sommes une famille, alors on peut aimer pus facilement le petit frère turbulent qui fait les 400 coups. On comprend que la prostituée est une bénédiction pour beaucoup et qu’elle est le fruit d’une sexualité tabouisé, infantilisée. 

Bref, c’est en changeant notre regard sur notre propre corps et en considérant chaque humain comme un frère et une sœur et non comme un père et une mère, qu’on arrivera à créer un monde juste, égalitaire, chaleureux…

Le père et la mère étant littéralement, la planète et le soleil, cette prise de conscience, changera les comportements envers Gaïa. Il n’y aura plus besoin de faire culpabiliser l’humain à grand coup de mouvements écologiques dont les actes concrets sont des choses comme le tri des poubelles ! Seuls l’amour et la lumière créent l’ouverture de conscience et de cœur qui invite à changer son regard sur toute vie. 
Pour cette raison, nous sommes tous bénis d’être ici, maintenant, alléluia !

Je viens de vivre une expérience des plus étranges et des plus intenses. Celle de contacter mes incarnations passées. Ces personnages que je fus, m’ont beaucoup appris. 
Des choses que je garde intimement dans mon cœur et dont je parle uniquement pour témoigner que c’est à la portée de tous et d’une grande expansion en même temps qu’une profonde guérison. J’ai pu contacter six d’entre eux, dont une venue du futur. 

Ce qui est hallucinant c’est qu’en guérissant une du passé, j’ai guéri non seulement celle que je suis présentement mais aussi celle qui vit dans le futur. 
L’inspiration m’est venue à la lecture du message de Marie Madeleine, canalisé par Pamela Kribbe. "Éveillez votre faculté de canalisation"
Merci « madame », ma sœur, merci pour cette expérience très enrichissante, épanouissante de reconnexion au passé et au futur, de guérison intense, d’amour échangé qui me fait aimer encore plus tout ce que je suis…

Voilà donc ce que sont pour moi, les énergies de ce jour, la révélation personnelle et intime des multiples vies de mon âme et la réunion de celles-ci qui ramenées en ce jour, apportent clarté, guérison et une ouverture du cœur d’une immensité exceptionnelle. 
Merci la source…(fin de la partie publiée dans la presse galactique)

Après la rencontre avec ces autres parties de ce que je suis, je comprend mieux jusqu’à mon aspect physique d’aujourd’hui. Je comprenais que cette vie était la synthèse des vies passées et comportait, à travers les galères, autant d’opportunités de guérir ce que mon âme n’avait pas intégré. Mais là, l’aspect physique ne m’était pas encore venu à l’esprit. Quelque part c’est logique puisque tout est compris dans l’ADN et au niveau des mémoires cellulaires. 
Je comprends mieux mon nez, sa grandeur et bien qu’il n’ait jamais été un handicap mais au contraire une bénédiction, écartant d’office ceux dont l’attirance n’est que basée sur l’apparence et m’offrant une capacité à « sentir » avec puissance tant les odeurs que les énergies extérieures. 
Sachant en plus que l’attention et le fait d’être dans le moment présent, passe par les sens, alors vraiment merci mon âme pour ce choix intelligent. 

Même à l’adolescence, sans connaissance de l’âme ni de l’esprit, j’avais accepté ce physique que je vivais plus comme une différence qui me distinguait des autres, m’élevait au dessus de la masse des invisibles et qui en plus ne m’avait pas empêché de plaire, d’aimer et d’être aimée. 
J’avais une amie d’école qui avait un nez du même genre que le mien et qui le vivait mal. Elle a fait la connerie de se le faire refaire ce qui lui a ôté tout caractère, toute personnalité. D’autant qu’à cette époque, ça n’était pas au point. 
La pauvre s’est retrouvée avec une mini trompette, un visage sans profil ni profondeur. 

Il est important d'accepter son aspect physique. Si la chirurgie permet de s'aimer mieux, pourquoi pas. De toute façon, chacun est libre de faire ce qu'il veut de sa vie et c'est une très bonne chose.
Notre image est une invitation à nous rapprocher de notre cœur. 
Plus elle nous déplait et plus elle exprime un besoin de notre âme, de nous aimer inconditionnellement. 

Je dis à celles et ceux qui ont un physique ingrat que ça peut être une chance de rencontrer un amour sincère, basé sur le cœur et mieux encore, de chercher en soi, la source d’amour éternelle qui coule sans aucun doute. 

Alors essayez d'aimer cette imperfection qui est la porte ouverte à la perfection de votre être divin intérieur. L’image est éphémère, seule la présence divine demeure, resplendissante de lumière, éblouissante d’amour. Et c’est bien suffisant. 
En tant qu’être humain, vous avez là l’occasion de trouver l’amour en vous-mêmes dont l’étincelle peut être allumée par la tendresse d’un chien, d’un chat, d’un frère, d’un ami, peu importe. 

Ce qui compte, tant qu'on n'arrive pas à s'aimer soi-même, c’est de trouver un autre qui vous renvoie une image positive de vous-mêmes. 

L’amour que l’on s'accorde, une fois qu’il est "en mouvement", ne vous quitte jamais et devient un aimant qui attire à vous ceux qui en valent la peine puisqu’ils vous aiment pour ce que vous êtes vraiment et non pour votre apparence.

Il existe des techniques simples pour apprendre à s’aimer. J’ai commencé par faire la liste de mes qualités et bien qu’à chaque fois je trouvais le défaut qui l’accompagnait, j’ai persisté.
Le fait de se regarder dans la glace, dans les yeux et de se dire, "je t’aime" fini par devenir sincère, à force de se le répéter. C’est Louise Hay qui explique bien ça.

Rien ne vaut l’amour qu’on a pour soi. 
La relation de couple n’est bien souvent qu’un jeu de miroirs. 
On aime l’autre parce qu’il reflète une image positive de soi, mais le piège, c’est de dépendre de l’amour d’un autre.
Alors qu’en commençant par s’aimer vraiment, inconditionnellement, on accède à son âme et on devient libre. 
Libre d’aimer un autre, sans être poussé par le besoin de reconnaissance. 
Là, on est dans l’échange qui se situe en dehors du jeu dominant dominé. 
On est libre d’aimer et on ne craint pas de perdre l’autre, d’en être séparé. 
Si ça doit arriver on se dit simplement qu’il est l’heure de vivre une nouvelle aventure.

Je commence à voir la défonce sous des aspects nouveaux que j’avais déjà plus ou moins senti sans oser aller plus loin. Là, ça me semble évident. 
La recherche dans la prise de substance, est un besoin d’équilibre plaisir/souffrance tout autant qu’une recherche de modification d’état de conscience. 

Ce n’est pas par hasard qu’au début que j’aie pris de la codéine, j’ai ressenti de l’amour pour moi et pour toute vie. Pas à la façon du cœur mais bien dans l’élargissement de la conscience. Pour ces raisons, il n’y a pas à culpabiliser d’avoir répondu à l’appel de mon âme qui savait très bien que je n’étais pas encore capable d’accepter de croire en Dieu vu que celui-ci n’était évoqué que dans les églises, à l’époque. 
Il n’y avait pas d’autres moyens de savoir que d’en être membre. 
Et mon amour pour ma liberté me l’aurait interdit. 
J’avais pourtant été profondément marquée par un certain Jésus de Nazareth que j’avais vu dans le film de Dino Zafarelli, je crois que c’est son nom, qui m’avait scotchée devant une télé alors qu’à cette période de ma vie, je picolais, prenais toute sorte de trucs pour être ailleurs que dans ce monde que je jugeais pourri.
J’avais été épargnée par une éducation religieuse castratrice et pour ça, je remercie mes parents qui étaient plutôt anticonformistes et assez marginaux.

J’ai hérité de ces qualités qui m’ont amenées à être qui je suis aujourd’hui et ne pas me soucier de mettre mon cœur à nu dans ce journal. Et même si à ce jour, il n’est pas publié, je sais maintenant, enfin, avec certitude que telle est la mission de mon âme. 

Il est vrai que c’est ce que j’aime faire le plus et que tandis que j’écris, je me promène dans toutes sortes de dimensions, tant celles de l’être, que dans le temps et l’espace. 
Parler de l’humain divin m’enchante tant à l’écrit qu’à l’oral. 
Même si la vibration est plus forte au niveau du cœur quand j’en parle puisqu’il y a interaction dans le moment présent et donc amplification énergétique, dans l’échange de cœur à cœur.

En fait, chaque prise de conscience est un saut quantique puisqu’il y a élargissement de la conscience et du cœur. L’un ne va pas sans l’autre puisqu’il n’y a aucune séparation, que tout à sa raison d’être et son utilité. Nier ça, c’est nier le divin en soi.

Bon ça y est, je radote ! Merci les cachets ! Je prends mon radotage pour une forme d’intégration à la manière de la pratique quotidienne de l’élève musicien. 
Le printemps de Vivaldi.
Je n'ai pas pu charger la vidéo que je voulais. Il n'y a que le son. 







Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci