Réveil
raisonnable à 5h.
Il est d'abord important que vous soyez
attentif à la façon dont vous vous sentez, afin d'en avoir conscience lorsque
vous attirez à vous ce que vous ne désirez pas, et il est essentiel ensuite de
mettre un terme à cette attraction négative.
Vous n’êtes pas venu sur terre
pour faire plaisir aux autres ni vivre selon leurs normes, vous êtes venus pour
vivre selon vos propres normes et marcher sur votre propre chemin
- tous les âges que vous avez
vécu sont en vous dans votre conscience dans votre mémoire depuis votre
enfance, en vous il y a un parent mais aussi un enfant,
nous avons tous, au minimum 40 000 heures d’enregistrement de
parents en nous vous indiquant ce qu'il ne faut pas faire, vous indiquant des
limites, l'image que vous devez renvoyer,...... à votre avis combien d’heures vous ont dit que vous étiez fantastique ?
Quoi d' étonnant à ce que nous
nous imposions tant de limites, d‘interdits, ou d'obligations..
Laissez couler vos pensées et vos
sentiments et ne laissez personne contrôler votre vie œuvrez pour le bien dans
le monde vivez sans crainte pour devenir un humain complet.
Rusty James News
Voilà qui remet les pendules à l'heure et m'aide à sortir enfin du brouillard!
J’ai
enfin compris ce qui m’est arrivé ces derniers jours.
Mon
corps de souffrance a été réactivé par la venue de ma frangine puis celle de
Maïk. La libération effectuée hier, m’a permis de regarder de l’avant, de
retrouver ma guidance, mon assurance et d’attirer le message que j’ai copié
collé plus haut.
Je vais écrire à Louis,
aujourd’hui pour le remercier pour les messages inspirés qu’il choisit et pour
la synchronicité des choses auquel il participe grandement.
(Passage
publié dans la presse galactique le 14 janvier sous le titre: "La
notion de famille humaine est devenue pour moi, une réalité")
Cinq
jours pour sortir du tunnel qui cette fois-ci à été plus long que
d’habitude !
La visite de ma sœur et celle d’une amie qui a vécu une
enfance similaire à la mienne, ont suffit à réveiller mon corps de souffrance
que je croyais définitivement disparu.
Ce qui m’a sauvé, c’est ma foi en
l’humain divin, aux lois universelles et le fait de connaître le site de Louis
où je puise toujours des infos adaptées à mes besoins du moment. Je ne veux pas
être dans la flatterie, ça n’est pas du tout mon genre mais je dois bien
reconnaître que la notion de famille d’âme est devenue pour moi, une réalité.
Malgré mes 47 ans, je suis très immature à beaucoup de niveaux et le fait
d’avoir eu un père qui n’a pas du tout rempli son rôle d’éducateur a eu des
côtés bénéfiques et aussi négatifs. Il est clair que sa démission en tant que
tuteur mais aussi en tant qu’autorité m’a poussée à rechercher l’autonomie
spirituelle et temporelle, en électron libre.
Ce besoin de souveraineté et
cette quête existentielle m’ont amené à trouver qui je suis en réalité. D’un
autre côté, le manque de guidance extérieure et le fait d’être habituée à
chercher par moi-même, ont amplifié ma méfiance instinctive vis-à-vis de
l’humain et m’ont enfermée dans un genre de grotte. La phase d’intériorisation
est nécessaire mais il faut un jour où l’autre reprendre confiance en la
famille humaine et en s’aimant davantage, on attire des personnes qui
remplacent notre famille biologique.
Tout les
messages édités sur la presse galactique m’ont ouvert encore plus les yeux et
m’aident au jour le jour, à affiner ma compréhension quand ils ne sont pas
carrément des tremplins dans ma progression.
Il est
vrai que chacun peut-être guidé par sa propre présence divine, encore faut-il
être suffisamment ouvert et disposé à écouter.
Pour cette raison, quand la connexion n’est plus si évidente, mais suffisante pour guider vers les enseignements qui nous feront avancer, la connexion entre humains est très importante.
Mon acharnement à vouloir avancer seule et ma méfiance naturelle envers le genre humain, m’amènent souvent dans des tunnels où seule l’ouverture de cœur me libère de la vision à partir de l’ego.
Pour cette raison, quand la connexion n’est plus si évidente, mais suffisante pour guider vers les enseignements qui nous feront avancer, la connexion entre humains est très importante.
Mon acharnement à vouloir avancer seule et ma méfiance naturelle envers le genre humain, m’amènent souvent dans des tunnels où seule l’ouverture de cœur me libère de la vision à partir de l’ego.
La
relecture des messages de Jeshua, celle du texte d’Eckhart Tolle qui parle du
corps de souffrance puis le texte « résumé » du livre de Jerry et
Esther Hicks, « le pouvoir de créer », publié dans la presse
galactique, m’ont amenés doucement mais sûrement à sortir du tunnel.
La
connexion verticale avec l’âme associée à la connexion horizontale avec les
humains conscients d’être divins, m’a amené à franchir un immense pas vers la
compréhension du processus de guérison, de mon état d’enfermement et des lois
universelles.
Les
quelques mails échangés avec des humains éclairés et même leur silence, m’ont
ouvert le cœur et ont retissés des liens affectifs que la vie m’avait poussée à
briser.
La voie
royale est bel et bien l’amour inconditionnel pour soi-même qui amène la
confiance en soi, permet d’aimer tout le monde et attire des personnes de même résonance.
Alors merci à ces guides humains éloignés par la distance kilométrique mais si proches par le cœur et l’âme. Allez, les larmes de gratitude montent ! Je laisse couler ses perles magiques qui sont en fait des gouttelettes de la source d’amour inconditionnel qui s’écoule indéfiniment du cœur de tout humain.
Alors merci à ces guides humains éloignés par la distance kilométrique mais si proches par le cœur et l’âme. Allez, les larmes de gratitude montent ! Je laisse couler ses perles magiques qui sont en fait des gouttelettes de la source d’amour inconditionnel qui s’écoule indéfiniment du cœur de tout humain.
Nous
sommes réellement passés à un niveau supérieur de solidarité, de compréhension
où le mot « ensemble » prend tout son sens. Et même si nous avons
tout en nous, il est temps d’oser se tourner vers l’extérieur afin de
construire des nouveaux modèles relationnels.
Bon, il
faut que j’arrive à imprimer ce qui suit :
Dès que
je suis triste, sombre, négative, c’est mon corps de souffrance qui s’exprime
et qui a besoin de l’amour et de la lumière de mon être.
En
clair, la technique des émotions d’Inelia est à appliquer d’urgence.
La prise
en charge du corps de souffrance et sa libération s’impose.
Il n’est
surtout pas question de l’incriminer, de le juger mais au contraire de
reconnaître sa présence et son besoin d’amour et de lumière que seul mon amour
pour tout ce que je suis, peut libérer.
La
persévérance soutenue par la foi amène à éclairer la voie et à continuer
jusqu’à retrouver la joie ou au moins jusqu’à voir que les situations du
quotidien changent.
Continuer
à accepter ce qui est ne veut pas dire subir ce qui est, mais reconnaître que
ça me montre ce qui est à reconsidérer dans ma façon de voir les choses.
Mon
pouvoir consiste essentiellement, tant que je ne suis pas totalement libérée
des fausses croyances, à libérer le corps de souffrance et les énergies liées
aux émotions négatives.
Une fois
ce travail effectué, je pourrais créer en conscience ce que je veux sans me
saboter moi-même. Sinon, je prends le risque de perdre ma foi en la loi d’attraction
et surtout la confiance dans ma capacité à créer mon bonheur.
La seule
obligation que j’aie, c’est de m’aimer inconditionnellement. Le reste suivra
sans aucun doute. Ce n’est pas être égoïste, c’est être conscient de ce que je
suis en vérité, un humain divin créateur de son quotidien par la loi
d’attraction et de résonance. Prendre en charge mes ombres est le travail le
plus important à réaliser.
L’autonomie
spirituelle et affective en sont les fruits.
Aujourd’hui, la vigilance est de mise. J‘appelle l’amour
et la lumière qui me constituent à remplir tous mes corps. Je confie la
guidance de ceux-ci à ma présence divine en qui j’ai totalement confiance.
Petit exercice de libération du corps de souffrance,
avant toute chose. Bien que j’aie ressenti une amélioration intérieure reflétée
à l’extérieur, il reste néanmoins quelques signes de sa présence. Depuis le
temps qu’il dirige ma vie, je ne dois pas m’affoler qu’il peine à s’en aller.
Le simple fait de remarquer qu’il n’est plus si présent, suffit à me motiver à
continuer.
Je me
demande si le fait que je sois amenée à m’adresser directement à mon corps de
souffrance, n’est pas le signe que ma pratique des libérations des émotions
négatives une par une soit devenu un réflexe naturel.
Il me
semble que tout est clair et juste. Je n’étais pas capable de le faire tant que
je n’avais pas de preuves que premièrement, il n’y a aucune crainte à avoir à
regarder ses peurs en face, et qu’en plus la technique est réellement efficace.
Il est
vrai que j’ai douté hier mais le fait que je persiste à le faire malgré tout a
été plus que bénéfique et a donné des résultats immédiats.
On ne
peut pas dire que j’ai retrouvé la joie, ce matin, mais au moins, la lumière,
l’éclairage issu de la compréhension qui amène la paix et la confiance en soi
et en son chemin.
Le fait
d’avoir libéré des notions telles que celle du bien et du mal, de l’idée qu’il
faille souffrir, gagner, mériter la lumière, ont ouvert la voie et m’ont rendu
capable de voir en face celui que j’appelais le saboteur intérieur, que je
considérais inconsciemment comme l’ennemi à abattre. Le simple fait de le
considérer comme ça, m’empêchait d’avoir la compassion, l’ouverture de cœur
nécessaire pour lui envoyer sincèrement de l’amour. Le nommer « corps de
souffrance », change mon regard sur cet intrus. Le fait de savoir qu’il
est la somme de mes souffrances, me rend responsable de lui, me montre qu’il
est ma création. Ce constat me montre aussi qu’en tant que créatrice, j’ai le
pouvoir de créer un corps de joie de la même façon, en appréciant chaque petit
moment heureux de la journée, en le reconnaissant, je construis ma nouvelle
identité en conscience.
Je me
demande si ce corps de souffrance n’est pas aussi l’enfant intérieur auquel
cas, vouloir qu’il s’en aille n’est pas la solution. La vision de Jeshua me
correspond mieux dans la mesure où je considère que rien n’est à éliminer en
soi mais plutôt à être aimé et éclairé. C’est notre manque d’amour et de
compréhension qui trouble notre vision puisque tout est utile, tout a sa raison
d’être et que le bien et le mal ne sont que des produits de la dualité nés de
la vision à partir de l’ego.
La
nécessité de passer de l’ego au cœur devient plus qu’évidente. A partir de là,
on peut voir que tout est bien et que les énergies opposées sont
complémentaires et que leur fusion amène la dynamique, le mouvement de la vie.
Comme il
le dit souvent, nos ombres peuvent être considérées comme un enfant qui demande
à être aimé, éclairé pour évoluer, ce même personnage contient aussi en lui,
les énergies opposées que sont la joie naturelle de l’enfant, l’innocence, la
pureté et la créativité.
En lui
donnant l’amour et la lumière de ma présence divine, en le libérant de toute
charge négative accumulée, il retrouve son plein potentiel et peut s’exprimer
en moi, dans toute sa splendeur.
Je
retrouve enfin l’enthousiasme et la joie qui permettent de voir chaque instant
présent comme un cadeau.
Merci à
la lumière de ma présence divine, aux êtres éclairés, inspirés qui partagent
leurs dons et aux énergies de la source envoyées en masse, en cette période
bénie, choisie par notre âme.
Cette
expérience m’a encore plus rapprochée de ma présence divine, elle m’a permis de
fortifier ma foi et de pouvoir reconnaître les petits signes qui montrent que
je suis sortie de mon centre, de mon cœur.
Le fait
de râler, de vouloir plaire, de tenir compte du regard extérieur qui ne fait
que montrer que je ne me reconnais plus assez, de se lamenter, de retomber dans
le rôle de la victime qui se plaint de son sort.
Même les
cachets ne faisaient plus effet. Là encore, je peux voir que ce n’est pas la
quantité absorbée qui change les choses mais vraiment l’endroit où je me situe
vis-à-vis de moi-même et de l’extérieur. Seule la vision à partir du cœur amène
la lumière, permet d’avoir un regard juste sur soi et sur ce qui est.
Heureusement
que je me suis accrochée à ma foi en la vérité de ces quelques mots :
S’aimer
inconditionnellement, accepter ce qui est.
Je me
les suis répété comme un mantra, une vérité divine.
Allez,
action : Une bonne douche pour laver les vieilles énergies et repartir à
zéro.
Je vais
enfin pouvoir apprécier la douceur de la température extérieure. 24° à l’ombre
l’après midi et 16° du coucher du soleil jusqu’à 20. Même ce temps exceptionnel
n’avait pas réussi à me sortir de ma nuit…
L’heure est à la vigilance. J’ai l’impression par moments, que je n’en sortirais jamais. Je passe mon temps à ressasser, puis à calmer le mental qui revient à la charge, devant les situations chiantes qui se répètent, je commence à perdre espoir. Là, c’est le corps de souffrance qui s’exprime, si j’ai bien compris. A quoi ça me sert de comprendre et de connaître des techniques que j’applique si ça ne me délivre pas complètement ?
Elle est où la puissance libératrice du Christ en moi ?
Ma mère
me dit que les changements d’humeur sont les signes de la ménopause. Je ne sais
même pas ce que c’est. Comme je ne me fie pas du tout à la médecine
traditionnelle, je vais voir ce que je trouve sur la toile pour m’éclairer avec
l’aide de ma présence divine qui semble bien lointaine dans ces moments de
confusion.
Photo de papillon prise au jardin, cet automne