lundi 21 janvier 2013

Jeudi 3 janvier suite, + lien message Hilarion




C’est finalement ma foi au christ qui m’a réconcilié avec tout ce que je suis. 
Enfin c’est ce que je pensais mais si ça revient encore en rêve, c’est que je n’aime pas encore assez mon corps physique. Que je ne l’accepte pas totalement.
Pourquoi devoir se faire souffrir par l’épilation ? Pourquoi se dénaturer autant ? 
Pour répondre aux exigences de la mode ? Ma grand-mère disait souvent : « il faut souffrir pour être belle ! »...

Je me disais que je préférais être moche plutôt que de souffrir ! La mode a toujours été dictée par la culture et répond au besoin de formater les gens, de nier les différences spécifiques de chacun. Les femmes girafes, en Afrique illustrent bien ceci.
Pourquoi vouloir modifier son image ? N’est-elle pas une création du divin ? 
Je n’ai pas de problème à me balader dans la rue mais il est vrai qu’une photo exprime difficilement l’énergie. L’expression, le sourire transmettent un peu l’âme d’une personne. Encore faut-il être naturel dessus. Les sourires forcés, à pleines dents  ou à l’américaine, façon Hollywood ne me plaisent pas du tout.
Je ne me considère pas comme laide mais il est vrai que je ne corresponds pas à la mode du moment. Les gens m’apprécient pour mon honnêteté, ma sincérité et ma simplicité ? Et puis la reconnaissance extérieure bien qu’agréable, éloigne de celle qui a le plus de valeur, d’importance.
La reconnaissance intime de soi-même, de tous nos aspects. 
J’estime que la connaissance de qui je suis n’a pas de prix et que même si j’ai du en baver dans l’enfance et jusqu’à 45 ans, ça valait la peine. 
Il n’est jamais trop tard pour bien vivre, pleinement, pour avoir une vie riche, épanouissante. D’autant que nous sommes éternels et que même si l’image de cette incarnation est appelée à disparaître, ce qui reste, l’essence, elle perdure et s'enrichi à chaque vie. La progression effectuée pendant chaque incarnation, reste gravée éternellement. La lumière emmagasinée aussi. Une fois de plus, tout est bien.
Le jour où j’arriverais à envoyer ma photo à Louis, sera le signe que j’ai avancé dans l’estime et la confiance en soi. J’ai foi en mon aspect divin, en ma capacité d’évoluer et je sais que l’amour inconditionnel guérit toute blessure, jusqu’à celles de l’âme. Le remède, la libération des fausses croyances, dont la plus handicapante semble être la peur d’aimer et d’être aimée. Comme le dit Saint Germain dans son message du nouvel an.
Quand on commence à utiliser la technique d’Inelia, (entre autres) on croit avoir fait le tour de nos ombres mais on se rend compte qu’il en surgit toujours de nouvelles, bien enfouies dans l’inconscient. Le côté positif, c’est que la technique permet de guérir en profondeur puisqu’elle révèle ce qui était le plus caché, nous donnant l’occasion de le libérer. C’est là que le courage de continuer s’impose. Ce qui amplifie la foi et permet d’aller encore plus en profondeur pour finalement guérir de tout. 
C’est ce qui motive une âme à venir se réincarner inlassablement. Pour cette raison, la période que nous vivons est extraordinaire puisqu’elle nous permet de guérir en une seule vie, tout ce que l’on trimballe depuis des siècles.
Bon, le fait d’avoir roupillé a un peu perturbé mon emploi du temps mais en même temps, ça m’a ouvert les yeux sur quelque chose que je ne voyais pas avant et ça m’a fait du bien physiquement. Encore une fois, je constate que d’accepter ce qui est, de suivre ses besoins, amène un bien être, une harmonie qui découle de l’amour et qui éclaire, qui permet d’avancer.
Malgré le cafouillage dans mon emploi du temps, j’ai coupé du bois, fais la vaisselle et je n’ai plus qu’à me doucher pendant que les nouilles cuisent. J’ai oublié de sortir de la viande du congélo. Pas grave, des nouilles au gruyère et une salade au roquefort feront l’affaire.
Pendant que je faisais la vaisselle, j’ai pensé à un truc concernant l’ego et le fait que beaucoup disent qu’il doive mourir. Il me semble que ce ne soit pas tout à fait le cas. Sinon, pourquoi nos anciennes incarnations seraient-elles encore accessibles, présentes ? D’autant que tout ce que nous sommes est de création divine et que pour cette raison, rien ne meure vraiment. Sans parler des lignes temporelles qui montrent le côté illusoire de chacune de nos vies en même temps que leur permanence. 
N’est-ce pas une fuite à la réalité de ce que nous sommes en totalité, ici, maintenant. Une forme de rejet de ce qui pourrait sembler indésirable et qui pourtant fait partie de nous. Il me semble plutôt qu’il soit question d’unifier le tout puisque même des êtres tels qu’Adamu, de conscience unitaire, s’adresse en tant qu’Adamu, à l’humain. 
Il me semble donc qu’il soit plus question d’accepter tout ce que nous sommes. Longtemps les églises disaient qu’il fallait rejeter le corps, maintenant, les humains « spirituels » disent que l’ego est à « tuer ». 
Enfin disons plutôt qu’ils portent un regard « négatif » dessus, le considérant comme « inférieur ». Disant qu’il faille le transcender. S’élever au-dessus de lui. 
L’âme elle-même a été individualisée au moment de l’accouchement cosmique et même si au départ, nous étions UN, c’est cet éclatement qui a permis l’exploration, l’évolution, la compréhension. La conscience unifiée ne nie pas qu’elle soit constituée d’éléments, au contraire elle doit être consciente que c’est ce qui fait sa richesse. 
La variété des unités qui la constitue. 
Je ne pense pas que le fait de nous élever au-delà de la dualité implique que nous tuions cet ego qui est notre caractère unique. Chaque chose a sa raison d’être. 
Même si l’expression de notre âme actuelle est éphémère, l’énergie qui la compose perdure et laisse sa marque dans l’âme. Les « leçons » apprises, s’inscrivent quelque part en elle et c’est la somme des individus que nous avons été qui enrichit nos aspects plus lumineux, donne sa forme spécifique à notre âme, sa couleur, ses tonalités.
J’hallucine, il est 13h10 et j’ai encore envie de dormir ! Je crois que j’irai en courses demain !
Je viens de lire le message d’ Hilarion

HILARION – 30 décembre 2012 au 6 janvier 2013


Marlene Swetlishoff

Bien-Aimés,

L’atmosphère est pleine d’allégresse et de magie. Un sentiment d’anticipation se propage sur quelque chose de merveilleux à venir. Vous êtes arrivés à votre destination, maintenant vous vous installez. Les changements en vous et dans vos vies personnelles se passent aux niveaux subtils de votre Être plutôt que dans une bascule spectaculaire vers une nouvelle réalité. C’est ainsi que cela devait être, ainsi ceux avec qui vous voyagez dans cette aventure ont le temps de remarquer la différence et de prendre conscience que quelque chose de profond s’est passé.

Ces transformations se produisent en continu en chacun de vous. Il y a des rythmes et des vagues de diffusion des énergies pour qu’elles puissent êtres assimilées avant la charge suivante. Soyez attentifs aux flux et reflux de ce processus à mesure qu’ils se produisent, cela vous aidera à savoir quand vous pouvez vous attendre aux symptômes maintenant familiers de l’activation et de l’assimilation. Écoutez votre corps pendant ces périodes et respectez ses incitations intérieures. Beaucoup ressentent une somnolence accrue dans la journée, répondre à cette sensation en vous allongeant ou vous asseyant calmement un instant vous aidera à relativement faciliter l’intégration.


et je dois dire qu’il m’a rassurée et confortée dans mes choix. Bien que j’aie confiance en ma présence divine et en sa bienveillance à l’égard de cet aspect humain incarné, par moments, le doute s’installe. Non pas que je doute de la divinité en moi mais plus de mes capacités à assimiler les énergies reçues. La guidance intérieure est essentielle mais celle des maîtres et des guides, de ceux qui ont déjà réalisé ce parcours, est très utile. 
Ils agissent en grands frères tout comme Jeshua.

Je vais me reposer.
Je n’arrive pas à me poser. J’ai tant de choses à faire ! Il me semble que je ne viendrais pas au bout des libérations tant il y en a à faire. Je ne sais même plus par quel bout m’y prendre. Je ne suis toujours pas lavée et suis encore en pyjama et robe de chambre !
Je n’ai jamais fait ça, je ne me reconnais plus. Ces derniers temps ont été plus qu’éprouvant. 
Tous ces changements pourtant si anodins tels que le nouvel écran, le nouveau portable que je n’ai même pas encore utilisé. J’ai beau avoir fait ce qu’il faut pour qu’il soit opérationnel, je commence à regretter d’avoir pris un truc si sophistiqué. 
Je me suis faite avoir par les gadgets, la radio, que je n’écoute jamais en directe, le lecteur Mp3…
D’un côté je veux du neuf et de l’autre, la nouveauté m’effraie. Je bloque par peur. Pourtant tous ces changements extérieurs sont le reflet du changement intérieur. 
C’est peut-être ça qui m’effraie. 
Je devrais au contraire me réjouir d’avoir plus de possibilités de création avec l’écran beaucoup plus grand, le nouveau programme Word et ses options, la rapidité d’exécution de l’ordi…
La conclusion logique selon ma foi en l’humain, c’est de voir ce qui est à libérer : la peur du nouveau, de l’inconnu, de quitter quelque chose de maîtrisé. 
Le changement d’habitude qui fait progresser mais en même temps amène son nouveau lot de peurs.
Moi qui croyais que le 21 décembre serait la date du changement, l’unique envoi d’énergie en masse. 
Comme si après ça, tout allait se calmer !
Que je pourrais souffler, prendre le temps d’intégrer la nouvelle réalité. 
Il faut déjà finir de libérer toutes les fausses croyances liées aux vieilles façons de voir. Sortir définitivement du rôle de victime. 
La venue de ma sœur a été bénéfique puisqu’il n’y a pas de hasard et que ça a été voulu par mon âme afin que je puisse libérer, en situation, les vieilles énergies qui me faisaient retomber dans la dévalorisation…
Les schémas qui ont entraîné des comportements d’auto-destruction. 
Même si j’ai l’impression d’être KO, je sens aussi que beaucoup à été fait tant consciemment, qu’inconsciemment, à des niveaux subtils de mon être. 
Là encore, je peux me dire que je suis encore dans un tunnel où seule ma foi, ma confiance en ces parties de moi reliées au divin, peut m’aider à surmonter les bouleversements intérieurs et extérieurs. 
Le fameux lâcher-prise est plus que jamais de rigueur. 
La pression est aussi à libérer ! Je n’arrive pas à aller me reposer ! 
C’est quand même dingue ! Rien, ni personne ne m’oblige à faire quoi que ce soit ! 
Seule ma peur d’être jugée, critiquée…Mais par qui ? Je vis seule ! 
Ce n’est pas la chienne qui va me reprocher de vouloir me reposer ! 
Je me colle la pression toute seule ! Encore un truc à libérer ! J’ai l’impression que je vais devoir passer mon temps à faire cet exercice de libération !
Je me suis mise face au soleil et j’ai respiré profondément pendant quelques minutes. Une fois détendue, j’ai appelé le sentiment d’indignité et d’illégitimité à se manifester en mon corps physique. Une douleur au cœur et au plexus solaire m’ont amenés à focaliser l’amour et la lumière de mon être dessus. 
Puis je les ai libérés en les remerciant de m’avoir amené à être dans la compassion, la simplicité et l’humilité. J’ai ensuite rempli d’amour et de lumière les espaces libérés.
Ensuite, je me suis sentie poussée à libérer la culpabilité. Une vive douleur au poignet s’est faite ressentir et a disparu une fois l’exercice terminé. J’ai vu du vert, du doré et du blanc qui m’ont confirmé l’efficacité de la guérison.
J’ai ensuite appelé le rôle de victime en effectuant les mêmes choses

Une bonne douche pour nettoyer les vieilles énergies et un envoi de lumière dorée de ma présence divine et la pêche est retrouvée. 
Trois jours pour retrouver la joie, l’assurance d’être sur la voie de mon cœur.
Des brûlures d’estomac me poussent à embrasser mon enfant intérieur et à lui envoyer de l’amour et de la lumière dorée. Je l’ai encore une fois remercié d’avoir gardé l’amour en son cœur malgré tout ce vécu douloureux. 
D’avoir gardé l’espoir en des jours meilleurs.
Il me vient un truc qui semble être à l’origine du trouble intérieur. 
Si je nie les souffrances et la colère de l’enfant que j’étais, quelque chose n’est pas juste. Même si je me félicite de ne pas avoir envoyé péter ma sœur pour son égoïsme, sa façon de tout ramener à elle et de ne rien vouloir partager, une partie de moi reste frustrée de ne pas avoir été entendue. 
C’est l’adulte que je suis aujourd’hui qui doit prendre en considération les plaintes de cet enfant qui continue de vivre en moi.
Je me suis déjà fait la réflexion, la dernière fois qu’elle est venue. Comme je ne voulais pas reproduire le schéma de l’enfance en me plaignant du comportement de ma sœur, auprès de ma mère, ça m’a mise dans une position de frustration, de conflit intérieur. Partagée entre le besoin de crier à l’injustice et celui d‘être en paix, dans l’acceptation de ce qui est. 
La solution, c’est de laisser les plaintes, les souffrances, la colère monter en moi et de les entourer d’amour et de lumière. 
De reconnaître que tout ça m’appartient mais que je ne m’y identifie pas. 
Que c’est une réaction légitime de l’enfant en moi qui peut être consolé par mon aspect divin tout comme par l’adulte que je suis devenue.
Pleure mon enfant, libère tes peines, je comprends ta douleur et je te remercie d’avoir supporté ça toute seule. 
C’est fini maintenant tu n’es plus seule, tu ne le seras plus jamais. 
Je ne voulais pas être dans la vengeance. 
Ce n’est pas en l’attaquant pour te défendre que les choses se seraient améliorées. L’adulte que je suis et l’être divin que je suis, te comprennent et reconnaissent tes souffrances comme légitimes. 
Nous pouvons maintenant, grâce à toi, grâce à ce que nous sommes, guérir, avancer ensemble vers ce nouveau monde. 
En nous unissant et en nous traitant mutuellement avec respect et fraternité. 
Chacun des aspects de ce que nous formons, apporte sa spécificité, sa couleur particulière pour peindre notre  nouvelle vie rempli de joie, d’amour, de liberté, de bien être, de confort et de sécurité. 
En faisant circuler l’amour entre nous, plus besoin de reconnaissance extérieure. 
Plus besoin d’être rassuré puisque la connaissance de l’être divin qui est en nous, libère de toute crainte, de tout besoin. 
Son amour nous unit, nous porte tout comme celui de nos parents divins. 
Si nous avions eu des parents parfaits, une enfance parfaite, nous n’aurions pas connu notre véritable origine. 
Nous aurions dépendu de l’amour de personnes humaines si fragiles et instables.
En nous aimant entièrement, nous n’avons pas à chercher ailleurs ce que nous vivons en nous. 
Alors continuons de nous unir et d’un même cœur, créons une vie heureuse, libre, authentique et spontanée.

Je vais écouter Ruquier sur le site de la radio en espérant que ce ne soit pas des rediffusions. 

Photo; Fœtus de 4 mois.