dimanche 27 janvier 2013

Jeudi 24 janvier, le feu, Los Jaivas "Guajira cosmica"




Jour relié au chakra du cœur ! Je dédie donc cette journée à cet organe fragile et pourtant si puissant ! Ce centre cardiaque carrefour de tout ce que je suis.
En commençant par mieux gérer mon temps, par écouter un peu plus mon corps physique et ses appels, par calmer mon mental avide de bavardage, de questionnement, hyperactif...

Je mesure ma progression dans tous les domaines de ma vie et la rapidité avec laquelle ça se fait en ce moment ! Ce processus me confirme tout ce qui est dit concernant les énergies spécifiques de la source, envoyées sur terre depuis deux ans.
L’accélération du temps est indéniable !

Bon, c’est l’heure d’aller visiter mon monde virtuel !
Aujourd’hui mieux qu’hier, pas de pression, de l’attention, de la douceur et du respect envers tout ce que je suis, au feeling, en suivant plus que jamais mon cœur, mes envies, mes pulsions de vie. Meilleure façon d’honorer tant ma personnalité humaine que divine. Bisous à toi, présence divine, que la journée soit une belle collaboration, un échange ouvert et joyeux !
J’ai de plus en plus envie de vivre, d’être, d’apprendre à me connaître, de faire de chaque instant une fête, un hommage à la vie, à tout ce qui me constitue !

Plus ça va et plus je me dis que les énergies que la source nous envoie, ont un fort impact sur nos comportements.
Il y a eu la période 2010/2012 qui nous a ouvert les yeux sur nos véritables origines, la révélation à nous-mêmes, tant au niveau spirituel que temporel dans la découverte de notre personnalité humaine à travers les situations de vie parfois très perturbantes qui nous montrent ce que notre inconscient crois, nourrit, entretient. Elles ont poussé chacun à changer son comportement et à vouloir s’extérioriser après avoir été tourné vers l’intérieur, l’introspection. L’affirmation de soi et l’envie de partager semblent être les conséquences de toute cette énergie d’amour et de lumière, déversée depuis la source.
Il me semble que la suite logique, en cette nouvelle année, ce soit notre compréhension de la loi de l’UN, de ce qu’est l’unité. Unité entre tous nos corps, et entre le divin et l’humain qui cohabitent en chacun. Et une fois que ce processus et enclenché, il amène naturellement à rechercher l'unité entre humains.

16h Je me suis enfin accordée un moment de repos, de méditation, de respect pour mon corps physique qui montrait des signes de fatigue de plus en plus fort. 
Tellement habituée à vivre selon le dictat du mental qui fait tout pour occulter les peurs cachées dans l’inconscient, je me laisse enfin guidée par la réalité de mon corps physique dont les besoins sont moindres bien qu’ils soient vitaux. 
Tout est une question de dosage, d’équilibre.

J’ai été sorti de ma somnolence par le voisin qui me donne du bois. Je n’ai pas eu le temps de réfléchir, de réagir et de refuser les 50 euros qu’il m’a donnés pour acheter du bois. J’arrête de me prendre la tête avec ça. Je ne lui ai rien demandé et s’il veut m’aider, c’est tant mieux. Je ne vais pas perdre ma liberté d’être pour autant. Ni celle de penser. Ni même ma dignité. Alors mon corps mental, arrête de ruminer. 
En plus comme je râle de temps en temps, après mon âme, ma présence divine, lui reprochant de ne pas me soutenir dans les choses matérielles, c’est peut-être sa façon de le faire. Comme elle est constituée d’énergie d’amour et de lumière, elle agit peut-être en inspirant le cœur et les pensées de mon entourage...
Laissons le soleil nous réchauffer le dos et profitons de ses rayons.
J’irai couper du bois après, avant la nuit et peut-être me faire des petits choux à la crème. J’ai envie de me faire plaisir, à nouveau.
Je me suis même accordé un temps de divertissement en regardant « on’ n’demande qu’à en rire » ! Plus d’une semaine sans me rendre sur le site de la chaîne de télé !
Peu à peu, je lâche la pression que je me suis collée depuis cet été.
Les libérations portent leurs fruits et m’encouragent à continuer sur ma lancée.

Je n’ai pas encore mis les messages de Jeshua ou de Simon, je veux faire les choses bien, avec calme. La spontanéité ne veut pas dire de foncer tête baissée mais d’écouter les élans de son cœur et planifier, réfléchir à la meilleure façon de faire.
Il est vrai que même si je laisse les mots couler sans retenue, je dois aussi tenir compte du fait qu’ils sont lus. Ça ne veut dire que je me trahi, ou que je change quoi que ce soit mais plus que j’essaie de me mettre à la place de celui qui lira.
Encore une fois, lier le monde virtuel au monde réel n’est pas chose facile. Un peu à l’image de la distance qu’on imagine qu'il y a entre l’humain et le divin. 
Nous sommes si peu habitués à être sincères qu’il nous faut réapprendre la communication. Peut-être que l’outil Internet va permettre ça. Enfin c’est ce que je souhaite. Créer un pont entre les deux, faire en sorte que l’anonymat, la distance permette d’épancher son cœur pour préparer aux rencontres dans la vraie vie, initier ce nouveau mode de communication en douceur.
Quand on lit des messages, des textes, des infos, sur la toile, on a vite fait d’oublier que derrière ces mots sur l’écran, il y a un cœur, une âme, une personnalité humaine avec son vécu, ses forces et ses faiblesses.
Bon, je vais couper du bois.  

La peur du « qu’en dira-t-on à lâcher », à libérer après une situation vécue, il y a peu, s'impose. C’est quelque chose qui me semble issu de mes gènes. Je libère ce sentiment qu’il m’appartienne ou pas.

Les tuyaux encore cramés m’ont amenés cette fois ci, à libérer la peur de la mort, en plus de celle du feu. C’est le vent qui a embrasé le goudron dans les tuyaux. Je suis dégoûtée parce que je venais de nettoyer le coude et faire tomber la merde des tuyaux. Celui du bas est carrément cassé au niveau de l’emboitement avec le coude ! J’ai mis du scotch spécial, en une matière qui résiste à a chaleur pour ne pas qu’il y ait des échappées de fumée ni de bistre. Je guette le moindre bruit. Je fini par me dire que je deviens dingue ! Evidemment, l’endroit où le tuyau est percé, est inaccessible, juste derrière, collé au mur ! J’en ai mare d’avoir l’impression de tourner en rond ! Je ne sais même pas si d'en mettre un autre améliorera la situation ! Je n'ai pas le choix, on verra!
Je voulais me faire des choux mais comme la cuisine est de l’autre côté de l’appart, je suis coincée là ! J’ai failli appeler de l’aide mais je me suis dit qu’ils feraient venir les pompiers et que j’étais capable de le faire.
Je me suis donc contentée de libérer les peurs, ce qui a eu pour effet de me calmer, de lâcher prise.
 
Je recommence à piquer du nez !
J’ai fini par demander à ma présence divine, son aide. Qu’elle me remplisse d’amour, que ces énergies s’activent en moi. J’ai demandé son aide pour consoler, rassurer, mon enfant intérieur. La paix est revenue doucement, la faim aussi.
Puis ces quelques mots me sont venus tels quels :

Positive, Lydia, positive ! Ces moments désagréables qui ne sont que l’énergie de peurs,  bloquée appellent à être libérées pour être mieux dans l’amour, dans la joie, la paix. Ces "crises" se font de plus en plus rares ! La dernière remonte à lundi dernier ! Ce qui veut dire, 10 jours dans la paix et l’amour. De plus, il a fallu seulement quelques minutes de libération, de retour au cœur pour que tout s’apaise !
Les moments un peu lourds dus à la relecture de périodes difficiles n’ont duré que le temps de la lecture. Ils ont fait ressortir ce qui restait à voir, à libérer, à mettre à jour.

Maintenant que le calme est revenu, je crois comprendre ce que mon âme voulait me montrer. Tout a été déclenché par la relecture du 13 décembre dernier où je me suis justement adressée à mon enfant intérieur et par le fait d’écrire un mail où j'ai donné mon point de vue sincèrement.
La culpabilité a été activée tout autant que la peur d’être rejetée à dire ce que je pense...
Le conflit entre ma nature profonde, sincère et authentique et la peur de dire les choses.
La souffrance due au fait d’exprimer les choses à demi-mots comme quand j’étais enfant puisque la menace pesait. L’incompréhension de ma mère qui s’en suivait, la douleur qu’elle créait en moi. Le sentiment de ne pas être comprise, rejetée.

Le feu dans les tuyaux, et venu quelques minutes après que j’ai écrit le mail.
Le malaise que ça a créé en moi, toute cette remontée énergétique de doute de soi, de peur d’oser dire la vérité, toutes ces fausses croyances de l’enfance, ont abaissé mon taux vibratoire et se sont exprimées à travers les flammes. La peur a créé cet incendie à l’extérieur à l’image de celui vécu à l’intérieur. 
La concrétisation d’une pensée de peur de l’enfance à travers une situation qui peut m’amener à revivre ce sentiment, maintenant. 
Comme j’ai eu le bon réflex de me poser et de me calmer puis d’appeler cette peur panique à lâcher le poêle et à venir s’exprimer en mes corps pour que je l’entoure d’amour et de lumière, le feu a cessé et j’ai pu comprendre le processus de l’expérience que je venais de vivre.
Sans parler de la visite de Michel, entre temps, qui a réveillé le sentiment de culpabilité. Ce même sentiment qui m’est venu en tête au moment où j’ai paniqué au point de vouloir appeler à l’aide, les gens autour de moi plutôt que d’appeler ma présence divine à agir. Je me voyais leur dire que je n’avais rien fait de mal !
Il reste encore des énergies à libérer et de l'assurance en soi, à gagner!
Ce qui est positif, c’est que ça arrive moins souvent, avec moins d’intensité. Quoique là, j’ai eu tous les symptômes de la peur panique !

En relisant le message du 21 janvier, avant de le mettre sur le blog, j’ai vu que j’avais supposé que le feu de cheminée pouvait aussi être associé à la peur du pouvoir, de la puissance. Je pensais à celle de mon être divin mais il y peut-être aussi la peur du pouvoir humain, derrière les fausses croyances liées à l’argent, à la difficulté à dire ce que l'on pense, à s'affirmer...
De même que la colère que j’exprime quand je me sens agressée, m’a souvent fait peur. Quand je gueule, je peux voir qu’autour de moi, ça flippe !
Il y a peut-être aussi ça, le fait que je sache que je maîtrise mal mes émotions et que ça peut être dangereux pour moi-même et mon entourage. Même si les colères exprimées au long de ma vie ont eu pour résultat de me faire respecter, c’est loin d’être la solution et trop éloigné de l’amour inconditionnel pour que je fonctionne comme ça. Je vais mettre l’exercice de traitement de la colère d’Inelia et me le refaire, par la même occasion. Mais on verra ça demain !

Bon, on passe à autre chose, à table ! J’ai cramé la part de tarte aux poireaux que j’ai mis encore congelée au four. Je pensais avoir de la marge mais je n’ai pas vu le temps passer à écrire ! Décidément, il devient urgent que je traite ce problème !
Mais demain parce que la fatigue est là. Juste un dernier message sur le blog...

...Je me suis encore tapée la tête sur la table en m’endormant ! Coup de bol que ça ne laisse pas de traces ! J’ai le visage tout endolori ! Allez ! Au plumard ! Il est 3h !

 Photo trouvée sur Internet du volcan Erta Ale, en Éthiopie. 

Une vidéo de Los Jaivas: "Guajira cosmica"
Je suis un peu déçue de ne pas avoir trouvé la version originale mais celle-ci est aussi très jolie d'autant que la femme qui l’interprète, assure vraiment. 
Il va falloir que je me constitue une collection dans YouTube parce que je suis, certaine d'y avoir déjà écouté la version chantée par "El Gato", que j'ai connu, il y a trente ans et qui est décédé en 2002.