jeudi 24 janvier 2013

Dimanche 13 janvier, contact avec l'enfant que j'étais, Paname de Piaf



J’ai passé deux heures à envoyer des mails. A Louis, Simon, Carmelle. 
Je sens que je m’affirme de plus en plus. Sans être violente, "rentre dedans" mais en étant tout simplement moi-même...
Cette façon d’accepter ce qui est, est une clef de guérison énorme, qui permet de se reconnaître et d'oser être soi-même, sans honte ni culpabilité...

 Merci Adamu, et Zingdad, celui qui "capte" les enseignements. C'est dommage que son site soit en anglais. Bien que je comprenne, mon niveau n'est pas assez élevé pour traduire les termes spécifiques relatifs à l'humain divin.
Je me suis réveillée ce matin avec en tête la chanson de Renaud, « Le marchand de caillou ». Dont la première phrase est la suivante ; "dis papa quand est-ce qui passe le marchand de caillou ?" 
Comme si je venais de passer la nuit, d’âme à âme, avec mon père !
Je suis heureuse d’être passée du pardon à l’amour inconditionnel envers lui. 
Le pardon situe toujours celui qui l’accorde, au dessus de celui qui le reçoit or si on regarde les choses au niveau de l’âme, il n’y a pas de victime ni de bourreau, il y a deux êtres qui conviennent de vivre une expérience édifiante pour chacun. 
Une situation qui va permettre de développer l’amour et la lumière. (Je suis consciente de risquer de choquer mais en même temps, je ne peux m'empêcher d'être sincère.)
 J’ai souvent pensé avoir vécu ce type d’expérience qu’est l’inceste, pour amener les énergies de guérison à ce niveau là. 
Pour revisiter totalement la perception humaine de l’amour et finir par guérir du trauma en activant l’amour inconditionnel en toute circonstances.
Tout autant que pour réfléchir à une nouvelle façon de concevoir la relation de couple, de la famille en plus de l’opportunité de fusionner les énergies contraires. 
De toute façon, il faut bien que quelqu’un si colle et la nécessité de revisiter nos concepts est essentielle à l’établissement de la nouvelle terre. 
Encore une fois, même s’il est probable que des intelligences venues d’autres planètes, nous apportent certaines de leurs technologies, et connaissances, il est évident qu’en tant qu’humain divin, nous avons tout le potentiel nécessaire à créer cet âge d’or. 
En commençant par nous ouvrir à notre vérité d’être multidimensionnel, humain tout autant que divin, masculin et en même temps féminin…
Constitués d’amour et de lumière. Cette prise de conscience nous amène à extérioriser notre essence qui nous ouvre à la capacité d’aimer de façon divine et ainsi changer totalement les relations entre humains. 
Tout est en nous et notre plus grand pouvoir est celui d’aimer inconditionnellement à la façon de la source père mère. 
Nous avons TOUS ce potentiel. 
Le reconnaître et l’activer suffit à tout changer de façon révolutionnaire sans avoir à détruire quoi que ce soit, si ce ne sont nos illusions. 
Celles d’être de pauvres petits humains séparés de la source, condamnés à subir. 
Même dans la bible, quand on lit que Dieu créé le jardin d’Eden puis l’homme, la femme et qu’il leur interdit de toucher à l’arbre de la connaissance, il faut avoir un esprit et un cœur bien fermé pour imaginer que l’intelligence suprême, l’amour divin serait à ce point contradictoire, vicieux et pervers. 
J’en rigole tant c’est paradoxal, petit, tout le contraire de la source !
De même que Jésus à la droite de Dieu et l’inconnu à sa gauche ! 
Je pense qu’il est question du diable (entre autre) qui n’est autre que l’énergie de l’ego. 
Elle n’est pas mauvaise en soi, elle est une façon d’être qui a constitué la base de ce que nous avons été pendant des millénaires. 
L’enjeu était là, vivre selon l’ego jusqu’à comprendre, que l’énergie du cœur est « supérieure » puisqu’elle n’exclue pas, mais surtout que c’est la fusion des deux qui sous-tend toute vie et soutien l’être humain divin, qui amène la paix, la joie, la complétude, la plénitude. 
Que la voie du milieu est le chemin royal qui amène à s’élever au-delà de tout. 
A retrouver la conscience de l’UN, à devenir la source. 
Comme si deux voies s’étaient présentées à nous et que nous ayons choisi de vivre à partir de l’ego, dans l’illusion de la séparation d’avec le divin et l’humain. 
Bonjour le résultat !...

Pourtant ce qui semble être un mauvais choix de départ nous a permis de comprendre ce qu’est véritablement l’amour, et de choisir librement et consciemment de suivre la voie de l’amour et de l’unité. 
Nous avons grandi en sagesse, en conscience et en capacité d’aimer.

Le jour se lève sur un ciel nuageux qui déverse une fine pluie. Je me dis que j’ai été bien inspirée de répondre à la demande de la chienne de sortir vers 6h. Il y a bien longtemps qu’elle n’avait demandé à faire son tour seule, de bon matin !
J’en suis à me demander si elle n’a pas senti que la pluie viendrait. Comme je râle quand elle se salit et lui reproche de me pourrir la maison, je me demande si elle n’a pas insisté pour sortir par anticipation. Bien que ça puisse paraître extravagant, je ne peux croire à une coïncidence. 

Je considère mes animaux de compagnie comme ma famille et m’adresse à eux avec la certitude qu’ils me comprennent, comme s’ils étaient des humains. 
Leur mode de communication est différent du nôtre mais ils arrivent à comprendre et à exprimer beaucoup de choses. C’est certainement au niveau vibratoire que ça se passe. J’ai vu un reportage qui parlait de l’intelligence animale et qui montrait des personnes qui communiquaient en pensée, avec des chevaux, des chiens. Je suis convaincue que c’est totalement vrai. J’ai toujours eu cette relation très personnifiée avec tous les animaux qui ont partagé ma vie.

Notre côté animal nous rapproche d’eux et au niveau de la conscience planétaire, nous sommes UN avec TOUT ce qui vit ici. Certainement aussi au niveau de la conscience cosmique mais je ne parlerais pas de ce que je ne peux qu’entrevoir avec les yeux du cœur. Je préfère me focaliser sur ma vision à partir du cœur de l’humain que je suis et la connaissance du divin qui est aussi en moi plutôt que de flotter dans l’éther.
Plus ça va et plus je me dis que certainement beaucoup d’âmes nous envient d’être ici, maintenant.

C’est un immense honneur, privilège que de pouvoir être les acteurs de la création d’un monde nouveau ! Quel projet magnifique, sublime ! Evidemment, ça demande d’activer la conscience et le cœur mais cette expérience est extraordinaire !
Au-delà de tout projet humanitaire. Retrouver la conscience de ce que nous sommes en vérité et répandre l’énergie christique en nous et autour de nous, est quelque chose de délicieux que j'apprécie chaque jour un peu plus. 
Nous avons l’opportunité de magnifier notre potentiel créateur et de le faire individuellement et collectivement.

Elle est pas belle la vie ? Elle est extraordinaire !
Je l’embrasse de tout mon être, de tout mon cœur et de toute ma conscience. 
Célébrant chaque seconde, rayonnant l’énergie christique partout, à ma façon, selon ma personnalité fusionnée. 
J’aime, j’adore !
Un petit tiraillement dû au fait que j’ai me règles me pousse à envoyer de l’amour et de la lumière à la femme universelle pour que ces énergies absorbent la souffrance du féminin universel. 
Chaque fois que j’ai ce réflexe, je fais de même pour l’homme universel pour être dans l’équilibre et parce que je suis consciente que les deux ont grand besoin de guérison. Même si je ne peux « sauver » les autres, je peux au moins ne plus jouer le jeu de la dualité et envoyer de l’amour puisque je goûte chaque jour à son pouvoir illimité. 
C’est facile à faire, ne coûte rien que d’être sincère en le faisant. 
Je ne risque pas de m’enorgueillir puisque c’est l’énergie qui est active. 
Je ne cherche pas à voir de résultat parce que j’ai confiance en l’amour et la lumière et n’attends aucune reconnaissance si ce n’est celle de me savoir humain divin et de le vivre.
Bon, je vais aller chercher du bois pour alimenter le poêle qui est d’une gourmandise folle ! Quand je pense à la difficulté que j’ai eu à accepter simplement de vivre dans le confort quotidien, je me dis que j’ai bien fait de persévérer à libérer des peurs, des fausses croyances telles que : je ne mérite pas le confort, je n’ai pas droit au bonheur, j’ai honte d’être assistée. 
Mériter les choses ! Quand on sait par où nous avons dû passer pour naître, on se dit que le simple fait d’être sur terre ici et maintenant, suffit à être, à exister. 

Au niveau physique, la rencontre de deux êtres, la course folle des spermatozoïdes pour rencontrer l’unique ovule, au moment voulu, la division cellulaire. 
A ce propos je me demande si ce processus est celui qui inscrit en nous la notion de division, de séparation. Je ne suis pas spécialiste en la matière, c’est une simple question.

L’accouchement où nous passons de l’état de plénitude,- de confort, de chaleur, de sécurité, de fusion avec notre mère, où nous n’avons qu’à être-, à l’état de stress de devoir respirer, où la violence de cette première inspiration nous fait crier de douleur, de peur et où la réponse à notre détresse est une grosse claque sur les fesses.
Nous entrons dans ce monde dans des conditions qui illustrent tout à fait la celle de l’humain.
C’est certainement la connexion à nôtre âme et le frais souvenir du monde astral qui nous permet de continuer de respirer, de vivre.
Certains pourtant, ne franchissent pas le cap et s’endorment.
Tout ce processus représente en soi, déjà tout un exploit !
Nous l’avons gagné à ce moment là, notre droit d’être ici-bas.
Nul besoin de continuer toute sa vie durant à prouver que nous sommes légitimes, à notre place !
Alors je réitère mon envoi d’amour et de lumière à l’humain divin universel ainsi que mon seul désir d’être ce que je suis, ici, maintenant, dans la chair, sur cette terre.

C’est génial, je me rends compte que je n’ai plus mal au plexus solaire. J’avais comme des brûles d’estomac que j’associais à la dépendance aux médicaments et qui se faisaient sentir avant que j’en prenne me poussant à vite ingurgiter une dose.Mais il me semble plutôt que ce soit mon corps mental, mon ego qui s'exprime et réagit à ma volonté de suivre le cœur.
Serait-ce le début de la fin de ce problème ? N’anticipons pas, continuons de vivre dans l’acceptation et la confiance inconditionnelle au christ intérieur.
Musique et toilette en chantant !

Je remercie les personnes qui lisent ce que j’écris, dans la presse galactique et qui me font part de leur ressenti. C’est une immense joie, un sentiment épanouissant de se sentir comprise, utile ou au moins de toucher le cœur des humains en exprimant ce que je pense sincèrement, en livrant mon intimité par l’écriture qui est ma façon préférée d’extérioriser mon être. 
Ces échanges me fortifient dans ma foi tout en faisant grandir mon amour pour l’humain que j’ai dû cacher si longtemps par peur d’être abusée, rejetée, méprisée. 
C’est encore une preuve concrète de l’importance d’affirmer qui on est en faisant ce qui nous passionne et du pouvoir illimité de l’énergie d’amour.
Internet est un mode de communication qui ignore les frontières, qui va au-delà de l’image et permet de se parler de cœur à cœur. Comme pour toutes choses, il a ses limites et ses revers. L’anonymat qui permet de se lâcher peut vite rendre les relations impersonnelles. Pour cette raison, le fait de pouvoir l’humaniser par les échanges ramène cet outil à sa plus belle place. Celui qui écrit même s’il le fait pour lui, se sent reconnu dès lors qu’il est lu. Les mots trouvent leur valeur dans la résonance du cœur du lecteur. Là est la richesse de l’expression qui se trouve amplifiée au travers de l’échange.

Le voisin qui veut à tout prix m’aider financièrement, qui m’a donné du bois et qui veut m’avancer l’argent pour acheter deux stères, est venu frapper à la porte pour me demander la hache qu’il m’a prêtée afin de couper du bois pour moi. 
J’avais prévu d’aller en couper après ma toilette et il m’a devancé. 
Je suis toujours mal à l’aise. Ce qui m’agace, c’est que j’aime me débrouiller seule et que j’ai l’impression qu’on me vole mon pouvoir quand on m’aide. 
Je n’aime pas qu’on m’oblige ou que l’on contrarie mes « plans ». 
D’un côté je dis que je n’ai pas à mériter le confort et de l’autre, je n’arrive pas à accepter de l’aide. Je viens de libérer la culpabilité d’être ici au chaud pendant qu’il fend le bois dehors. Même si c’est son choix, je culpabilise, je n’arrive même pas à me détendre, à jouer de la musique alors que j’en ai envie !
C’est chiant d’être à ce point contradictoire, rigide et fermée.
D’un autre côté, je ne veux pas qu’il ait du pouvoir sur moi et que son aide conditionne ma façon d’être envers lui. Après tout, je ne suis pas obligée de changer mon comportement, d’être « plus gentille » parce qu’il m’a aidée.
Ce n’est pas simple !
Il est déjà midi et comme j’ai oublié de sortir la viande du congélo, je ne suis pas prête de manger. Remarque j’ai bien déjeuné, un crottin de chèvre avec un demi-pain court, aux céréales et quatre choux à la crème vers 10h30 !
Merde ! Je voulais me coller au blog et la connexion vient de couper. Je voulais aussi voir qui a téléphoné. Je n’ai pas décroché pour ne pas être coincée au téléphone alors que le feu s’éteignait et qu’il me fallait sortir !
Beaucoup de contrariétés qui cachent quoi ?

Derrière ça se cache le souvenir des 10 francs donnés par mon père après qu’il avait abusé de moi. Le fait que je les ai acceptés m’a mise inconsciemment dans la position de complicité, de culpabilité. Je suppose qu’à l’époque, j’ai imprimé l’idée que d’accepter de l’argent ou de l’aide signifiait que je me « couchais » que je me vendais, que je me rendais complice du mal.
Pas étonnant que depuis, j’ai beaucoup de mal avec l’argent, que je l’ai toujours assimilé à quelque chose de pervers. Que le fait d’en avoir rendait coupable, vicieux et pervers. Bien entendu, la façon dont le monde voit l’argent n’a fait qu’amplifier ce rapport à l’argent totalement faussé. Comme si le fait d’avoir de l’argent n’était pas compatible avec l’honnêteté, le cœur, les vertus qui font de l’être humain une personne respectable. Je crois que le fait de comprendre minimise la peine que je pourrais ressentir en revenant sur cet épisode où j’étais malheureuse. Aucune larme ne me vient bien que je sente une certaine tristesse.

"Mon enfant intérieur, la petite fille que j’étais alors, tu n’es pas coupable, ta mauvaise interprétation des choses, l’association d’idées que tu as faite alors, n’était pas juste même si c’était légitime que tu réagisses comme ça".

Là oui, les larmes coulent mais ce sont des larmes de compassion pour cette enfant innocente que j’étais.

"Tu n’as pas mal fait, tu as fait avec ton cœur et ta capacité de comprendre du moment. Il est vrai que dans cette dimension de dualité, de manipulation, d’abus de pouvoir, ta vision n’était pas vraiment fausse mais nous savons maintenant ce qui est vérité.

Nous connaissons notre âme et son choix de nous faire naître ici, dans ce contexte particulier. C’est précisément ce qui nous a conduit où nous sommes aujourd’hui.

Alors tout comme le soleil brille à nouveau dans le ciel et comme les nuages se sont dissipés, libérons ces peines, ces fausses vérités qui ne sont que le fruit de l’incompréhension.

Laissons la lumière de notre être rayonner en nos corps, absorber ce qui doit l’être et accueillons la joie de savoir qui nous sommes aujourd’hui, maintenant, mordons dans la vie à pleine dents, réjouissons nous d’être et d’avoir surmonté toutes ces expériences sans avoir succombé à la peine et au désespoir. Remercions notre âme de nous avoir guidées d’avoir maintenu vivante la flamme de l’amour, l’étincelle divine qui est inextinguible qui nous rend immortelles et nous guide vers le chemin du retour. Du retour vers nous-mêmes, vers notre vérité celle de l’humain divin complet, entier, comprenant tout, englobant tout, acceptant tout.

Coulez mes larmes, emportez avec vous toutes mes peines d’enfant, que l’énergie d’amour circule pour toujours en nos cœurs, en notre être, en notre personnalité que cet enfant renaisse et s’épanouisse, dans la joie, l’abondance. Que toute sa tendresse s’exprime dans mes gestes et que sa créativité s’expose au grand jour. Que tous ces plus beaux rêves se concrétisent enfin, sa richesse innocente me remplisse sans fin".


Il me semble qu’enfin, je sois totalement en paix avec mon enfance. Je verrais bien comment se passe la conversation avec ma mère, au téléphone. J’ai un peu froid malgré le poêle qui chauffe bien et les 10° à l’extérieur.
J’avais déjà eu cette remontée de souvenir, la première fois que j’ai fait l’exercice de reconnexion à l’énergie de l’argent.
Il m’avait semblé avoir libéré la charge émotionnelle qui y était attachée. 
Il est vrai que je n’avais pas pleuré bien que ça m’avait un peu retournée mais c’est plus l’étonnement qui en résultait. 
Je ne m’étais pas non plus adressée directement à mon enfance en ces termes. 
Je n’avais pas saisi la notion de culpabilité que j’avais ressentie quand j’étais enfant. 
Bien que l’ai consolée du passé, lui expliquant le sens de cette expérience de l’inceste, en général, je ne l’avais pas « pardonnée » de se sentir coupable.

Je viens de lire le texte de Murielle Robert sur La presse galactique,

Journée Sacrée 20 du 13-1-2013 - La Reconnexion

(vous pouvez accéder à ce texte en cliquant sur le titre en bleu)

qui parle du chiffre "20", somme des chiffres de la date d'aujourd'hui; 13/01/2013 et je dois dire que je suis assez touchée par ce qu’elle dit. En même temps rassurée de pouvoir me dire, c’est « normal », en phase avec les énergies du jour.

J’espère quand même ne pas avoir à revisiter d’autres épisodes du passé parce que ça m’a épuisée.
Je trouvais déjà une certaine logique dans la suite des évènements qui me ramènent vers le passé. Une sensation d’être en accord avec mon désir de continuer d’ouvrir mon cœur, de guérir définitivement le passé. La lecture a amplifié ma foi en me confirmant que je suis sur mon chemin et en harmonie avec les énergies du jour.
Encore merci, Louis, de suivre ton inspiration en diffusant des messages qui m'aident, renforcent ma foi et me montre à quel point nous sommes connectés!

Il va falloir que je titre les jours de mon journal, en faisant ressortir le thème principal de la journée parce que j’ai écrit cette expérience de connexion à l’argent mais je ne sais plus trop quand. En novembre ou en décembre.
D'autant plus que pour vous, lecteurs, ce serait plus parlant. 

Photo d'un fœtus de 4 mois, trouvée sur Internet, choisie pour illustrée ma renaissance. Je suis à mi-parcours!

Les paroles de la chanson: "Paname" me sont venues en tête alors que je préparais mon p'tit déj'. 
Ce qui est magnifique, c'est que les réminiscences du passé peuvent être guéries et qu'elles se manifestent dans ce seul but.
Je rajoute donc cette belle chanson de Madame Piaf qui était des plus éclairée et avant-gardiste dans la façon de croire en Dieu, de lui parler et d'aimer! Pas étonnant qu'elle ait touché autant d'âmes, de cœur et qu'elle continue de le faire. Le succès international d film "La môme" en est une belle preuve!