Debout
depuis 5h du matin, je me suis collée à la réalisation du blog.
J’y suis depuis
deux heures et je me suis arrêté pour écrire.
J’ai
encore mis le feu à la cheminée ! C’est tellement récurent que je commence
à m’y habituer et presque à en rire ! L’odeur est horrible mais il semble
que ce soit le seul désagrément...
J’ai fermé la trappe complètement en espérant qu’elle ne s’ouvre pas toute seule ! C’est déjà arrivé quand il y a un manque d’air.
J’ai fermé la trappe complètement en espérant qu’elle ne s’ouvre pas toute seule ! C’est déjà arrivé quand il y a un manque d’air.
D’ailleurs, en général, dès que le soleil se couche, la
différence de chaleur doit créer un choc thermique qui étouffe le feu. Enfin,
je ne suis pas spécialiste !
J’ai eu le réflexe de m’adresser à ma peur du
feu et de ma puissance divine puisque ça semble être associé. La trappe fermée
et la libération de la charge émotionnelle ont apparemment calmé les choses. Il
y a tout de même de belles auréoles blanches sur le tuyau ! J’ai encore
frôlé la cata ! Se chauffer au bois demande une attention et une vigilance
de tous les instants.
Pour qu’il y ait suffisamment de tirage, il faut laisser
entrer de l’air par la trappe mais pas trop longtemps, sinon, ça crame !
J’étais tellement absorbée par le blog que j’aie complètement zappé le
poêle !
Les
messages dans cette expérience sont nombreux :
La
nécessité d’être attentive, dans le moment présent.
Le
besoin de libérer des peurs, en l’occurrence celle du feu, de la puissance
divine
L’importance
d’être dans la voie du juste milieu en toutes choses.
Ce qui
me rassure, c’est que malgré la récurrence de la chose, ma réaction évolue de
façon positive.
La première fois, ça m’a valu une poussée d’adrénaline qui m’a
fait courir aux toilettes ! La deuxième fois, j’ai commencé à me dire
qu’il y avait quelque chose à comprendre mais comme la peur était encore trop
présente, je n’ai pas eu le réflexe de la libérer.
La troisième fois, j’ai eu
le bon réflexe et c’est là que j’ai associé la peur de ma puissance divine à
celle du feu.
Puis des
images de vies passées me sont venues. Comme j’ai reçu la visite de personnages
que j’aie incarnés dans des vies passée, le 21 décembre 2012, je me suis dit
qu’un deux avait besoin d’être guéri de la peur du bûcher.
Cette
guérison m’a libérée de la peur d’oser affirmer ce que je suis et motivée pour
me mettre enfin à la réalisation du blog que je voulais faire depuis deux
ans !
Sachant
que nos incarnations ont pour but de nous faire comprendre ce qu’est l’amour
inconditionnel, ce que sont les énergies et la maîtrise de celles-ci pour
élever notre conscience et notre cœur, il semble logique que nous ayons été
tour à tour victime, bourreau et sauveur.
J’ai mis
trente ans à accepter l’idée de la réincarnation parce que ça impliquait cette
vérité et vu mon enfance de victime, il est clair qu’au niveau karmique,
j’avais de quoi culpabiliser éternellement.
Je pense
que toutes ces mémoires appellent à être guéries et que c’est en nous aimant
inconditionnellement, aujourd’hui, que nous pouvons le faire.
Le fait
d’être dans l’acceptation de ce qui est, de ce que nous sommes en totalité,
permet de voir les notions de bien et de mal sous un angle nouveau. Tout étant
issu de la source et la vie sur terre étant une école, cette façon de diviser
devient obsolète tout comme celle de culpabilité.
C’est
avant tout nous-mêmes que nous devons pardonner.
C’est peut-être ce qui est le
plus difficile parce que bien souvent, nous n’en sommes pas conscients.
Ce que
j’ai vécu hier, me le confirme.
Je n’aurais jamais imaginé avoir imprimé
enfant, l’idée que je pouvais m’être sentie complice des agissements de mon
père, simplement parce que j’avais accepté le billet de 10 francs qu’il m’avait
donné après avoir abusé de moi. La culpabilité que je sentais monter
régulièrement et que je n’arrivais pas à libérer totalement venait de ce moment
traumatisant !
Il a fallu
que je m’interroge sur ma difficulté à recevoir, pour le comprendre.
La façon
dont j’ai réagi quand un voisin est venu me donner du bois a été si étrange, au
point que j’ai eu des symptômes physiques soudains, que je me suis dit que ça
reflétait un conflit intérieur. C’est ce qui m’a poussé à chercher et à
trouver.
Cette
culpabilité explique aussi pourquoi j’ai tant de mal avec l’argent, tant de mal
à me valoriser et à trouver ma place dans la société.
Le fait
d’avoir parlé à l’enfant que j’étais à l’époque, m’a permis de libérer la
charge émotionnelle qui accompagnait cette fausse croyance.
Les larmes qui ont
coulé en sont l’indicateur.
Des
larmes de compassion pour l’innocence de cette petite fille.
J’ai
consolé cet enfant que j’étais en lui disant que je lui pardonnais, que sa
réaction, pouvait sembler légitime à l’époque mais qu’elle n’avait plus à se
sentir coupable.
Que cette culpabilité avait joué un rôle utile et important.
Que grâce à elle nous nous étions maintenu du côté des « faibles » et
n’avions pas été bourreau, que nous n’avions pas non plus cherché à nous venger
en reproduisant la violence sur autrui.
Que nous allions cesser de nous punir
pour ça.
Qu’en
plus ce n’est pas grave puisque maintenant, nous savons qui nous sommes et que
le pouvoir de notre présence divine ainsi que son amour et sa lumière, peuvent
nous guérir de tout.
Que la
période que nous vivons actuellement nous permet de recevoir des énergies
spécifiques d’élévation, de libération, de compréhension.
Que la possibilité de voyager sur les lignes
temporelles et de lui parler nous permettait de guérir le passé, de vivre mieux
dans le présent et de créer un futur magnifique. Que notre âme avait choisi ce
parcours afin que nous goûtions à la joie d’être affranchie, de pouvoir guérir
jusqu’à ses propres blessures et ainsi nous élever, ensemble de retour vers la
source, à la maison.
Je l’ai invitée
à continuer de s’exprimer à travers l’adulte que je suis, apportant sa
fraîcheur, son innocence, sa joie de vivre, sa créativité, sa pureté…
J’avais
revu cette scène de mon enfance lors de l’exercice de reconnexion à l’argent
mais je n’avais pas saisi la notion de culpabilité que mon inconscient avait
imprimée. Il est clair que ma vision d’adulte à propos de l’argent ne pouvait
pas être positive.
De même que ma difficulté à accepter l’aide extérieure.
J’espère
maintenant que la vie quotidienne me montrera l’efficacité de la prise de
conscience, dans les situations relatives au donner/recevoir, qui ne seront
plus empreintes de peur et de mal-être.
Quand
j’ai lu le texte de Murielle Robert, dans la presse galactique, qui parle des
énergies du 20, somme de la date du jour, j’ai été très touchée de voir que ce
que j’avais vécu correspondait à ce qu’elle disait. La reconnexion avec son
passé et les libérations à faire qui amène le divin en nous à s’exprimer plus
librement et ouvertement, qui permettent au cœur de s’ouvrir davantage... Je
résume mal mais je vous conseille la lecture de ce texte paru hier, 13 janvier.
Je ne suis pas très chiffre, nombres, calculs, mathématiques…mais je dois dire
que là, j’ai été épatée.
Bon, je
sors la chienne et me recolle à la réalisation du blog. Je suis assez contente
de moi, ça avance. Il m’a fallu six heures étalées sur trois jours et un petit
coup de pouce de Louis pour commencer à me sentir à l’aise avec le truc.
Plus ça
va et plus je me demande si c’est approprié de vouloir, de décréter, de prier.
Encore moins de « commander ». J’avoue que cette méthode me semble
trop issue de l’ego et me fait même un peu peur ! Il y a un côté
dictateur, qui fait froid dans le dos.
Puisque
c’est notre présence divine qui nous guide avec sa vision élargie.
Puisque
nos « galères » nous montrent où on se plante et que la
« solution » c’est d’être centré dans le cœur.
Puisque
nous sommes déjà réalisés au niveau de notre conscience, pourquoi vouloir
interférer avec l’intelligence qui nous habite ?
Notre
pouvoir, en tant que personnalité est limité à nos capacités humaines.
Le choix
que nous avons c’est de faire confiance ou pas à cette présence divine.
De nous
positionner dans le cœur en étant dans l’acceptation de ce qui est, de ce que
nous sommes. De suivre le courant de la vie et ainsi la laisser s’écouler en
soi, librement.
Même le
fait de chercher à comprendre toute chose est un processus du mental qui ne
fait que grossir l’ego et reflètent nos peurs, nos doutes.
Si on
veut vraiment être dans le cœur, il faut cesser de chercher à comprendre, à
tout prix, et plutôt amplifier sa confiance en l’être divin qui nous anime.
Rien que
ce mot « anime », fait ressortir l’idée que de penser et d’agir
ainsi, ça serait comme être une marionnette qui est manipulée.
C’est
l’ego qui pense ainsi. Le cœur lui, accepte.
Si le
cœur est le carrefour de ce que nous sommes, en étant situé là, en ayant
totalement confiance en la vie, il y a de grande chance pour que tout autour se
conforme à ce positionnement sans même avoir à le vouloir, le décréter, ou le
comprendre. Simplement par la loi d’attraction.
Celle-ci
ne nous est pas enseignée pour que nous l’utilisions comme une baguette magique
mais pour que nous comprenions que tout est énergie et que celle-ci obéi à des
lois universelles précises. Cette connaissance nous permet juste de savoir à
quoi nous jouons et comment se libérer de l’emprise de l’ego.
Tant que
je suis dans l’exercice, même de libération, je suis dans le mental et pas dans
le cœur. Tant que je cherche à contrôler ma vie, c’est la même chose, c’est le
mental qui se manifeste.
Le
concept de maîtrise des énergies nous amène à croire qu’il nous faille jouer
les apprentis sorciers mais je ne pense pas que ce soit le cas.
La
maîtrise, à mon avis, c’est d’arriver à rester centré, ancré. A se souvenir que nous sommes aussi divins et
que nous devons faire confiance à cet aspect de nous.
Plus je
cherche à libérer des peurs et plus je dois en libérer. C’est comme si c’était
sans fin. Bien que je sente un mieux être.
Par la
loi de l’attraction, je peux me dire que mon âme a voulu que j’apprenne à vivre
à partir du cœur et à cesser de croire que j’étais manipulée dès lors que je
lâchais prise, dès lors que je croyais être dirigée abusivement par mon aspect
divin. Si j’ai eu une vie de moine ascète où j’aie du vivre des frustrations,
des privations, va savoir si je n’ai pas accumulé de la rancœur vis-à-vis de
mon aspect divin. D’ailleurs, j’ai beaucoup de mal avec l’autorité. Le simple
fait de dire dieu le père, me coûte et sonne faux en moi. La moindre
contrariété me met mal. Je pourrais me dire que c’est normal vu le père que
j’ai eu mais il me semble que ce soit plus profond que ça.
Et si
j’étais restée bloquée sur la blessure du sentiment d’abandon, de rejet, lors
de la naissance cosmique ? Et si ma perception de la source avait été
faussée et que l’idée de séparation avait créé un sentiment d’infériorité ?
Le fait
que je sois née femme, abusée par mon père, du côté des « victimes »
est peut-être tout simplement l’effet de la loi d’attraction parce que ma
vision de moi-même et de la source est totalement faussée, depuis l’origine,
avant même de venir m’incarner. Sinon pourquoi aurai-je dû venir sur terre
jusqu’à maintenant ?
Maintenant
que j’ai goûté à l’amour divin, que je connais cette loi universelle, il serait
peut-être temps de faire confiance à mon aspect divin, avant toute chose, de me
faire confiance.
Tout ce
que j’ai vécu, compris était peut-être simplement pour que je puisse arriver à
m’abandonner à cet être supérieur. Je recommence ! « Être
supérieur » !
Toujours
ce besoin de comparer, de se situer.
Si je
suis éternelle et divine, l’espace et le temps n’ont aucune valeur. Seul compte
ma capacité à ouvrir mon cœur à la vie.
Puisque
ma personnalité humaine et mon moi divin sont UN, une entité
multidimensionnelle, pourquoi séparer, comparer ?
Le
« défi », c’est de nourrir la foi en l’humain divin malgré l’aspect
humain assujetti au temps, à l’espace, la naissance et la mort. « Assujetti » !
Encore une fois, je me considère comme un sujet au niveau de la
personnalité !
D’un
autre côté tant que je serais dans ce corps limité, est-ce que je pourrais
changer ma perception en permanence ?
C’est ce
que semble proposer l’ascension, changer de dimension, de perception. On en
revient toujours à la même chose : le cœur.
La
solution :
Être ce
que je suis, accepter tout ce que je suis, sans chercher à comprendre, à
changer quoi que ce soit puisque par la loi d’attraction, c’est mon
positionnement dans le cœur qui modifiera ce qui doit l’être.
Le plus
difficile est d’avoir une totale confiance en l’être divin pour s’abandonner
totalement.
Qu’est-ce
que je risque ?
D’autant
que j’ai déjà vécu ce lâcher prise et connu les bénédictions qui en découlent.
Quand j’ai cru en Jésus Christ, que je l’ai senti au niveau du cœur d’une façon
qui fait que je ne pourrais jamais renier ma foi en lui, en ce principe divin
universel, c’est parce que j’ai lâché prise, que j’ai eu totalement confiance,
que j’ai pu arrêter la défonce du jour au lendemain, sans être malade, sans
souffrir de manque. Ce qui m’a convaincu, c’est l’amour que j’ai ressenti, l’énergie
chaude, une sensation proche de l’extase.
Oui mais
là encore, il a fallu que je comprenne pour accepter.
Alors
être dans le cœur oui mais sans pour autant lâcher son ego. Agir et penser à
partir du cœur serait plus approprié. Encore cette idée qu’il faille éliminer
une partie de soi-même, celle qu’on domine mal…
Je Suis
UN
Il
semble que la mort rôde aux alentours. Un camion de pompiers, puis un
hélicoptère…Le voisin du deuxième a dû faire un malaise.
Effectivement,
je suis tombée nez à nez avec deux hommes qui tiraient un chariot avec un corps
dessus entouré de plastique !
Je
m’étonne de ne pas ressentir de peur, un vague sentiment de tristesse, sans
plus. Je ne le connaissais pas plus que ça et pourtant ça me laisse une drôle
d’impression.
Peut-être
la peur instinctive de la mort. L’idée qu’il faille s’en aller un jour ou
l’autre. Ce qui me conforte c’est qu’il était assez mal en point, au bout du
rouleau et que là où il est maintenant, il ne souffre plus. Ce face à face avec
la mort me pousse à me dire : « Tu es en vie alors sois
vivante ! Profite de la vie, de tes sens, du mouvement ! Honore
cette vie, ici, maintenant, sans penser à demain !»…
Un tour
au jardin, quelques bûches fendues, ça fait du bien de prendre l’air, de
se reconnecter à la terre! J’ai arraché quelques poireaux, petits mais parfumés
et du plan de salade que je n’ai pas encore repiqué mais qui est suffisamment
grand pour être consommé. J’ai envie de vert, de me nourrir du vivant.
J’hallucine,
je viens de tomber sur un texte de Mickaël Brown, sur la presse, qui parle
justement de ce à quoi je cogitais, ce matin ! J’ai bien aimé ces textes
précédents, ça me parle ! Par contre, 12 pages !...
J’ai
commencé mais j’y vais pas à pas, parce que d’être tout le temps dans la tête,
ça épuise. Je suis ici pour vivre, bouger, manger, utiliser mes sens et pas
seulement ma tête et mes yeux pour lire et mes mains pour écrire ! Je vais
finir par n’être plus qu’une tête avec deux mains ! Heureusement que la
chienne me pousse à sortir régulièrement!
Je viens
de libérer les fausses croyances concernant ma présence divine. Mon regard
faussé, l’idée d’être inférieure à cet aspect divin en moi que j’ai du ma à
voir comme mon égal. Auquel j’ai tant de mal à m’identifier malgré ma foi.
Comme si
je restais dans l’attente de reconnaissance de mes parents divins.
Je me
sens comme une enfant perdue, abandonnée. Je laisse les larmes couler…Peut-être
l’enfant intérieur qui appelle la consolation de ma présence divine. J’accepte
cet aspect de moi qui est fragile, incertain en manque d’amour et de
reconnaissance, je l’entoure de mon amour et de ma lumière divine.
J’ai
reçu un mail d’une lectrice de la presse galactique qui m’a bouleversé. Je ne
sais pas si c’est la détresse exprimée qui a réveillée ma propre souffrance. Je
suppose que oui. Mais dans ces larmes, il y a aussi l’espoir. Une vision de la
puissance de l’amour. Le simple fait d’échanger des mails avec des personnes
qui sont sur la même longueur d’ondes me réconforte et me fait oublier la
frustration de ne jamais avoir été comprise par mon entourage. Même si j’ai
choisi de vivre seule et que je n’en souffre pas puisque la relation intime
avec mon âme, me comble, le fait de créer des liens au niveau de l’âme, ouvre
encore plus mon cœur.
La
réalisation d’un monde d’amour, de fraternité, de paix et d’égalité se fera par
l’humain dont le cœur est ouvert.
Ce
projet formidable se construit pas à pas, cœur à cœur, dès lors que deux âmes
échangent l’amour divin en eux, qu’ils soient conscient ou pas d’être humain
divin.
C’est
larmes sont l’expression de ma gratitude envers la vie, envers la source. La
reconnaissance du privilège que j’aie de pouvoir être ici et maintenant, et de
pourvoir œuvrer à la réalisation d’un rêve magnifique, celui de l’humain qui
aime son prochain ! Un monde où l’amour règne enfin ! Où comme le dit
la conscience d’Orion, à travers Michèle Erena, il est question de JE-NOUS.(voir article publié dans la presse galactque.org dans la rubrique "chroniqueurs", Michèle Erena)
De
laisser notre ego se mettre à genoux devant l’être divin pour qu’enfin notre
cœur puisse être le moteur de tout.
Rassures-toi
mon ego, il n’est pas question que tu te rabaisses mais simplement que tu te
places au niveau du cœur, accueillant l’humilité comme une force et faisant de
ce geste comme un sacrement.
L’adoubement
du chevalier au service de l’amour, de l’astre roi, du christ intérieur, que tu
peux choisir d’être. Faisant de l’étincelle divine un soleil.
Photo d'un cœur de belle de jour, au jardin, été 2012
Photo d'un cœur de belle de jour, au jardin, été 2012