mercredi 23 janvier 2013

Samedi 12 janvier, Vague de libération



J’ai encore passé plus de deux heures sur l’ordi à me familiariser avec blogger. 
Purée ! Je ne pensais pas que ça serait si compliqué ! Manque de patience…

Je cogite à l’acceptation de ce qui est, au fait que j’en fasse mon credo actuellement.
Je peux constater comment ça me libère d’une énorme pression, de beaucoup de sentiments négatifs destructeurs, de la tendance à se dévaloriser par la culpabilité et la folie de vouloir se fixer des objectifs en misant sur la force de volonté...

C’est un mécanisme de l’ego qui doit venir de la croyance qu’il faille en chier pour arriver à quelque chose, qu’il faille montrer du courage pour gagner son bonheur.
Or nous avons tout en nous pour être heureux. 
Tout dépend du regard que nous posons sur nous-mêmes, les autres et la vie.

Puisque je sais être un individu multidimensionnel, il me suffit de faire confiance à l’intelligence en moi et à mon cœur. 
D’activer l’amour inconditionnel, de voir tout à travers ce point de vue d’acceptation totale. 
L’exemple de la dépendance aux cachets, drame de ma vie, que j’ai décidé d’accepter, est frappant. Depuis que je vois ce problème avec acceptation, mon comportement change. J’espace les prises, j’oublie même d’en prendre. 
Comme je divise les cachets en quatre pour ne pas sentir l’effet psychotrope, il m’arrive d’oublier un bout. Le fait de ne plus focaliser là-dessus diminue voire ôte la culpabilité et la peur du manque n’est plus si présente. 
En parallèle, j’augmente la confiance en soi, l’estime de soi et suis beaucoup plus créative.  

La culpabilité est un poison violent qui peut tuer. 
La libération de ce sentiment permet d’accomplir des miracles. 
J’avais oublié la guérison spontanée de deux hépatites au moment de mon baptême. C’est le simple fait de croire que le baptême me laverait de tout puisque ce je n’étais pas coupable de mes erreurs passées étant donné que je ne connaissais pas la vérité, qui a amené la guérison miraculeuse.
Le fait de savoir que nous sommes enfants de la source et à l’époque, que Jésus Christ a le pouvoir de nous laver de nos pêchés a suffit.

Aujourd’hui que je suis convaincue que le principe christique habite chaque être humain, je peux interpréter ce « miracle » de façon plus juste.

C’est le fait que ma personnalité humaine ait accepté d’être guérie par le christ intérieur qui a activé la régénération cellulaire, la vie éternelle. 
La libération de ma culpabilité, le lâcher-prise, l’utilisation de mon libre arbitre, la confiance en l’être divin intérieur a permis cette guérison. 
Puisque la maladie résulte d’un blocage énergétique dont l’origine est le fait de nourrir des fausses croyances, la libération de celles-ci permet à l’énergie de circuler à nouveau et donc de guérir.
Ce qui m’amène à l’importance d’amplifier ma foi en l’être divin en moi qui peut tout. Reconnaître le divin en moi et faire circuler l’énergie d’amour entre tout ce que je suis, en aimant tout ce que je suis, active le pouvoir d’auto-guérison. 

Il n’y a rien d’autre à faire que de s’aimer en totalité. De faire circuler cette énergie, d’avoir foi en sa capacité de guérir. Quand le divin en nous s’active, la lumière qu’il rayonne permet d’y voir plus clair, de comprendre les blocages intérieurs. 
Pour ma part, comme pour pratiquement tous les êtres humains, le plus gros handicap, c’est la peur d’aimer et d’être aimé. 
En commençant par s’aimer soi même, on active l’amour divin en soi. En aimant sa vie, on peut voir qu’elle nous apprend qui nous sommes au niveau humain, inconscient et divin. Quand la foi en ce principe est suffisamment forte, les libérations des fausses croyances nous guérissent tout en changeant notre façon de voir et d’aimer. 
Plus on prend confiance en soi et plus on s’aime. 
Plus on s’aime et plus on aime l’autre.   
Les relations changent totalement. La vie me le montre chaque jour.

Quel nouveau miracle vais-je vivre, aujourd’hui ?
En gardant cet objectif essentiel de s’aimer inconditionnellement, et d’aimer sa vie de la même manière, tout s’éclaire, tout se mets au diapason de l’amour. C’est magique ! C’est le choix essentiel qui débloque tout et amène la paix, la joie, libère l’enfant intérieur, la créativité…
Il est déjà 11h20, il faut que j’aille en courses !

Je mesure une fois de plus l’impact positif de la guérison de l’enfant intérieur. 
Elle  libère de son passé, d'une enfance traumatisante.
Je viens de passer près de deux heures au téléphone avec mon père. 
Pour une fois, quand j’ai raccroché, je me suis sentie épanouie, centrée et renforcée dans mon présent.
Avant, je ressentais un malaise, comme si j’avais replongé en arrière et ré-endossé mon costume de victime. Pourtant, j’étais moi-même pendant ces conversations, j’osai exprimer ma foi et parlais à mon père comme à un ami. 
Peut-être que mon désir de le sortir de son mal-être, de croire que je devais convaincre ma famille de la vérité de l’humain divin tout comme de celle de l’auto-guérison, faussait la relation. 
Nous ne sommes les sauveurs de personne d’autre que nous-mêmes.
Je me rendais malade à vouloir l’aider à sortir de sa tendance à picoler, ça me collait une pression inutile et me faisait sortir de mon centre, de ma véritable mission, celle de guérir mon propre enfant intérieur. 

Comme dis Jeshua, c’est en portant l’énergie de la guérison, de la solution, que nous pouvons aider les autres.Voir Les pièges sur la voie du guérisseur (cliquer sur le titre pour atteindre le site jeshua.net/fr) ou dans ce blog, le message du même titre, publié le 27 janvier 2013.

Cette fois-ci, je lui ai parlé simplement de la délivrance qu’amène l’acceptation de ce qui est. Je n’ai pas cherché à le convaincre pour autant mais me suis appuyée sur ma propre expérience faisant le parallèle entre problème de dépendance aux médicaments et problème de dépendance à l’alcool dont l’origine est commune. 

Le manque d’amour et de confiance en soi, la difficulté à oser être soi-même, la culpabilité, l’auto-critique, le corps de souffrance hyperactif, le saboteur intérieur qui va tout faire pour empêcher d’accueillir le bonheur, la difficulté à vivre le moment présent, le besoin de faire taire le mental qui entretient la souffrance passée et active la peur en anticipant…

A son tour, il m’a parlé honnêtement de lui, de ses peurs, de ses doutes, de sa façon de concevoir l’amour, de sa difficulté à accepter ses faiblesses, ses erreurs, son aspect féminin très marqué malgré son image très masculine due à ses origines espagnoles, de ses souffrances d’enfant abusé en famille d’accueil pendant la guerre, sa recherche existentielle, tantôt vers la spiritualité puis l’anarchisme après mai 68…
Bref, il s’est confié sans vouloir se faire plaindre. Nous avons échangé nos points de vue comme deux amis, sincèrement.
Je l’ai encouragé à s’accepter tel qu’il est, à oser être lui-même. A aimer cette sensibilité de cœur qui est la porte d’accès à l’âme. Son caractère enfantin qui contient sa part de rêve, d’idéal, de spontanéité, de joie de vivre…
Lui disant que c’est une chance d’avoir su garder cet aspect de lui-même.

On a même reparlé  de l’idée de créer ensemble quelque chose en combinant nos talents, nos passions. Lui celle du dessin et moi, celle de l’écriture…
Du coup, j’ai pris un bout de cachet en moins, sans avoir à lutter, presque naturellement.

Lâcher prise de ses objectifs permet de s’ouvrir à recevoir. Même si on peut diriger son intention pour créer ce que l’on veut, tant que la focalisation est issue d’une peur, d’un manque d’amour de soi, ça ne marche pas.
Si je veux arrêter les médicaments parce que je juge que je manque de courage sachant que je suis un humain divin qui a le pouvoir de s’auto-guérir, je ne fais que me dévaloriser et la culpabilité qui en découle est un poison. 
De plus, le conflit intérieur qui naît du fait d’être partagée entre la volonté d’être libre et la peur de l’être, amène la division et le chaos.
C’est l’harmonie intérieure qui crée la guérison. Celle-ci permettant la libre circulation de l’énergie, tout conflit interne la bloque, casse le flux.
Si je m’aime en totalité, j’ouvre en grand la porte à mes aspects positifs et en me focalisant dessus, je les amplifie, je les nourri. Ce qui a pour effet de grandir mon amour et ma confiance en soi.
Encore plus motivée à suivre le conseil d'Adamu d’accepter ce qui est, je persévère dans ce sens et c’est le seul effort que je consente à faire. (voir le message donné par Adamu, diffusé sur la presse galactique, en cliquant sur le lien ci-dessous, en rouge)

ADAMU - L'ACCEPTATION

Je me confie en la grâce du divin en moi.

Petit tour sur :La presse galactique

En prêtant attention à ce que vous ressentez, et puis en choisissant des pensées qui permettent de vous sentir beaucoup mieux, vous gérez votre propre vibration, ce qui signifie que vous contrôlez votre propre point d'attraction — et que vous créez votre propre réalité. C'est une chose tellement merveilleuse de réaliser que vous pouvez créer votre propre réalité sans vous mêler des affaires des autres, et que moins vous faites attention à la réalité des autres, plus votre vibration sera pure — et plus vous serez satisfaits de ce qui vient à vous.

Abraham, publié dans la presse galactique


Si votre intention dominante est de ressentir de la joie pendant que vous faites le travail, la triade de vos intentions — liberté, croissance et joie — se mettra rapidement et facilement en alignement. Considérez que votre « carrière » consiste à créer une expérience de vie joyeuse. Vous n'êtes pas un créateur de choses, un régurgitateur de ce que quelqu'un d'autre a créé ou un collectionneur d’objets. Vous êtes un créateur, et le sujet de votre création est votre joyeuse expérience de vie. C'est votre mission. C'est votre quête. C'est la raison pour laquelle vous êtes ici.
Abraham, extrait de l’ouvrage L'Argent et la Loi de l'Attraction - Comment attirer richesse, santé et bonheur publié dans La presse galactique
Vous pouvez trouver des extraits d'Abraham, dans la presse galactique, en cherchant par catégories "pensées"

Photo d'une vague, trouvée sur Internet