dimanche 29 octobre 2017

« Faire grandir la flamme d'Amour en vous » les guides de l’unité via Daniel Desjardins






Très chers amis humains,
Il y a toujours dans votre cœur, un embryon de cet Amour que nous avons pour vous. 
Cet embryon, comme une petite flamme vacillante ne peut s'éteindre. 
Il est toujours là et n'attend que votre ouverture et votre choix pour grandir, prendre de l'expansion et occuper tout votre être.

Ce dont nous vous parlons aujourd'hui c'est de cette flamme, de ce lien qui vous relie à la Source, à votre Source et que vous ne pouvez détruire et qui ne peut absolument pas être anéanti par qui que ce soit. 
Nous vous invitons donc à avoir du courage et confiance, car il y a toujours en vous cette flamme. Elle ne peut être éteinte. 
Et en sachant cela, prenez conscience que tous ces êtres que vous pouvez observer et qui semblent totalement dénués de cet Amour, portent eux aussi c'est Amour en eux, mais ils le cachent, ils le retiennent. Ils peuvent essayer de l'ignorer autant qu'ils peuvent, mais ce choix de l'ignorer est ce qui cause leur souffrance et cette souffrance est ce qui les fait agir de façon violente, dénigrante, négative. 

Nous vous invitons donc à observer ces gens qui sont violents, négatifs, sournois, non pas avec haine, non pas avec violence vous-même, mais avec compassion et Amour, car c'est dans cet Amour que vous pouvez puiser à même votre cœur, cet Amour pur, inconditionnel qui émane de votre Source, que vous pouvez alors assister ces êtres qui souffrent à s'ouvrir eux-mêmes à leur Source et ainsi devenir des êtres porteurs d'Amour, des êtres porteurs de Joie, tout comme vous avez le choix de l'être. 

jeudi 26 octobre 2017

« Prendre le temps d’observer sans juger et laisser venir les images, les idées, le désir »





On peut dire que ça brasse encore pas mal au niveau énergétique ! C’est dans des moments de ce genre que je me dis qu’être en paix avec soi-même et devenir de plus en plus conscient de ce qui se passe en soi, est la meilleure façon de ne pas subir l’influence des mouvements tant cosmiques qu’humains.

Les pensées étant de l’énergie et comme la majorité des gens est connectée à des écrans, au courant des infos instantanément, chaque fois qu’un scandale éclate, ça crée des vagues de colère, d’indignation, de jugement, de critiques…

Je ne regarde pas les infos télévisuelles puisque j'ai donné cet appareil hypnotique mais quand je tombe sur un post sur facebook qui dénonce ou qui révèle une des nombreuses manipulations, cela me ramène à l’intérieur juste pour sentir comment ça réagit. 
Cela me permet à la fois de constater que le mental n’est plus trop en mode  jugement et donc qu’il est apaisé et en même temps, de prendre l’habitude d’être plus présente, plus consciente et de choisir de lâcher prise.

Nous sommes très sollicités par les ordinateurs, les écrans de toute sorte, ce qui nous maintient dans l’ancien mode de pensée, dans le mental, dans une sorte de bulle psychique où nous sommes en interaction avec le monde extérieur. Nous sommes rarement conscient de notre corps physique, de ce qui s’y passe et nous traduisons le monde selon nos croyances, notre mental mais surtout selon notre inconscient. C’est lui qui gère nos réactions, nos systèmes de croyances, nos émotions et par conséquent notre comportement. Notre attention est focalisée sur l’extérieur et c’est comme si nous étions sans arrêt en dehors de notre corps, de notre centre.

mardi 24 octobre 2017

"Il est important de se détendre pour garder la santé" Lise Bourbeau





Depuis la facilité d’accès à la téléphonie mobile et à l’Internet, le nombre de personnes sans cesse connectées à cette technologie s’accroit chaque année. Ces nouvelles habitudes de vie sont excitantes d’un côté, mais très stressantes de l’autre, car nous n’arrivons pas, pour la plupart, à nous déconnecter. Il est donc devenu plus difficile de se détendre réellement.

Et vous ? Combien de temps par semaine prenez-vous pour vous détendre vraiment ? Faites-vous partie de ceux qui croient que se détendre est synonyme de se coucher, dormir ou être assis à ne rien faire ? 
Savoir se détendre, c’est plutôt faire une activité qui vous plait, qui n’est pas obligatoire, qui vous libère la tête de tous vos soucis, qui vous amuse et surtout qui vous énergise. 
Si vous choisissez une activité sportive, ce doit être seulement pour le plaisir et non compétitif. Je peux vous assurer qu’après un moment de détente, les heures qui suivent sont beaucoup plus productives. 

Si vous avez des enfants à la maison, il est impératif que vous preniez du temps pour vous au moins une demi-journée par semaine et fassiez ce qui vous détend. 
Certains prennent une heure par ci, une heure par là, mais cela ne détend pas autant que quatre heures de suite. 
Et surtout, il s'agit de temps seul, je veux dire sans enfant et sans conjoint. 
Il est tout aussi important pour un couple de prendre chaque année des vacances à deux.

vendredi 20 octobre 2017

« Ce qui se passe dans le monde nous renvoie à l’intérieur »





19 10 Finalement avec le recul, je peux voir à quel point j’ai changé, comment j’ai ouvert ma conscience et mon cœur en abandonnant les croyances et en arrêtant de juger et d’étiqueter les choses. Je réagis beaucoup moins aux infos et ça c'est le signe du détachement, de la guérison de l'enfant intérieur.
L’interprétation des faits change naturellement lorsqu’on observe sans juger ou au moins quand on en a le désir parce que cela demande une toute autre relation à soi et au monde.

La loi de permission dont j’ai parlé ces derniers jours tout simplement parce que c’est ce que mon âme tente de me faire comprendre et intégrer ou vivre, est une notion essentielle à la création consciente et délibérée. 
Non seulement elle demande une certaine attitude mais c’est en l’appliquant d’abord en soi-même, comme toute loi "spirituelle", qu’on la reconnait et qu’on peut l’intégrer par l’expérience. 
Tout ce qui est relatif à l’esprit, ou spirituel comme la paix, l’amour, se vit d’abord en soi, dans la relation aux différents aspects internes. C’est cela qui nous permet de reconnaitre la vibration et en même temps le fait que nous soyons constitués de plusieurs corps, dimensions, que chacun d’eux est autonome, intelligent et qu’ils s’expriment tous dans leur propre langage relatif à leur mode de perception.

Être permissif, appliquer cela en soi, c’est se donner le droit d’être ce qu’on est dans l’instant. Écouter les différents aspects de l’être et même ceux de la personnalité, nous met en contact avec les humains qui portent les mêmes revendications, les mêmes besoins, les mêmes traits de caractère.

jeudi 19 octobre 2017

« Intégrer la loi de la permission : Incarner l’amour sans conditions » & vidéo





17 10 Je continue de relire et d’améliorer dans la forme afin que ce soit plus lisible, ce que j’ai écrit en 2012 et publié en 2013, à la création de ce blog. 
Je peux voir combien le fait de pacifier la relation à soi libère de nombreuses croyances erronées et rend plus fort, confiant, présent. 
L’envie de manifester l’amour inconditionnel doit s’installer d’abord en soi, se vivre en conscience. Et cela change notre relation aux autres tout naturellement, sans qu’on ait même le besoin ou l’idée de les changer. 

C’est la manifestation de l’amour véritable qui n’impose rien aux autres mais qui vient du choix individuel de se positionner au centre. Ma façon de provoquer de l’époque répondait à mon propre désir d’autonomie et au dégoût pour les manipulations en tout genre. 
Là encore, c’est en apprenant à devenir responsable de moi-même, consciente de mes besoins et prête à les assumer en conscience que le respect de soi s’installe. 
Dans ce choix d’accueillir plutôt que de rejeter ce que je percevais comme négatif, que la paix demeure et que l’unité, l’amour vrai, s’installent en profondeur. 
Ce qui se passe dans le monde ne m’affecte plus autant parce qu’en accueillant mes propres « ombres » ou en éclairant de ce regard neutre, compatissant, les aspects internes en souffrance, qui sont dans le doute ou la confusion, j’intègre pas à pas la permissivité qui est autant un des attributs de l’amour inconditionnel qu’un des aspects de la loi de création délibérée.

lundi 16 octobre 2017

« Dissocier responsabilité et culpabilité » & vidéo Idriss Aberkane « L’échec est un diplôme »





11 10 "Le nettoyage intérieur" amène naturellement et spontanément à nettoyer l’extérieur et comme j’agis selon cet élan, cette vibration légère, de joie, de désir, mes journées sont remplies d’activités diverses et variées qui ont en commun cette vibration ou ces fréquences. Ce nettoyage autant intérieur qu’extérieur est le reflet de ce désir croissant de dépouillement. Faire de la place, lâcher les croyances, les conditionnements, les rôles, les masques et les superstitions, est un chantier permanent. 

Un chantier où on redécouvre aussi des choses qu’on avait oubliées, mises de côté, qu’on percevait comme inutiles mais qui finalement reviennent au moment opportun. On accumule tant de choses qu’on finit par ne plus savoir ce qu’on a. Dans la peur du manque, on entasse, on garde des trucs inutiles juste au cas où. 
On peut mesurer notre degré d’attachement selon la facilité avec laquelle on peut jeter des objets obsolètes, mais aussi lâcher des croyances limitantes, restrictives. 

Je relisais des textes publiés en 2013 puisque je mets à jour les photos et ce recul met en évidence les nombreuses libérations ou le détachement face à certaines croyances. 
Déjà, le ton n’est plus aussi provocateur et ça c’est la conséquence d’une meilleure estime de soi, de la paix intérieure bien ancrée. 
Quand on s’identifie au rôle de la victime, on a tendance à accuser, à juger les autres très facilement, on veut défendre des causes justes, sauver le monde, dénoncer les manipulations des puissants et éveiller les masses. On se croit en mission, appelé à exprimer nos vérités afin que les autres deviennent plus matures et responsables, que le monde vive en paix.  
Tous ces stratagèmes visent à rehausser l’estime de soi et surtout à ignorer ses propres souffrances, carences et faiblesses.

dimanche 8 octobre 2017

« Pourquoi et comment Accueillir une émotion ? »





Les religions ont conditionné l’humain en nourrissant la peur, en figurant un dieu à la fois tout amour mais aussi punitif et en même temps sauveur. En faisant des émotions telles que la colère, le désir, de vulgaires pêchés, elles ont enfermé l’humain dans des concepts, des croyances et l’ont privé de se connaitre véritablement, de sentir la présence de la source intérieure. Maintenu les individus dans les rôles de victime, de bourreau et de sauveur à travers leur définition d’un dieu à l’image de l’homme, et de sa relation avec les humains eux-mêmes définis  selon leur genre, leur naissance, leur rang, leur couleur...
Définitions élaborées sur l’idée de pêché originel dont la femme a été l’instigatrice, la coupable et donc celle qui méritait d’être rabaissée au rôle de subalterne. 

Le déni, le rejet, la division intérieure ont résulté de cette vision des choses mais en même temps, ce contexte a permis de développer l’intellect, la compréhension des valeurs humaines, d’aller au bout de l’expérience de la séparation et de chercher à l’intérieur les réponses aux questions existentielles. 
Il fallait prendre conscience du caractère abusif, castrateur, paternaliste, des dogmes religieux pour choisir de s’en libérer et de prendre sa vie en main. 
Comprendre comment les rôles attribués à chacun selon son rang, sa nature, son genre créaient les divisions, les injustices, les guerres, les conflits, pour rechercher la liberté et l’égalité. 
Sentir le chaos en soi et constater l’obsolescence des croyances, leur caractère superstitieux pour désirer ardemment trouver la vérité ailleurs que dans les églises, pour se tourner à l'intérieur, dans la confidence avec la source. Puis vivre des révolutions partout sur la planète, qui n’ont rien résolu, pour comprendre que la solution consiste à faire la paix en soi, à vivre à l'intérieur ce qu'on espère vivre dans le monde.