21
08 Comme l’envie décrire perdure, je continue ma réflexion depuis le message de Kreyon sur ce nouveau post.
L’amour est notre essence primordiale et c’est
aussi pour cela qu’instinctivement on est porté à aider, à secourir, à vouloir
sauver même.
Le monde enfin ceux qui le dirige (et l’inconscient/conscience collective) essaient de nous faire croire
que l’humain est mauvais, qu’il faut se méfier de sa propre nature sauvage et
de son voisin mais chacun peut reconnaitre, lorsqu’il retrouve son cœur
d’enfant, que la nature véritable de l’humain, c’est l’amour et la lumière.
Secourir,
aider, soutenir et contribuer, sont des besoins essentiels pour l’humain.
Le
souci si on peut dire c’est qu’on agit souvent par besoin d’amour parce qu’on
pense en manquer mais le fait même que nous soyons naturellement empathique est
‘la preuve’ que nous sommes l’amour, qu’il est en nous.
On
n’aurait pas ce désir, ce besoin d’aimer, de communier, de partager, si nous n’avions pas
conscience de l’amour.
C’est difficile à expliquer mais le seul fait que nous
soyons en quête d’amour est l’expression même de la connaissance de l’amour et
donc de sa perception intuitive. Cette connaissance et la reconnaissance de la
valeur de l’amour sont la manifestation de l’être.
La
conscience de la valeur de l’amour, de sa puissance, c’est aussi la
reconnaissance de l’âme, de l’esprit en soi.
Ce qui nous empêche de le
constater, ce sont les définitions que nous avons de l’amour qui sont très
limitées et faussées. Filtrées par notre vécu, nos expériences difficiles parce
que ce sont celles dont on se souvient le plus lorsqu’on ignore qui nous sommes
en essence, faussées par les raisonnements de l’humain qui se croit isolé du
reste du monde, nous avons fait de l’amour un concept et par le fait de l’avoir enfermé dans des cases nous passons à
côté ou nous ne le reconnaissons pas en nous-même.