vendredi 19 août 2016

« Les réponses et solutions de l’âme, de la source, sont toujours simples ».





19 08 
Ces dernières 24 heures ont été très mouvementées et bien que j’aie écrit spontanément comme chaque jour, j’ai préféré être attentive à ce qui se passait à l’intérieur et vivre le processus de libération jusqu'au bout avant de le partager. 
Des pensées émotions refoulées, difficiles, injustes, celles de l'ancien moi, avaient besoin d’être libérées, pleinement vécues et d’être offertes à l’amour lumière de la source intérieure/extérieure. 
Je laisse le texte tel que je l’ai écris mais je tiens tout de même à dire que dès hier soir, la tendresse dans le dialogue interne avec le corps physique, la sensation d’amour, de joie et de paix profonde, de proximité, d’intimité avec la source, ont remplacé le chaos et le doute vécu dans la journée. Avec plus de recul, je partagerais au bas de cet article,  les conclusions que j’ai tirées de cette expérience.

18 08 
Il y a longtemps que je n’avais pas été aussi secouée et remplie de doute ! Un sommeil perturbé, un rêve bizarre qui semble me mettre en scène dans le rôle de sauveur. Une position dont je souffre de constater à quel point elle m’enferme, me limite puis des symptômes physiques qui nourrissent la peur. Une dégringolade lente de mon taux vibratoire qui ne m’a même pas permis de trouver quelque soulagement dans des larmes. La colère, la révolte, l’incompréhension, tout y est passé. 
La seule chose qui me confortait c’est qu’au moins ça ne reste pas à l’intérieur. 
J’ai eu bien du mal à retrouver un semblant de joie et de légèreté mais je me suis endormie assez rapidement. 
Ce matin, j’ai enfin pu pleurer et c’est bon signe parce que ça montre que le mental lâche prise, qu'il cesse de lutter et de vouloir contrôler.


Dans ces cas là, la seule chose que je puisse faire, c’est de demander de l’aide à la source pour retrouver la foi. 
Et quand je dis la foi, je parle juste de la sensation de paix et d’assurance intérieure parce qu’il ne s’agit pas de s’embarquer à nouveau dans des hypothèses, des théories, des projections mentales, qui ne font que compliquer les choses et qui maintiennent le mental dans un  état de stress.

Il s’agit de retrouver la sensation de paix et le silence ou du moins de ne plus écouter les pensées, et surtout de ne plus les croire. De ne plus s’identifier à ces questions interminables qui ne font que nourrir le stress, la peur et qui tentent de s’accrocher à des réponses, des solutions alors que le mental n’a pas ce pouvoir. 

Il s’agit de revenir au cœur, à la neutralité en laissant tout ce qui trouble s’exprimer. Mais la plupart du temps, lorsqu’on sait que nous sommes responsables de notre état d’être, on va essayer de rejeter la faute sur les autres, les égrégores sombres, quand ça ne va pas à l’intérieur.

Nous sommes responsables de l’endroit où nous portons notre attention puisque cela entraine des conséquences plus ou moins heureuses mais ça s’arrête là.
Il ne s’agit pas de vouloir mener sa vie en dominateur mais de confier à la source intérieure tout ce qui nous interroge, nous attriste, nous révolte, nous maintient dans la position de victime, nous empêche d’être dans la confiance afin de maintenir la foi en la bienveillance de la vie. De rester connecté et aligné à la source, à la paix, l’unité et la joie. 

A ce stade, on peut parler d’insouciance parce que vouloir comprendre intellectuellement ce qui se trame dans l’invisible ne peut qu’amener le doute en restant englué dans le jeu des questions et réponses. 
La foi est au-delà du raisonnement, de la raison humaine qui n’a pas suffisamment de données pour avoir un point de vue élargit. 

La seule solution c’est de faire confiance à la source, à la vibration qu’on a appris à reconnaitre, à ressentir. C’est une confiance aveugle qui fait peur au mental et c’est ce qui amène à chercher des réponses au dehors. 

En fait dès que la paix est troublée en soi, c’est juste parce qu’on essaie de comprendre quelque chose qui est hors de portée de l’intellect. 
Quand on se rend compte qu’on ressasse, qu’on retourne dans le passé, qu’on s’inquiète pour l’avenir, c’est simplement parce que le mental a peur. 
Et cette peur est légitime de son point de vue, tout comme la révolte qu’elle entraine. 
Le seul problème c’est lorsqu’on s’identifie à ces raisonnements. 

Je suis allée piocher quelques clefs sur sur le site de Monique Mathieu en me disant peu importe si c’est « vrai » ou « faux », si je me fais des films, ce qui compte, c’est l’effet que ça me fait intérieurement, le fit que ça résonne. Comme je suis convaincue que le hasard n'existe pas, que ce sont des synchronicités, ce piochage constitue comme une sorte de dialogue avec des aspects plus éclairés de l’Être, plus proches de la source, enfin qui ont une perspective plus large de ce qui est. 
Puis quand je vois le monde, les croyances qui sont admises par le collectif, les valeurs qu’il met en avant, autant suivre mon instinct, mon cœur, mon intuition.
Quitte à se faire des films, autant choisir la vibration, la fréquence sur laquelle je surf, la vision que ça entraine, sans chercher à interpréter ce que je vois.
En me rappelant que c’est un film, que tout ça est éphémère et que le seul endroit où je me sente bien, c’est dans le cœur, la connexion à la source. 




Clef 959
« Donnez confiance ! Donnez l’espoir aux hommes ! Actuellement, l’humanité n’a plus confiance et espoir, elle a l’impression qu’elle tourne en rond et qu’elle ne trouve pas de porte de sortie. L’espoir c’est la vie ! Donnez de l’espoir à ceux qui vous entourent ! Comme vous le dites sur Terre : remontez-leur le moral en permanence ! Essayez de faire monter leur taux vibratoire ! Vous savez que la parole a une grande puissance, une puissance qui peut calmer les êtres, qui peut générer de la joie en eux ».

En lisant ça, je me suis dit, il faudrait déjà que je retrouve cet espoir ! 
Et c’est la seule chose qui compte aujourd’hui. 
Espoir en quoi, je n’en sais rien mais au moins maintenir mon intention sur la joie, mon attention sur le cœur en restant connecté à l’âme, à l’esprit, dans un dialogue continu, dans la confidence. 

Clef 470
« Nous vous demandons avec insistance de mieux gérer toutes les pensées qui émanent de vous.
Ayez bien conscience de la puissance de vos pensées. 
Elles peuvent vous construire, elles peuvent vous élever considérablement, elles peuvent également vous anéantir ».

Oui, on peut dire que j’ai pu tester la force de focalisation des pensées et ça au moins c’est une certitude. 
Si je projette ma conscience sur l’extérieur, sur le monde, si je crois les pensées sombres, je suis mal. 
Si je porte mon attention sur la nature, sur les fleurs, sur ce qui suscite de la joie, je me sens bien. 
Ce qui ne veut pas dire de nier les pensées sombres mais juste de les laisser de côté, de les offrir à la source.
Je sais, je rabâche mais ce positionnement est essentiel et finalement c’est la seule chose que nous puissions faire quand tout semble se dissoudre.
Bon, je vais marcher dans la nature…

La ballade a été courte parce que la douleur au talon me gêne mais au moins le fait d’aller au jardin prendre des photos de fleurs a élevé mon taux vibratoire. Puis dans ces périodes de trouble, agir selon le désir de l’instant est un grand secours parce que ça tempère la sensation d’impuissance.

Clef 1084
« Travailler l'Amour veut dire avoir conscience de l'Amour pour vous-mêmes. Il vous est souvent plus facile d'offrir l'Amour aux autres que de vous l'offrir à vous-mêmes, et surtout de prendre conscience que vous êtes Amour ! 
Il n'y a pas besoin de faire une gymnastique intellectuelle ! Prenez simplement conscience que vous êtes Amour puisque l'Amour est une vibration nécessaire à ce monde qui change à une vitesse considérable. » 

On ne peut pas dire que cette clef soit rassurante pour le mental parce que la définition de l’amour est encore emprunte de croyances erronées. Déjà, savoir que c’est l’essence de l’être et qu’elle est accessible en son cœur, ça calme. Mais ça n’est pas évident de retrouver la conscience d’être amour quand on nourrit de la colère vis-à-vis de son corps physique, de l’âme même ! Parce que dans ces cas là, c’est le pire qui saute aux yeux, la folie du monde, la folie même de cette incarnation, d’être dans un corps éphémère traversé par la vie éternelle. Il y a de quoi devenir dingue face à tous les paradoxes de l’humain divin. 

Mais justement en laissant tout ce brouillard se dissiper, la paix et la confiance reviennent. L’amour n’est pas une émotion, enfin l’émotion en est une interprétation, une énergie qui au départ est neutre et se teinte d’intention, prend de l’intensité par son enfermement et aussi par les interactions. Lorsqu’elle est enfermée, contrainte, apparaissent les douleurs et lorsqu’elle s’écoule librement la vie est simple et facile.

J’arrive à un stade de saturation face à ce que je suis, au monde, à ces aberrations et le fait que l’intention soit sapée par toutes sortes d’énergies, de conditionnements, de croyances inconscientes. Je vous épargne toutes les grossièretés qui ont émergé malgré qu'en fait elles soient le signe de la sincérité des propos dans l'instant. J’ai vidé mon sac, laissé la peur et l’incompréhension s’exprimer librement.
Je suis fatiguée de cette dualité, de ces énergies qui viennent contredire la volonté du cœur. 




"Présence divine, mon âme, je ne sais plus qui au juste, porte moi sur des sphères de joie, d’insouciance, de liberté d’être, réuni tous les corps dans la paix et l’intelligence, que les plus éclairés et amoureux embrassent ceux qui sont dans la peur et la soumission, que ce changement tant proclamé advienne définitivement, que l’amour soit le guide, le bien-être intérieur la norme, le silence et la paix du cœur le refuge, la vibration qui s’étend et embrasse tout mon être. Que la paix, l’unité et l’harmonie intérieures règnent définitivement".
"Que l’espoir renaisse, que la joie de vivre se manifeste et guide mes pas ! Que la foi me porte dans la facilité, la simplicité, l’insouciance de l’enfant, que l’enfant intérieur puisse enfin s’épanouir, connaitre la joie, exprimer sa créativité, toucher le ciel et rêver dans la vibration d’amour et de lumière".
"Que la conscience de ce que je suis en essence soit une évidence incontestable et incontestée par le mental, l’inconscient, par tous ces programmes internes invalidants, injustes et limitants. Je ne demande pas quelque chose d’inabordable, juste la paix du cœur, la guidance dans l’amour et la lumière. Oui l’ego pourrait se la péter mais prend les rênes et harmonise tout ce que je suis. Pour qu’émerge enfin l’être vrai, libéré de toutes ces chaines même si elles sont illusoires, la réalité pour la personne devient insupportable alors fais quelque chose pour la rassurer, pour lui donner le goût de vivre, d’être, d’agir. 
Éclaire ma vision, ouvre mon cœur et fais en sorte que l’amour soit perceptible comme lorsque j’ai eu foi au christ. 
Il suffit de peu pour que tout soit restauré, équilibré, pacifié et harmonisé alors accueille en ton amour lumière toute pensée d’indignité, d’illégitimité, de rejet, de colère, ce sentiment d’injustice, d’être manipulée, je n’en peux plus ! Ouvre à nouveau mon cœur comme tu l’as fait en 96. 
J’en ai marre de cette dualité, de porter autant d’amour que de haine, de douceur que de violence alors harmonise tout. 
Oui c’est arrogant d’employer ce ton mais la pression extérieure et intérieure est insoutenable ! 
J’en ai marre de devoir prendre des cachets pour booster la joie de vivre, de n’avoir aucune prise sur ces dépendances, de ne plus rien comprendre".

Je me suis tournée vers le christ puisque c’est cette vibration, ce nom et le message qu’il a véhiculé qui m’ont donné l’espoir, l’envie de vivre cette vie malgré les paradoxes et contradictions.
On ne peut pas dire que j’ai une vision plus claire des choses bien que l’idée que tout ceci est encore une libération du passé apparaisse de façon spontanée, au moment où la paix revient. 
Déjà, l’énergie est plus douce et la confiance revient. 
Confiance en l’amour lumière que je suis, point. 

Le mental ne cherche plus, ne cogite plus et les quelques larmes versées m‘ont aussi soulagée. Avec un peu de recul je constate que c’est encore le même processus qui se déroule. 
Une situation me pousse à bout permettant d’extraire les pensées émotions énergies refoulées. Toutes ces énergies qui me maintiennent dans la position de victime de la vie. Ce n’est pas évident de s’abandonner à la source intérieure parce que tout le conditionnement humain est l’opposé de cela. 
Pourtant mon cœur sait que c’est le meilleur choix. 
C’est en aveugle que j’avance me reposant uniquement sur cette sensation de soulagement dans la confidence au cœur, le centrage ou la focalisation de la conscience sur ce centre apaisant.

J’ai commencé à vouloir lire des messages encourageants mais c’est encore une façon de s’accrocher à la personnalité, au mental et j’ai vraiment la sensation qu’il m’est demandé de faire un saut dans le vide...





Finalement l’acceptation de ce qui est, l’abandon de la lutte comme toujours ramène à la paix et ça me suffit parce que de là, la vision change, les questions cessent et je peux passer à l’action ou non. Je dois aller déposer un chèque à la poste depuis quelques jours mais je préfère attendre d’être plus motivée.

Quand des énergies ont besoin d’être libérées, ça n’est pas la peine d’essayer de se plonger dans l’action ou de faire diversion mentalement en se focalisant sur la joie. 

La seule chose à savoir, à se remémorer, c’est qu’une pensée émotion douloureuse exprimée à la source en ayant confiance dans le fait d’être entendu, aimé, et d'être, ou d'exister au-delà des pensées émotions, se libère. 

C’est difficile à comprendre et à admettre mentalement mais la sensation de soulagement qui s’ensuit est rassurante.
Ce qui est troublant c’est de vivre à la fois l’émotion douloureuse et en même temps de savoir que ça n’est qu’une expression superficielle de soi. 
Lorsque les pensées émotions ou la douleur physique s’expriment on les vit pleinement, on peut les sentir et s’identifier à cela tellement ça semble réel mais quand on prend un peu de recul juste en revenant au silence du cœur ou en se tournant vers la source, l’apaisement qui vient ramène la conscience sur la réalité de l’amour lumière que nous sommes essentiellement. 
Dès lors, on ne s’identifie plus aux pensées, on constate qu’elles ne font que passer et on comprend qu’elles ne peuvent pas nous définir.

Avec plus de recul, je vois que la souffrance vient du fait que le mental tente de comprendre ce qui se passe alors qu’il suffirait de lâcher tous raisonnements quand ces moments de libération émotionnelles se manifestent.

Déjà, apparaissent des pensées telles que « tu n’es pas ce corps », et surtout « arrêtes de regarder tes pieds, ils te portent et te donnent le message de nourrir la joie mais plus tu vas focaliser dessus plus tu va nourrir la peur ». 
L’envie d’agir revient, j’ai fait une compote de prune en deux deux. Là encore, l’élan spontané reste la meilleure des motivations. 
Je pense aussi que l’état s’améliore grâce à l’effet des cachets mais en fait, le réel changement d’état d’être s’est manifesté lorsque j’ai eu fini de vider mon sac




Il est clair que les cachets agissent sur l’humeur mais j’ai déjà constaté que c’est surtout la vibration intérieure, profonde, celle sur laquelle je me trouve, qui modifie mon état d’être.  Puis lorsque je suis allée voir le médecin pour qu'il me prescrive ces médicaments, c'est un acte délibéré de résilience qui a été inspiré par l'âme. En ce sens, il ne sert à rien de m'en vouloir et de nourrir des pensées négatives à ce sujet d'autant plus que ça n'est que par l'acceptation de ce qui est, le lâcher prise, qu'un comportement peut changer.

J’ai bien l’impression que cette dépendance vise à me faire sentir les différents états d’être selon les pensées conscientes et inconscientes. A constater la puissance de la vibration qui est constituée tout autant de pensées conscientes et inconscientes, d’émotions exprimées et refoulées, d’énergie contrariée. 
Et comme toujours, le désir d’harmonie doit s’accompagner de la manifestation/libération des pensées émotions refoulées. Puis bien évidemment, le fait d'accepter cette situation de dépendance, de ne plus lutter contre ça, c'est une occasion d'intégrer l'amour sans conditions de soi jusque dans les profondeurs de l'inconscient. 
Le mental comprend peu à peu cette notion spirituelle et c'est aussi une façon de l'amener à constater l'efficacité du lâcher prise, de l'abandon de la critique, du jugement.

Tout ce remue ménage a commencé à se manifester depuis quelques jours mais le mental a tenté de refouler les émotions, de raisonner et de solutionner cela à sa façon. 
Il a fallu que les choses empirent pour que les émotions puissent sortir. 
Je me demande si c’est possible de faire autrement ? 

Il semble que pour pouvoir libérer les émotions, et les pensées qui vont avec, le mental doive arriver à saturation, se sentir perdu, dépassé pour enfin lâcher prise. Je pourrais essayer de me tourner vers l’âme lorsque je sens que le mental s’affole parce qu’il réagit à l’émotion qui veut se libérer en cogitant excessivement. 
Quand je ressasse, c’est qu’une pensée émotion demande à être vue et ressentie pleinement. J’ai encore envie de pleurer mais ça ne veut pas sortir.

"Calme toi mon mental laisse faire et souviens toi de faire confiance au cœur. 
Détend toi, tu n’as pas à prendre en charge les émotions, les peurs, ou les pensées qui s’opposent à l’amour, la paix et la joie. 
Tu peux juste les exprimer librement, les offrir à l’amour lumière intérieurs. 
Les critiques et jugement à propos de la dépendance, les peurs quand à l’avenir, les souvenirs de souffrance du passé, le fait que tu focalises sur ce qui est sombre, tout ça est à lâcher. 
Tu vois bien que lorsqu’on le fait, tout se stabilise alors fais confiance même si tu ne peux pas définir en qui/quoi placer cette confiance. Autorise toi à prendre des vacances, à laisser la source gérer les choses. Tu vois bien que tu es dépassé alors laisse toi être, porter, vider de ce stress, de ces devoirs et obligations qui ne sont qu’illusions". 





19 09
J’ai terminé la journée en regardant des vidéos de sketchs de Florence Foresti dans l’émission quotidienne « on a tout essayé ». C’est débile mais comme l’ambiance est légère, ça m’a aidée à maintenir naturellement la joie intérieure. Puis en écoutant des émissions entières, je me suis rappelée mon état d’esprit de l’époque alors que je découvrais les livres de Joéliah: " Les Rayons Sacrés ", les messages de Jeshua via Pamela Kribbe, ceux du collectif Ashtar via Simon Leclerc ou encore les messages reçus par Monique Mathieu et c’est aussi à cette période que j’ai été opérée des artères. Je fumais autour de 30 pétards par jour pour fuir ma réalité du moment. 
Mais c'est surtout ce que je vivais intérieurement, psychologiquement et énergétiquement qui avait détruit la santé.
Je vivais aussi une histoire d’amour très douloureuse où j’étais la victime manipulée par les croyances et souffrances de l’enfance. Je n'étais pas consciente du pouvoir des croyances et de l'inconscient, de l'inconscience. 

La lecture du texte sur l'intelligence intuitive du cœur m'a aussi aidée à revenir à la conscience du corps physique, à sa capacité de régénération, au pouvoir du cœur. 
Là aussi le fait de me tourner vers quelque chose de concret a favorisé l'équilibre interne et la confiance en mon corps physique parce que lorsque la douleur est là, on a vite fait de croire que c'est un ennemi! 
D'ailleurs, une image est venue qui m'a beaucoup touchée et aidée à revenir à la conscience de ce que je suis en vérité. C'est celle d'un chien qui grogne sur une douleur à la patte. J'avais été surprise de voir que l'animal considère une maladie comme quelque chose d'étranger contre lequel il faut se défendre. Dans un sens, au niveau énergétique, il a raison mais cette réaction m'a ramenée à l'idée que seul l'amour, l'acceptation amène une réelle guérison. Puis à la conscience que ce qui nous différencie des animaux, c'est que nous avons la capacité de parole, d'intention et de communication avec la source, la conscience d'être essentiellement amour lumière. Enfin selon un point de vue humain...

Finalement, avec le recul, je peux faire la différence et mesurer combien j’ai changé, comment je suis plus consciente et responsable de mes mondes intérieurs ! 
Il semble que les douleurs aux talons soient atténuées et que le sang circule mieux. 
En fin de soirée, j’ai entendu « bois de l’eau », comme une réponse à ma question : « comment je peux t’aider mon corps physique à aller mieux ? »

Une fois que tout ce qui devait sortir a été exprimé et quand les cachets ne faisaient plus effet, le calme étant revenue ainsi que la sensibilité ou la capacité à mieux ressentir les énergies subtiles, le fait d’avoir parlé tant à la source qu’au mental et au corps physique, cet attention portée vers l’intérieur a restaurer la confiance, l’amour et la tendresse envers mes corps. 
J’ai tout de même dû être ferme avec le mental, lui dire de se taire lorsqu’il recommençait à cogiter, à se poser des questions inutiles, des questions qui nourrissent le rôle de victime, la culpabilité et la déresponsabilisation. 

Là aussi se demander par exemple si on subit les effets du karma, c’est un schéma mental qui est faussé parce qu’il s’agit plutôt de la loi de cause à effet qui se vit dans le présent. Selon la foi, les pensées qu’on nourrit, on se sent plus ou moins bien. 
Dans l’invisible, on est connecté aux égrégores correspondants qui viennent en rajouter et la meilleure façon de se préserver des énergies sombres, c’est d’offrir celles qui nous traversent, à l’amour lumière.

Les réponses et solutions de l’âme, de la source, sont toujours simples. 
Comme l’idée de boire de l’eau ! J’en buvais moins depuis quelques temps et ça correspond au moment où j’ai recommencé à faire de la rétention d’eau. 
Ce matin, plus de douleur, plus de sensation d’avoir les jambes lourdes, les pieds ou les mains ne sont pas boudinés et je sens vraiment que le fait de boire de l'eau et la libération émotionnelle ont ramené une meilleure circulation des liquides, des flux énergétiques.




Hier soir, j’ai pleuré de joie en parlant à mon corps physique et la présence de la source était si intense et douce à la fois que ma fréquence vibratoire est restée alignée à la joie jusqu’à maintenant. Une joie simple comme j’aime, une joie qui vient plus de cette proximité et de la tendresse envers tout ce que je suis que de la sensation de victoire. 
Bien que je sente que la guérison jusque dans le corps physique soit de plus en plus proche et que je m'en réjouisse. 
Rien à voir avec l'orgueil puisqu'il est clair que l'ego n'y est pour pas grand chose. 
Enfin disons que la conscience de ce que je suis au-delà de la forme commence à être vraiment reconnue par la personnalité humaine et c'est important parce que la résistance laisse place à l'abandon à la source en confiance. 

Puis dans cette proximité avec la source, l'idée de devoir partir, de passer le voile, le fait d'accepter que ça n'est pas la personnalité humaine qui décide du dernier jour de ce voyage terrestre, est relativisée, acceptée, non pas comme une défaite, une erreur de parcours ou encore une défaillance due à l'incapacité de vibrer sur la bonne fréquence, ou même comme une injustice mais plutôt comme une occasion de passer à autre chose. 
Ceci dit, j'apprécie de plus en plus ma vie et l'envie de continuer d'apprendre et de manifester l'amour lumière, de vibrer la paix et l'harmonie, la joie, la liberté d'être, me porte un peu plus chaque jour et me va tout à fait présentement.

Clefs de sagesse trouvées sur le site de Monique Mathieu : http://ducielalaterre.org
 
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr