Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
dimanche 25 août 2013
"L’Ouverture" journée sacrée 21, par Murielle Robert
Journée sacrée 21 du 25-8-2013
C’est tout un honneur que celui de vous présenter le chiffre 21 en ce beau dimanche car son Essence Sacrée se manifeste dans toutes les parties de notre être et vibre à l’unisson avec les 4 plans :
physique-émotionnel-mental-spirituel.
Quelle puissante vibration que celle de ce chiffre sacré 21.
C’est l’apothéose, le Monde en tarot de Marseille et je dirais les Mondes qui nous habitent intérieurement d’abord pour s’exprimer par la suite à l’extérieur dans une beauté parfaite. C’est ce qu’on pourrait appeler : L’Épanouissement et L’Accomplissement.
Pas de sauveurs, juste des amoureux!
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source inconnue |
Ce matin,
je ressens les effets de l’écoute de la conférence de Lise Bourbeau à propos du
sucre, qui me permet de voir que je ne suis pas
tout à fait prête à être totalement responsable de mon corps physique. Enfin de
ma santé. J’ai tellement tendance à facilement culpabiliser que savoir la
vérité sur certaines choses comporte ce risque. La tentation de l’innocence est
grande ! Ou plutôt de l’ignorance, de l’inconscience. En même temps, comme
j’ai toujours vécu dans cette forme de déni de mon corps physique souhaitant m’effacer,
devenir invisible, je me donne le temps de m’incarner en douceur pour que ce
soit l’amour qui me dirige et me motive. Je considère que c’est le seul élan qui
ait le pouvoir de faire changer les choses. Ni la peur, ni la contrainte, ni le
devoir, ni l’obligation n’ont d’effet positif sur moi ni sur la majorité des
gens, de toute façon.
Cependant,
même si je ne suis pas allée au bout de la conférence, les infos reçues font
déjà leur effet. Je note l’étourdissement dû à la première cigarette, chose
dont je ne prêtais aucune attention jusqu’alors. Je vais essayer de réaliser
des vidéos pour mettre cette conférence ici parce que les révélations qu’elle
contient me semblent très importantes. Ce n’est pas nouveau de savoir que le
sucre comble un manque affectif mais qu’il soit une drogue au même titre que l’alcool
et l’opium change totalement la donne ! Qu’il ait la faculté de créé des
maladies telles que la skizophrénie, et d’autres maladies mentales et que les
scientifiques soient manipulés par les multinationales, aussi dans ce domaine,
est une nouveauté effrayante qu’il est bon de faire circuler.
samedi 24 août 2013
La peur d’aimer
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Eder Muniz |
Les
thèmes que j’ai eu à revisiter, ces derniers temps, m’amenaient toujours plus
loin dans l’affirmation de soi. Les situations me montraient la nécessité
d’oser dire les choses. C’est la peur d’être rejeté, incompris qui empêche de
le faire. On en revient toujours au même principe de base ; seul l’amour
de soi, l’acceptation de tout ce qui nous traverse où demeure enfoui en soi
depuis des siècles, libère de toutes peurs.
Tant
qu’on croit que dire ce que l’on pense, c’est être égoïste, on ne fait que
nourrir les peurs, les rôles de victime, de bourreau ou de sauveur. Une
personne qui se croit victime aura tendance à agresser pour prévenir une
éventuelle attaque. Elle se sentira obligée de se situer en défenseur face à
l’injustice. Ou encore à se laisser écraser. Tant qu’on n’est pas suffisamment
dans l’amour inconditionnel de soi, on est coincé dans ces schémas. On ne fait
que passer d’un rôle à l’autre selon notre degré d’amour de soi. Je peux le
dire pour l’avoir vécu mais j’avoue que la suite...Que se passe-t-il quand on
sort de ce triangle ? Là, il est indispensable d’avoir une grande foi en
la bienveillance de la vie, au divin en soi et aux lois universelles. En fin de
compte, la notion de bien et de mal n’est pas appropriée, il s’agit plutôt de
deux voies ; celle du cœur ou celle de la peur. Le cœur ne mentalise pas
et pour cette raison, on ne peut prévoir ce que c’est que de vivre à partir du
cœur, on ne peut que s’abandonner en confiance. L’expérience humaine amène à
voir, ces deux chemins et à choisir celui qu’on veut emprunter. Soit réagir
comme avant dans la sécurité relative du « connu », soit plonger dans
l’inconnu en tenant sa peur par la main. Tant qu’on n’a pas regardé une peur en
face et qu’on ne sait pas que celle-ci est naturelle et inoffensive, on tourne
en rond dans son agoraphobie. C’est tout à fait normal d’avoir peur de
l’inconnu puisqu’on ne sait pas ce qu’il nous réserve. Lâcher la peur de la
peur est une première étape nécessaire pour oser avancer. Mais, nous avons ce
courage en nous.
Savoir poser des limites...en douceur
Kapakan |
Ma façon
de concevoir l’humain divin et d’en parler est totalement enfantine, simple. Si
une part de nous, celle qui est reliée à
la source nous a créé dans le but de faire l’expérience de l’amour dans
la chair, tout ce qui à trait à celle-ci est donc sacré. Dans cette optique, il
n’y à rien que nous fassions qui soit bon, mauvais ou encore inutile. Si cette
part créatrice de notre être est divine, elle est donc omnisciente, omnipotente
et omniprésente. Il n’y a donc pas à la chercher ailleurs qu’en soi ni à douter
de la pertinence des choix d’incarnation, de notre famille, le contexte dans
lequel nous sommes nés. Pour retrouver notre vraie nature, qui nous sommes
réellement, nous n’avons qu’à libérer tout ce qui ne nous appartient pas.
L’éducation, les croyances des autres, celle que nous avons cru être nôtres
mais qui en fait nous permettaient juste de nous sentir acceptés ou du moins
non rejetés. Dès lors que l’on porte un regard amoureux sur soi, peu à peu on
se libère du regard de l’autre et il devient plus aisé de se faire confiance.
Le secret, c’est d’accepter tout ce que nous sommes et tout ce qui est puisque
ce qui est, nous montre seulement ce que nous sommes en dedans. Je parle de
secret parce qu’il y a un immense pouvoir dans l’acceptation. Ce lâcher prise
du mental nous permet d’accéder à l’intelligence du cœur celle qui nous ouvre à
notre âme, notre aspect divin. Nous sommes parfaits en tous points puisque
l’aspect divin l’est par nature, par essence et puisque l’humain que nous
sommes, rempli totalement son « contrat » dès qu’il cesse de rejeter
une part de lui-même si infime soit-elle.
Pas
grand-chose de nouveau pour la théorie mais c’est dans la mise en pratique que
ça se corse. Au début de mon parcours, je n’ai fait que ressentir la véracité
de ces propos puis à mesure que j’ai expérimenté, j’ai constaté l’efficacité de
l’application de l’amour inconditionnel de soi.
La façon
dont nous nous traitons créé notre quotidien et influence directement le
comportement des autres à notre égard.
Bon, je
vais aller repiquer les plans de salade envoyés en colissimo par ma mère !
Merci mum de m’avoir transmis la passion du jardin, de la terre et ainsi de me
donner l’opportunité de trouver mon essence véritable ainsi que mes origines
ancestrales. Merci pour qui tu es, pour ta sagesse terrienne, ta simplicité,
ton authenticité, même ta froideur apparente qui m’a permis de me tourner vers
l’intérieur et de chercher l’autonomie affective. Tout est parfait !
jeudi 22 août 2013
C'était juste rock'n'roll!
Depuis
ce matin ou plutôt depuis hier après midi, je suis colère ! Colère face au
jeu de la victime qui se rejoue intérieurement, face aux frustrations vécues
par mon corps physique, face au constat que des peurs subsistent. L’impatience,
le ras le bol de devoir regarder en profondeur et libérer ce que j’ai l’impression
d’avoir déjà offert cinquante mil fois à la source. Je tombe encore dans le
piège de l’identification à tout ce merdier intérieur. Bien que ce soit
énormément rafraîchit, il reste des résidus de peur et je me dis que le
meilleur truc à faire et d’accepter que la peur sera toujours présente et voir
son côté positif : "l’annonce de quelque chose de nouveau", ça tombe bien,
je ne demande que ça !
Bon, Lydiouze, plutôt que de râler, remercie tes
corps pour tous les progrès accomplis.
Tu vois ce qui se passe et réussi à
prendre le recul nécessaire pour avoir une vision plus claire de la situation. Voir
comment ça fonctionne en dedans c’est ne plus en être l’acteur qui subit mais
le spectateur. La prochaine étape sera d’en rire, tu t’en approches lentement mais
sûrement. Pour ce qui est du rôle de la victime, il semble que sa disparition
soit impossible. En fait, c’est un des nombreux personnages que l’ego peut
jouer et là encore, une potentialité plus ou moins active à laquelle il s’agit
de ne pas s’identifier afin de ne plus la nourrir. Il faut que j’arrive à comprendre que chercher à transformer l'ego n'est pas le propos mais qu’il suffit de ne pas m’identifier à tous les rôles qu’il
est capable de jouer.
mercredi 21 août 2013
"L'envie de plaire et de s’adapter", message du Collectif Ashtar reçu par Simon Leclerc
Salutations
à vous, chers enfants de la Terre.
Il nous fait plaisir de nous présenter ici et maintenant et de venir vous rencontre chères Âmes. Nous vous connaissons et savons qui vous êtes. Nous comprenons les défis que vous traversez au quotidien, car l’Être d’amour que vous êtes est en continuelle évolution. En même temps, un aspect de vous réclame de votre part qu’il y ait une compréhension et un regard amoureux posé sur les blessures et les blocages que vous rencontrez dans la matière. Être son propre grand frère ou grande sœur dans l’incarnation est au cœur du processus évolutif sur Terre.
Beaucoup d’Êtres humains ont de la difficulté à reconnaître qui ils sont, à se reconnaître en tant qu’Être d’amour faisant partie d’un Univers uni. Ils ont l’impression que pour se reconnaître, ils doivent d’abord être reconnus par les autres. Cela est naturel en soit, puisque socialement, la reconnaissance de soi débute par un accueil inconditionnel de tout Être dès sa petite enfance de la part de ses parents. Il apprend alors qu’il sera aimé, peu importe ses choix et les qualités qu’il exprimera dans sa vie.
Il nous fait plaisir de nous présenter ici et maintenant et de venir vous rencontre chères Âmes. Nous vous connaissons et savons qui vous êtes. Nous comprenons les défis que vous traversez au quotidien, car l’Être d’amour que vous êtes est en continuelle évolution. En même temps, un aspect de vous réclame de votre part qu’il y ait une compréhension et un regard amoureux posé sur les blessures et les blocages que vous rencontrez dans la matière. Être son propre grand frère ou grande sœur dans l’incarnation est au cœur du processus évolutif sur Terre.
Beaucoup d’Êtres humains ont de la difficulté à reconnaître qui ils sont, à se reconnaître en tant qu’Être d’amour faisant partie d’un Univers uni. Ils ont l’impression que pour se reconnaître, ils doivent d’abord être reconnus par les autres. Cela est naturel en soit, puisque socialement, la reconnaissance de soi débute par un accueil inconditionnel de tout Être dès sa petite enfance de la part de ses parents. Il apprend alors qu’il sera aimé, peu importe ses choix et les qualités qu’il exprimera dans sa vie.
Pas d'idée de titre
J’ai
remis un peu d’ordre dans mon emploi du temps en me couchant relativement tôt
hier soir, ce qui m’a permis de me lever à 5h30. Il faut dire que le voisin qui
rentre toutes les nuits vers 4h me perturbe un peu puisque ça me réveille. Il
ne se gêne pas pour claquer les portes en pleine nuit, maintenant qu’il travaille ! Il a
repris un restau en ville, alors il se la pète et se croit tout permis.
Remarque ça n’est pas nouveau. Même si mon comportement est puéril, je me lève
et j’en fais autant. Enfin, je ne me gêne pas pour freiner mes gestes. Je dis
ça mais il n’entend sûrement rien puisque je suis assez discrète malgré tout.
Je prends ça comme l’occasion de me lâcher, d’apprendre à oser, sans pour autant
écraser l’autre. J’ai vraiment du mal à concevoir qu’on ait besoin d’être
bruyant pour se sentir exister. Une blessure de rejet doit le titiller. Bon,
j’ai encore passé quelques temps à lui accorder de l’attention ! Il est
clair qu’il me renvoie quelque chose qui est en moi mais j’y vois plus le fait
d’oser être. Du moins oser être, sans culpabiliser, sans se dire que je suis
exubérante puisque ça n’est pas le cas. On peut dire que je suis assez
« spéciale », que je ne passe pas inaperçue mais je ne suis pas dans
l’excès. Enfin, de mon point de vue parce que pour les gens de la génération de
ma mère, par exemple, je suis quelqu’un d’extravagante ! Tout ça n’est que
la trace de la peur d’oser être soi-même et certainement le besoin de se
distinguer de la masse. Ce n’est pas un défaut en soi si ça ne pousse pas à
écraser ou nier les autres, leur droit d’être eux-mêmes. Comme le dit Lise
Bourbeau, nous portons tous des blessures en notre âme.
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