mardi 16 juillet 2013

Soirée rafraîchissante




En relisant le message d’Abraham pour la troisième fois, je me suis dit qu’il aurait dû parler des croyances bien plus tôt, dans son texte. Tant de choses ont été dites sur la loi d’attraction qu’il est facile de s’embrouiller. Il est clair que c’est un principe, une loi mathématique mais pour créer en conscience, ça demande un nettoyage complet de son inconscient. Une libération des émotions négatives, liées au vécu, attachées à des fausses croyances. Tant qu’il subsistera des pensées lourdes, de non amour de soi, d'auto-critique, ou en contradiction avec ce que nous désirons, nous nous saboterons de l’intérieur. Et on retombera dans le schéma de la victime à se demander pourquoi nous, on n’y arrive pas. Le plus difficile dans ce processus, c’est quand on a été victime dans l’enfance et qu’on n’arrive pas à accepter l’idée qu’on ait pu se créer des circonstances aussi terribles. Pourtant, au fil du temps, en pardonnant, on se libère de son agresseur, on peut sentir la délivrance que ça procure puisqu’on refait circuler l’amour à l’intérieur de soi. Même tous ceux qui n’ont pas trouvé mieux que de noyer leur chagrin dans l’alcool ou les drogues, ne sont pas à blâmer. Tant qu’on regarde les choses à travers la dualité, on vit selon le désir d’être vengé, d’obtenir réparation soit de son agresseur par la justice, soit de la société. On entretien la dualité intérieur du schéma victime/bourreau/sauveur. Si quelqu’un nous aime, on retrouve une certaine estime de soi mais celle-ci dégringole si notre « amoureux » a le malheur de nous quitter. On devient dépendant de l’amour extérieur qui va définir notre degré d’estime personnelle. C’est un cercle vicieux dont on sort rarement indemne. Si par contre, on croit être créateur de sa vie, même si la pilule est dure à avaler, on a le moyen de changer les choses. Ce que nous avons créé, nous pouvons le défaire, le changer. 

« Votre influence dans l’univers vibratoire » Abraham (partie 3)




Voici la troisième et dernière partie du message d’Abraham traduit par Caroline Leroux et Simon Leclerc. J’avoue que j’ai un peu bloqué sur la voiture rouge mais ce sont mes vieilles croyances bien/mal qui ont été activées...Et qui ont besoin d’être libérées ! Pourquoi pas une voiture rouge, après tout ! Chacun est libre d’expérimenter ce qu’il veut !
Accepter ce qui est, ne veut pas dire subir. En sachant que nous créons ce que nous vivons, nous pouvons libérer la croyance qui a amené une création désagréable et la libérer. En général, c’est un jugement envers soi, un manque d’amour inconditionnel qui en est la cause.
Image trouvée sur "the sacred of geometry"

... « Alors que vous entrez en résonance avec les choses qui vous entourent au lieu d'établir votre propre tonalité, ou d'émettre votre propre signal, vous ne vous sentez pas en contrôle de votre propre point d'attraction. Cela parce que vous émettez un signal involontairement car vous n'avez pas encore tout à fait appris, ou vous n'êtes pas encore arrivé à croire, que vous pouvez établir votre propre tonalité et que l'Univers y répondra quelle qu'elle soit.

"Message du peuple des chats"reçu par Caroline Leroux



Voici un message, vu sur le site de Joéliah, qui est en parfaite résonance avec ce que j'ai constaté. Bien que ça puisse paraître dingue de se dire qu'un chat est un maître, qu'il enseigne et soigne, non seulement, je ne suis pas la seule à le penser mais certaines personnes qui communiquent par télépathie avec eux, peuvent en témoigner. Il existe aussi, en psychologie une "branche", l'éthologie qui étudie l'homme à travers le comportement animal. Ils ont beaucoup à nous apprendre en matière de lâcher prise, de capacité d'être, de vivre dans l'instant...Je viens de faire une séance de relaxation avec mon "chat" préféré, dans le plus grand des calmes malgré les martellements du voisin qui semble faire des travaux!


"Bonjour! Nous sommes le peuple des Chats ! Nous sommes le miroir de la divinité dans vos vies… Nous sommes les chats, les ponts entre les énergies célestes et terrestres, à l’aise dans nos corps et capables de voyager dans les autres dimensions sans difficultés! Jadis, nous étions craints car sans le savoir consciemment les humains captaient cette facilité, ce pouvoir inhérent aux félins.
Les humains ont peur de l’inconnu, de ce qui n’est pas tangible; ils sont effrayés par leurs propres capacités psychiques! Nous sommes des êtres psychiques, des maîtres en feng shui et en énergies de toutes sortes! Nous sommes le reflet de votre divinité et cela vous rend parfois mal à l’aise. Les humains n’aiment pas penser qu’ils sont divins, qu’ils sont pure énergie d’Amour et de créativité incarnée dans des corps car, si c’était vrai, se disent-ils souvent, cela les obligerait à prendre responsabilité au lieu de la rejeter sur un «Dieu extérieur»! Le problème se situe au niveau de la prise de responsabilité.
Les humains pensent que responsabilité = blâme…

« Pas à pas, lentement mais sûrement ! »





Encore un matin avec l’impression d’être laissée à moi-même. Mais, cette fois-ci j’y vois l’occasion de grandir, de prendre ma vie en main par mes choix, d’affirmer ce que je suis de façon autonome sans m’appuyer sur la guidance de mon âme qui ne s’est pas proposée d’agir à ma place. Disons que c’est une invitation à contacter mes émotions. 

J’ai déterminé ce qui bloquait mais malgré mon désir de laisser ces énergies bloquées se manifester, je me suis trouvée face à une crispation du plexus solaire. J’ai donc adressé ma reconnaissance à mon ego, et l’ai invité à lâcher la résistance. Je l’ai remercié de jouer les gardes fou mais en même temps, je lui ai suggéré de tenter l’expérience, de laisser l’émotion sortir. 
Ce qui m’agace le plus chez le voisin, encore lui, oui puisqu'il est celui qui reflète mon inconscient, c’est la façon dont sa mère le couve qui ne fait que renforcer la souffrance de mon enfant intérieur qui a été privé de cet amour maternel. 
D’un autre côté, la part adulte de qui je suis voit bien le danger dans un tel comportement. Non seulement, un enfant gâté devient imbu de lui-même mais le mépris qu’il a pour les autres est dangereux puisqu’il va jusqu’à tuer pour exister. 

Il est évident qu’un enfant a besoin de sentir l’amour et l’approbation de ses parents mais il arrive un moment où le cordon ombilical doit être coupé. Tant au niveau des parents humains que de la source. Quand je parle de couper le cordon, ça veut dire de cesser de prier la source, de croire qu’elle sait mieux que soi ce qui est à vivre. 
De cesser de s'en remettre à une puissance extérieure pour trouver sa propre puissance. Puisque le propos est d’exprimer sa véritable nature et que la seule certitude qui en vaille la peine c’est de savoir qu’il n’y pas de séparation, qu’il n’y en a jamais eu, la confiance en soi est à développer. 
Confiance en tous nos corps qui sont des outils formidables de connaissance de soi, confiance en nos émotions qui nous indiquent ce qui est à libérer. Et cerise sur le gâteau, nous ouvrent à l'énergie de la source! 

lundi 15 juillet 2013

Consoler l’enfant intérieur




J’ai enfin pu identifier avec certitude la raison de la colère qui est remontée ces derniers temps. L’enfant intérieur a manifesté ce sentiment avant les coups de fils à ma mère et j’ai laissé sortir cette énergie, ce qui m’a fait du bien. Mais ça n’a pas empêché que la conversation tourne encore au conflit. La tendance à me goinfrer de sucre ses derniers temps aurait pu me mettre la puce à l’oreille ! Je ne me suis jamais vraiment autorisée à exprimer de la colère vis-à-vis de ma mère, de son comportement froid et même si l’adulte que je suis comprend que je crée ma vie, l’enfant reste meurtri et peut se manifester jusqu’à ma mort si je ne le prends pas en charge dans les moments où il a besoin d’être consolé. Je l’appelle l’enfant intérieur mais c’est tout aussi bien la part de moi qui se croit séparée de la source et même mon âme, au début de son voyage, a ressenti cette déchirure qu’elle tente de guérir en s’incarnant dans des conditions qui lui en donneront l’occasion. L’autonomie affective nécessite de prendre en charge ses peines, cette colère qui peut se traduire par un sentiment d’abandon de la source et même en être la cause. Même le christ sur la croix a eu ce sentiment d’être laissé à lui-même. C'est-à-dire que malgré sa conscience d’être un avec la source, il a pu aussi douter et se sentir abandonné. Les blessures vécues à ce moment  étaient telles que le flou est venu en lui. Les douleurs physiques, le rejet, l’abandon, la perte, la souffrance de voir ceux qui l’aimaient souffrir aussi, de devoir les quitter...Des blessures non guéries peuvent être ravivées et nous plonger dans le doute, la tristesse et l'amertume. La puissance des énergies reçues en ce moment est telle qu’elle déboussole complètement. La lumière a toujours le même effet, celui de nous montrer ce qui est en carence, ce qui a besoin d’être guéri, ce qui n’est pas de l’amour en nous.

Sentir le divin à partir de l'humain et trouver le juste milieu...


Helena Nelson Reed



Encore un réveil avec la ferme intention de m’ancrer, dans le corps physique, de faire un bilan sérieux et lucide à propos de ma foi. De dégrossir au maximum, d’épurer, de revoir totalement, ce qui est de l’ordre du fantasme et ce qui me permet de me sentir bien. Non dans un monde parallèle où je me réfugie pour me donner l’impression d’être dans la paix mais dans cette réalité physique, palpable et en mettant mon âme au service de cette incarnation plutôt que l’inverse. Enfin disons plutôt, en l’invitant à s’ancrer dans la chair afin de cocréer quelque chose qui satisfasse tous les aspects qui me constituent afin de vivre la paix concrètement. Il y a eu une longue période de recherche de mon identité au-delà de ce voile puis un retour vers l’aspect plus dense de qui je suis et maintenant j’appelle de plus en plus à fusionner tout ce que je suis. Ce n’est pas nouveau mais la différence c’est que je ne situe plus l’âme ou le divin au-dessus de ma personnalité humaine, je ne suis plus dans le désir de suivre une mission qu’elle aurait choisi même en cocréation avec l’aspect divin de qui je suis. Je veux me placer en mode réceptif et continuer d’affiner le contact de façon à avoir une vison plus large des événements et de ce que je vis en dedans. Savoir que je suis humain divin m'est utile pour relativiser les choses et doit me permettre de vivre cette incarnation dans la légèreté et la joie. Pas une joie qui refuse de voir son contraire, celle qui résulte de l'acceptation des deux facettes de cette énergie.
Le doute ressenti ces derniers temps, m’a amené à constater que j’avais trop tendance à me situer encore d’un côté ou de l’autre de la dualité, que je favorisais la part de moi la plus subtile, la plus éthérée alors que le propos, c’est de vivre l’incarnation dans le juste milieu. Dans l’équilibre, au centre de ma multidimensionalité. Celui-ci étant le cœur, il s’agit maintenant d’associer tout ce que je suis avec lucidité sans occulter les aspects plus denses de ma personnalité humaine qui sont le moyen inventé par mon être divin pour communiquer avec ce que je suis en esprit, pour relier la chair à l'éther. Le désir d’être dans le juste milieu en toutes choses est de plus en plus fort. Les croyances qui jusqu’alors restauraient la vision de qui je suis, me maintiennent dans un genre d’illusion, en dehors de l’ici et maintenant. Je ne veux plus chercher à m’échapper dans l’arrière plan lorsque la vie devient difficile.

dimanche 14 juillet 2013

Ressentir les émotions




Mon cher corps mental, maintenant que nous comprenons mieux ce qu’est le mouvement tumultueux ressenti certaines fois, je t’invite à t’abandonner à cette expérience, en direct, à laisser la vie nous pénétrer et diffuser son énergie d’amour. Nous ne serons pas submergés puisque tu veilles à cela. Je te considérais comme un empêcheur de tourner en rond tout en sachant que tu participais activement à l’éveil, la connaissance de soi mais je t’accusais encore trop souvent. Maintenant que je suis convaincue de ta bienveillance, du fait que tu accomplisses parfaitement ton rôle et que je connais plus ou moins en quoi il consiste, je suis reconnaissante pour ce que tu es. 
Ensemble, nous allons découvrir ce que nous avons refusé de voir, de sentir. Même si tu devras te mettre un peu en retrait par moments, tu participeras activement à ces expériences que je te propose de vivre chaque jour. Tu seras le rapporteur, celui qui localisera et tentera plus tard, de mettre en mots ce qui sera senti. Lourde tâche !  
C’est comme si le fait d’avoir accepté de ressentir m’avait encore ouvert le cœur et la conscience. 
Chaque jour, cette vie devient une aventure de plus en plus palpitante et je remercie la source de nous avoir créé avec autant de potentiel de joie, d’émerveillement, d’exploration, de compréhension, de ressenti, de possibilité d’expérimenter autant de choses, à travers les 6 sens. Tous ces corps si parfaits qui rendent la vie belle quand ils s’unissent harmonieusement !
Merci à vous, tous mes corps ! Fidèles compagnons de route que je me plais à unifier, à aimer de plus en plus sincèrement ! 
Je retourne au jardin.