Enfin
quelques moments passés au jardin ! La terre est si imbibée qu’on ne
peut pas faire grand-chose. La pluie est revenue et m'a coupée dans mon élan! C’est le moment d’appliquer le désir d’acceptation
de ce qui est. J’ai bricolé pendant deux heures, à désherber centimètres par
centimètres, essayant de reconnaître les plantes dites mauvaises en utilisant
le bouquin que je me suis offert. Un petit guide qui classe quelques plantes
qui sont habituellement arrachées et jetées. J’en ai mis quelques unes de côté.
Je n’ai pas trop avancé mais comme mon but n’est pas de faire un truc carré,
contrôlé, productif, tout est bien. Je considère la terre, l’élément comme
sacré et la planète comme une mère. Pour ces raisons, cette année, j’ai décidé
d’être encore plus consciente de ma connexion à la source à travers mon corps
physique et à travers la matière, les éléments.
C’est
quand même grâce à cette belle planète que nous pouvons jouir de cette
expérience dans la chair qui est composée des mêmes matériaux que cette mère nourricière.
Si nous
avions du respect pour chacun de nos organes, quels qu’ils soient, nous n’en
serions pas arrivés à détruire la nature à force de vouloir la contrôler.