jeudi 4 avril 2013

L’argent une énergie détournée de sa mission première exercice de "reconnexion à l’esprit de l’argent" d’Inelia Benz




Enfin quelques moments passés au jardin ! La terre est si imbibée qu’on ne peut pas faire grand-chose. La pluie est revenue et m'a coupée dans mon élan! C’est le moment d’appliquer le désir d’acceptation de ce qui est. J’ai bricolé pendant deux heures, à désherber centimètres par centimètres, essayant de reconnaître les plantes dites mauvaises en utilisant le bouquin que je me suis offert. Un petit guide qui classe quelques plantes qui sont habituellement arrachées et jetées. J’en ai mis quelques unes de côté. Je n’ai pas trop avancé mais comme mon but n’est pas de faire un truc carré, contrôlé, productif, tout est bien. Je considère la terre, l’élément comme sacré et la planète comme une mère. Pour ces raisons, cette année, j’ai décidé d’être encore plus consciente de ma connexion à la source à travers mon corps physique et à travers la matière, les éléments.
C’est quand même grâce à cette belle planète que nous pouvons jouir de cette expérience dans la chair qui est composée des mêmes matériaux que cette mère nourricière.
Si nous avions du respect pour chacun de nos organes, quels qu’ils soient, nous n’en serions pas arrivés à détruire la nature à force de vouloir la contrôler.

Oser s'écouter, suivre son coeur, ses guides



Pensée du jardin

Depuis que j’ai décidé de "servir" l’amour et la lumière et d’écouter mes propres pensées, en plus de mon ressenti, j’ai trouvé un équilibre intérieur et une énergie qui se ressent dans tous mes corps et dans ma vie de tous les jours. J’ai accepté de guider les âmes qui se présentent à moi, sans jugement, sans me dire que je délire puisque les résultats sont là. Bien que ça puisse paraître insensé pour la majorité des gens, j’y trouve un sens très profond et une logique évidente. Beaucoup de choses faites au feeling, dans mon passé, prennent tous leur sens dans cette activité totalement désintéressée.
Les six années passées à la permanence de la généalogie de l’église, toutes ces après midi à rechercher des ancêtres, à accueillir les visiteurs non "Mormons", à les renseigner et à ressentir des puissantes vibrations d’amour, trouvent leur légitimité dans cette activité. J’avais accepté spontanément de donner 4h hebdomadaires et j’en tirais un bien-être indescriptible. Je ne doutais pas de la possibilité de communiquer avec ces personnes puisque je suis persuadé de l’immortalité de l’âme. Le fait que l’opportunité d’être baptisé dans les temples de l’église, leur était offerte, ne me semblait pas injuste puisque chacun possède son libre arbitre. Je n’ai jamais effectuée ce genre de rituel puisque je n’ai jamais pu aller au temple dont l’accès est réservé aux personnes qui "obéissent aux commandements". Plusieurs choses m’empêchaient de le faire. Déjà, obéir, me semblait totalement contradictoire avec le principe du libre arbitre et de l’amour inconditionnel de la source. Je n’ai jamais autant ressenti cet amour que quand j’affirmais ma volonté. Les expériences les plus intenses vécues à l’église c’était de témoigner de l’amour de Dieu, au pupitre. D’exprimer ma certitude que cet amour divin est parfait, englobant, qu’il ne condamne pas, ne juge pas, ne puni pas.

mercredi 3 avril 2013

Finalement je choisi de suivre mon coeur, mon ressenti et la douce chaleur en mon ventre. Monique Mathieu, "Le hasard n'existe pas"




«  Les siècles passés portent encore le poids des souffrances dues au Mystère autour de l’au-delà. C’est comme si le mental aimait à se faire des films extraordinaires sur ce qu’il ne connaît pas au lieu d’accepter la simplicité que lui propose la vie, le quotidien. Nous savons que nous ne sommes pas uniquement constitués de chair et d’os et même si c’était le cas, il y aurait de quoi s’émerveiller devant la perfection du corps humain, devant celle d’une fleur, devant tout ce que nous percevons au travers de nos sens.
Nous sommes bercés par des films à sensation, époustouflés devant les effets spéciaux, poussés à croire qu’il nous faille atteindre des sommets pour exister, pour rencontrer Dieu. Et si la mission de chacun était tout simplement de savoir apprécier chaque instant de sa vie. Moi-même, si j’ai tant de mal à me défaire de ces médicaments qui déversent en mon sang les hormones du bonheur c’est parce que je crains la peur du manque, la peur de ne pas être capable de me satisfaire de l‘ordinaire. Mais ce quotidien, il est ce que j’en fais. Ce n’est pas dans ma tête, dans mes rêves ou mes projets que je peux m’épanouir, que je peux me trouver.
Ce soir, je m’abandonne à ma vraie nature et j’accueille l’amour pur. Je le reçois pour moi, je me l’envoi à moi-même. »

J’ai écris ça avant hier soir tant j’étais troublé par ce qui m’arrivait. J’ai voulu me persuader que ma vie, ma mission était tout simplement d’être ici et maintenant mais il semble que l’ouverture de cœur et de conscience amène à vivre des expériences spirituelles plutôt spéciales.

Je vis Ma vérité en toute liberté



Isha

Ce matin, après avoir fait la rebelle hier en refusant d’écrire, j’ai décidé de me faire confiance, de croire tout ce qui s’exprime en moi. J'ai été vexée d'être rappelée à l'ordre par You Tube pour avoir posté une vidéo soumise aux droits d'auteurs. j'ai été obligée de visionner une vidéo et de répondre à un questionnaire pour accéder à ma page! La honte, à 48ans, de se taper une vidéo où on vous tutoie et où on vous fait la morale! J'ai encore du mal avec la notion de propriété, que ce soit pour moi-même, quand je m'accroche à quelque chose que je dis m'appartenir ou quand se sont les autres. Je sens qu'il va nous falloir lâcher ça, mais bon, chaque chose en son temps. 
Il y a aussi l'idée qu'il me faille arrêter de croire que la spiritualité est synonyme de gravité, l'erreur est quelque chose qui nous enseigne, nous invite à avoir plus d'amour de soi, de tolérance et à lâcher prise sur nos attentes, nos objectifs.
Même si je ne comprends pas tout ce qui circule en moi, les énergies, l’origine des pensées, j’ai décidé de me prendre au sérieux, de cesser de me dire que je me fais des films ou bien que je délire.

lundi 1 avril 2013

La vie, une école magnifique, vidéo "L'école autrement""



Annelie Solis

"Les hommes sont pour avoir de la joie". C’est un des versets de la bible que j’ai toujours aimé. Malheureusement, il n’est jamais mis en avant. L’idée qu’il faille souffrir, mériter, gagner pour être et évoluer est largement répandue cependant, elle est totalement fausse. C’est exactement le contraire qui se passe en réalité. Ce n’est pas une bonne nouvelle ? J’ai entendu parler de la loi du moindre effort mais il va me falloir l’expérimenter par moi-même pour la comprendre. Il y a très peu de choses écrites à ce sujet tant la croyance générale est l’opposé. C’est sous entendu, expliqué chez Eckhart Tolle, par Abraham aussi mais on a bien du mal à l’intégrer simplement. Nul besoin que les autres nous en empêchent, on culpabilise à l’idée d’oser glander. Il m’a fallu un certain temps pour changer le rythme de mes journées et encore, il y a toujours une petite voix pour me ressortir des phrases tu style "tu ne t’emmerdes pas", "tu exagères"...ça ressemble tellement à ce que dis ma mère ! Je ne la blâme pas non plus, elle qui est née pendant la guerre ou la croyance collective était qu’un homme devait donner sa vie pour la patrie ! Le calvaire de l’humain tient en quelques mots proclamés par Pétain : « Travail, famille, patrie ». Tout est résumé ici, la condition misérable des français et de tant d’autres habitants de la planète. Quand on est spirituel, il nous faut appeler méditation, relaxation, le temps que l’on s’accorde à ne pas être productif. Les loisirs sont autorisés à condition d’avoir travaillé le nombre d’heures suffisant pour y avoir droit.

En changeant mes pensées, je change mon quotidien, vidéo Los Jaivas, "un dia de tus dias"



Mikhail Pretovsky

Nous sommes vraiment 100% créateurs de notre vie. Ce n’est pas uniquement le résultat de l’écoute de la vidéo de Louis Hay, mise en ligne hier, c’est le constat vécu d’un humain divin comme tout le monde. Vous aurez remarqué que je suis du genre provocatrice. C’est un "défaut" que je ne tente plus de corriger puisque tout à sa raison d’être et que je ne cherche plus à atteindre une quelconque perfection qui n’est que l’entretien de l’illusion de se croire minable et imparfait. Il faut des gens qui s’élèvent du troupeau, qui osent affirmer autre chose que la pensée unique véhiculée à longueur de temps par tous les médias. Seuls quelques irréductibles, un peu fous osent bousculer les convenances et c’est pour le plus grand bien de l’ensemble. Accepter ce qui est oui, dans la mesure où nous créons ce que nous pensons. Changer sa perspective du monde en changeant le regard que l’on porte sur soi-même oui, mais communiquer, témoigner de cela est important pour accélérer le mouvement d’éveil. Il a fallu que je lise les messages des êtres de lumière canalisés par Joéliah pour savoir que le christ auquel je croyais était en fait un principe universel habitant chaque être humain.
 Là oui, j’avais trouvé ce que je cherchais depuis toujours, la justice, l’égalité, la fraternité, l’amour et la liberté. Et même si ces vérités étaient inscrites en moi, il a fallu un déclencheur. Je sais bien que chacun est éclairé par lui-même et que s’affirmer en disant ce que l‘on pense peut être dangereux tant pour son ego qui risque de gonfler que par le fait de s’exposer à la critique. Mais je m’en fous.

dimanche 31 mars 2013

Avancer, Louise Hay, livre audio "Oui, je peux"



Poonz
J’ai remarqué que chaque fois qu’on s’élève, il se passe à peu près toujours le même cycle, les mêmes phases. Rien de nouveau pour beaucoup de scientifiques, "initiés" ou philosophes mais peu importe. Je suis encore à me justifier d’avoir une opinion et de la dire !
On commence par vivre quelque chose qui nous dérange on commence à réfléchir au "problème". Puis, quand on se rend compte que l’on tourne en rond dans sa tête, qu’on est limité par le mental, on se fie à son cœur, son instinct. Il y a cette phase importante de lâcher prise qui nous amène à être plus éclairés. Mais ça n’est pas tout, suivre le cœur est une bonne chose mais il faut aussi user de discernement. Quand on observe ses pensées, ses réactions, on peut constater que ça n’est pas seulement le cœur qui nous parle. L’ego est aussi de la fête ! Alors, l’ancrage, l’écoute de son ressenti physique est aussi important. Un juste équilibre est alors nécessaire afin de faire le bon choix.