lundi 4 mars 2013

Abandonner toute résistance et laisser le flot intérieur s’écouler librement.



Cet après midi, plutôt que de continuer de réfléchir, je suis allée m’allonger. J’ai ressenti le besoin de sentir la chaleur du lit douillet et la bouillotte naturelle allongée à mes côtés. Ce chat, mon "amoureux", a le don de sentir quand j’ai le blues. Le sommeil est venu me cueillir de temps en temps. Je n’ai résisté à rien de ce qui venait, j’ai laissé faire. Je n’ai pas eu a laissé dire. Les voix du mental de l’ego, du rabat joie...se sont tues. 
J’ai accueilli le silence, le vide, le rien. Je n’ai même pas cherché à méditer. 
J’ai juste cherché le confort de mon corps physique, la détente. 
Les chansons du voisin du dessus m’ont maintenue dans un état semi conscient. 
C’était reposant, relaxant mais la pluie qui continue de tomber depuis cet après midi a ajouté à ma tristesse latente.

J'appelle la lumière à me montrer mes ombres



 Ce matin, je suis remplie de reconnaissance pour tout ce que je suis. Ça commence à s’exprimer avec douceur, mais de façon très claire. L’écoute des vidéos de Lise Bourbeau, m’a ouverte sur une piste de compréhension pour mon problème au poignet. Concrètement, physiquement, c’est un truc que je trimballe depuis la taille de la vigne, en hiver 2008.  
Pour le côté métaphysique, c’est lié, en gros à une colère refoulée. 
Des voix féminines intérieures se sont manifestées pour me dire que cette colère était liée à ma mère qui tenait ça de sa mère...
Toutes deux ont endossé le rôle habituellement confié aux hommes d’assumer les rentrées d’argent au foyer. Ma grand-mère parce que mon grand père a été fait prisonnier pendant la guerre et ma mère par désir d’émancipation, a choisi d’être indépendante. Cependant, ce choix l’a amené à croire qu’elle pouvait assumer pour mon père et pour ses enfants. Le souci, c’est que ça lui a collé une pression énorme, amplifié le sens du sacrifice et ce qui au départ devait être une façon d’être indépendante s’est vite transformé en une obligation pesante, un devoir. 
Dans un couple, l’équilibre est nécessaire or ma mère a porté seule la responsabilité de l'adulte, au foyer.

dimanche 3 mars 2013

Quand la lumière révèle l’ombre, "Abandon et contrôle"message de Jeshua reçu par Paméla Kribbe


Nébuleuse Mz3

Il semble qu’il y ait beaucoup de remous sur la toile. J’ai fait un petit tour sur les sites que je visite habituellement et les messages changent peu à peu.
La puissance de la lumière est telle que ce qu’elle révèle amène beaucoup d’humains, à paniquer. Comme chacun est amené à voir ce qu’il est en réalité, un mélange d’ombre et de lumière, tous ceux qui se croyaient pure lumière, se trouvent choqués et les réactions vont du déni à l’agressivité, en passant par l’accusation et la colère.
Quand on refuse de voir nos ombres, on va accuser systématiquement les autres.
Quel intérêt y a-t-il à se demander qui est lumineux et qui ne l’est pas ?
Evidemment quand on veut être un phare, l’enjeu est immense, on veut garder sa boutique florissante. En même temps, je peux comprendre la pression que ça crée puisque même si je me considère comme simple témoin de la rencontre avec sa lumière, j'arrive à être affectée par le nombre de visiteurs du blog. 
Je me ressaisi en remerciant mon âme de me montrer que je risque de tomber dans le piège de l'interdépendance affective.

« Lise Bourbeau: une interview par Lilou Macé & extraits d'une conférence qui date un peu »




Voici une approche de la maladie, du corps physique, qui me correspond puisqu'elle permet de comprendre que celui-ci possède un langage et qu'en étant à son écoute et en l'aimant, nous pouvons guérir de tout.  

Lise Bourbeau est une femme, pionnière du développement personnel qui a répertorié, au fil de son expérience professionnelle, les causes métaphysiques des maladies dans un de ces livres que je me suis offert et qui me guide dans l'auto-guérison :
"Ton corps dit: Aimes-toi"
Elle anime des conférences dont voici quelques extraits:

Vérité ou confort? vidéo d'un extrait de la conférence de Darpan, diffusée sur le site "Le passeur"




La journée d’hier a été très spéciale. Le soleil brillait fort à l’image de ma lumière intérieure qui m’a montrée dans ma nudité, face à moi-même. Je suis restée sans voix, incapable de publier quoi que ce soit. Remettant en question la certitude de ne plus être dans le schéma de besoin de reconnaissance extérieure. Me trouvant face à ma propre mort, mon propre vide, mes doutes, mes peurs. 
Un peu comme le soleil qui rayonnant partout dans la maison laisse apparaître la couche de poussière rendue invisible par la semis clarté. Je n’ai pas sombré dans le désespoir grâce à l’amour inconditionnel dont je me remplis régulièrement et la connaissance de la conséquence d’un apport lumineux supplémentaire. 
Comme je ne vois plus mes ombres comme des monstres, que je juge moins les choses, en terme de bien ou mal, la situation m’a plus amené à me questionner qu’à sentir l'inconfort. 

Prêts à la transparence, à l'intégrité?

J'ai écris ce texte hier mais je n'ai pas réussi à le publier. Nombre de peurs sont apparues et j'ai dû faire un travail de remplissage d'amour inconditionnel pour moi-même, avant de retrouver une certaine confiance en soi.



Samedi 2 mars,
Ce matin, j’ai passé deux heures à lire un mail et à y répondre. Plus je m’aime sans conditions et plus la vie m’offre ce qui correspond à cette énergie que je laisse enfin circuler librement en moi. Le fait d’oser m’exprimer sur la toile, est une façon d’aller vers l’autre tout en étant soi-même, sans concessions ni besoin de reconnaissance extérieure. Ce positionnement m’amène à rencontrer des âmes sœurs et à établir des relations sincères, de cœur à cœur, à connaître enfin l’amitié telle que je l’ai toujours envisagée.

vendredi 1 mars 2013

Accueil inconditionnel : Mode d’emploi (vidéo) Isabelle Padovani




La vidéo qui suit est en parfait accord avec le message précédent et l’idée de figurer toutes les voix qui s’expriment en soi, est un bon moyen de calmer le jeu puis de pouvoir prendre du recul de façon à envisager les choses avec les yeux du cœur et ceux de la conscience lumineuse. 
Je m’adresse à l’enfant, au juge, au rabat-joie, au critique intérieurs, depuis quelqu’un temps en leur donnant mon point de vue concernant l’obsolescence de la notion bien/mal. En leur expliquant que la vengeance est cycle sans fin, que seul l’amour peut guérir de tout et pour cette raison, je peux comprendre leur réaction et je ne leur en veux pas. Aucun d’eux ne m'a encore répondu mais le calme a laissé la place à l’emportement et mon comportement qui change peu à peu, sans forcer, transforme mon quotidien d’une façon bien agréable. Chacun possède en lui l'énergie de la mère qui peut intervenir dans ce processus de guérison.  
J'aime les vidéos "témoignage" la personne explique, avec simplicité, ce qu'elle expérimente, sans se placer en "maître".