mercredi 20 décembre 2017

« L’augmentation du taux vibratoire de Gaïa » Virginie





L’homme assiste actuellement à des changements planétaires d’envergure. Que ce soit sur le plan économique, politique, climatique, relationnel, tous nos fondements s’effritent et s’effondrent. Les guerres font des ravages, les maladies se répandent de plus en plus, les catastrophes naturelles se multiplient, les systèmes gouvernementaux sont inadaptés et douteux…
Un climat d’instabilité se fait ressentir au sein de la population, nous laissant présager qu’une transition est en cours. Or, nous sommes très loin de nous douter de l’ampleur de tous ces changements à venir…

Cet article a pour but de vous sensibiliser à ce qui se trame derrière les coulisses. Après avoir effectué maintes recherches, j’en suis venue à une évidence: je ne connais rien du monde dans lequel j’évolue. Et l’ignorance est synonyme d’impuissance. Voilà pourquoi je souhaite vous transmettre un maximum d’informations; pour vous permettre de retrouver votre pouvoir et d’être au courant de ce que nous affrontons tous en tant que collectivité.

Gaïa:
Que savons-nous actuellement quant à notre Planète? Grosso modo, nous dirons que la Terre est une planète du système solaire, la troisième plus proche du Soleil, qu’elle s’est formée il y a très longtemps, qu’elle est en grande partie recouverte d’eau et qu’elle abrite plusieurs espèces vivantes, dont nous les humains. En outre, Gaïa permet à la vie de se déployer et par le fait même, elle nous donne l’opportunité de goûter à l’existence, telle que nous la connaissons.
Bien sûr, ceci n’est qu’une description sommaire. Mais en savons-nous réellement plus sur ce lieu que nous appelons notre bercail ? Avant de faire mes recherches, je dois bien admettre que mes connaissances s’arrêtaient à ce niveau. Pourquoi aurais-je besoin d’en savoir plus ? Voici pourquoi…

lundi 18 décembre 2017

« Changer son regard sur la douleur »





17 12 Alors que j’écoutais une partie d’un des livres audio d’Esther et Jerry Hycks qui canalisent Abraham enseignant la loi de création délibérée, j’ai été frappée par une chose qui semble évidente. 
J’écoute de la musique en faisant en sorte que les titres se suivent de façon aléatoire et c’est généralement en rapport avec mes pensées du moment, c’est un peu le reflet de mon état d’esprit ou de ce qui est dans l’inconscient. 

Enfin de moins en moins le reflet de mon inconscient puisque dans l’ouverture et la transparence, plus grand-chose ne reste dans l’ombre. 
Comme les cachets ont tendance à anesthésier les émotions, le ressenti, en utilisant l’effet miroir, je peux réajuster mes pensées, mon taux vibratoire. 

Déjà, le fait d’être plus présent et conscient des pensées qu’on nourrit est un bon moyen de se maintenir dans des fréquences élevées ou pour le moins harmonieuses parce qu’on ne se laisse plus séduire par les pensées de victime, de bourreau, on ne s’identifie plus aux pensées de jugement, d’accusation, de culpabilité, de peur. C’est déjà une présence dans le détachement qui permet de cultiver la paix, la joie et le bien-être.

Abraham parle de la loi de création délibérée, du processus qui bien souvent est annulé par des pensées inconscientes ou conscientes contraires à l’intention première. 
Il est clair que ce processus demande de maintenir l’intention souhaitée et de lui donner de l’énergie, de l’intensité. 
Si on veut créer la paix en soi, cela demande de reconnaitre et de lâcher toutes pensées qui nourrissent le conflit, la peur, la division. C’est au sujet de l’intensité nécessaire que je me suis dit que la douleur nous amène précisément à revenir à l’intention première avec force, à revenir au présent.

mercredi 13 décembre 2017

« Entrer dans le monde silencieux de l’âme »





10 12 Alors que j’écoutais la médiation au sujet du pardon et de ses bienfaits, déjà l’idée que c’est chaque jour qu’il faut pardonner, ou qu'il est bon de revenir à la paix, cela m'a ramenée à une expérience, celle du débouchage de l’évier de la cuisine. 

En démontant le siphon, tout s’est bien passé bien que j’aie été étonnée de trouver un bout de tuyau qui semblait avoir été rajouté. Mais en voulant le remonter et en constatant que tout était de travers et que je devais forcer pour que ce soit bien emboîté, la colère envers les hommes a monté puis explosé. 
Je n’ai rien retenu, j’ai exprimé tout ce qui remontait et la différence avec mon attitude passée, c’est que je n’ai pas nourri ces pensées, je les ai reconnues, j’en ai libéré les émotions associées mais j’ai lâché prise, je ne m’y suis pas identifié. J’y ai senti une part de mauvaise foi par le côté exagéré de la réaction qui m’a ramené à cette vielle rancœur envers la gente masculine. 

Bref, j’ai senti d’une part le trouble physique causé par la colère et les sentiments négatifs et d’autre part l’apaisement lié au fait de reconnaitre que ces pensées sont celles du passé, que c'est la vision de l’ego conditionné. Non pas que ces pensées ne soient pas vraies mais plutôt que mon but étant de maintenir la paix à l’intérieur et de pacifier les corps, d’harmoniser les énergies en moi, le meilleur choix est toujours d’abandonner la lutte et le jugement.

jeudi 7 décembre 2017

« Se souvenir de l’essentiel »





5 12 En ce moment, je continue de regarder des vidéos de l’émission "on ne demande qu’à en rire" afin de cultiver la joie et d'être reliée à la nouvelle génération, dans l'énergie. Une génération qui face aux incohérences du monde suicidaire, réagit par l'humour, la dérision, elle est à la fois lucide et détachée. 
Même si cette joie est un peu artificielle, elle me permet néanmoins de rester sur des fréquences légères qui favorisent l’accueil, l’ouverture et l’insouciance. 
Le fait que je suive les méditations de Deepak Chopra chaque matin est aussi une forme de mise en condition, un rappel qui nourrit ma foi en l’amour, en sa puissance de guérison. 
Je suis convaincue de la force de l’accueil du fait que la vibration qu’on porte et rayonne définit la qualité d’être et participe à la guérison, la restauration de l’amour en soi mais quand je vois certaines parties de mon corps physique qui ne semblent pas s’améliorer, le doute et le découragement ont tendance à  se manifester. Mais au lieu de nourrir ces pensées, je les confie à la source, j’en profite pour lâcher à la fois les anciennes croyances et les conditionnements au sujet de la maladie.

J’ai relevé une citation qu’un humoriste utilise dans l’un de ses sketchs tellement elle entre en résonance avec ce que je vis en ce moment. Le caractère décalé de son humour est aussi quelque chose qui me touche parce que ça nourrit ma foi et mon désir de changer en profondeur. Non plus par la souffrance, les notions de mérite et de récompense qui sont aussi associée à celle de punition, mais en vibrant sur les fréquences de la joie, de l’amour, de la paix, de la confiance. Ce changement qui se réalise en profondeur entraine nécessairement des ajustements jusque dans la matière et cela se réalise autant pendant le sommeil qu'à l'état de veille en étant présent, connecté à la source, ancré dans le désir de paix et d'unité.

Comme il s'agit d'un humoriste, cette citation peut être pure invention tout autant que le prénom "Michel", ajouté « L’on ne peut goûter à la saveur des jours que si l’on se dérobe à l’obligation d’avoir un destin » Emil Michel Cioran

vendredi 1 décembre 2017

« Se libérer de l’idée qu’on se fait de la peur »





Je vais de surprises en surprises dans l’abandon du jugement, des croyances et des conditionnements. Cela révèle à la fois la force des pensées, des croyances et donc de la façon dont nous observons les choses et leur caractère emprisonnant. 
Dans le contexte de la dualité qu’offre cette incarnation, chaque chose comporte un aspect bénéfique et un aspect limitant, aliénant. 

Mais cela vient du fait qu’on reste conditionné par nos croyances et par le mode de jugement qui consiste à qualifier les choses de bien ou de mal. 
C’est clair que nous avons besoin de reconnaitre ce qui est bénéfique, ce qui nous correspond, ce qui nous fait du bien mais trop souvent on se limite au jugement basique et ce mode de fonctionnement nous limite, nous enferme, enfin cela contraint l’énergie et nous éloigne de notre cœur.

En se positionnant dans l’observation neutre on va se rendre compte que chaque chose, chaque situation, nous invite à nous tourner vers l’intérieur afin d’y trouver l’essence de l’être et de reconnaitre nos besoins véritables. 
On y trouve à la fois le besoin et la façon de le nourrir dans cette connexion à la source, en suivant la guidance qui émane du cœur, de ce positionnement d’ouverture.

mardi 28 novembre 2017

« L’énergie est mouvement, par nature elle a besoin de liberté »





27 11 On peut dire que le nettoyage continue et c’est sans relâche que nous avançons dans ce dépouillement des croyances obsolètes. Le chantier parait considérable mais en prenant du recul, dans la confidence envers l’âme, on se rend compte que le but n’est pas vraiment de lâcher un maximum de croyances mais plutôt d’apprendre à être ancré dans les vibrations de la source, dans le présent. 

C’est tout un mode de fonctionnement que nous lâchons pour nous laisser guider en toute confiance par notre essence, nôtre être authentique, par l’élan du désir, de la joie. 
Et ce faisant, nous abandonnons, sans éprouver de sentiment de perte, les croyances qui aujourd’hui ne font plus sens. 
Ce qui est remarquable, c’est la façon dont on vit les choses avec détachement et comment en prenant l’habitude de se positionner dans l’ouverture, le non jugement, on redécouvre le monde. On pénètre réellement dans un nouveau monde alors même que rien ne change en apparence. 
Ce qui change et qui fait la différence, c’est le point de vue avec lequel on observe les choses et ce faisant on comprend les notions de physique quantique par l’expérience. On voit que tout dépend de l’intention qu’on porte sur les choses.

J’ai été inspirée à lâcher l’ordinateur pour être davantage dans l’action, la réalité du quotidien, afin de le créer en suivant toujours le désir d’agir. A ce stade, c’est difficile de traduire le ressenti et la façon dont la guidance se manifeste parce que c’est toujours nouveau, inattendu. 
Le fait de s’intérioriser permet de prendre l’habitude de se fier à sa propre guidance, de reconnaitre les multiples langages de nos corps et en eux, cette conscience omniprésente.

dimanche 19 novembre 2017

« Lâcher les croyances c’est comme vivre un deuil »





Cet article (plus bas) m’a frappé dans sa ressemblance avec le processus de libération des croyances obsolètes. En effet, on passe par les mêmes étapes, les mêmes émotions qui lorsqu’on les exprime librement, lorsqu’on offre à la source, les pensées qui leurs sont associées, nous ouvrent le cœur et la conscience en éveillant la sagesse intérieure. 

Il est nécessaire de purifier le mental, l’émotionnel, afin de s’alléger vibratoirement, d'être aligné aux fréquences de la terre et de l'âme. Et en chemin, on apprend à relativiser, on s’habitue à vivre une relation transparente et confiante avec la source en soi mais aussi avec tous nos corps. 
Ce processus ressemble aussi à celui du pardon parce qu’il s’agit de faire le deuil du rôle de victime en reconnaissant et en lâchant chaque pensée émotion qui nous maintiennent dans le sentiment d’impuissance.

On a beau vouloir changer, sortir des jeux de rôles, ça n’est pas si évident parce que ces positionnements nous rassurent, on en tire certains avantages et le premier, c’est d’éviter de se sentir coupable. Une croyance bien ancrée est celle qui associe la notion de responsabilité à celle de culpabilité. 
Quand on croit être victime de la vie et des autres, cela procure un certain confort parce qu’on n’a pas besoin de se remettre en question et dans cette perspective, on trouvera toujours un coupable extérieur à soi. Surtout en cette période où on dénonce les abus des hommes auprès des femmes, chaque femme peut se reconnaitre en tant que victime.