samedi 22 juillet 2017

« Reconnaitre et accepter que le mental continue de bloquer l’émotion refoulée »





20 07 Il y a deux façons de nourrir le besoin d’amour, soit en faisant tout pour le recevoir de l’extérieur, soit en le cultivant en soi. Puis il y a la voie de la conscience de soi qui révèle l’essence de l’être et nous place dans le juste équilibre, entre l’intérieur et l’extérieur, entre donner et recevoir. 
L’image qu’on a de soi se fonde sur le mode comparatif qui commence dès l’enfance dans le cadre familial. Les parents mettent en avant les qualités de chaque enfant et les comparent les uns aux autres selon le modèle de perfection décrété tant par la société que par chaque individu, tous deux fortement influencés par les religions. 
On construit sa personnalité selon nos préférences, par attraction et par rejet et on choisit un modèle idéal à suivre, auquel correspondre, toujours sur le mode comparatif et selon des critères de sélections relatives aux valeurs de chaque individu. Valeurs qui sont elles-mêmes insufflées par l’inconscient et la conscience collective. 

Ainsi, on a définit un modèle idéal féminin et un modèle idéal masculin. L’homme idéal est héroïque, fort, combatif, gagnant, beau, mais pour plaire à ces dames, il doit aussi être tendre et affectueux, défendre les plus faibles. 
Nos modes sélectifs sont les mêmes que ceux des animaux à la base, ils sont archaïques et répondent à la chimie interne, aux sens et à l’instinct de survie. Mais en tant que race dotée d’un cœur et conscient de nous-mêmes, on y a ajouté la tendresse, l’amour, les sentiments. On demande à la femme d’être belle, douce, maternelle, généreuse et soumise. 

Même si cela semble être caricatural et dépassé, on est encore inconsciemment fortement influencé par ces conditionnements, ces projections et attentes. 
Dans une société où il semble qu’on ait acquit la liberté individuelle, l’égalité des droits et où le capitalisme; la possibilité de s’enrichir, montre ses limites, chacun cherche à comprendre où est l’erreur, pourquoi cela ne mène pas au bonheur.

jeudi 20 juillet 2017

Extrait du "Livre du voyage", de Bernard Werber (auteur du livre: "Les Fourmis"):





« Il est cubique, titanesque, froid.
Il est doté de chenilles qui écrasent tout.
C’est le système social dans lequel tu es inséré.
Sur ses tours tu reconnais plusieurs têtes. Il y a celles de tes professeurs, de tes chefs hiérarchiques, des policiers, des militaires, des prêtres, des politiciens, des fonctionnaires, des médecins, qui sont censés toujours te dire si tu as agi bien ou mal.
Et le comportement que tu dois adopter pour rester dans le troupeau.
C’est le Système.
Contre lui ton épée ne peut rien.
Quand tu le frappes, le Système te bombarde de feuilles :
carnets de notes, P.V., formulaires de Sécurité sociale à compléter si tu veux être remboursé, feuilles d’impôts majorés pour cause de retard de paiement,
formulaires de licenciement, déclarations de fin de droit au chômage,
quittances de loyer, charges locatives, électricité, téléphone, eau, impôts locaux, impôts fonciers, redevance, avis de saisie d’huissier, menace de fichage à la Banque de France, convocations pour éclaircir ta situation familiale, réclamations de fiche d’état civil datée de moins de deux mois…

mardi 18 juillet 2017

« Reconnaitre et lâcher les schémas du passé »





16 07 Depuis trois jours, j’écris régulièrement sans avoir l’élan ou l’envie de publier. Je consacre la matinée au jardin et en revenant, j'ai plutôt envie de m'intérioriser, de me poser. La plongée dans les profondeurs, le face à face avec les aspects autrefois cachés ou rejetés de soi s’effectue dans la transparence et demande une totale intimité afin que les voix puissent d’exprimer librement, sans peur et sans contrainte.
Le thème récurent est celui de la dépendance et bien évidemment la peur du manque qui est lié puis les critiques et jugements que cela entraine. Dans la dynamique des contraires, des associations se créent, associations d’idées qui forment des préjugés, interprétations des faits qui forment les croyances, associations de pensées récurrentes et d’émotions refoulées en conséquence. 

La libération des croyances est comme un nœud de fils entremêlés qu’il nous faut démêler patiemment afin de remonter à l’origine et de comprendre ce que nous sommes. Une fois qu'on voit le schéma des stratégies visant à minimiser les blessures, sans avoir besoin de comprendre en détail, c'est comme si la boucle était bouclée. Les questions et la recherche de réponses cessent puisque le mental a "vu". 
On est ébahi face à tant d’intelligence dans ces systèmes internes même si les stratégies qui visent à nourrir les besoins fondamentaux n’amènent pas au bonheur, à la liberté. Cependant, dans l’observation neutre et l’abandon du jugement, on relativise, on tempère, on harmonise, on comprend que tout n’est pas ou tout noir ou tout blanc, et que malgré les apparences, nos systèmes internes maintiennent l’équilibre nécessaire à la vie.

« Le sens caché des dépendances » par Olivier Soulier





Avant d’être vécue comme une difficulté, la dépendance constitue en premier lieu une phase physiologique normale du développement de l’être humain
L’œuf nouvellement fécondé, l’embryon, puis le petit enfant ne pourraient survivre si l’extérieur ne lui prêtait des moyens matériels, alimentaires et affectifs. Nous utilisons ces aides pour nous constituer.
La dépendance est donc au départ une nécessité et une bonne chose. L’extérieur pallie notre absence de moyens. Nous sommes donc au départ, dépendants, par la force des choses !

Le chemin de notre vie sera longtemps un chemin d’autonomie. C’est-à-dire un chemin pour apprendre à trouver en nous ce qui au départ nous venait de l’extérieur. 
Passer d’une dépendance nécessaire à une autonomie voulue et gagnée sur la vie : l’histoire fait fondamentalement partie de notre chemin d’apprentissage.

Tout au long de ce chemin vont se présenter de nombreux écueils parmi lesquels nous trouvons les drogues. Elles sont le plus souvent des substituts ou des déplacements à des dépendances non résolues.
En explorant le chemin de nos dépendances, nous visiterons les phases mal ou incomplètement vécues de notre existence. Quitter nos dépendances, c’est se libérer pour trouver pleinement le sens et les moyens de notre vie.

lundi 17 juillet 2017

« Ressentir l’énergie » Dr Luc Bodin





11 07 Comme j’en ai parlé hier ou avant-hier, je m’amuse à essayer de ressentir les énergies. Je parle d’amusement parce que c’est un exercice ludique de découverte de soi. 
Il ne s’agit pas de chercher à obtenir du pouvoir, à vouloir contrôler l’énergie en soi mais d’apprendre à se connaitre en profondeur, afin de pouvoir cocréer en conscience, en connaissance de cause puis d’augmenter aussi l’amour de soi, en soi. 
Une synchronicité venue comme un clin d’œil m’a ramenée à cet ‘exercice’ mais déjà comme l’effet des médicaments brouille l’écoute, le mental constate une fois de plus comment l’usage de ce produit est limitant. Et comme il n’aime pas cela, comme il agit toujours pour le mieux-être selon son point de vue, ce nouvel argument vient s’ajouter dans la balance avantages/inconvénients en penchant de plus en plus du côté des inconvénients.
Plus il remarquera de bénéfices à arrêter d’utiliser cette camisole chimique et plus ce sera facile de prendre une décision avec détermination parce qu'il sera convaincu que c'est le meilleur choix à faire. Cette force de conviction sera un atout majeur.

L’effort, la force de volonté ou la contrainte ne marchent pas dans mon mode de fonctionnement. Je l’ai remarqué plus d’une fois mais la conscience des avantages à faire certains choix plutôt que d’autres, ça, c’est toujours efficace. 
L’effet contraste qui découle du contexte de la dualité, offre une vision élargie qui permet de faire les choix qui nous correspondent vraiment, c'est-à-dire des choix qui nourrissent les besoins de tous nos corps et qui sont alignés à l'amour lumière intérieurs. 

jeudi 13 juillet 2017

« Les répercussions des pensées sur le corps » les Êtres de lumière via Monique Mathieu





« Dans un temps plus proche que vous ne le supposez, il y aura des écoles de formation pour apprendre aux élèves, entre autres, combien il est important de bien penser, car une mauvaise pensée ou une pensée qui n'est pas harmonieuse a un impact important sur votre vie et sur votre corps.

Il ne s'agit pas d'écoles de pensée telles qu'il en existe en ce moment sur votre planète, mais d'écoles totalement reliées à la spiritualité, à un niveau spirituel supérieur de celui qui est le votre actuellement. Cela n'aura rien à voir avec les religions ! Il s'agira de la connaissance de ce que sont les êtres, grâce à la pratique d'une élévation vibratoire, à la concentration et à la façon dont ils formuleront leurs pensées.

La médecine telle que vous la concevez actuellement n'existera plus parce que les êtres auront compris que toute nuisance dans leur corps physique commence dans leurs corps subtils et dans leur psychisme, qu'ensuite il y a somatisation dans leur corps de matière.
C'est à la fois bien plus compliqué et bien plus facile à comprendre ; il s'agit d'un déséquilibre vibratoire qui provoque des nuisances entre le corps physique et les corps subtils.

lundi 10 juillet 2017

« Pourquoi “ne rien faire” est en fait vital pour la santé » vidéo





9 07 Quand on est détaché de ce qui est, du corps physique, des évènements, des situations, des attentes, des pensées et des émotions, des réactions premières, la vie s’écoule avec aisance. 
Quand je compare ma vision actuelle et surtout mon état d’être général, avec ce que je vivais il y a un an ou même six mois, je peux mesurer l’immense différence qui tient juste à la capacité de lâcher prise. 
J’ai eu l’idée de poser ma main au niveau des chakras hier soir alors que je contemplais leur image affichée verticalement sur le mur de la chambre. Pour la première fois, je me suis dit, c’est ce que je suis. Avant je contemplais ces dessins comme si c’était extérieur à moi, comme si c’était une vague représentation de l’être mais hier soir, j’ai pris conscience subitement que ces portes sont en mon corps ou à quelques centimètres autour. 

Peu importe l’emplacement précis, ce qui m’a attiré, c’est de voir si je pouvais les sentir. Si je pouvais en ressentir la vibration et interagir avec eux. Déjà j’ai commencé par me dire  que je ne connaissais pas ceux du haut mais peu à peu, j’ai reconnu que seule mon ancienne vision me faisait croire cela. 
En fait, chaque chakra ou centre énergétique est relié aux autres et il semble qu’ils soient associés plus précisément en paires. 
Le chakra racine et le coronal, c’est l’être dans sa polarisation terre/ciel ou corps et esprit. Plus précisément, l’esprit c’est le soleil et ses astres, les énergies célestes, sans images. 
Puis du point de vue humain, cela se figure en archétypes zodiacaux, en archanges et en anges.