samedi 8 juillet 2017

« Penser en termes d’énergie et élargir son champs de vision » & vidéo Magali « Le masculin sacré »






05 07 Depuis le réveil, je me sens dans un espace immense de liberté. Tout s’écoule de façon fluide et je sens que cela vient du face à face de ces derniers jours avec le critique intérieur. 
L’écoute attentive, objective de cette voix et la libération des émotions associées ; colère, tristesse, sentiment de culpabilité, ont favorisé la libre circulation de l’énergie de vie, de l’énergie du désir. Alors tout naturellement, la confiance en soi et la détermination me propulsent dans l’action. Je me sens pousser des ailes, lol ! 
J’ai laissé le critique intérieur s’exprimer librement même dans la mauvaise foi juste pour que ces énergies puissent s’extérioriser, être en mouvement, sans chercher à ce qu'elle s'en aille, sans les fuir ou les faire taire. 
Le piège, c’est toujours de croire ces voix internes qui font écho à la conscience et l’inconscient collectifs. Savoir reconnaitre les voix en soi et ne pas s’y attacher, c’est être libre. 
C’est tout le propos de l’introspection, de l’écoute attentive des diverses voix internes qui mène à la connaissance de soi, à la reconnaissance de l’essence, de la présence silencieuse qui observe sans juger. Le vrai moi s’exprime au-delà de toutes ces paroles automatiques, il est unique et multiple à la fois.

C’est fascinant de pouvoir observer ce que nous sommes et comment les mécanismes internes, les énergies, sont vivants, mouvants et intelligents.
Tout comme un ordinateur demande des mises à jour et un nettoyage des poussières, notre corps, l’ensemble de nos corps a besoin d’un entretien régulier.

jeudi 6 juillet 2017

« La fraternité a imprimé l'étape initiatique pour que l'humanité se rappelle » St Germain reçu par Agnès Bos-Masseron





Avec quelle intensité êtes-vous présence ? La phrase en soi peut être initiation.
Nous n'invitons pas les personnes à se hisser par quelque effort surhumain dans une intensité inconnue de présence. 
Cela serait comparable peut-être à ces héros qui, enfermés dans la fosse aux lions, essayaient de se hisser le long d'un mur lisse, mus peut-être par la peur du rugissement ou la peur de l'anéantissement. Cela c'était sans doute au début de cette ère que l'on nomme chrétienne, cette ère qui a marqué le temps, car le temps semble avoir commencé au début de cette ère, le temps que vous comptez. 
Et maintenant peut-être, le début d'une autre ère ou la sortie des ères et le retour à cette évidence que Je Suis la présence que Je Suis.

Vous vous souvenez, nous vous l'avons dit et vous le redisons encore et toujours, à qui vous identifiez vous ? Et là encore, l'art est d'écouter et d'entendre, non depuis la personne qui voudrait se hisser au statut de l'Être au prix de quelque effort surhumain. Rassembler l'énergie n'est pas austérité, rassembler l'énergie est le fait de l'être qui se sait l'Être lumière.
Nous l'avons dit et l'avons redit, nous invitons à changer de paradigme. 
Comprenez bien, même si l'on veut parler depuis l'intérieur de la fosse aux lions, quels que soient les lions, l'ego lion peut-être, le mental lion peut-être, les émotions lions peut-être, même si l'on veut parler de l'intérieur de cette fosse, il n'est pas d'autre issue. 
Car comprenez-le, cette fosse est un rêve, une illusion.

mardi 4 juillet 2017

« Quand l’obstacle devient l’outil de connaissance, de libération et de réalisation »





2 03 Le contexte de ce monde où tout est polarisé nous permet de connaitre, de savoir qui nous sommes, de sentir les émotions, la portée et la puissance des pensées, la force de l’amour, de la paix, de l’unité. Quand on connait les fonctions des corps subtils et leurs facultés on peut alors les utiliser à bon escient.
Le mental qui peut se projeter dans le passé, dans l’avenir et dont les pensées ont une valeur, une intensité énergétique tout comme les émotions, peut créer l’enfer ou le paradis. Ces termes empruntés aux religions sont des images pour montrer le potentiel du mental-émotionnel et en même temps le principe de polarisation.
Dans l’observation neutre, on perçoit les facultés du mental, l’impact des pensées et des émotions sur notre état d’être, on apprend à reconnaitre le pouvoir de manifestation, de création.
Quand on passe ces moments sombres où les émotions difficiles ressurgissent, en gardant à l’esprit que cela nous enseigne les lois de la création et les outils de manifestation à notre disposition, on aborde avec plus de légèreté ces mouvements internes. 
Ce qui est difficile, c’est la vision qu’on a de soi et l’ignorance face à ce qui arrive parce qu’on interprète les faits selon les vieilles croyances. 
Dans cette perspective, il y a de quoi avoir peur et désespérer mais en prenant un peu de recul, on se place en observateur, en élève de la vie. 
On voit que la connaissance est à l’intérieur et que la communication avec l’âme est possible, réelle et permanente. 
On peut tout lui confier et la considérer comme une amie, comme notre meilleure amie, comme l’aspect de nous qui est au-dessus des mouvements chaotiques. Qui peut être en empathie par sa capacité à ressentir. C’est notre double sensitif et énergétique, l’aspect sensible, extrasensible dont le cœur est le siège, la voix. Une vibration qui se ressent dans le ventre tout autant que dans le cœur.

dimanche 2 juillet 2017

« La paix du cœur, une ancre nécessaire en ces temps de chaos »





1 07 Tout ce que j’ai écrit ces derniers jours peut donner l’impression que la libération des anciennes croyances et des rôles, l'harmonisation des émotions, est un processus interminable voire impossible mais il n’en est rien. 
Comme ce processus affecte toutes les couches subtiles de l’être jusqu’au corps physique et puisque tout est lié, ces ajustements sont progressifs et nécessairement de plus en plus profonds. 
La matière qui nous permet de faire ce processus est toujours la même : le trauma qui créé les blessures ou qui les active, est le déclencheur de croyances et de stratégies, il reste le même et il faut le revisiter sous tous les angles pour le transformer en lumière et en amour. Ressentir chaque émotion pleinement et sans attache, sans l'enfermer dans de nouvelles croyances afin que l'équilibre s'installe. 

Les pensées récurrentes de la victime, du bourreau et du sauveur sont entendues un nombre considérable de fois et ce qui nous en libère, c’est le détachement progressif qui s’opère pas à pas. 
On passe de la peur à la consternation, à la colère, la tristesse, le découragement et chaque fois que ces émotions sont accueillies, leur pendant est intégré puis peu à peu l’équilibre et l’harmonie s’installent. 
Le fait d’entendre toujours les mêmes pensées de victime alors qu’on veut lâcher ce rôle nous fait passer par tous les états émotionnels et c’est précisément là l’opportunité de changer la relation à soi, à ses corps subtils et donc de s’élever vibratoirement. L'occasion de lâcher tout, de ne plus s'attacher à ces mouvements internes.

samedi 1 juillet 2017

« Quel est le sens de la maladie ? » vidéo Daniel Miron





Quand je parle de changement intérieur, c’est clair que cela se réalise à des niveaux très profonds et comme le dit Daniel Miron dans la vidéo suivante, c’est dans le subconscient que ce changement s’effectue. 
Je distinguais mal la différence entre l’inconscient et le subconscient, disons que je ne voyais pas trop l’intérêt de savoir cela. Du moins, je vais à l’essentiel, au processus de libération qui passe par l’observation neutre et l’accueil de l’émotion associée à la croyance, à la blessure.
J’ai dormi trois heures d’affilée hier après midi alors que j'avais "fait ma nuit" et je suppose que c’est la conséquence du changement vibratoire. Je note déjà que mes rêves n’ont pas évoqué l’enfance dans le sens où les personnages familiaux n’apparaissaient pas mais à bien y regarder, la peur d’être manipulée, abusée se manifestait tout de même. Je croyais avoir été volée mais ça n’était pas le cas. Il y avait toute l’apparence d’un vol, porte d’entrée enfoncée mais il ne manquait rien à l’intérieur. 

Cela est significatif et rejoint la pensée de Daniel Miron dans le sens où ce qui nous poursuit de notre enfance et crée des maladies, c’est l’interprétation des faits d’alors. La projection de la croyance et plus celle du trauma. 
Ce qui a été mis en scène dans ces deux rêves où à chaque fois la peur d’être volée s’exprimait, c’est justement le mode de pensée, la croyance élaborée sur l’interprétation des faits et les stratégies employées pour se préserver. En l’occurrence l’accusation et le repli sur soi. 
Concernant la différence entre l’inconscient et le subconscient, il semble que ce dernier soit la mémoire émotionnelle des faits, et les croyances qui ont été élaborée alors. L'un est universel et l'autre subjectif. 

jeudi 29 juin 2017

« Le changement commence à l’intérieur et se répercute naturellement à l’extérieur »





27 06 Une conversation téléphonique avec ma sœur a fait remonter à la surface de vieilles croyances et les énergies de victime, de jalousie, donc de dépréciation de soi mais comme je confie tout à la source sans douter d’être entendue et comprise, je peux aller plus en profondeur et lâcher prise. Je devrais dire comme j'observe cela sans m'y identifier, comme s'il s'agissait d'un autre moi, ou de l'ancien moi, je peux voir comment j’ai associé des idées à des situations vécues et comment celles-ci ont façonné ma personnalité ou du moins comment elles ont formé des croyances qui ont conditionné ma vie. 
La conscience qui observe en silence ne souffre pas de ce qu'elle voit parce qu'elle ne juge pas ce qui est. Elle connait l'humain et ses limites et la reliance filiale est remplie de compassion.

Quand on ne s’attache plus aux anciens modes de pensées, on peut observer ce qui nous traverse et mieux comprendre comment nous sommes faits, comment nous créons notre vie selon des croyances fausses pour la plupart.
Une croyance est une interprétation des faits qui doit être provisoire ou au moins actualisée régulièrement. Mais très souvent, on la considère comme une vérité absolue et on s’y attache comme à une bouée de sauvetage. 
J’ai souris en lisant le message de Vera Ingeborg lorsqu’elle dit « je croyais avoir tout compris » parce que non seulement c’est présomptueux mais c’est aussi caractéristique du mode de fonctionnement du mental. 
Il a besoin de certitude, de ranger tout dans des cases, mais quand on a la foi, ce qu’on ressent, ce qu’on pressent est si difficile à cerner parce que ça n’entre pas dans une case, ça ne peut pas être limité et quand on veut l’interpréter, on est forcément à côté de la réalité. Ou du moins notre interprétation est subjective et très relative.

mardi 27 juin 2017

« En Attente » Vera Ingeborg (Les Énergies de Mars* et leur Puissance cachée)





Pffffhhh, la course délirante continue et les énergies continuent sans relâche à nous pousser en avant. Il y a vraiment des moments où nous préférerions juste être cachés sous les couvertures jusqu’à ce que cette période dense soit terminée, et puis elle est suivie par une vague de bonheur qui nous emmène au ciel pour nous faire retomber une fois encore. ‘Quel cirque’ est tout ce que nous pouvons penser ces jours-ci. 
Nous évoluons et nous avançons si vite que nous ne pouvons guère suivre les changements. Chaque jour, nous nous sentons différents et pourtant en même temps nous sentons que nous ne sommes pas capables de prendre des décisions. « Est-ce que j’attends ou est-ce que j’y vais maintenant » est le thème commun pendant cette période de Vénus rétrograde.
Même si nous savons tous au fond de nous qu’il doit en être ainsi et que nous sommes les premiers à passer afin d’ouvrir la voie pour que les autres puissent suivre, nous pouvons parfois avoir l’impression que c’est trop pour nous. Tout ce que nous voulons, c’est rentrer chez nous, partir pour ne plus avoir à ressentir quoi que ce soit. Après chaque grand bloc déblayé du chemin, il semble qu’il y en ait encore plus. « Chaque fois que je pensais avoir tout compris, j’ai dû apprendre et accepter: non, il y a plus ». Ces mots de Dolores Cannon font écho à notre expérience du moment. En plus des symptômes physiques, le désespoir et les questions lancinantes de « Quel est le but de tout cela? Pourquoi ai-je signé pour ça, est-ce que ça va s’arrêter un jour? » nous accompagnent.