"Nous
allons revoir quelques passages de l'enseignement que nous vous avons offert.
Si
nous voulons faire un petit retour en arrière, c'est parce que les êtres
humains oublient avec une facilité déconcertante ce qu'on leur a
enseigné !
Tout est enregistré au niveau de leur inconscient, mais sur
leurs épaules il y a la pesanteur de la troisième dimension et une grande
difficulté à lâcher complètement ce qui a été vécu.
Nous
allons essayer de souligner ce qui est nécessaire actuellement, afin que vous
puissiez réviser et peut-être vous poser les bonnes questions.
Vous
parlez du pardon. Les humains ont parfois la capacité de se voiler la face
parce qu'ils ne veulent pas voir ou entendre ; ils ne veulent surtout pas voir
ce qu'ils sont, ils ne veulent surtout pas voir ce qu'il y aura demain ou
après-demain sur leur chemin.
Bien
sûr, il faut qu'ils puissent vivre l'instant ou le moment présent, et le vivre
intensément ! Il faut aussi qu'ils aient la capacité de préparer la
prochaine étape évolutive de leur vie.
Si
nous souhaitons faire un petit retour en arrière par rapport à l'enseignement,
c'est parce que les êtres humains vivent certaines énergies qui les perturbent,
qui les fatiguent et qui leur donnent parfois l'impression de ne plus avancer.
Il
est bien évident que, lorsque leur corps de matière est bougé, perturbé par un
afflux important d'énergies, ils n'ont pas toujours la capacité de tout
intégrer. Cela génère de la fatigue, des doutes, des remises en question ;
cela peut également générer des petites culpabilités parce qu'ils ont
l'impression de ne plus être capables d'avancer sur ce chemin ; cela peut aussi
les rendre tristes.