dimanche 29 janvier 2017

« Du modèle à l'exemple » Magali Magdara





S'incarner dans l'Oubli demande de tout réapprendre, construire des repères, poser des jalons pour se blottir dans un vêtement de sécurité. Nous cherchons tous le confort, le bien-être. Nous nous enseignons à trouver un sentiment d'aise et à le protéger à tout prix. 

Pour cela, nous commençons par quérir un modèle. Un modèle est la validation d'un ensemble de codes et d'apparences qu'il nous est possible de dupliquer à notre profit et qui sera reconnu par d'autres. 
Un modèle apporte un sentiment d'appartenance à un groupe, une société. 
C'est un but ostensible à atteindre, qui devient un statut à conserver. 
Nous l'utilisons comme réponse à toutes nos questions, et nous nous appliquons à nous conforter à ses limites. Nous nous soumettons à l'extérieur pour mieux endormir nos velléités intérieures qui nous dérangent.
 
Le modèle est notre premier pas vers nous-même. Notre enfance détermine les potentialités d'accueil de l'Inconnu. Et comme nous venons d'un monde qui ne supportait pas jusque-là le vide, les questions sans réponses, nous avons intégré très tôt que ne pas savoir était un signe de faiblesse, voire une condition de rejet.

« Résoudre l’équation: besoin vital et satisfaction de celui-ci, par le mouvement intérieur » & vidéos EFT





28 01 Quand on entend dans les milieux spirituels ou ceux du développement personnel, qu’il faut s’aimer en totalité, on se trouve souvent dérouté parce qu’on peine à savoir comment faire concrètement.

Pourtant on peut le savoir de façon simple en considérant notre comportement avec les autres, avec les enfants lorsqu’on est parent, avec nos amis, ceux en qui nous avons totalement confiance ou encore lorsqu’on fait preuve d’empathie envers les animaux. 

Avoir ce même regard sur soi, pouvoir entrer en compassion envers les aspects intérieurs qu’on a tendance à voir comme inférieurs, c’est manifester de l’amour pour soi.
Évidemment cela demande à être installé en profondeur en soi, jusque dans l'inconscient et à s’appliquer chaque fois qu’on se critique, qu’on se juge. 

En s’écoutant penser lorsqu’on sent un malaise intérieur ou simplement en faisant attention à nos pensées et en reconnaissant que lorsqu’on ressasse, lorsqu’on se juge, cela signifie que le besoin de paix et d’amour se fait sentir, on va peu à peu lâcher cette habitude très ancrée de se martyriser.

samedi 28 janvier 2017

« Avancez avec confiance » les guides de l’unité via Daniel Desjardins





Très chers amis humains,
C'est avec Amour que nous nous adressons à vous aujourd'hui. 
Nous vous invitons à nous rejoindre en ce moment en cet espace de Paix. 
Il y a dans votre monde en ce moment beaucoup d'émotions, beaucoup de chamboulements, beaucoup de dualité et cela entraine chez certains des excès de frustration, de rage, chez d'autres cela entraine du désespoir, de la peur. 

Nous vous invitons à redécouvrir la flamme en vous qui est toujours Paix et Amour. 
Votre source est toujours Amour et elle vous accompagne toujours. 
Votre esprit et votre mental se laissent entourbillonner par tout ce brouhaha extérieur, par tous ces chamboulements et ces émotions qui sont comme des vagues qui viennent se frapper à vous. 

Nous vous invitons à faire le vide, être simplement présents, amener votre attention au niveau de votre cœur et nous laisser vous guider à reconnecter à votre source, car ce ne sont pas vos jugements ni vos frustrations qui vont amener la paix sur cette Terre et créer cette nouvelle Terre. 
C'est plutôt votre compassion, votre Amour inconditionnel de tout ce qui est et votre Paix. À travers cela vous viendront de nouvelles idées, de nouvelles solutions à ce que vous vivez.

vendredi 27 janvier 2017

« Les neurosciences rejoignent, éclairent, expliquent les enseignements spirituels »






26 01 Comme à chaque fois que je lâche le jugement, quand j’arrête de rechercher un coupable, que ce soit mon corps physique, mon mental, mon corps émotionnel ou quelqu’un d’extérieur à moi, quand je lâche les questions et les accusations…, quand je dis "oui" à ce qui se manifeste à l’intérieur, la paix et la confiance reviennent. 
Puis les cadeaux pleuvent, tout se débloque, la vie devient douce ; magique même, simplement parce que je suis passée de la tête au cœur, de la résistance à l’acceptation. 

C’est toujours le même scénario, quelque chose me contrarie mais je lutte en commençant par vouloir retrouver la paix à tout prix, en changeant mes pensées, en bloquant mes émotions au lieu de simplement écouter, observer et laisser passer la vague. 

Le lâcher prise, l’abandon du jugement deviennent cependant un besoin lorsque l’émergence de la colère, de la tristesse ou du sentiment d’injustice m’ont poussé à bout et je reconnais en cela la dynamique des contraires qui m'amènent justement au centre. 
C’est en apprenant à tout lâcher, les raisonnements, les attentes, qu’une ouverture se créé et que je peux alors recevoir les réponses, les solutions, la clarté, les idées et le désir d’avancer, se manifeste à nouveau tout naturellement. 

En prenant cette habitude de mettre le mental de côté, de ne plus écouter les anciennes croyances ou de ne pas essayer de le changer, cela devient un réflexe naturel et tout est facilité. J’y trouve plus de foi, d’entrain, de force et de confiance dans ce choix essence-ciel de dire "Oui" à ce qui est. Et les réponses viendront nécessairement...

mercredi 25 janvier 2017

« Oser lâcher toute forme de jugement et se laisser porter par la grâce »





20 01 Dans le désir d'abandonner toute forme de jugement, l’offrande à la source des croyances basées sur le notion de division, l’association malheureuse entre le comportement de l’homme et l’énergie masculine, de nouvelles infos viennent répondre à ma demande. Des infos qui me montrent les choses de façon plus objective au niveau de l'énergie mais aussi les pensées injustes que je continue de nourrir. 

Ces pensées souvent inconscientes ou tellement habituelles qu'on ne les remet pas en question mais elles limitent la libre circulation de l'amour en soi et nous maintiennent dans l'identification aux rôles du triangle de Karpman, aux rôles de victime, de bourreau et de sauveur.

En effet dans le désir de laisser tomber les conditionnements, les croyances, au sujet du masculin tout comme au sujet du féminin puisque le mental en associant la forme à l’énergie selon ce qu’il voit, fausse la réalité, la réduit, des réponses ou infos viennent tout simplement par la guidance, l’élan spontané. 
Et la première chose qui est mise en évidence, c'est le caractère injuste du jugement, le fait que cette approche nous limite, nous enferme, nous empêche vraiment de sentir l'amour et de voir ce qui est, de façon juste. On interprète les faits selon la position de victime.

Cette courte vidéo bien que ce soit une pub pour l’énergie des éoliennes, rappelle les attributs des forces de la nature, des éléments qui nous composent et qui maintiennent, façonnent la vie sur notre planète. 
C'est un bon moyen de mettre à jour les croyances et de revenir à la simplicité mais néanmoins extraordinaire puissance de l'énergie, de l’Être, de l'invisible et du potentiel créatif qui s'ouvre à chacun.
Libérons l'énergie du vent !

mardi 24 janvier 2017

« Les sensations et leur pouvoir de transformation » Simon Leclerc




 
Écrit le 22 janvier 2017
Bonjour à tous,
Je suis heureux de revenir vers vous pour vous partager un nouveau volet des enseignements que j’intègre graduellement dans ma propre vie. En vérité, le fait de vous les partager m’aide à mieux les comprendre, car cela m’amène à les organiser sous une forme plus compréhensible.
Il existe autant de chemin d’évolution qu’il y a d’humains sur la Terre. Chacun observe la vie à travers le prisme de son propre vécu et de ses expériences, et ce que nous nommons l’évolution est en fait l’accumulation de cette sagesse acquise au cours de notre parcours de vie (qui comprend bien sûr les vies passées). En cours de route, les situations que nous expérimentons nous permettent de mieux nous connaître, car les états qu’elles soulèvent nous poussent à l’introspection.
 
Quand nous observons notre vie, la plupart d’entre nous considérons être plus sage aujourd’hui que nous ne l’étions il y a de cela quelques années. Nous connaissons une progression naturelle qui fait en sorte que nous apprenons de nos expériences, grandissant ainsi en sagesse et en conscience à chacun de nos pas.
 
Les êtres que nous rencontrons sur notre chemin nous permettent de mieux nous observer, car ils nous reflètent ce qui, de nous, cherche à être stimulé, éclairé. Tant ce qui nous fascine d’eux que ce qui nous irrite nous parlent de nous. Dans tous les cas, nous les attirons consciemment, ou inconsciemment, afin de servir notre évolution.
 
L’engagement concret
Personnellement, je situe la ligne qui sépare le «touriste spirituel» de l’être véritablement engagé sur son parcours d’évolution au niveau de sa capacité à se responsabiliser. Croire en la vie après la vie et à l’invisible est une chose. Mais comprendre et accepter vraiment que tout ce que l’on vit sur Terre, de l’événement le plus joyeux au plus malheureux, est créé par nous, consciemment ou inconsciemment, est beaucoup plus engageant.

« L’intelligence du mental ou les mille et une stratégies d’évitement »





22 01 En lisant ce titre on pourrait croire que je méprise le mental et ses stratégies mais en fait, dans l’observation tant des mécanismes intérieurs que de ce qui se passe dans le monde, sur les réseaux sociaux, je vois la belle intelligence de cet aspect de l’être. 
Sa capacité d’imagination qui se développe dans des stratégies d’évitement des plus fines aux plus évidentes mais aussi sa participation active dans l’éveil des consciences, la révélation des lois universelles, et ici plus particulièrement, la loi de résonance.

Le fameux effet miroir dont on parle de plus en plus, nous est révélé continuellement et selon nos réactions, on peut savoir que des émotions sont à vivre à l’intérieur, sans s’y attacher.

C’est toujours le même principe : quelque chose en moi est douloureux, incompris, une émotion a été refoulée et la vie, les expériences, les autres, le monde, me le montrent en direct live. 
Ainsi, le mental projette vers l’extérieur ce qu’il ne peut pas comprendre, puisque l’émotion c’est de la pure énergie, de l’énergie brute qui a juste besoin de bouger. Cette capacité à projeter nos émotions vers l'extérieur, nous montre non seulement la force de l'attention, de l'intention mais elle révèle aussi la loi de résonance.

Le mental peut observer à l'intérieur, l'émotion qu'il a projeté vers l'extérieur mais trop souvent on la juge, on veut la retenir et ainsi on la bloque, on bloque la libre circulation de l’énergie de vie, de la source. Le mental, extension de la conscience, en tournant son attention vers l'intérieur, va pouvoir comprendre la valeur de l’émotion, en reconnaitre le goût, le mouvement et la portée. 
On en verra le caractère éphémère, changeant et le mouvement de la Vie, au-delà de la dualité, de la résistance...