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01 En
lisant ce titre on pourrait croire que je méprise le mental et ses stratégies
mais en fait, dans l’observation tant des mécanismes intérieurs que de ce qui
se passe dans le monde, sur les réseaux sociaux, je vois la belle intelligence
de cet aspect de l’être.
Sa capacité d’imagination qui se développe dans des
stratégies d’évitement des plus fines aux plus évidentes mais aussi sa
participation active dans l’éveil des consciences, la révélation des lois
universelles, et ici plus particulièrement, la loi de résonance.
Le
fameux effet miroir dont on parle de plus en plus, nous est révélé
continuellement et selon nos réactions, on peut savoir que des émotions sont à
vivre à l’intérieur, sans
s’y attacher.
C’est
toujours le même principe : quelque chose en moi est douloureux,
incompris, une émotion a été refoulée et la vie, les expériences, les autres,
le monde, me le montrent en direct live.
Ainsi, le mental projette vers
l’extérieur ce qu’il ne peut pas comprendre, puisque l’émotion c’est de la pure
énergie, de l’énergie brute qui a juste besoin de bouger. Cette capacité à projeter nos émotions vers l'extérieur, nous montre non seulement la force de l'attention, de l'intention mais elle révèle aussi la loi de résonance.
Le mental peut observer à l'intérieur, l'émotion qu'il a projeté vers l'extérieur mais trop souvent on la juge, on veut la retenir et ainsi
on la bloque, on bloque la libre circulation de l’énergie de vie, de la source.
Le mental, extension de la conscience, en tournant son attention vers l'intérieur, va pouvoir comprendre la valeur de
l’émotion, en reconnaitre le goût, le mouvement et la portée.
On en verra le caractère éphémère, changeant et le mouvement de la Vie, au-delà de la dualité, de la résistance...
Cette
vidéo de Prince Ea illustre ce principe de l’effet miroir dont chacun peut
sentir la véracité s’il est sincère avec lui-même. Ce qu’il dit peut sembler
moralisateur ou accusateur si on est identifié au rôle de la victime ou du
sauveur ou si on perçoit le divin, l’amour inconditionnel comme une idéologie
associant le bien à dieu.
On peut s’imaginer qu’il nous faut faire le bien pour
manifester l’amour que nous sommes, suivre un modèle de perfection et penser
que cela résulte de notre intelligence, de notre évolution mais je ne pense
plus vraiment de cette façon.
L’amour, c’est notre essence, notre nature
véritable et elle ne s’exprime pas dans la contrainte ou dans l’obligation. Si
on veut incarner l’amour, déjà, on est dans l’idée qu’il faille agir pour qu’il émerge, qu'il dépend de nos actes, qu'il faille le mériter en quelque sorte.
La
sagesse n’est pas l’intelligence intellectuelle, c’est la conscience éclairée,
omnisciente, omnipotente qui habite tout être vivant et qui se manifeste
naturellement en chaque individu, être, qui est transparent, vrai, qui est
entièrement lui-même.
Les animaux expriment le plein potentiel à leur
disposition, ils remplissent la mesure de leur création. En tant qu’humain, on
pense être supérieurs aux autres règnent parce qu’on est capable de penser, de
réfléchir et de dominer mais on sait maintenant qu’on utilise seulement 10% des
capacités de notre cerveau et nous sommes champions dans l’art de la feinte, du
mensonge, de la superficialité.
Je
ne suis d’ailleurs pas allée au bout de mon raisonnement concernant les émotions
dans le texte publié ce matin parce que l’idée que le déclencheur de l’émotion
dans le présent, me ramène à l’émotion refoulée dans l’enfance, ne fait pas non
plus de mon père le problème où la raison de mon mal-être.
Il est aussi un
déclencheur, celui qui a initié le processus de refoulement des émotions mais
il n’est pas vraiment la cause du mal-être.
La véritable cause c’est le fait de refouler
l’émotion, de bloquer l’énergie de vie en soi.
De s’en couper et en même temps de
s’insensibiliser puis de s’identifier au mental.
Le fait de créer une scission
entre les aspects internes nous plonge dans la dualité et le déni.
On plonge
dans l’oubli de notre nature véritable en se coupant de notre ressenti et en
adoptant des stratégies qu’on associe à notre personnalité et à laquelle on
s’identifie de plus en plus, à mesure qu’on grandit
On
pense qu’aimer, ça veut dire faire du bien à l’autre mais à mon sens, ça
commence par être vrai avec soi-même et avec les autres. Savoir que l’autre
éveille en soi des émotions refoulées et que c’est une occasion de se tourner
vers l’intérieur, va nous éviter de projeter nos peurs, jugements sur l’autre,
on va apprendre à vivre en paix et dans la transparence, dans la sincérité déjà
avec soi-même.
On pourra alors dire ce qu’on pense et ressens à l’autre, sans
l’accuser, sans chercher à le convaincre parce qu’on aura pacifié nos mondes
intérieurs. Dire ce qu’on pense vraiment sans craindre la réaction de l’autre
mais simplement pour pouvoir dialoguer, communiquer, s’instruire dans
l’échange.
Puis en sachant que ce que l’on ressent, la peur qu’on éprouve à
l’idée d’être rejeté, est à assumer, à embrasser et que c’est de cette façon
qu’on va pouvoir communiquer de façon juste, claire, dans l’amour, de cœur à
cœur, dans la vérité de ce que nous sommes, on se responsabilise et on ne
risque pas de projeter nos jugements sur l’autre.
Mais
cela demande d’abord de ressentir, de prendre la responsabilité de notre
ressenti, de savoir que celui-ci nous invite à nous tourner vers l’intérieur
pour y trouver la clarté qui vient quand l’émotion est pleinement vécue, sans
attachement ou raisonnement quelconque.
On
a tellement basé nos croyances sur de faux concepts qu’on a falsifié l’énergie,
on l’a distorsionnée. En partant du principe que l’humain est mauvais et en définissant
ce qui est bien et ce qui est mal, on s’est enfermé dans des jeux de rôles,
identifié au personnage de surface en reniant tout ce qu’on a considéré comme
mauvais.
On s’est dénaturé dans tous ces jeux de rôles jusqu’à avoir peur de
nos propres émotions, de nos pulsions. On a fait de la terre un véritable enfer
accusant les autres, rejetant tous ceux qui éveillent nos ombres, les
qualifiant de mauvais, de diaboliques.
On a créé le paradis et l’enfer non
seulement sur terre mais aussi dans l’astral, simplement pour ne pas faire face
à nos émotions, nos aspects jugés mauvais, nos pulsions sexuelles, notre désir
coupable.
Les
plus intelligents, ceux que le mode d’évaluation qui mesure le quotient
intellectuel va mettre en dessus, et ceux qui s’enrichissent le font par la
spéculation, utilisant leur supériorité intellectuelle pour manipuler les
masses. Tout ça pour ne pas se trouver nu, face à nos peurs, nos
incompréhensions, le paradoxe et le conflit interne entre les forces
élémentaires.
Pour
connaitre la source, l’unité, il faut connaitre les éléments qui la composent
et goûter cette unité intérieure. De même que les forces qui nous traversent
ont besoin d’être senties et harmonisées dans l’accueil de ce qui est.
WHY
IM HAPPY TRUMP WON
Je
reprochais souvent à mon âme d’être le jouet de ses expériences et ça m’arrive
encore tellement je panique face aux émotions dites négatives.
Déjà en portant
un regard plus neutre sur celles-ci, en sachant que c’est de la matière subtile,
de la pure énergie, ça me donne le courage d’oser les ressentir.
Et même si je
continue de les réprimer avec les cachets, l’envie de lâcher cette carapace
grandit à mesure que je comprends mieux les choses.
Je
ne me reproche plus de manquer de courage à l’idée d’affronter ou plutôt de
ressentir la colère, la tristesse parce que c’était tellement intense quand j’étais
adolescente que je n’avais pas d’autre choix que de m’en couper.
En
ce sens le fait d’accéder à ce monde de l’émotion à petites doses est une idée
inspirée par mon âme qui me réconcilie avec elle. L’idée d’être une marionnette
qui est manipulée par l’âme/l’inconscient puisque c’est elle qui orchestre
tout, se dissout peu à peu par le fait de sentir sa présence lorsque l’effet
des cachets s’estompe.
Puis le fait que le matin tout me semble clair et facile
est aussi stimulant, je vois que je peux me/lui faire confiance, que je suis plus à
l’aise quand je suis présente et lucide.
Les cachets ne me rendent pas
inconsciente mais comme ça m’insensibilise, je suis plus dans ma tête et donc
limitée dans l’action.
Le fait de pouvoir observer cela, les différents états
d’être et les conséquences ou la façon dont cela influence la vision, l’action,
me montre tout autant la valeur du ressenti que la bienveillance de l’âme et le
fait que cette incarnation ne soit pas une punition, un parcours du combattant
à suivre en peinant et dans la solitude.
Cela me montre que je suis guidée,
accompagnée et que lorsque mes corps sont alignés, lorsque je suis présente à
ce que je ressens je perçois la présence de mon âme, sa vibration. Quand je me
fie à cela, je ne doute de rien, j’agis sans me poser de question, tout est
fluide. C’est de cette façon que je prends confiance en mon âme, en son
intention bienveillante à l’égard de la personnalité, en son amour et sa
sagesse parce que la vie m’a appris que ce sont des choses qu’on n’obtient pas
ni par la contrainte ni en le décrétant. Ça ne se mérite pas puisque c’est
notre essence, notre nature véritable.
J’ai
le choix de me croire isolée, impuissante, victime, tant vis-à-vis de la vie, de
l’âme, du mental, que par rapport aux autres ou d’oser être pleinement moi-même et de
constater l’unité intérieure, la guidance et la puissance de l’amour lumière.
Être pleinement moi-même en ne reniant aucune des sensations qui se présentent sans
pour autant m’y attacher ou vouloir les retenir. Et sans me coller aucune pression, en prenant le temps de comprendre, d'intégrer, sans me faire violence.
Ce qui m’empêche souvent de
ressentir une émotion, une sensation, c’est de vouloir en comprendre le sens,
l’origine, la raison et ce faisant, je bloque l’énergie de vie, je me coupe de
la source vivante.
Ce
n’est pas par hasard si on utilise ce terme pour décrire le divin parce que le
sens est double, il désigne tant l’origine essentielle que la Vie, le
mouvement.
Pas étonnant non plus que je ne sente pas de motivation à agir quand
je bloque le courant de l’énergie vitale en refoulant ou en anesthésiant les
émotions.
On parle aussi des émotions comme d’un GPS parce que c’est une forme
de guidance de l’âme qui justement évite de se perdre dans les raisonnements du
mental.
Les émotions sont le carburant, l’essence de la vie, la motivation qui
pousse à agir et si je limite leur expression, je limite en même temps le débit
de la source.
Bien que ça puisse sembler logique ou évident, on est sans arrêt
à bloquer ce qu’on ressent ou à en limiter l’expression. Pas étonnant de
manquer de motivation, de goût de vivre, de se sentir impuissant, divisé et de souffrir de la blessure de trahison.
Et comme je
le disais hier, au début de cet article que je reprends ce matin après une longue
nuit de sommeil, enfin !, le mental a élaboré quantité de stratégie
d’évitement.
Le jugement, le contrôle, la projection de nos sensations émotions
vers l’extérieur, sont autant de moyens de ne pas ressentir la vie en soi.
Comme
si le mental avait besoin de voir l’effet des émotions sur l’extérieur, sur les autres, pour en comprendre le sens.
Et ce qui est paradoxal c’est que le jugement limite la circulation de
l’essence vitale mais en même temps, il est la cause du mal-être, il est à la
fois la cause et l’effet.
La cause parce
qu’il bloque l’énergie en retenant l’émotion, en la sélectionnant et l’effet
parce que cela amplifie le mal-être, la sensation de manque, celle d’être
manipulé. En focalisant l'attention vers l'extérieur il nourrit le déni et donne de l'énergie à ce qu'il ne veut pas sentir.
Le
remède c’est toujours la compréhension ou la lumière, la nécessité de calmer le
mental, de faire en sorte qu’il puisse s’ouvrir à la lumière, qu’elle l’éclaire
afin qu’il prenne confiance en l’émotionnel.
Et cette confiance vient dans
l’abandon du jugement, l’expérience, la connaissance par l’observation neutre.
"Cher
mental, on essaie aujourd’hui de juste ressentir l’émotion sans lui coller
d’étiquette ? De la ressentir pleinement ? Et toi tu te contentes
d’observer en silence. On se libère ainsi concrètement, des jugements qui ont
fait des émotions des objets dangereux pour juste ressentir et savoir par nous-même.
Après tout, on est venu ici pour ça alors autant jouer le jeu. Et on se fout
aussi de savoir où ça nous mène puisque l’émotion est éphémère, changeante,
l’énergie est en mouvement perpétuel alors on ne risque pas d’être coincé,
enfermé, il n’y a en fait aucun danger.
On la sent cette brûlure à
l’estomac plutôt que de prendre un premier bout de cachet ?
On focalise
l’attention dessus et tu peux éventuellement essayer de décrire ce que ça fait…ça
bouge, la sensation, une pointe douloureuse est maintenant dans la tête puis ça
baille, ça baille, ça baille…
Après
« juste pour voir » ce que ça fait de ne plus juger, « juste
pour sentir » ce que ça fait de ne pas retenir ni juger ou attendre quoi
que ce soit.
C’est une façon de s’habituer à tout lâcher, de se familiariser
avec ce monde des sensations et de les considérer sous un angle nouveau. Ça me
rappelle une vidéo d’accompagnement de Darpan…Puis
l’idée que cette vie est une illusion puisque ce qui nous traverse est
éphémère, changeant, ce que nous vivons n’est pas figé et c’est en constante
évolution pour peu qu’on ne s’arrête pas sur une pensée, une émotion, un fait.
Je
pense à un truc, sachant que l’énergie n’a pas de limite, il semble logique,
selon le degré de sensibilité des personnes avec qui je suis en contact, en
l’occurrence que les hommes, tout comme le chat, sentent cette colère rentrée
vis-à-vis de la gente masculine et que cela influence leur comportement à mon
égard.
Cela ne veut pas dire que je vais changer les choses en leur envoyant
des pensées d’amour et de lumière mais plutôt qu’en acceptant de sentir la
colère en moi, la charge énergétique ne sera plus projetée vers
l’extérieur…c’est à voir…euh à sentir, lol !
Ce texte trouvé à l’instant
su facebook me parle tout comme le dernier message de Simon Leclerc qui est en
parfaite résonance avec mon raisonnement au sujet des émotions.
Là encore, pas
de hasard et cela vient m’aider à clarifier ma vision ou ma compréhension
mentale tout en démontrant la similitude de l’info qui parvient par vague aux
êtres qui la digèrent, l’intègrent, arrivant aux mêmes conclusions.
"Vous êtes venu pour modifier et supprimer la
fréquence de limitation et pour introduire la fréquence d’information. Lorsque
vous êtes informé, vous dépassez le besoin d'avoir peur. Lorsque vous vous
sentez mal informé et hors de contrôle, vous ne comprenez pas le plan plus
vaste.
Chacun
d'entre vous est venu afin d’éveiller quelque chose en vous-même dans
l’encodage de votre Être, dans votre ADN, et c’est ce que vous faites.
C'est
pourquoi vous êtes en recherche dans toutes les directions de votre vie.
Vous
et une multitude d'autres ont commencé un processus de mutation sur la planète.
Alors que vous mutez électromagnétiquement, vous modifiez votre fréquence ou ce
que vous émettez. Vous finissez par dépasser la fréquence qui vous maintient
vers le bas et qui vous déstabilise continuellement en vous mettant dans le
chaos et la confusion.
Enfin,
lorsque vous modifiez, portez et maintenez votre propre fréquence, vous vibrez
différemment et vous affectez tous ceux qui sont autour de vous. Ils ressentent
la disponibilité de cette modification de fréquence qui se répand alors comme
une vague autour de la planète.
Alors
que la planète accepte cette nouvelle fréquence pour laquelle vous avez travaillé
très dur, elle est reçue par ceux qui sont à la fin de la chaîne de dominos.
Cette
nouvelle fréquence est appelée connaissance, lumière et information.
On
l'appelle être sorti de l’asservissement.
Vous
êtes sorti de la désinformation et des fausses informations et vous devenez
informé ... vous arrivez dans la lumière.
~
Les Pléiadiens
Par Barbara Marciniak
Transmis par Saskia Waheina
Traduit par TransLight https://www.facebook.com/TransLight☼
Par Barbara Marciniak
Transmis par Saskia Waheina
Traduit par TransLight https://www.facebook.com/TransLight☼
Plus
de lumière ou de compréhension nous donne les moyens d’être plus responsables,
autonomes et j’en reviens toujours à la nécessité de purifier le mental,
l’émotionnel.
Le mental en abandonnant le jugement, la résistance et
l’émotionnel en apprenant à laisser l’émotion, l’info, l’énergie, circuler
librement.
Rien de nouveau en théorie mais comme toujours, ça s’actualise en
appliquant, en vivant ces hypothèses jusque dans les profondeurs de l’être…en
confiance…une confiance basée sur la reconnaissance de la présence de l’âme ou
de la source….qui mène à la fluidité, la souplesse d’adaptation de tous les
corps unifiés. Et on peut dire que ce sont les attributs les plus utiles étant
donné les bouleversements planétaires, sociaux, culturels…
La
sagesse, à mon sens c’est de reconnaitre l’être et les lois de l’univers qui
amène à ne plus projeter sur l’autre ses fantasmes, rêves ou frustrations, mais
à incarner pleinement son être véritable.
Ce qui demande juste de savoir
laisser l’émotion s’exprimer, de ne pas s’attacher aux pensées liées aux
croyances adoptées dans l’enfance.
Et à propos de l’enfant intérieur, j’ai
l’impression que ‘ce concept’ est simplement destiné à nous autoriser à vivre
toutes les émotions, à ne plus les retenir, à être vrai donc Amour Lumière…puis c'est clair qu'aux yeux de la source, nous sommes immatures, le mental dans ses limitations et le corps émotionnel dans sa nature animale et enfantine...
Bon
musique, danse, douche, ‘atelier’ cuisine et accueil……….accueil…acceuil
Finalement
de ce point de vue, je me dis que les situations comme une casserole brûlée
(deuxième fois en 2 jours), c’est l’occasion d’évacuer la colère et ça semble
logique (du point de vue de l’âme) de provoquer des déclencheurs qui vont
permettre cela.
Le truc, ça n’est pas de comprendre le sens ou la raison de la
colère ni même son origine parce qu’on pourrait remonter très loin, mais c’est
juste de prendre l’habitude de ne rien retenir.
J’ai une douleur assez vive au
niveau du foie et comme je sais que cet organe est liée à la colère, ça m’aide
à me préparer pour le moment où cette émotion viendra. Je me souviendrais de ne
pas la bloquer, de ne pas cogiter à son sujet.
J’ai
accueillie la peur de mettre le feu à la maison tandis que je manipulais des
braises et cette expérience me familiarise avec le monde des émotions parce que
cette peur s’est déplacée, et elle a fini par se dissoudre, par laisser le
mental au repos ou dans le silence.
Je suppose que c’est cela qui m’a donné la
motivation de m’occuper de ma demande de renouvellement de la CMU. J’ai
toujours été rebutée par la paperasse bien que cela représente mon identité
terrestre et justement parce que ça vient réveiller ma difficulté à accepter
les conditions de cette vie. Finalement je n'ai pas passé des heures de souffrance à remplir le dossier. Là encore, je constate que j'amplifie la résistance en me faisant des films, en anticipant...
Il est temps de plonger dans la vie, d'arrêter de vivre dans l'illusion des films et scénari répétitifs du mental!
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr