26 01 Comme
à chaque fois que je lâche le jugement, quand j’arrête de rechercher un
coupable, que ce soit mon corps physique, mon mental, mon corps émotionnel ou
quelqu’un d’extérieur à moi, quand je lâche les questions et les accusations…,
quand je dis "oui" à ce qui se manifeste à l’intérieur, la paix et la confiance
reviennent.
Puis les cadeaux pleuvent, tout se débloque, la vie devient douce ;
magique même, simplement parce que je suis passée de la tête au cœur, de la
résistance à l’acceptation.
C’est toujours le même scénario, quelque chose me
contrarie mais je lutte en commençant par vouloir retrouver la paix à tout
prix, en changeant mes pensées, en bloquant mes émotions au lieu de simplement
écouter, observer et laisser passer la vague.
Le lâcher prise, l’abandon du
jugement deviennent cependant un besoin lorsque l’émergence de la colère, de la
tristesse ou du sentiment d’injustice m’ont poussé à bout et je reconnais en
cela la dynamique des contraires qui m'amènent justement au centre.
C’est en apprenant à tout lâcher, les
raisonnements, les attentes, qu’une ouverture se créé et que je peux alors
recevoir les réponses, les solutions, la clarté, les idées et le désir
d’avancer, se manifeste à nouveau tout naturellement.
En prenant cette habitude
de mettre le mental de côté, de ne plus écouter les anciennes croyances ou de ne pas essayer de le changer,
cela devient un réflexe naturel et tout est facilité. J’y trouve plus de foi,
d’entrain, de force et de confiance dans ce choix essence-ciel de dire "Oui" à ce
qui est. Et les réponses viendront nécessairement...
Le
souci qui demeure, c’est d’organiser toutes ces idées, ces élans, et cela me
ramène encore à la nécessité de me poser, de me rappeler que ça n’est pas en
luttant, en forçant, en voulant accélérer les choses ou en essayant de gérer
cela avec l’intellect, que je peux avancer.
Cela me ramène à l’ordre naturel
des choses, au fait que c’est l’âme (ou le néocortex au niveau du cerveau) qui orchestre et guide et que la seule
chose à faire, c’est d’être ouverte, réceptive, attentive à la guidance interne
portée par le désir.
La
création vient toujours par un élan, un désir et son moteur comme son objectif,
c’est toujours le plaisir.
Déjà,
là, cette notion de plaisir est tellement associée à la culpabilité, au pêcher
qu’il est bon de faire le ménage à l’intérieur, de balayer les anciennes
croyances afin de voir les choses d’un point de vue neutre et objectif, lucide.
Les conditionnements sont tenaces mais nous avons un bon moyen de les
débusquer, ce sont les émotions excessives ou polarisées, les réactions.
Tout
ce qui me fait réagir, me déstabilise, me trouble est un appel de l’âme à venir
au centre, au point de neutralité et à l’écoute détachée des pensées, l'observation des
sensations.
En
général, on veut vite retrouver la paix alors on cherche à calmer les pensées,
à enfouir les sensations afin de ne pas déranger le confort de nos habitudes,
des schémas de pensée. Mais tant qu’on fait l’autruche les mêmes scénari seront
joués, des symptômes physiques vont apparaitre et on vivra dans l’instabilité
mentale, émotionnelle jusqu’à s’abandonner.
On
a enfermé le désir, on la limité à la sphère sexuelle alors qu’en fait, le
désir est le moteur de tout être vivant. Sans désir, sans cette impulsion qui
nous donne envie d’agir, on n’évoluerait pas et on serait comme une coquille
vide.
Le
désir est un élan du cœur et au niveau de l’énergie, c’est la vie qui monte en
nous comme la sève qui fait pousser les plantes, les arbres.
Dans notre
ignorance, nous avons cru bon de sélectionner les émotions et de coller une
étiquette à chaque chose, sensation, pensée, émotion, envie. Et même quand on n'est pas contraint par la morale sclérosante religieuse, on passe son temps à juger, à classer, à contraindre...
Il y a les bons
élans et les mauvaises pulsions mais en fait il y a surtout les erreurs
d’interprétation et les jugements ou simplement un manque de compréhension qui nous empêchent d’aborder la réalité de
façon simple, juste, éclairée.
On
commence aussi à admettre petit à petit que les femmes puissent avoir du désir
sexuel sans les qualifier de salopes ou de nymphomanes. Et bien sûr quand on
nait femme, on est conditionné par ces associations malheureuses faisant du
désir quelque chose de honteux, de sale et de réservé exclusivement aux hommes. Cela devient un objet de spéculation, de manipulation, de séduction, de commerce.
Même
si on peut voir une certaine amélioration, une plus grande liberté dans
l’expression sexuelle, dans la façon de le vivre, on est encore dans les
extrêmes et les tabous.
Il vaut mieux faire en sorte de nourrir la culpabilité
chez les hommes comme chez les femmes plutôt que d’informer. Et comme la
pornographie est une industrie qui se développe et qui rapporte des milliards,
maintenir les gens dans l’ignorance et la dépendance est le meilleur moyen de
s’enrichir.
Pourtant
quand on ose regarder en face toutes nos blessures, poser un regard
bienveillant sur soi, un regard innocent, dépourvu de croyances et de
conditionnement, on va mieux comprendre ce qui nous anime et la puissance de
cette énergie de vie, cette énergie créatrice.
27
01 Quand on comprend qu’on agit selon des conditionnements et des croyances
infondées on comprend qu’il nous faut retrouver l’innocence de l’enfant afin de
voir la réalité au-delà des jugements.
Libérer les pensées émotions de l’enfant
en soi, guérir cet aspect intérieur en offrant à la source tout ce matériel
énergétique nous ouvre sur le monde d’une façon totalement nouvelle.
Mais le
premier constat, c’est celui de notre ignorance, de notre naïveté, de nos
erreurs d’interprétation et très souvent on bloque sur cela, on s’en veut, on
se reproche notre imperfection. C'est encore le fruit de notre incompréhension et la force des croyances qui nous dirige mais notre âme est là pour nous instruire, pour rayonner l'amour et la lumière, la connaissance et l'empathie.
Tout
ce que l’on vit n’a qu’un seul but, nous ouvrir le cœur et la conscience.
Le fait
de reconnaitre les différents aspects en soi, l’enfant, l’âme, l’énergie non
duelle ou christique ou encore la paix du cœur, nous permet de constater notre
potentiel et d’accepter nos limites.
On se demande comment faire pour s’aimer
mieux ou plus mais ça commence par cesser de se reprocher d’avoir des pensées
négatives, de vivre des émotions jugées sombres. Aborder le mental et l’émotionnel
comme des outils de perception et de création change notre vision et on
constate notre pouvoir créateur.
Ce dieu, cette puissance divine qu’on cherche
sous les traits d’un humain parfait, c’est ce que nous sommes, cette création
magnifique, cette combinaison de corps plus ou moins denses au potentiel
infini.
Tout
en nous est vibratoire, sacré, intelligent, en perpétuel mouvement, en évolution constante
et on peut le constater en observant avec neutralité ce qui se joue en soi.
Quand
on se regarde honnêtement, en toute sincérité, quand on parle à son âme dans l’intimité
de notre cœur, lui confiant nos peurs, nos doutes, notre honte, nos attentes,
nos frustrations, on découvre à quel point ce que nous sommes est immense, on s’ouvre
à la compassion et on comprend alors ce que veut dire aimer.
On
comprend que c’est un vaste champ qui n’est pas confiné à la sphère amoureuse,
sexuelle, mais que cet amour habite tout ce qui est, qu’il n’a pas de limites de
frontières, qu’il est la force créatrice, la substance de la vie.
Dans
la transparence et la sincérité de cœur, on perçoit la lumière et l’amour en
tout être à mesure qu’on laisse cette vibration rayonner librement en
nous-même.
On
constate que lorsqu’on est dans cet état de grâce, de gratitude, dans la paix
avec soi-même, avec tous les aspects de l’être, l’autre nous offre ce qu’il a
de meilleur, sa sincérité.
Je
suis épatée de voir comment les choses sont de plus en plus fluides quand on
est dans cette transparence et dans l’accueil, l’offrande à la source, quand on
cesse de juger ou de s’en vouloir de le faire.
Il y a une grande différence
entre jugement et discernement.
Le jugement bloque l’énergie dans le passé,
dans des réponses insatisfaisantes sinon il n’y aurait plus de question, c’est
une façon de s’enfermer dans son mental et de croire que l’intellect surpasse
la sagesse de l’âme ou de la source. On empêche l’émergence de nouvelles idées,
on reste confiné dans la vision duelle des choses, on perçoit ce qui est selon
le filtre des croyances et des conditionnements qui sont nécessairement limités
et falsifiés.
Le
discernement c’est voir la réalité dans son ensemble ou tout au moins
distinguer le personnage, ou l’illusion de la réalité, c’est voir le désespoir
derrière le geste agressif ou destructeur, c’est voir avec les yeux du cœur,
avec compassion. C’est voir au-delà de l’apparence sans être dupe et sans en
souffrir. C’est voir l’être derrière le masque ou ressentir l’essence de l’être
derrière le discours accusateur ou plaintif, c’est reconnaitre l’enfant en
souffrance dans le corps de l’adulte qui séduit ou cherche à plaire.
Et c’est
faire preuve de compassion pour soi-même envers ses propres
stratégies et ses attentes, tout comme on peut en avoir envers l'autre.
La
compassion accompagne toujours le discernement mais elle n’appelle pas la
soumission ou l’agression. Elle permet de se taire ou de partir sans craindre
la réaction de l’autre, elle permet de sentir que notre choix, notre attitude
est juste.
Elle est juste parce qu’elle correspond à l’élan spontané, celui qui
est porté par l’assurance de faire le bon choix et la certitude qu’il n’y a pas
d’erreur.
Elle est juste parce qu’on sait que nous sommes toujours guidés et
que si notre choix est spontané, irréfléchi, cela ne veut pas dire qu’on ait
raison mais qu’on est sincère.
Cela veut dire que le geste est en accord avec
la vision, le ressenti, qu’il y a une cohérence, même si on ne sait pas quelles
en seront les conséquences.
Et
si le doute survient, on offre tout simplement les pensées et les émotions à la
source en sachant que ce qui compte c’est d’être vrai, que nous ne sommes pas
parfaits et que lorsqu’on agit dans le respect de soi, l’autre le perçoit comme
tel.
Je
ne suis pas très inspirée à écrire ce matin parce que je maque de sommeil et je
suis encore abasourdie par la façon dont les choses sont simplifiées et
fluides.
L’année dernière, j’avais galéré pour que le ramoneur vienne et quand
j’ai téléphoné en début de semaine, je ne me suis pas affolée lorsque la
personne m’a dit qu’elle ne pourrait pas venir avant le 15 février.
Je n’ai pas
non plus argumenté en me sentant victime ou en montrant de l’indignation pour
cette attente et comme j’ai trouvé le moyen de nettoyer le poêle afin qu’il y
ait du tirage, je me suis dit que ce serait gérable.
Je compare ma façon de
communiquer avec mon interlocuteur et le résultat qui sont totalement différent
de l’année dernière. L’année dernière, j’avais été paniquée quand on m’a dit
que je devrais attendre et j’ai essayé d’argumenter en vain sans toutefois m’énerver.
Malgré tout, c’est la victime intérieure qui parlait et je m’en rends compte
maintenant parce que je n’avais pas du tout tenu compte de l’autre, de son
agenda, de sa situation.
Je restais focalisée sur mon propre état de victime et
la colère qu’engendrait le sentiment d’injustice. Cette fois-ci, déjà, j’ai pu
constater que je pouvais me passer de chauffage quand il y a du soleil et comme
je maitrise mieux le poêle, l’allumage et le nettoyage, je n’étais pas stressée
en téléphonant. Je ne me suis pas présentée comme une victime impuissante et le
fait que je ne réagisse pas négativement à l’annonce du délai d’attente tout en
demandant de me prévenir si c’était possible qu’il vienne avant, sans me
plaindre, a favorisé la communication équilibrée.
On
ne s’en rend pas compte mais quand on se place en victime, on porte une
vibration qui colle la pression à l’autre qui lui donne le sentiment d’être
redevable, de devoir se surpasser, de jouer les sauveurs. On a tendance à se
plaindre, à démonter à quel point on est dépendant du service de l’autre et
généralement ça ne se passe pas au mieux parce qu’on va le sentir passer au
niveau de la facture.
Quand on se place en victime, on appelle soit un bourreau
soit un sauveur et selon le tempérament de l’autre, on sera de toute façon
encore manipulé.
La victime est dans l’exigence plutôt que la demande et ça se
sent.
Elle se croit obligée d’obtenir des privilèges, des faveurs, et ne tient
pas compte des besoins de l’autre, d’emblée, l’échange n’est pas équitable. Le
résultat sera aussi déséquilibré.
Alors
que si on demande en tenant compte des besoins de l’autre ou sans exiger qu’il
se sacrifie, sans croire que parce qu’on le paie, il est à notre service, ça
change, tout.
On fait preuve de respect alors on l’obtient en retour.
J’ai été
étonnée de recevoir un coup de fil hier soir, de l’entreprise de ramonage qui se
proposait de venir ce matin. Avec du recul, j’ai pu constater tout ce que je
viens d’écrire et comme ça vient après avoir affirmé mon choix d’abandonner
toute forme de jugement, de lâcher prise dans toute situation qui me pose
problème, c’est plutôt remarquable.
Ce
que je partage ici avec vous, c’est du vécu au jour le jour, en toute
transparence et c’est automatiquement répétitif, laborieux parfois parce que la
libération des masques, des rôles est un chantier permanent.
Il ne s’agit pas d’arracher
le costume du personnage et de se trouver nu ou dans une "nuit noire de l’âme" comme certain
aiment à le dire mais de se découvrir petit à petit, avec patience, constance,
persévérance.
Il s’agit de devenir de plus en plus conscient, attentif, afin de
se connaitre intimement et en profondeur. Afin de découvrir en chaque
expérience les richesses qu’elles apportent, afin d’affiner ses sens, ses perceptions,
son discernement, d’ouvrir son cœur à la compassion en se traitant avec
douceur, respect. Et c’est cette relation intime à soi, aux aspects intérieurs
multiples et variés qui révèle la grandeur de l’être, le caractère unique de l’individu
et son chemin particulier.
Je
me réjouis du confort qui est le mien et remercie mon âme de prendre soin de
mes besoins, de constater que la tâche qui m’incombe, c’est d’être
transparente, sincère avec moi-même et avec les autres. Admettre mes
faiblesses, mes carences et voir en elles des moyens de me relier aux autres
dans la compassion ou avec empathie.
J’apprécie
en plus cet ouvrier tant son travail consciencieux que son ouverture d’esprit,
sa vibration. C’est quelqu’un d’authentique, de serein et d’éveillé. Là encore,
rien à voir avec les préjugés ou les conventions habituelles qui définissent le
sage comme une personne exemplaire, un être supérieur qui se présente en modèle
et qui parle d’esprit, de mondes supérieurs, de miracles stupéfiants, de
guérison exceptionnelles…
La
sagesse c’est la connaissance intime de soi, la reconnaissance tant des jeux de
rôles humains que du divin intérieur et surtout leur unité, le fait qu’ils se
révèlent et se magnifient mutuellement.
C’est le fait de pouvoir accepter la
condition humaine sans en souffrir mais au contraire de se réjouir de ces
contrastes, du fait que la simplicité côtoie la grandeur.
Je
viens de regarder cette vidéo qui parle de la plasticité du cerveau démontrée
par les neuroscientifiques et j’en conclue que mon intuition est juste quand je
répète instinctivement des vérités inspirées par l’âme puisque c’est en faisant
cet "exercice" que les connexions neuronales se renforcent.
« Quand les neurosciences rencontrent
l’éducation » Eric Gaspar
Je le savais déjà
mais comme le critique intérieur se manifeste encore à ce sujet, il était bon
de s’en rappeler d’autant que c’est aussi en ayant de l’empathie pour ce critique,
en ne le rabrouant pas ou en ne rejetant pas ces pensées critiques, que cette
tendance va changer. Et ça ne va pas changer par miracle/hasard mais par choix et par cette capacité du cerveau et surtout celle du cœur, d'aimer, d'éprouver de l'empathie.
Cela m’est confirmé par une autre vidéo dont le titre est « et
si on changeait son regard sur l’enfant ». Je ne suis pas en train de me
justifier de mon erreur, ou de ma faiblesse pas plus vis-à-vis de moi-même qu’envers
vous mais juste de comprendre comment fonctionne le cerveau et par la même
occasion de vérifier aussi l’inefficacité du jugement pu de la punition, comme Catherine Gueguen
le démontre.
« Et si on changeait de regard sur l'enfant ? »
Catherine Gueguen
Quand
on comprend et qu'on admet que notre cerveau émotionnel est celui d’un enfant de moins de 4
ans puisqu’on n’a pas appris à gérer ses émotions, on comprend mieux pourquoi
on parle d’enfant intérieur. D’autant plus quand les traumas ont entrainé des
émotions douloureuses.
En changeant notre attitude face aux émotions dites
négatives, le cerveau peut s’actualiser puisque sa plasticité est prouvée et
comme on admet enfin le pouvoir de l’empathie sur l’éducation de l’enfant, on
comprend qu’on peut agir sur nos émotions ou guérir l’enfant intérieur.
On peut
donc éduquer notre cerveau émotionnel mais aussi agir sur notre
tronc cérébral qui gère la peur, l’inconscient et les réflexes de survie. Il n'est plus sollicité au moindre stimulus, c'est la conscience qui s'en charge.
Le
problème c’est quand c’est cet instinct qui gère nos émotions puisque les trois
réponses possibles se limitent à la fuite, l’agressivité ou la paralysie. Dans
ce mode, le néocortex est déconnecté, il ne peut pas apporter de nouvelles
réponses à moins de faire preuve d’empathie. En l'occurrence, l'ouverture d'esprit, le lâcher prise, vont permettre une unification des trois cerveaux une réorganisation des systèmes et de la hiérarchie interne.
Là
encore, j’en ai déjà parlé mais ce genre d’info est capital et c'est important de les diffuser en masse d’autant plus qu’elles
vont à l’encontre de l’opinion publique.
Des siècles à reproduire les mêmes
erreurs, les mêmes croyances et ses découvertes viennent tout bousculer,
heureusement.
Heureusement mais nécessairement, cela entraine une sorte de chaos
puisque les certitudes ou anciennes croyances sont balayées.
Cela oblige à
remettre en question l’éducation des parents, les modèles, les références, l’autorité mais c’est aussi en le
faisant qu’on devient autonome affectivement, qu’on coupe le cordon ombilical
et qu’on devient responsable de soi, maitre de sa vie.
L’empathie
envers soi-même, envers les aspects animal et enfantin de l’humain lui rendent
sont potentiel amoureux. C’est la bonne nouvelle proclamée par Jésus Christ en
d’autres termes mais la vérité est la même, l’empathie et le néocortex sont
intimement liés. L’empathie, l'Amour, rééduque notre cerveau émotionnel, reptilien…
Bon mon énoncé est encore un peu brouillon mais vous êtes dotés d'un cerveau et d'un cœur capable de faire résonner ce qui sera utile pour vous.
Là encore, je vérifie le fait que je n'aie pas eu à cogiter pendant des heures pour trouver l'info dont j'avais besoin, ce rappel essentiel, au moment opportun...
Juste s'ouvrir et se laisser guider pour avancer dans la joie et la confiance.
Si
vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure
et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain
divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr